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Suite des actualités générales 2022

01/02/2022

Suite des actualités générales 2022
Intertas 09.05.22 : EIffage, au travers de sa filiale Eiffage Énergie Systèmes, a conclu un accord en vue d’acquérir 70 % de Snef Telecom.
Filiale de Snef et acteur national de référence sur le marché français des télécommunications mobiles, Snef Telecom a réalisé un chiffre d’affaires de près de 200 millions d’euros en 2021, avec environ 1 000 collaborateurs répartis sur tout le territoire. Cette acquisition permet à Eiffage Énergie Systèmes d’entrer dans le marché à forte croissance des télécommunications mobiles, porté par le développement des technologies 5G. Elle vient compléter l’offre et les expertises d’Eiffage Énergie Systèmes auprès des acteurs de l’industrie et du tertiaire. La réalisation de cette acquisition devrait intervenir au cours du 2e semestre 2022, sous réserve des conditions suspensives et réglementaires usuelles
 
Intertas 05.05.22 : Le projet MAGEO (mise au gabarit européen de l’Oise entre Compiègne et Creil), dont la maitrise d’ouvrage est assurée par Voies navigables de France (VNF), a été déclaré d’utilité publique par la Préfecture de l’Oise le 22 avril 2022.
Une étape cruciale pour ce projet d’aménagement de la rivière, (qui traversera 22 communes dans le département de l’Oise) pour permettre le passage de bateaux au gabarit européen de 180 mètres de long et 11,40 mètres de large) transportant jusqu’à 4 400 tonnes de marchandises.
Cette décision suit l’avis favorable donné par la commission d’enquête en juillet 2021, suite à l’enquête publique. Pour VNF, c’est une nouvelle étape décisive dans la concrétisation de ce projet structurant qui s’inscrit dans le cadre de la réalisation de la liaison Seine-Escaut et du futur canal Seine-Nord Europe. Cliquez-ici pour lire le communiqué
 
Intertas 28.04.22 : En Dordogne, si huit méthaniseurs produisent déjà du gaz à partir de lisier pour une utilisation locale dans certaines exploitations agricoles, Saint-Antoine de Breuilh accueille le premier méthaniseur alimentant le réseau gaz de ville.
Le premier méthaniseur alimentant le réseau gaz de ville en Dordogne, fonctionne à partir de 17 000 tonnes de matières premières collectées dans un rayon n'excédant pas une heure de camion du site. Essentiellement les résidus de raisin issus des exploitations viticoles, des déchets de papeterie venus de Lalinde, et des résidus gras alimentaires. Autant de produits qui, digérés par des bactéries anaérobies (privées d'oxygène), comme dans un estomac de bovin, se transforme d'une part en méthane et d'autre part en résidu inerte utilisable comme fertilisant agricole. De ces 17 000 tonnes, on extrait de quoi alimenter 1 800 foyers en gaz pendant un an. Des chiffres modestes pour atteindre l'autonomie énergétique, mais les potentiels sont énormes et encore inutilisés. CVE estime que l'on pourrait produire 30 à 40% des besoins en gaz européens avec une méthanisation généralisée. Une demi-douzaine de projets similaires sont déjà à l'étude en Dordogne, et d'ici 2023, on pourrait compter une quinzaine de méthaniseurs publics ou privés dans le département.
 
Intertas 23.04.22 : Le CEA de Grenoble et GRDF s’associent dans le développement de solutions innovantes pour optimiser la production de gaz renouvelables.
L’organisme de recherche et le principal distributeur de gaz en France s’associent dans le cadre d’un partenariat stratégique établi pour cinq ans. Ils ont pour ambition de développer des solutions innovantes afin d’optimiser la production de gaz 100 % renouvelables. Au-delà des enjeux de transition écologique, ce premier échange de compétences entre les équipes gazières et les chercheurs du CEA permettra également de penser le réseau de gaz de demain. GRDF est convaincu du rôle essentiel des gaz renouvelables dans un mix énergétique équilibré et de plus en plus décarboné. L’entreprise poursuit son ambition d’accélérer le verdissement du gaz distribué en France pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050. La collaboration entre le CEA et GRDF vise à associer leurs recherches sur des solutions innovantes et complémentaires de production de gaz vert. Dans le cadre de cet accord, des travaux seront réalisés pour optimiser la production de gaz vert issu de la biomasse et multiplier les intrants possibles (biomasse sèche et humide). Au programme de ce volet gaz verts, la gazéification hydrothermale, qui permet de transformer la biomasse liquide en gaz renouvelable injectable dans les réseaux gaziers, la bio-méthanation et l’optimisation des coûts de production de gaz renouvelables. Les partenaires s’intéresseront également à la capture et la valorisation du CO2 biogénique alors même que les gaz renouvelables présentent un bilan carbone quasi neutre. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 20.04.22 : En raison des tensions géopolitiques actuelles avec la Russie, qui mettent en péril la sécurité d’approvisionnement de l’Europe, les sites de stockage souterrain de gaz naturel voient encore croître leur importance stratégique.
La France est l’un des pays du continent les mieux dotés en stockage du gaz naturel. Le stockage est géré par deux acteurs principaux qui ont pour missions principales d’assurer la sécurité d’approvisionnement, notamment durant les périodes de forte sollicitation comme l’hiver et de contribuer au bon fonctionnement du marché du gaz naturel.
Storengy, filiale d’ENGIE, est le premier opérateur de stockage de gaz naturel en Europe. Il comprend 14 sites en France : 9 en nappe aquifère, 4 en cavités salines et 1 en gisement déplété. Storengy, présent dans l’Hexagone depuis presque 60 ans, est aussi le 2ème producteur de biométhane en France.
Terega, important gestionnaire de réseau de transport et de stockage de gaz, dirige 2 sites souterrains (nappe aquifère et réservoirs déplétés). Ces deux sites représentent près de 25 % des capacités de stockage du territoire français. Ils sont situés à proximité des principaux échanges gaziers sud-européens.
Le gaz naturel peut être stocké de différentes manières.
Le stockage sous forme de nappe aquifère, en souterrain, consiste à reconstituer ce qui existe dans la nature. Ainsi, le gaz sous pression est infiltré dans des cavités souterraines, qui sont en général poreuses et contiennent de l’eau. Cette solution remplit les espaces occupés par l’eau et la remplace sans modifier l'architecture souterraine. La structure rocheuse, similaire à un dôme, devient alors un réservoir naturel. Étanche, elle est recouverte de blocs minéraux imperméables.
Les cavités salines sont des anfractuosités formées dans les couches épaisses de sel gemme. Ces cavernes souterraines et artificielles sont créées grâce à des injections d’eau. Cette technique permet de faire fondre progressivement le sel, qui est récupéré sous forme de saumure. Le gaz infiltré et stocké à l’état gazeux à une pression élevée vient alors occuper la place libérée. Les cavités salines, imperméables et non poreuses, garantissent un captage instantané. Elles permettent de mieux faire face aux pics de la demande et d’assurer la pérennité du gaz naturel emmagasiné.
Les gisements déplétés sont des gisements de gaz naturel ou de pétrole épuisés et donc plus exploités. Les gisements déplétés ou épuisés peuvent être transformés et utilisés en espaces de stockage souterrains. Semblables aux solutions en nappe aquifère, ce type de solution permet l’injection de gaz naturel dans la structure géologique.
 
