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GENERALES

NGE franchit une nouvelle étape

16/05/2025

NGE franchit une nouvelle étape

Face à l’urgence climatique, le groupe NGE franchit une nouvelle étape dans son engagement environnemental avec la création de NGE Transitions, sa première société à mission. Sa raison d’être : « Construire des aménagements cohérents avec la transition écologique en accélérant la décarbonation des pratiques des travaux publics ».

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Objectif affiché : 275 kg de CO₂e pour 1 000 € de chiffre d’affaires.

 

Un indicateur ambitieux, soutenu par une approche globale qui agit à toutes les étapes du projet – de la conception à la réalisation – autour de quatre axes structurants :

  • Réalisation de chantiers exemplaires, à impact environnemental et sociétal positif,

  • Déploiement d’une méthodologie de comptabilité environnementale innovante, basée sur 12 critères d’analyse,

  • Transmission de nouveaux savoir-faire aux équipes et partenaires,

  • Expérimentation de solutions bas carbone à chaque étape.

Véritable laboratoire d’innovation durable, NGE Transitions est pilotée par un comité de mission indépendant.

 

Premier chantier emblématique : à Rillieux-la-Pape, aux abords de la Halle du Réemploi pour le groupe GEIM, les résultats sont concrets :

  • Émissions de CO₂ divisées par 3,

  • 72 % de matériaux réemployés,

  • Utilisation de matériels électriques, biocarburants, béton et enrobés bas carbone,

  • Bilan carbone neutre.

 

Cette réalisation a été rendue possible grâce à des partenaires engagés comme Kiloutou, Cemex, Mecalac et Dynapac.

 

« Avec NGE Transitions, nous voulons construire autrement, au service des territoires et de la transition écologique », déclare Jean Bernadet, président de NGE.

 

Une nouvelle ère s’ouvre pour les travaux publics chez NGE : plus sobres, plus responsables, et résolument tournés vers l’avenir.

 

 

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Cap sur demain avec Gioria

16/05/2025

Cap sur demain avec Gioria

Après deux années à la tête de la direction du SERCE, qui représente les entreprises de la transition énergétique et numérique, Yannick Saint Roch a quitté ses fonctions le 28 avril 2025. Michel Gioria a été désigné pour lui succéder.

 

Le SERCE évolue dans un secteur en pleine transformation. La montée en puissance des enjeux liés à la décarbonation soutient la croissance de l’activité des entreprises membres, quels que soient leurs domaines d’intervention : optimisation énergétique du parc immobilier et des procédés industriels, développement des réseaux et infrastructures électriques, renouvellement du parc nucléaire, essor des énergies renouvelables et de l’autoconsommation, ou encore mobilité électrique.

 

Dans ce contexte, et afin de renforcer son action tant sur le terrain que dans le débat public, le SERCE a engagé une réorganisation de ses priorités autour de deux axes majeurs :

  • Maintenir un dialogue structuré avec les grands donneurs d’ordres et les territoires, en particulier sur les enjeux liés aux réseaux et infrastructures ;

  • Renforcer la visibilité de la profession dans les secteurs tertiaire et industriel, notamment autour des sujets d’électrification, de digitalisation et d’efficacité énergétique.

 

Dans cette dynamique, plusieurs commissions thématiques ont été créées : « Smart grids et production EnR », « Mobilités durables et IRVE », « Data, cybersécurité et IA ». L’équipe permanente du SERCE a également été renforcée pour mieux accompagner les adhérents et soutenir les transformations à l’œuvre dans la filière.

                                                                                                                                                                            Sponsor d'Intertas.info

C’est dans ce cadre que Michel Gioria prend aujourd’hui la direction du SERCE, avec pour mission de porter les ambitions du secteur et de contribuer activement à la réussite de la transition énergétique.