Intertas 14.04.22 : Teréga, premier opérateur indépendant français d’infrastructures gazières implanté dans le Grand Sud-Ouest, enregistre ces derniers jours des flux records en entrée de gaz depuis l'Espagne.
Implantée dans 15 départements du Grand Sud-Ouest, Teréga occupe une position stratégique dans les territoires et au sein de l’Europe. Son réseau, au maillage local dense et interconnecté avec les réseaux étrangers, joue un rôle primordial dans la réponse aux défis énergétiques français et européens. Si le réseau de Teréga permettait historiquement le transit du gaz norvégien pour alimenter l’Espagne ou le Portugal, la situation exceptionnelle et les tensions énergétiques liées à la guerre en Ukraine ont transformé et renforcé ces dernières semaines le rôle des infrastructures gazières. Le point d’interconnexion Pirineos, opéré par Teréga, enregistre, en ce moment, d’importants flux Sud-Nord de plus de 200 GWh/j en moyenne ainsi que des pointes s’approchant de 220 GWh/j pour un maximum possible de 225 GWh/j. Cliquez-ici pour lire la suite du communiqué
 
Intertas 13.04.22 : La filière des infrastructures numériques  se dote de son premier catalogue internationale, pour mobiliser son développement et pour séduire à l’export.
Identifié depuis plusieurs années comme un puissant relais de croissance, l’export est aujourd’hui au cœur des enjeux de développement pour toute la filière industrielle française des infrastructures numériques. Avec le soutien de l’État, celle-ci se dote de son premier catalogue international, outil essentiel présentant les savoir-faire des entreprises de la filière. Cette publication a vocation à être diffusée largement auprès du réseau diplomatique français, et des pays européens et africains, à commencer par l’Allemagne, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Togo, le Ghana et le Nigeria afin de développer des partenariats industriels dans une logique de coopération étroite et durable à la hauteur des enjeux pour ces infrastructures stratégiques. Cliquez-ici pour lire le communiqué
 
Intertas 11.04.22 : Déploiement des rebours : une dynamique positive Aujourd’hui, il existe une dizaine de points d’entrée du gaz en France. Demain, ils seront plusieurs centaines, notamment avec le raccordement d’unités de méthanisation.
Les rebours sont essentiels pour pouvoir accueillir les gaz renouvelables, produit par la méthanisation, dans le réseau de transport. Aujourd’hui, le portefeuille de projets de rebours s’agrandit avec l’officialisation de 9 projets supplémentaires par la Commission de Régulation de l’Energie (CRE).
Cliquez-ici pour consulter l'nnterview de Fabien Lafitte, Directeur du programme biométhane et de Jean-Marc Le Gall, Directeur du projet biométhane à GRTgaz.
 
Intertas 08.04.22 : Le Conseil d'Etat a annulé un projet de parc éolien dans le parc naturel régional du Haut Languedoc. Cette décision affine le contentieux florissant des dérogations à l’interdiction de destruction des espèces protégées et de leurs habitats.
Le Conseil d'Etat a retoqué un arrêté préfectoral qui autorisait la destruction d'espèces protégées à Ferrières Poussarou pour la construction de 10 éoliennes. La juridiction a considéré que l'intérêt public de la construction de ces 10 éoliennes n'était pas assez important pour justifier la destruction de ces espèces. Cliquez-ici pour lire la décision du Conseil d'Etat
 
Intertas 07.04.22 : (Communiqué) Dans un décret du 5 avril 2022 publié mercredi 6 au Journal officiel, sont précisées les modalités d'octroi de l'aide promise par le Premier ministre aux entreprises de Travaux publics (l'enveloppe globale est de 80 M€).
La guerre en Ukraine a des conséquences économiques sur l’activité des entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP), dues notamment à l’importante volatilité du prix des matériaux de construction et au niveau élevé des prix des carburants. Plusieurs mesures sont annoncées et sont en cours de mise en œuvre pour accompagner les entreprises du secteur, qui emploie moins de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires annuel n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total de bilan n'excède pas 43 millions d'euros.
Réforme sur le GNR : Le Gouvernement prend acte de la demande des professionnels de reporter la réforme supprimant l’avantage fiscal sur le GNR, qui doit en principe entrer en vigueur au 1er janvier 2023. A ce stade, les conditions ne sont pas réunies pour ouvrir ce sujet, qui nécessite une loi de finance. Compte-tenu de l’augmentation des prix, le Gouvernement reconnaît toutefois que les conditions de mise en œuvre de cette réforme ne sont plus réunies et qu’il appartiendra au Parlement d’établir un calendrier lors de la prochaine loi de finances. Cliquez-ici pour lire le communiqué
 
Intertas 06.04.22 : Lors de la conférence tri-nationale « Hydrogène vert : projets phares et perspectives dans le Rhin Supérieur » du 5 avril 2022 à Bâle, GRTgaz a annoncé le lancement d’un second projet de conversion de réseau de transport de gaz naturel à l’hydrogène.
Situé en Alsace et baptisé RHYn (Rhine HYdrogen Network), ce projet a pour vocation de favoriser l’écosystème hydrogène du Rhin Supérieur en connectant à horizon 2028 la zone de Dessenheim avec la zone industrielle de Chalampé-Ottmarsheim, ainsi que l’agglomération de Mulhouse pour ses besoins en termes de mobilité.
Dans les phases suivantes, ce réseau pourra s’étendre au sud vers Bâle afin de proposer une alimentation de la zone aéroportuaire et au nord vers Marckolsheim pour desservir ses sites industriels.
Conformément à son engagement en faveur de la transition énergétique, dans un objectif de performance environnementale et économique, GRTgaz prévoit de maximiser la réutilisation des canalisations de gaz naturel existantes : sur une totalité de 100 km de réseau hydrogène, au moins 60 km proviendront de canalisations converties. La canalisation aura la capacité de transporter 125 000 tonnes d’hydrogène par an, l’équivalent de la production de 900 MW d’électrolyse et pourrait permettre la réduction des émissions de carbone jusqu’à 1 million de tonnes de CO2 par an. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 29.03.22 : Aujourd’hui, l’Allemagne compte environ 10000 installations de production de biogaz, qui représentent 5 % de la consommation électrique allemande.
Le biogaz fait partie des énergies renouvelables soutenues en Allemagne par le dispositif dit "loi sur les énergies renouvelables", démarré en 2000.
Comme l’électricité photovoltaïque ou éolienne, l’électricité produite par le biogaz bénéficie de tarifs d’achat avantageux, à l’origine garantis sur vingt ans. Cette politique a vite porté ses fruits : le nombre d’installations a explosé, passant d’un millier en 2000 à plus de 7000 en 2011. Aujourd’hui, l’Allemagne compte environ 10 000 installations de production de biogaz, qui représentent 5 % de la consommation électrique allemande.
Pour information sur la vidéo : L'ouverture de tranchée pour ls pose du PEHD Dn160 a été réalisée par une trancheuse du constructeur Allemand LIBA, type "GM 6 ASR".
Les trancheuses du constructeur Allemand LIBA, sont distribuées en exclusivité en France par LIBA France, dirigé par Jean Luc BARTHET  Tél. : 06 11 09 04 39  E-mail : juanjuan25.b@gmail.com
 