 

Déclaration de Michel Gioria, Directeur général du SERCE :

« C’est avec une grande détermination que je prends mes fonctions de Directeur général du SERCE. Dans un contexte de transition énergétique et numérique accélérée, les entreprises du SERCE jouent un rôle essentiel. Leur contribution à l’électrification des usages, à la modernisation des réseaux et infrastructures, ainsi qu’au développement de solutions d’efficacité énergétique est au cœur des défis que nous devons relever collectivement.
J’ai pleinement conscience que ces défis ne pourront être surmontés sans une meilleure reconnaissance et attractivité des métiers, ni sans un partenariat renforcé entre les acteurs. Je mettrai toute mon expérience au service de nos adhérents, au bénéfice d’une économie décarbonée, compétitive et ancrée dans les territoires, au service de la réindustrialisation et de la souveraineté énergétique. »

 

Michel Gioria est titulaire d’un master en économie de l’environnement, de l’énergie et des ressources naturelles de l’Université de Toulouse. Il débute sa carrière en 2002 comme économiste à l’Agence Poitou-Charentes Énergie Déchets Eau (APCEDE), devenue aujourd’hui l’Agence Régionale d’Évaluation Environnement et Climat (AREC) Nouvelle-Aquitaine.

Il rejoint l’ADEME en 2006, d’abord en tant qu’économiste, puis devient chef de service adjoint au sein du service “Recherche et technologies avancées” à partir de 2010. En 2012, il est nommé directeur régional adjoint de l’ADEME Provence-Alpes-Côte d’Azur, avant de prendre la tête du service “Recherche et technologies avancées” en 2015.

De 2017 à 2021, il occupe le poste de directeur régional Île-de-France de l’ADEME.

En 2021, il est nommé délégué général de France Énergie Éolienne, devenue France Renouvelables en septembre 2023.

Entre janvier 2022 et mars 2025, il préside la commission “Énergies renouvelables et territoires” de l’Union Française de l’Électricité (UFE).

 

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Une impasse financière

16/05/2025

Une impasse financière

Alors que le Plan France Très Haut Débit affiche un taux de couverture supérieur à 90 %, les réseaux d’initiative publique (RIP), qui ont permis de connecter les zones rurales, se retrouvent dans une impasse financière. Déficits d’exploitation, recettes en berne, contrats déséquilibrés : plusieurs territoires tirent la sonnette d’alarme.

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Derrière le bilan flatteur du Plan France Très Haut Débit – plus de 90 % du territoire désormais couvert en fibre optique – se cache une réalité moins reluisante : celle des RIP, ces réseaux financés par l’État et les collectivités pour desservir les zones jugées non rentables par les opérateurs privés. Après la phase de déploiement, souvent saluée pour sa rapidité, ces infrastructures entrent aujourd’hui dans une phase critique : l’exploitation, où les équilibres économiques s’avèrent de plus en plus précaires.

 

Dans certains départements, les alertes se multiplient. En Charente, le président du syndicat mixte Charente Numérique, Thibaut Simonin, ne cache plus son inquiétude : « Il y a deux semaines, je suis passé à ça de la cessation de paiement. Je ne suis même pas sûr de pouvoir monter le budget de l’année prochaine. » Le réseau a coûté 195 millions d’euros à construire, soit 20 millions de plus que prévu, un dépassement budgétaire que l’État refuse de compenser. Conséquence : les collectivités locales doivent souscrire de nouveaux emprunts pour rembourser les anciens, mettant en péril la soutenabilité du modèle.

 

Le phénomène n’est pas isolé. Selon une enquête de la Cour des comptes, neuf RIP sur dix ont connu un dépassement de leurs coûts initiaux. Et dans la plupart des cas, les revenus générés restent en deçà des projections. La transition des abonnés vers la fibre, plus lente qu’espérée, explique en partie ce retard à l’allumage. Mais d’autres éléments structurels viennent fragiliser ces réseaux.

 

Parmi eux, les contrats passés avec les opérateurs commerciaux. Dans certains territoires, ces derniers bénéficient de droits d’usage sur 20 ans, renouvelables pour un euro symbolique. Une clause aujourd’hui remise en question, notamment en Ariège. À cela s’ajoutent des loyers d’usage très faibles – environ 5 euros par abonné – qui ne permettent pas aux structures porteuses d’atteindre l’équilibre.

 

« Nous avons fait des simulations à moyen terme, et les comptes n’y sont pas », résume Walter Martin, président du RIP de l’Ain. Une phrase qui résonne comme un constat partagé par de nombreux élus locaux, confrontés à une impasse budgétaire.

 

Face à cette situation, la présidente de l’Arcep, Laure de La Raudière, a inscrit la question de la viabilité des RIP dans son plan stratégique 2030. Une révision des tarifs est attendue d’ici fin 2025. Mais elle prévient : « Le régulateur ne peut pas résoudre seul l’ensemble de ces problématiques », rappelant la diversité des situations locales.

 

De leur côté, les opérateurs télécoms, par la voix de leur fédération, se disent prêts à engager le dialogue. Mais pour de nombreux territoires, l’urgence est là. Comme l’a résumé avec gravité le sénateur Patrick Chaize, en ouverture de la conférence de printemps de l’Avicca : « Le prochain pas, on saute. »

 

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Nouvelle étape politique

15/05/2025

Nouvelle étape politique

Le chantier de l’autoroute A69 entre Castres et Toulouse, suspendu depuis plusieurs semaines et au cœur d’une intense polémique environnementale, vient de franchir une nouvelle étape politique. Jeudi 15 mai, le Sénat a adopté une proposition de loi visant à relancer les travaux. Reste à savoir si cette initiative suffira à surmonter les obstacles juridiques et l'opposition persistante.

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Portée par des parlementaires tarnais, la proposition de loi a été adoptée par 252 voix contre 33. Elle entend donner une assise législative au projet d’autoroute, en reconnaissant qu’il répond à une "raison impérative d’intérêt public majeur" (RIIPM). Cette qualification est essentielle pour justifier, devant la justice, les atteintes portées à l’environnement par le chantier.

 

Le texte a été examiné dans un climat tendu. Dès l’ouverture des débats, le sénateur écologiste Ronan Dantec a tenté d’en bloquer l’examen avec une motion d’irrecevabilité, arguant d’une tentative de contournement des procédures judiciaires. En face, le rapporteur de la commission de l’aménagement du territoire, Franck Dhersin, a défendu la légitimité de la démarche : « C’est notre rôle de légiférer ! » La motion a été rejetée par 244 voix contre 32.

 

Les échanges ont révélé des clivages profonds. « Tout cela est le résultat de la faillite des élus locaux, qui n’ont pas su obtenir de l’État le financement d’une route nationale », a lancé Ronan Dantec. Des propos qui ont fait réagir vivement Philippe Folliot, sénateur du Tarn : « Vous méprisez ceux qui se battent pour ce territoire. C’est inacceptable ! »

 

Malgré ce vote favorable au Sénat, le texte n’a pas encore force de loi. Il doit encore être examiné à l’Assemblée nationale, où il est inscrit à l’ordre du jour du 2 juin. En parallèle, les recours judiciaires se poursuivent. La cour administrative d’appel de Toulouse tiendra audience le 21 mai pour examiner une demande de sursis à exécution du jugement ayant suspendu les travaux. Ce recours pourrait à nouveau freiner, voire bloquer, la relance du chantier.

 

De leur côté, les sénateurs écologistes ont annoncé leur intention de saisir le Conseil constitutionnel. L’issue de ce bras de fer juridique et politique reste donc incertaine, alors que le projet d’A69 continue de cristalliser les tensions entre développement des infrastructures et protection de l’environnement.

 

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Perspectives 2025 confirmées

15/05/2025

Perspectives 2025 confirmées

Le Conseil d’administration de Bouygues s’est réuni le 13 mai 2025, sous la présidence de Martin Bouygues, et a arrêté les comptes du premier trimestre 2025. Les perspectives 2025 du Groupe sont confirmées, malgré un environnement macro-économique et géopolitique très incertain. 

 

  • Chiffre d’affaires du Groupe : 12,6 milliards d’euros, en progression de 2,2 % sur un an.

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  • Résultat opérationnel courant des activités (ROCA) : 69 millions d’euros, en hausse de 43 millions d’euros par rapport au premier trimestre 2024.

 

  • Equans : amélioration notable du ROCA et de la marge des activités, qui atteignent respectivement 177 millions d’euros et 3,8 %, témoignant de la bonne exécution du plan stratégique Perform.

 

  • Activités de construction : carnet de commandes à un nouveau niveau record de 34,2 milliards d’euros à fin mars 2025, assurant une bonne visibilité pour les mois à venir.

 

  • Résultat net part du Groupe (hors contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises en France) : -123 millions d’euros, en amélioration de 23 millions d’euros sur un an.