Intertas 29.03.22 : Concevoir et exploiter des infrastructures énergétiques à l’empreinte environnementale toujours plus exemplaire fait partie des enjeux de GRTgaz. L’installation Tenore est un exemple concret qui explore un moyen de récupérer l’énergie dite de « détente ».
Transporté à des pressions élevées, le gaz doit être détendu avant d’être livré : la pression est abaissée à l’aide de vannes. Une énergie de pression est alors libérée. Le projet Tenore, soutenu par l’Ademe, va permettre de tester la récupération et la valorisation de cette énergie. Il repose sur un démonstrateur construit par GRTgaz à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), qui sera mis en service en 2022. Ce site pilote est équipé d’une turbine de détente conçue par Enertime, une PME innovante installée à Courbevoie (Hauts-de-Seine). En entraînant une génératrice, la turbine pourra produire et injecter dans le réseau 17 GWh d’électricité par an, soit la consommation annuelle de 3 500 foyers. L’utilisation de la turbine accentuant le froid généré par la détente de gaz, deux systèmes de réchauffement ont été intégrés au démonstrateur : une cogénération produisant à la fois de l’électricité et de la chaleur et un raccordement au réseau de chaleur urbain des communes de Villiers-le-Bel et Gonesse. Tenore fait ainsi jouer les synergies entre les réseaux de gaz, d’électricité et de chaleur. Il s’inscrit pleinement dans les objectifs de GRTgaz d’agir pour la transition énergétique et d’explorer de nouveaux champs d’action pour atteindre la neutralité carbone.
 
France Hydrogène - Engagée pour la transition écologiqueIntertas 29.03.22 : L'association France Hydrogène nous propose de tout savoir sur l'hydrogène grâce à 64 fiches documentaires à lire ou à télécharger recouvrant tout ce qui concerne l’utilisation de l’hydrogène comme énergie propre et durable.
Regroupées en plusieurs chapitres principaux, ces fiches permettent de traiter l'ensemble de la chaîne de valeur de l'hydrogène de la production à son utilisation avec en plus, des rappels historiques qui permettent de mesurer les avancées. Consultez
Réunissant plus de 400 membres, France Hydrogène fédère les acteurs de la filière française de l’hydrogène structurés sur l’ensemble de la chaîne de valeur : des grands groupes industriels développant des projets d’envergure, des PME-PMI et start-ups innovantes soutenues par des laboratoires et centres de recherche d’excellence, des associations, pôles de compétitivités et des collectivités territoriales mobilisés pour le déploiement de solutions hydrogène.
 
AccueilIntertas 24.03.22 : Les Canalisateurs ont organisé le 22 mars, à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau 2022, l’événement national « Les Canalisateurs, acteurs pour la planète ».
Placé sur le thème « Eau et changement climatique : entre urgence et résilience », il a été décliné simultanément dans 16 régions de France métropolitaine par les délégations territoriales1 de l’organisation professionnelle. Il a réuni partout en France 1 400 participants (canalisateurs, maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, institutionnels, agences de l’eau, associations, partenaires…). Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 23.03.22 : CVE et ENGIE BiOZ ont inauguré à Saint-Antoine-de-Breuilh en Nouvelle-Aquitaine la première unité de méthanisation par injection implantée en Dordogne. Elle permettra de valoriser des matières organiques du territoire, générées dans un rayon maximum de 60 km autour de l’unité.
Le biométhane -énergie verte, locale et stockable sera injecté dans les réseaux de gaz naturel de Nouvelle-Aquitaine. Il produira également un engrais naturel qui sera valorisé pour les besoins de l’agriculture locale.Elle contribue à la valorisation des matières organiques de la région Nouvelle-Aquitaine, en traitant chaque année jusqu’à 20 000 tonnes de déchets provenant des distilleries, des industries agroalimentaires, des industries papetières et des filières agricoles de proximité dans un rayon de 60 km autour de l’unité. Celle-ci a été conçue pour être adaptée au flux et à la typologie des matières issues de son territoire, avec l’installation d’une technologie de digestion par piston, particulièrement adaptée à la valorisation des matières sèches qui composent la majorité des déchets traités par l’unité. Ceux-ci incluent notamment le marc de raisin issu des distilleries du territoire, qui représente 25% de la matière valorisée sur le site. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 23.03.22 : La FNTP exige une clause de révision de prix pour tous les marchés de travaux, publics comme privés.
Après les annonces du Premier ministre du « plan résilience », la FNTP, à laquelle s’associe Les Canalisateurs, demande des éclaircissements et des compléments. Elle maintient sa vive inquiétude face au contexte de flambée des prix, de difficultés d’approvisionnement et de potentielle paralysie du secteur. La situation des entreprises de Travaux Publics est, en effet, très préoccupante alors que les fournisseurs du secteur soumettent des devis d’une validité de quelques jours, voire d’un seul jour. Comment, dans une telle insécurité économique, élaborer un prix en réponse à un appel d’offre ?  La FNTP renouvelle ses demandes : Cliquez-ici pour lire la suite
 
Thibault Nicollet PDG GroupeNATIntertas 23.03.22 : C'est une nouvelle consécration pour le groupe N.A.T : pour la deuxième fois, l'expert des réseaux se retrouve dans le classement des Champions de la croissance du journal Les Echos, qui récompense les plus belles croissances nationales. Une belle reconnaissance pour la PME fondée par Thibault Nicollet il y a sept ans.
A 31 ans et après des expériences en grands groupes, cet ingénieur ISEN a voulu mettre ses compétences au profit de son propre projet, avec l'ambition initiale de créer un bureau d'études régional portant sur la maîtrise des réseaux. Trois ans à peine après sa création, la PME – d'abord basée à Seclin – affichait déjà un chiffre d'affaires de 2,5 millions d'euros pour une quarantaine de salariés. Une croissance rapide qu'il a fallu apprendre à maîtriser. Sécuriser les réseaux et les hommes. Aujourd'hui le groupe N.A.T (pour Nord avenir technologies) compte six entreprises, dont l'ADN est d'anticiper et de gérer les risques lors de travaux réalisés à proximité des réseaux. «Nous sommes l'interface entre les exploitants de réseau, les collectivités et les entreprises, entre le point de production et de consommation», poursuit Thibault Nicollet. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 19.03.22 : (Communiqué) La crise actuelle de l’énergie met en lumière toute l’importance des énergies renouvelables dans le mix-énergétique français. Son impact se traduit pour toutes les énergies, pétrole, gaz et électricité. La filière biogaz, en développement depuis 10 ans, participe déjà à l’indépendance énergétique de la France, avec une capacité installée couvrant 3 % de la consommation de gaz soit l’équivalent de plus de 15 % des importations russes.
À court terme, elle peut être mise davantage à contribution en levant certaines contraintes administratives dans un contexte où les coûts du biogaz sont désormais inférieurs au prix de marché du gaz naturel.
De manière générale, le potentiel des gaz renouvelables doit être pleinement mobilisé dans le cadre de la stratégie énergie-climat, en cours de révision, au bénéfice de l’indépendance énergétique, du développement économique, des territoires et du climat.
Selon plusieurs études, le potentiel de ressources, allié à une politique d’économie d’énergie permettrait de produire localement la totalité des besoins de gaz en tenant compte des usages liées à la mobilité, le bioGNV. Pour parvenir à 100 % de gaz renouvelable en 2050, quatre filières sont privilégiées : – La méthanisation à partir de déchets organiques, une technologie déjà mature ; – La pyrogazéification à partir de biomasse, de déchets dont les déchets de bois et les combustibles solides de récupération ; – La gazéification hydrothermale de biomasse humide ; – La méthanation d’hydrogène avec le CO2 des méthanisations ou des industriels (power-to-gas). Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 17.03.22 : Le conseil de la Métropole de Lyon a voté le 14 mars 2022 une délibération portant sur des études relatives à la réalisation d’un méthaniseur à la station d’épuration de Pierre-Bénite.
Ce projet de méthaniseur permettra d’augmenter l’autonomie énergétique du territoire métropolitain, tout en produisant de l’énergie renouvelable et donc d’améliorer le bilan du territoire en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Ce futur équipement qui devrait permettre de méthaniser les 12 000 tonnes de boues issues de l’épuration des eaux usées et produire 48GWh/an de biogaz, ce qui permettrait d’alimenter 190 bus ou bennes à ordures ménagères, ou bien de chauffer 8000 logements pendant un an. Par ailleurs, le projet prévoit également de valoriser le digestat issu de la méthanisation, "en privilégiant un retour au sol de cette manière riche en azote, qui se substituera aux engrais de synthèse".
 
Intertas 15.03.22 : Le premier ministre Jean Castex a signé,  lundi 14 mars 2022 à Toulouse, le plan de financement du Grand Projet du Sud-Ouest qui permettra de lancer les travaux de la LGV Toulouse-Bordeaux.
Après de nombreuses promesses, de nombreuses oppositions et de nombreuses turpitudes, le financement de la ligne de train à grande vitesse Bordeaux-Toulouse a finalement été signé. Une étape importante après la publication, le 2 mars 2022, de l’ordonnance de création de la "Société du Grand Projet du Sud-Ouest (GPSO)", l'établissement public centralisant les financements des collectivités territoriales et bénéficiera également de ressources fiscales dédiées, notamment une Taxe Spéciale d’Équipement (TSE) votée pour 2022 à la demande des Collectivités. Le coût de la LGV est évalué à 14,3 milliards d'euros..... Cliquez-ici pour lire la suite
 
Syndicat des énergies renouvelablesIntertas 14.03.22 : Signature du « Pacte éolien en mer » entre l’Etat et la filière.
Des engagements inédits ont été signés entre l'Etat et la filière, pour réussir la transition énergétique tout en assurant la sécurité énergétique et le développement des capacités industrielles de la France, afin d’accélérer le développement de l’éolien en mer tout en maximisant ses retombées positives en termes de création d’emplois et de valeur ajoutée sur le territoire, l’Etat et la filière s’engagent mutuellement à travers la signature, ce jour, d’un Pacte pour l’éolien en mer, qui détermine une trajectoire de développement à moyen et long termes. Cette démarche concrétise la combinaison d’une politique industrielle et d’une politique de transition énergétique pour réussir la transformation du modèle économique de notre pays en faveur des énergies renouvelables. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 14.03.22 : Face à Bruno Le Maire, la Fédération Nationale des Travaux Publics a exprimé l’extrême inquiétude des entreprises du secteur, confrontée à l’envolée continue du prix des carburants et des matières premières. Cette situation est en train de déstabiliser l’activité et nécessite des mesures d’urgence.
La crise ukrainienne a, en quelques jours, déstabilisé les entreprises de Travaux Publics qui font face à l’hyper inflation du prix des carburants et des matières premières, et commencent à subir des difficultés d’approvisionnement. La rencontre entre le ministre de l’Économie, ce jour en visio conférence, et les représentants du secteur du B-TP, a permis à la FNTP de souligner les difficultés des entreprises de Travaux Publics : + 30 % en une semaine pour le GNR et + 14 % pour le gazole, l’acier, la chaux, le plastique ; Devis des fournisseurs valables désormais de quelques jours à quelques heures ; Rationnement des volumes…
Cette situation, si elle perdure et si rien n’est fait, risque d’entraîner l’inexécution de travaux faute de matières premières, le travail à perte des entreprises dans l’impossibilité de répercuter la hausse des coûts, l’incapacité à répondre aux appels d’offres sans aucune visibilité sur les prix. La FNTP appelle à des mesures immédiates afin d’éviter les défaillances d’entreprises. Elle considère que le secteur des Travaux Publics doit être intégré dans le plan de résilience en préparation par le Gouvernement.
La FNTP a rappelé à Bruno Le Maire ses demandes : Gel de la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) et blocage des prix de l’énergie et des carburants par décret, comme en 1990 lors de la guerre du Golfe. Adoption d’une mesure d’ordre public obligeant, dans les marchés publics comme privés, à une renégociation des contrats et marchés en cours, lorsque leur exécution est rendue excessivement onéreuse du fait des circonstances. Recours aux « circonstances exceptionnelles » permettant la prolongation des délais de réalisation des marchés et l’absence de pénalités de retard, à l’instar des ordonnances COVID. Remboursement différé ou allongement de la durée de remboursement des PGE sans baisse de notation bancaire. Prise en charge intégrale de l’activité partielle, en cas d’impossibilité d’exécuter les chantiers.
Pour Bruno Cavagné, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : en quelques jours, la situation des entreprises de Travaux Publics est devenue extrêmement préoccupante avec un vrai risque de paralysie de l’activité. Bruno Le Maire s’est engagé à apporter des réponses à nos demandes d’ici le milieu de semaine prochaine. Il y a urgence !.
 