 

  • Impact estimé des nouvelles mesures fiscales (loi de finances et loi de financement de la sécurité sociale 2025) : confirmé à environ 100 millions d’euros sur l’année, dont environ 40 millions d’euros comptabilisés au premier trimestre.

 

  • Résultat net part du Groupe : -156 millions d’euros. Ce résultat n’est donc pas comparable à celui du premier trimestre 2024, en raison des effets exceptionnels.

 

  • Structure financière solide :

    • Liquidité élevée : 14,8 milliards d’euros

    • Endettement financier net : 7,1 milliards d’euros, en forte amélioration sur un an, malgré des acquisitions nettes de près de 1,2 milliard d’euros.

👉 Cliquez ici pour lire la suite du communiqué

 

 

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Un fléau pour le BTP

15/05/2025

 Un fléau pour le BTP

Le Baromètre Coyote Business Services 2025 dresse un constat sans appel : les vols dans le secteur du BTP poursuivent leur inquiétante progression. Véritable fléau pour les entreprises, cette criminalité pèse lourdement sur l’activité des professionnels du Bâtiment, de la Construction et des Travaux Publics, déjà fragilisés par un contexte économique incertain.

 

Publié par Coyote Business Secure, ce baromètre s’appuie sur les données collectées par son service de récupération Coyote Secure, enrichies cette année par une enquête menée avec l’institut YouGov. Réalisée en février 2025 auprès de 411 professionnels en charge des achats ou de la gestion de parc matériel, cette étude confirme l’ampleur croissante du phénomène.

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Alors qu’en 2022, 50 % des sondés déclaraient avoir été directement ou indirectement victimes de vols, ils sont aujourd’hui 68 %, soit une hausse de 40 % en trois ans. Une tendance préoccupante qui témoigne de la banalisation du risque sur les chantiers comme dans les parcs de matériel.

 

Et les cas ne sont pas isolés : 45 % des répondants déclarent avoir subi au moins trois vols, et un sur cinq en a subi plus de six. Le vol devient ainsi une réalité quasi quotidienne pour de nombreuses entreprises.

 

Le Baromètre révèle également un risque de vol cinq fois plus élevé pour les engins et matériels de chantier que pour les véhicules particuliers. Les petites et moyennes entreprises, disposant de flottes de plus de trois engins ou de vingt véhicules utilitaires, sont particulièrement vulnérables.

 

Au-delà du préjudice matériel, les conséquences d’un vol sont nombreuses et durables :

  • Démarches administratives chronophages

  • Retards sur les chantiers

  • Stress et insécurité pour les équipes

  • Coûts liés à la gestion de crise

  • Perturbation globale de l’activité

 

Face à cette réalité, la sécurisation des équipements et l’anticipation des risques deviennent des priorités absolues pour les entreprises du BTP. Coyote Business Secure, à travers ce baromètre, alerte et propose des solutions concrètes pour limiter les impacts de ce phénomène en constante évolution.

 

 

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Nouveau point, même expertise

14/05/2025

Nouveau point, même expertise

Détect Réseaux poursuit son expansion à l’échelle nationale avec l’ouverture d’une nouvelle agence à Caen, marquant une étape supplémentaire dans sa stratégie de croissance et de maillage territorial. Cette nouvelle implantation dans le département du Calvadospermet au réseau de renforcer son ancrage local et d’apporter une réponse de proximité aux besoins en détection et en géoréférencement des réseaux enterrés.

 

L’arrivée d’un nouveau franchisé, Jérémy Javoy, concrétise cette dynamique. Fort d’une solide expérience dans le domaine, il rejoint le réseau avec un engagement et un professionnalisme qui s’inscrivent pleinement dans les valeurs portées par Détect Réseaux : qualité, sécurité et exigence technique. Il pourra désormais s’appuyer sur la force d’un groupe structuré et sur un réseau d’agences fédérées autour du partage de compétences et d’expériences.

 

Cette ouverture illustre la volonté de Détect Réseaux d’accompagner ses clients au plus près des territoires, en leur garantissant la même qualité de service sur l’ensemble du territoire national. Grâce à cette nouvelle antenne, les acteurs locaux — entreprises de travauxpublics, collectivités, maîtres d’œuvre, exploitants et aménageurs — pourront bénéficier de solutions fiables etréactives pour localiser avecprécision les réseaux souterrains, tout en respectant les normes réglementaires en vigueur.