Intertas 11.03.22 : InfraNum publie "trente propositions pour une France connectée et durable" avec pour ambition de tracer les enjeux de notre filière pour le quinquennat à venir :
- Rester mobilisés pour généraliser la fibre optique d’ici 2025 sur tout le territoire français et veiller à la pérennité des infrastructures numériques ;
- Conserver l’avance qui distingue notre pays à l’échelle européenne, et capitaliser sur les opportunités offertes par les infrastructures numériques pour améliorer la compétitivité de notre pays et relever le défi de la transition environnementale ;
- Renforcer l’accompagnement à l’export de la filière en Europe et permettre aux entreprises de jouer un rôle clé dans la transformation numérique et durable du continent africain en facilitant l’accès aux financements publics français et européens.
Cliquez-ici pour télécharger les trente propositions pour une France connectée et durable
 
Intertas 09.03.22 : Le contexte international et la guerre en Ukraine laissent planer des inquiétudes sur la dépendance au gaz. Alors que les prix de l'énergie flambent, le biométhane est présenté de plus en plus comme la solution écologique au gaz venu de l'étranger.
En France, la méthanisation est reconnue comme une alternative viable à  notre dépendance énergétique. Exemple : en Gironde, le développement du biométhane est en cours, et l'autonomie énergétique visée d'ici 2050. En région Auvergne Rhône-Alpes, GrDF compte plus de 30 méthaniseurs en service.
Fin octobre 2021, Intertas.fr avait entrepris une démarche pour fédérer quelques sociétés spécialisées dans la pose des réseaux souterrains.
A la demande d'intertas.fr, un espace spécifique "Installation du réseau de distribution gaz", a été créé au salon BIOGAZ à Bordeaux. Intertas.fr est partenaire presse et partenaire dans l'organisation de cet espace spécifique. L'organisateur accorde une remise exceptionnelle à tous les exposants inscrits au salon par Intertas.fr. Pour en savoir plus !
 
Intertas 08.03.22 : La Fédération Nationale des Travaux Publics annonce le lancement de sa série documentaire inédite « Wonderworld ». Par cette série grand public, la FNTP souhaite encourager une nouvelle génération en quête de sens à rejoindre son secteur.
Chaque épisode propose un regard inédit sur un ouvrage emblématique des Travaux Publics français à travers le monde, mettant en lumière celles et ceux qui contribuent à leur réalisation. Par la construction de routes, de ponts, de tunnels et autres grands ouvrages, les Travaux Publics façonnent le monde et facilitent le quotidien de chacun. Ils sont à la croisée d’enjeux stratégiques et essentiels pour la société : performance économique, transition écologique et progrès. L'objectif est de faire découvrir, notamment aux plus jeunes, ce secteur stratégique à la grande diversité de métiers, et inviter une nouvelle génération à rejoindre un secteur qui leur promet un métier utile aux autres et la perspective d’une vie professionnelle passionnante. Cliquez-ici pour consulter la série
 
signature contrat concession CUD GRDFIntertas 07.03.22 : (Communiqué) La Communauté Urbaine de Dunkerque et GRDF signent un nouveau contrat de concession.
Ce contrat s’adapte aux enjeux de la lutte contre le réchauffement climatique et de l’amélioration de la qualité de l’air. La CUD et GRDF poursuivront leurs engagements communs pour accompagner l’essor des gaz renouvelables, le développement de la mobilité durable et la décarbonation des usages. Deux premiers sites de méthanisation entreront en service à Dunkerque (Daudruy) en 2022 et à Bourbourg (Flandre Biogaz) en 2023. Ces sites permettront de produire localement du gaz vert issu de la valorisation de déchets organiques. Rappelons que la CUD a été pionnière dans le domaine de l’hydrogène avec l’expérimentation réussie GRHYD, qui a permis de tester l’injection d’hydrogène dans les réseaux gaz. Elle ambitionne aujourd’hui de devenir un Hub « CO2 et Hydrogène » afin de créer un véritable écosystème autour de l’hydrogène et de la valorisation du CO2. Le contrat négocié par les deux parties comprend des engagements significatifs de GRDF sur ce volet : démonstrateurs de réseau de distribution 100 % H2 et réflexion autour du power-to-gas (procédé qui convertit l’hydrogène généré par les excédents d’électricité renouvelables en gaz injectable dans les réseaux de distribution). Cliquez-ici pour lire le communiqué
 
Intertas 05.03.22 : Pour SNCF Réseau, l’intégration de Leyfa Measurement est un atout stratégique pour mener à bien son ambitieux plan de régénération et de modernisation du réseau ferré national.
Le 17 décembre, SNCF Réseau a acquis 74,22% du capital de la société Leyfa Measurement, qui devient ainsi l’une de ses filiales.
L’intégration de Leyfa Measurement, partenaire historique depuis une dizaine d’années, est pour SNCF Réseau un atout stratégique pour mener à bien son ambitieux plan de régénération et de modernisation du réseau ferré national. La présidence de la nouvelle filiale est confiée à Thomas Joindot, Directeur technique de SNCF Réseau. Alban Leymarie, co-fondateur de Leyfa Measurement, continue d’assurer la direction générale de l’entreprise.
Concrètement, la filialisation va fluidifier la préparation et faciliter le déroulement des grands chantiers de renouvellement et de maintenance du réseau, tout en optimisant les coûts de production, pour in fine améliorer la qualité de service aux clients. Désormais, chaque chantier industriel de renouvellement de voie et de ballast intègrera les activités de Leyfa Measurement afin de garantir un même niveau qualitatif de réalisation sur l’ensemble du réseau.
Leyfa Measurement poursuivra ses activités de Recherche & Développement, et continuera d’intervenir pour le compte des acteurs de la mobilité en France et à l’international (réseaux de transport urbains et secondaires).
 
Intertas 04.03.22 : L’ADEME et GRDF poursuivent leur coopération sur les gaz renouvelables et leurs usages
Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF, et Arnaud Leroy, président de l’agence de la transition écologique (ADEME), ont signé un nouvel accord-cadre pour les trois prochaines années, à l’occasion du Salon International de l’Agriculture. Au travers de ce 5e accord commun, l’ADEME et GRDF poursuivent leurs travaux portant sur la place des gaz renouvelables dans le mix énergétique français et leurs atouts pour contribuer à l’atteinte de la neutralité carbone en 2050.
Le gaz vert reste au cœur de ce nouvel accord : Dans le cadre de cet accord, de nouvelles études seront lancées pour soutenir la dynamique de développement du biométhane, un gaz renouvelable produit localement à partir de la fermentation de déchets organiques. Des analyses techniques seront notamment réalisées, sur le devenir des méthaniseurs en cogénération et en fin de tarif d’achat. Pour porter la transition écologique au cœur des territoires, l’ADEME et GRDF poursuivront leur accompagnement auprès des collectivités en élaborant un nouveau guide visant l’optimisation du mix énergétique, et en leur faisant connaître les possibilités de valorisation du biométhane produit localement pour la mobilité ou le chauffage des bâtiments publics.
 
Le contournement ferroviaire de Lyon, &amp;quot;priorité&amp;quot; du gouvernement ?Intertas 04.03.22 : Le ministre Jean-Baptiste Djebbari, vient d’annoncer une nouvelle étape dans le projet de contournement ferroviaire de l’agglomération lyonnaise.
Le projet consiste  à faire passer les trains de fret par l’Est lyonnais. Une concertation sera mise en place à partir de cet automne. Le CFAL Sud fait partie, avec l'Anneau des Sciences, des vieux serpents de mer de l'agglomération lyonnaise qui n'ont jamais vu le jour. Il doit permettre à des trains, notamment de fret, d'éviter de passer par Lyon dont les voies et les gares sont saturées. Estimé à 1,4 milliard d'euros, le projet impliquerait la construction d'un pont à Givors et d'une centaine de kilomètres de rails supplémentaires.
 
Intertas 03.03.22 : L’ADEME vient d’ouvrir un appel à projet national « Maturation et Accompagnement Zones Industrielles Bas Carbone ».
Cet appel à projet s’inscrit dans le cadre du plan d’investissement France 2030, doté de plus de 50 milliards d’euros sur la période 2022-2027, dont l’un des objectifs clés est la décarbonation de l’industrie. 5.6 milliards d’euros seront ainsi dédiés à la décarbonation, dont 610 millions d’euros serviront à financer l’innovation et le déploiement de technologies pour une industrie bas carbone à travers une stratégie d’accélération « Décarbonation de l’industrie ».
Les projets retenus auront pour objectif d’accélérer la décarbonation de leur zone industrielle, en mettant en œuvre un ensemble d’investissements, d’expérimentations, de synergies et d’innovations et en s’inscrivant dans une trajectoire bas carbone ambitieuse à horizon 2030 et 2050. Les territoires concernés sont des territoires à fort potentiel de décarbonation pour lesquels les enjeux sociaux et économiques sont importants (zones industrielles énergo-intensives, zones industrialo-portuaires, plateformes chimiques…). Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 02.03.22 : La direction générale de l’énergie et du climat a validé le programme Lum’acte, porté par la FNCCR, qui va permettre d’accompagner les collectivités dans la rénovation de leur parc d’éclairage public.
La FNCCR se félicite de la validation par la DGEC du programme Lum’acte, dans le prolongement du programme ACTEE, qui va permettre d’accompagner les collectivités dans la rénovation de leur parc d’éclairage public. Ce dispositif d’aide, d’un montant de 10 millions d’euros s’étalera sur deux ans. Il a pour objectif de faciliter la rénovation de plus de 2,5 millions de points lumineux en France.
Avec plus de 10 millions de points lumineux, la consommation annuelle du parc d’éclairage public en France s’élève à environ 5 térawattheures. L’éclairage public représente près de 40 % des consommations d’électricité des collectivités qui, de surcroît, subissent actuellement la hausse vertigineuse des prix de l’énergie. En outre, 40 % des équipements ont plus de 25 ans. Il est donc primordial d’accélérer la rénovation des installations vieillissantes énergivores et limiter la pollution lumineuse induite. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 25.02.22 : La Ville de Montceau-Les-Mines vient de signer avec Moncia, filiale de ENGIE Solutions un nouvel avenant afin de poursuivre la transformation de son réseau de chaleur tout en accélérant la transition énergétique de son territoire.
Cette transformation a pour objectif de remplacer le réseau aérien par un tout nouveau réseau enterré basse pression, permettant un meilleur rendement tout en utilisant des énergies renouvelables et locales. Ce réseau de chaleur vertueux porté par Moncia en quelques chiffres c’est : 19 km de canalisations 8 721 tonnes de CO2 évitées par an 3 500 équivalents logements alimentés.  Pour en savoir plus, cliquez-ici
 
Intertas 24.02.22 : TRACKTOR, la plateforme de location de matériel en ligne, lève plus de 12 millions d’euros auprès auprès de deux fonds d'investissement prestigieux, AXA Venture Partners et Bpifrance.
Cette levée de fonds va permettre à Tracktor : D'offrir la meilleure expérience client du marché et devenir le standard de la location de matériel pour les professionnels - D'investir massivement dans le développement de nouveaux services en ligne - De lancer une nouvelle application mobile pour  accompagner au quotidien leurs clients sur le terrain et de continuer à étendre leur réseau de loueurs en France mais aussi en Europe pour offrir toujours plus de disponibilités, quels que soient les besoins des entreprises. Cette levée permettra également à Tracktor de recruter de nouveaux talents : pour développer les meilleurs outils, faire grandir leurs équipes pour personnaliser leur service et rester le partenaire privilégié dans les activités de location.
 
Les Hauts-de-France sont la région qui compte le plus d&#39;éoliennes en FranceIntertas 23.02.22 : La loi du 21 février 2022 relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l'action publique locale, dite loi «3DS», tend à réaffirmer le rôle des élus locaux dans les projets d’installation d’éoliennes.
La question des éoliennes a été l’un des sujets sensibles de cette commission mixte paritaire. Un compromis a été trouvé pour donner aux communes et EPCI la possibilité d’encadrer leur implantation et de déterminer un zonage dans le cadre des plans locaux d’urbanisme communaux ou intercommunaux. Ce zonage sera décidé après enquête publique, afin d’éviter que le maire se retrouve «au milieu des batailles hystériques avec, d’un côté, la population, de l’autre, des promoteurs qui sillonnent le territoire en quête de terrains pour installer des éoliennes», explique la sénatrice Françoise Gatel. Cliquez-ici pour consulter l'ensemble de la loi dite «3DS»
 
Intertas 22.02.22 : L’opérateur fibre Kosc Telecom disparait sous la marque Covage. Repris successivement par le Groupe Altitude en 2020 et 2021,  Kosc Télécom et les réseaux de Covage forment désormais un pôle d’activité unifié.
Porté par la marque « Covage », celui-ci commercialisera des offres de gros sur le marché de la fibre aux entreprises », expose le groupe normand Altitude Infra dans un communiqué. Historiquement, Kosc – expert neutre du FTTH Pro (fibre mutualisée) – a été lancé pour maintenir de la concurrence au sein du marché des télécoms d’entreprise. En acquérant Kosc en juillet 2020, le groupe Altitude, spécialisé dans les réseaux d’initiative publique (RIP), s’est donné les moyens de développer une activité dans les zones moyennement denses et très denses. En se saisissant de Covage en octobre 2021, il a mis la main sur 26 réseaux fibre publics et privés, dont 18 dédiés aux entreprises et 8 réseaux mixtes. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 21.02.22 : TDF et la Banque des Territoires franchissent une nouvelle étape dans leur partenariat avec l’entrée de la Banque des Territoires au capital de TDF Fibre, société jusqu’alors détenue à 100 % par TDF. En parallèle, un financement bancaire de 735 millions d’euros a été levé auprès de grands établissements bancaires français.
 