 

A propos de Détect Réseaux

Fondé en 2009 par Philippe Aymard, Détect Réseaux est un groupe national spécialisé dans la détection non destructive des réseaux enterrés. L’entreprise intervient auprès d’une large diversité de clients : BTP, construction, immobilier, collectivités locales et grande distribution. Elle mobilise des technologies avancées telles que le géoradar et l’induction électromagnétique pour garantir la précision de ses relevés.

 

Grâce à un réseau d’agences franchisées couvrant l’ensemble du territoire français, Détect Réseaux propose une offre experte et réactive, adaptée aux enjeux actuels de sécurité et de fiabilité des travaux à proximité des réseaux souterrains.

 

Avec cette nouvelle agence à Caen, Détect Réseaux confirme son ambition : être le partenaire de référence en détection de réseaux, partout en France.

 

 

 

L’engagement collectif

14/05/2025

L’engagement collectif

A l’occasion de ses 120 ans, l’ASTEE (Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement) convie l’ensemble des acteurs du secteur à son 104e congrès annuel, qui se tiendra à Toulouse du 2 au 5 juin 2025. Ce rendez-vous incontournable rassemblera plus de 650 participants – élus, décideurs, scientifiques, chercheurs, ingénieurs et techniciens – autour d’un objectif commun : accélérer la transition écologique dans les villes et les territoires.

 

Lieu d’échange et de réflexion collective, le congrès s’inscrit dans un contexte d’urgence climatique, souligné par les dernières projections du GIEC et le franchissement des limites planétaires. Il entend mettre en lumière le rôle central des territoires dans cette transition indispensable.

 

Toulouse Métropole, territoire d’accueil de cette édition, illustre pleinement cette dynamique. Confrontée à des défis environnementaux majeurs, la métropole met en œuvre une politique volontariste dans les domaines de l’eau, de l’assainissement et des déchets pour s’adapter aux effets du changement climatique. Capitale européenne du Spatial et de l’Aéronautique, Toulouse offre également un terreau fertile à l’émergence de partenariats scientifiques et techniques durables entre les secteurs de l’environnement et des hautes technologies.

 

Un congrès placé sous le signe de l’innovation, du dialogue interdisciplinaire et de l’engagement collectif au service de la transition écologique.

 

Cliquez-ici pour en savoir plus : Programme - Dossier partenariat - Dossier intervenant - Dossier de présentation - Brochure - Appel à communications

 

L’Astee est l’association des professionnels de l’eau et des déchets. Créée en 1905, elle est reconnue d’utilité publique depuis 1918.

À la fois historique et résolument tournée vers l’avenir, l’Astee est un acteur technique et scientifique de référence dans les domaines de l’eau et des déchets en France. De dimension nationale, mais également ancrée dans les territoires grâce à ses 12 sections locales, l’association regroupe plus de 4 000 membres — personnes morales et physiques — issus des secteurs de l’eau (eau potable, assainissement, gestion écologique des ressources en eau et des milieux aquatiques), des déchets (ordures ménagères résiduelles) et de la propreté urbaine.

 

 

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Confirmation des perspectives

13/05/2025

Confirmation des perspectives

Communiqué - Le Groupe Eiffage démarre l’année 2025 sur une dynamique positive avec un chiffre d’affaires de plus de 5,6 milliards d’euros au premier trimestre, en hausse de +8,3 % par rapport à la même période en 2024.

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L’activité Travaux enregistre une croissance solide de +9,4 %, atteignant 4,7 milliards d’euros. Le carnet de commandes s’élève à 29,7 milliards d’euros, en hausse de +7 % sur un an et de +3 % depuis décembre 2024, représentant 17,8 mois d’activité.

 

  • Construction : Chiffre d’affaires de 912 M€, en recul de -3,9 % en France (685 M€) et de -1,3 % à l’international (227 M€), en raison d’une baisse marquée de l’activité immobilière (-34,2 %, à 96 M€). En revanche, la commercialisation de logements progresse fortement avec 509 réservations, contre 278 un an plus tôt.