La Banque des Territoires devient ainsi actionnaire de la société TDF Fibre qui détient 100 % du capital des sociétés de projet Val d’Oise Fibre, Yvelines Fibre, Val de Loire Fibre et Anjou Fibre. Ces quatre sociétés de projet du groupe TDF déploient, exploitent et commercialisent les réseaux de fibre optique dans les zones peu denses des départements du Val d’Oise, des Yvelines, de Loir-et-Cher, de l’Indre-et-Loire et de Maine-et-Loire. TDF et la Banque des Territoires étaient déjà co-actionnaires depuis 2018 de trois sociétés de projet - Val d’Oise Fibre, Val de Loire Fibre et Anjou Fibre - respectivement à hauteur de 70 % et 30 %. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Voies Navigables de France | Au fil du RhinIntertas 17.02.22 : Investissements record pour le fluvial : Voies navigables de France (VNF) investira près de 345 millions d’euros en 2022.
Après avoir investi près de 320 millions d’euros en 2021 pour entretenir, moderniser et développer ses infrastructures (dont 100 millions au titre du plan de relance), Voies navigables de France (VNF) va consacrer cette année une enveloppe de près de 345 millions d’euros à l’amélioration de la qualité du service proposée par l’établissement dans l’exercice de ses 3 missions : soutenir le développement du transport fluvial, concourir à l’aménagement et l’attractivité du territoire avec le tourisme fluvial et agir en faveur de la gestion de l’eau et de la biodiversité.
Cet investissement sans précédent est rendu possible grâce à l’augmentation de la dotation consacrée au fluvial dans le budget de l’État* et aux co-financements des projets fluviaux par les collectivités territoriales ou encore l’Union Européenne. Cliquez-ici pour lire la suite.
 
Intertas 17.02.22 : L’entrée en application du nouveau Schéma régional de raccordement au réseau des énergies renouvelables Auvergne Rhône-Alpes est une étape importante pour poursuivre le développement des énergies renouvelables de cette région et ainsi atteindre les objectifs nationaux de la programmation pluriannuelle de l’énergie.
Après deux ans d’études et de concertation, le nouveau S3REnR est entré en application le 15 février 2022. Le réseau de transport d’électricité français, exploité par RTE, doit s’adapter pour répondre aux enjeux de la transition énergétique : décarbonation de l’industrie et des transports, renforcement et nouvelle localisation des productions d’électricité, etc. En particulier, RTE doit offrir une solution de raccordement au réseau de transport d’électricité à tout producteur qui en fait la demande (champ éolien, parc photovoltaïque, etc), afin que l’électricité produite par les futures installations puisse transiter vers les lieux de consommation. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 11.02.22 : Une journée d'intégration bien remplie pour 9 nouveaux collaborateurs qui rejoignent le Groupe TAPIR, numéro un de la location d'aspiratrices-excavatrices avec opérateur en France.
Sensibilisés à l'ensemble de nos métiers et accompagnés dans leurs missions, ces nouveaux collaborateurs, opérateurs sur aspiratrice excavatrice et assistante de gestion, sont prêts à relever les nombreux défis qui les attendent. Par ailleurs, le Groupe TAPIR est ravi d'accueillir pour la première fois une femme au poste d'opératrice sur aspiratrice-excavatrice : un métier qui se conjugue de plus en plus au féminin !
Bien que la conduite d'aspiratrice ne demande pas d’habilitations particulières, le Groupe TAPIR veille à la sécurité de tous en suivant une politique de sécurité interne. Nous impliquons nos opérateurs en les formants et en les sensibilisants aux risques potentiels sur leurs chantiers. Ils ont aussi plusieurs habilitations pour intervenir sur les sites sensibles français (centrales nucléaires, sites industriels…). Ils veillent également à la prévention de l’utilisation de l’aspiratrice avec la mise en place de méthodologies de travail sécuritaire.
 
https://img.generation-nt.com/cable-cuivre_0280000001664223.jpgIntertas 11.02.22 : Par courrier du 31 janvier 2022, Orange a transmis à l’Arcep son plan de fermeture de son réseau de boucle locale cuivre afin que celui-ci puisse faire l’objet d’une consultation publique, comme le prévoit le cadre de régulation posé par l’Arcep en décembre 2020. Les acteurs sont appelés à faire part de leurs remarques et appréciations jusqu’au 4 avril 2022.
La fibre optique (FttH), en passe de devenir l’infrastructure fixe de référence, a vocation à se substituer au réseau historique en cuivre d’ici 2030. Au troisième trimestre 2021, les réseaux FttH couvraient 67% des locaux et environ 60% des locaux bénéficiaient de la présence des quatre opérateurs commerciaux.
Pour des raisons de performances techniques et d’obsolescence, mais aussi pour des raisons d’efficacité, de coûts et d’empreinte environnementale, il n’est pas pertinent, à terme, de conserver et d’entretenir deux infrastructures capillaires complètes en parallèle (le réseau cuivre historique et les nouveaux réseaux FttH). Ce processus est déjà engagé dans plusieurs pays européens, tel qu’en Norvège, en Suède ou en Espagne. Cliquez-ici pour lire la suite
 
Intertas 09.02.22 : GrDF qui compte 30 méthaniseurs en service sur la région Auvergne Rhône-Alpes, a livré, le 8 février, les résultats d’une étude, menée auprès de 2000 habitants de cette région, sur le gaz vert et sur la perception qu’ont les usagers.
37% des habitants de cette région, utilise déjà le gaz local, (issu d’une technologie basée sur la dégradation - par des micro-organismes - de déchets organiques). pour se chauffer. 61 % des habitants ont déjà entendu parler du biométhane et ils sont 33 % à savoir que le biométhane circule déjà dans le réseau gaz exploité par GRDF et 30 % qu’il est possible d’en consommer sans changer ses équipements gaz. 77 % des habitants interrogés ont une image positive du gaz vert et 69 %  sont prêts à le l'utiliser  dès à présent. Enfin, ils sont 68 % à penser que le gaz vert est une énergie d’avenir. Ces résultats montrent qu’il existe « de vraies attentes des consommateurs en matière de transition énergétique.
 
Intertas 09.02.22 : Présidé par Thierry LIROLA, la première réunion plénière de l'année 2022 de l'Observatoire régional DT-DICT Rhône-Alpes s'est tenue dans les locaux de RTE.
L'Observatoire régional Rhône-Alpes est l'un des plus anciens de France. Il a été créé en mars 2002 par la signature d'une convention pour la promotion et l'application de la charte nationale de bon comportement DR-DICT, entre le Préfet de région Rhône-Alpes, EDF-GDF Services (devenu Enedis et GRDF), France Telecom (devenu Orange), RTE, la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, le SERCE - Les entreprises de la transition énergétique et numérique et Les Canalisateurs Sud-Est. Les membres fondateurs ont depuis été rejoints, notamment depuis 2012 et l'entrée en vigueur de la réforme de la réglementation anti-endommagement des réseaux DT DICT, par d'autres acteurs de l'écosystème des travaux publics et des réseaux. Dans les Observatoires régionaux, les partenaires s’engagent à élaborer et conduire conjointement toute action (formation, communication, sensibilisation, …) visant à réduire le nombre des dommages aux réseaux enterrés et aériens et les risques encourus par les personnels et les riverains. ... Il existe 20 Observatoires en France métropolitaine pour 13 régions administratives.
 
Intertas 08.02.22 : L’aide de l’Etat aux particuliers ne disposant pas d’une connexion Internet suffisante, notamment en zones rurales, va passer de 150 à 300 euros, voire 600 euros, selon des critères de ressources.
Le dispositif « cohésion numérique des territoires », lancé en 2018, permettait aux ménages et aux entreprises non couverts par les réseaux filaires de passer au haut débit sans fil, grâce à une aide sur le coût d’équipement, d’installation ou de mise en service allant jusqu’à 150 euros. Le constat est que ce montant n’est pas suffisant pour permettre aux personnes de s’équiper. On a donc décidé de passer à 300 euros, voire 600 euros », selon des critères de ressources, a affirmé Jean Castex, au terme d’une visite sur un chantier de déploiement de la fibre, à Moulin-Neuf, au nord-est de Foix.
 
Intertas 05.02.22 : De la smart city aux territoires connectés & durables ! Ou comment les technologies vont transformer nos territoires, dans le respect de l’environnement…
En octobre 2021, un panel d’experts dont KPMG remettait un rapport au Ministère de l’Economie, sur l’état des lieux de la smart city en France. Aujourd’hui, Radio KPMG lance une série de chroniques, intitulée « Les Territoires intelligents » afin de partager les constats et recommandations de ce rapport, mais aussi d’apporter encore plus de réponses. Au cours de ces chroniques seront conviés des collectivités, des consultants, et des industriels.
Au programme de cette première chronique : L’édito d’Erwan Keryer, associé KPMG L’interview de Patrick Chaize, sénateur de l’Ain, menée par Alexandre Durand, délégué général adjoint d’Infranum.
 
Intertas 05.02.22 : Pour éviter le gaspillage de gaz,  l’unité de méthanisation Méthamaine à Meslay-du-Maine (Mayenne), va expérimenter en mars 2022,  un projet permettant le stockage d’excédent et favorisant l’injection de gaz verts.
Mardi 25 janvier 2022, sur le site de l’unité de méthanisation Méthamaine, GrDF et Territoire d’énergie Mayenne ont présenté le projet Flores (Flexibilité opérationnelle sur les réseaux de distribution), devant plusieurs élus du département, .
Un projet en complémentarité des solutions de rebours et maillage s’inscrivant dans un objectif, de la part de GrDF et Territoire d’énergie Mayenne, d’autonomie en matière d’énergie sur le territoire. Aujourd’hui, on va vers quasiment une autonomie complète, beaucoup plus vite qu’à l’échelle nationale, indique le directeur général adjoint de GrDF. Pour cela, le réseau de déploiement des réseaux se fait actuellement sur le département comme, dans le Sud-Mayenne, à Craon, par exemple. L’ambition est de créer  201 km de réseau de gaz sur la totalité du département et un investissement public de près de 15 millions d’euros pour obtenir une autonomie gazière.
Le programme FLORES doit permettre de développer et tester des solutions de stockage intelligent pour traiter des contraintes ponctuelles et/ou particulières (congestions estivales par exemple) et favoriser l’injection de gaz verts. Cette solution est complémentaire aux solutions de maillage et rebours. Le programme ambitionne d’accueillir également d’autres possibilités que le stockage pour flexibiliser le réseau (gaz porté, synergie gaz / électricité, etc.).
Deux projets de démonstrateurs de stockages intelligents ont été lancés au sein de ce programme FLORES :
FLORES 1 : un projet d’expérimentation d’un stockage sous forme de gaz liquéfié à proximité du réseau. Il permettrait de stocker jusqu’à 60 000 Nm3 de biométhane.
FLORES 2 : un projet d’expérimentation d’un stockage temporaire comprimé asservi à la consommation d’un industriel (fromagerie en Mayenne). Il permettrait de stocker jusqu’à 15 000 Nm3 et pourrait être déployé sur le réseau, potentiellement en synergie avec un consommateur industriel ou une station GNV (Gaz Naturel Véhicule) utilisatrice de gaz comprimé.
 
Intertas 04.02.22 : (Communiqué) En ce début d’année, Manche Fibre by Altitude Infra dresse un bilan de son action sur le département de la Manche, dont l’objectif est de couvrir l’ensemble du territoire en fibre optique à horizon 2026.
En cette fin janvier, 50 000 foyers, entreprises et sites publics sont désormais raccordés à la fibre optique. Depuis 2014, le Très Haut Débit se déploie dans le département de la Manche grâce au financement public du Syndicat Mixte Manche Numérique, de la Région Normandie, du Conseil Départemental, des 8 intercommunalités de la Manche et au soutien de l’Etat, de l’Union Européenne et de la Banque des Territoir. Cliquez-ici pour lire la suite du communiqué
 
Intertas 02.02.22 : Le projet de liaison TGV Roissy-Picardie, qui vise à relier l'aéroport Charles-de-Gaulle et la ligne ferroviaire Paris-Amiens, a été déclaré d'utilité publique selon un arrêté daté du 21 janvier.
Cette arrêté, sur le projet de liaison de 6,5 km  estimé à quelque 360 millions d’euros (2017) entre la gare TGV de l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle et la ligne existante Paris-Amiens, ouvre la voie aux expropriations et aux futurs travaux. L’objectif est de raccorder Amiens au réseau TGV et de brancher par des TER cadencés le sud de la Picardie à l’aéroport de Roissy, premier aéroport européen dont l’activité génère 90.000 emplois. Mais le projet suscite depuis de nombreuses années la colère de certains riverains, qui craignent des nuisances sonores et demandent que les investissements se concentrent sur l’amélioration des transports quotidiens existants. Les élus du conseil départemental du Val-d’Oise ont également émis un avis défavorable à cette ligne, plaidant pour des aménagements compensatoires.

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