 

  • Infrastructures : Le chiffre d’affaires bondit de +12,0 % à 1 964 M€. En France, l’activité reste en légère hausse (+0,8 %), tirée par Eiffage Route (+7,5 %) et Eiffage Génie Civil (+4,2 %), malgré une chute chez Eiffage Métal (-33,3 %). En Europe, la croissance atteint +18,7 %, notamment grâce aux projets en Allemagne, au Royaume-Uni (LGV HS2) et en Norvège, avec une contribution notable de l’éolien offshore. Hors d’Europe, l’activité grimpe à 172 M€ (+70 %). Le carnet de commandes s’élève à 15,5 milliards d’euros, en hausse de 2 %.

 

  • Énergie Systèmes : Forte progression à 1 836 M€ (+13,9 %), avec une activité en hausse de +1,5 % en France et de +30,4 % en Europe, principalement grâce à la croissance externe, notamment en Allemagne (Eqos). Hors d’Europe, le chiffre d’affaires atteint 67 M€. Le carnet de commandes grimpe à 8,5 milliards d’euros (+13 % sur un an).

 

La branche Concessions progresse de +3,0 %, à 906 M€. Les réseaux APRR et AREA, hors construction, affichent une hausse de chiffre d’affaires de +4,0 %, portée par un trafic en progression de +1,4 %. Les autres concessions autoroutières atteignent 78 M€, tandis que les aéroports de Lille et Toulouse enregistrent un chiffre d’affaires de 45 M€ (+3,4 %). L’activité PPP et équivalents ressort à 55 M€, en léger repli.

 

Cliquez-ici pour consulter le communiqué

 

 

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Bretagne Très Haut Débit en crise

13/05/2025

Bretagne Très Haut Débit en crise

Alors que la phase 1 du projet « Bretagne Très Haut Débit » touche à sa fin, le syndicat mixte Mégalis Bretagne, maître d’ouvrage du programme, se retrouve au cœur d’un bras de fer judiciaire. Le groupement d’entreprises chargé du déploiement de la fibre dans les Côtes-d’Armor et en Ille-et-Vilaine a déposé plus d’une centaine de recours devant le tribunal administratif de Rennes, réclamant plus de 30 millions d’euros d’indemnisation.

 

Le projet Bretagne Très Haut Débit, piloté par Mégalis Bretagne, entre ainsi dans une phase délicate. Alors que la première étape du chantier arrive à son terme, un contentieux majeur oppose le maître d’ouvrage aux entreprises intervenues sur le terrain.

 

Sogetrel, Circet, Cegelec Ouest, Imoptel, Bage Groupe et Allez ont en effet engagé plus d’une centaine de recours, estimant devoir être indemnisées pour les retards et surcoûts accumulés. Elles réclament plus de 30 millions d’euros pour la tranche concernée, qui représente 80 000 prises réparties sur 70 zones, pour un montant total de 100 millions d’euros.

 

Mégalis conteste fermement ces demandes. « Ces entreprises ont été défaillantes. Elles n’ont pas mobilisé les moyens nécessaires, ni en compétences, ni en organisation », affirme Patrick Malfait, directeur général. Il dénonce notamment un recours excessif à la sous-traitance en cascade, qu’il juge responsable de lourdes dérives. Prévue initialement pour 2018, la livraison complète de cette tranche n’a été achevée qu’en 2024, avec jusqu’à cinq ans de retard dans certaines zones, comme Dinan ou Dinard.

 

Au-delà de l’aspect judiciaire, ce différend pourrait peser lourdement sur les finances du syndicat. « Les collectivités ne paieront pas un centime de plus. Mais si nous devons verser ces 30 millions d’euros, ce sera au détriment des investissements dans la résilience du réseau », avertit Patrick Malfait.

 

Malgré ces difficultés, le plan numérique breton se poursuit. Les phases 2 et 3, qui prévoient un million de prises supplémentaires, sont menées selon un nouveau modèle, avec un pilotage renforcé et un nombre d’intervenants réduit.

 

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Mise à jour de la stratégie

12/05/2025

Mise à jour de la stratégie

Le 16 avril 2025, le gouvernement a dévoilé la deuxième version de la stratégie nationale de l’hydrogène décarboné, cinq ans après le lancement de la première. Cette révision marque une étape clé dans le développement de l’hydrogène bas-carbone en France, avec des objectifs ajustés à la réalité technico-économique actuelle.

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Lancée initialement en 2020, cette stratégie visait à renforcer la souveraineté énergétique et industrielle de la France en favorisant le développement de l’hydrogène vert, produit par électrolyse de l’eau, sans utilisation de combustibles fossiles. Cependant, les évolutions récentes de la chaîne de valeur, notamment dans les secteurs industriels et les transports, ont conduit à réviser certaines ambitions.

 

Ainsi, la production d’hydrogène « vert » atteindra un objectif révisé de 4,5 gigawatts (GW) installés d'ici 2030, contre les 6,5 GW prévus initialement. En 2035, l’objectif est réduit à un plafond de 8 GW, contre 10 GW dans la stratégie précédente, en raison d'une maturation technico-économique jugée plus longue que prévu.

 

Cinq ans après le lancement de cette stratégie, l'État a soutenu plus de 150 projets dans le secteur de l’hydrogène, avec un fort soutien via France 2030. Ces projets permettront la création de 8 000 emplois directs d’ici 2030, selon le ministère de l’Économie, en charge de l’Industrie et de l’Énergie.

 

Parmi les actions phares, l’appel à projets « écosystèmes territoriaux », lancé en octobre 2020, a permis de soutenir 46 projets d’écosystèmes, principalement axés sur la mobilité hydrogène, incluant la production, la distribution et les véhicules consommateurs d’hydrogène.

 

Parallèlement, le programme « projets importants d’intérêt européen commun » (PIIEC) soutient le déploiement de six projets majeurs de production d’hydrogène pour des usages industriels (chimie, raffinage, ammoniac), installés dans des zones industrielles clés comme Fos-sur-Mer, Le Havre-Estuaire de la Seine, ou la « Vallée de la Chimie » à Lyon. Ces projets représentent des pôles de consommation majeurs d’hydrogène pour l’avenir de l’industrie française.

 

Avec cette nouvelle stratégie, la France continue de se positionner comme un acteur de premier plan dans la transition énergétique européenne, en mettant l’accent sur l’innovation, la création d'emplois et la décarbonation des industries lourdes.

 

Réalisation de trois écluses

11/05/2025

 Réalisation de trois écluses

La Société du Canal Seine-Nord Europe continue de lancer les grandes consultations en vue de l’attribution des principaux marchés de travaux. Elle a publié courant avril 2025 l’avis d’appel public à la concurrence concernant les travaux principaux et les prestations associées nécessaires à la réalisation des trois écluses de Catigny (Oise), d’Allaines (Somme) et de jonction avec le canal du Nord également à Allaines. 

 

Cette étape permet aux opérateurs économiques de se porter candidats d’ici le 14 mai 2025 sur la base du dossier de consultation des entreprises spécifique à la phase « candidatures » joint à l’avis de marché. La notification de ce marché est prévue pour l’automne 2026, et le début des travaux pour le second semestre 2027.

 

3 écluses à grand gabarit

L’écluse de Catigny est la troisième écluse du Canal Seine-Nord Europe située dans l’Oise, après celles de Montmacq et de Noyon. Avec une hauteur de chute d’eau de 14 mètres, l’écluse de Catigny donne accès au plus long bief du Canal Seine-Nord Europe, 39,2 km jusqu’à l’écluse d’Allaines.

 

L’écluse d’Allaines et l’écluse de jonction avec le canal du Nord sont les deux écluses situées dans la Somme. L’écluse d’Allaines sera ouverte au public et visitable. Avec une hauteur de chute d’eau de 13,10 mètres, elle sera située à 1 km au nord de l’écluse de jonction.

 

L’écluse de jonction quant à elle sera de même gabarit que les écluses actuelles du canal du Nord (sas de 91 x 6 mètres) mais environ deux fois plus haute avec une hauteur de chute d’eau de 11,27 mètres. Elle connectera le canal du Nord au Canal Seine-Nord Europe. Un port de plaisance sera installé de part et d’autre de cette écluse de jonction.

 

Comme pour toutes les écluses du Canal Seine-Nord Europe, le sas des écluses de Catigny et Allaines mesurera 195 mètres de long et 12,5 mètres de large.

 

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