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Une impasse financière

22/05/2025

Une impasse financière

Alors que le Plan France Très Haut Débit affiche un taux de couverture supérieur à 90 %, les réseaux d’initiative publique (RIP), qui ont permis de connecter les zones rurales, se retrouvent dans une impasse financière. Déficits d’exploitation, recettes en berne, contrats déséquilibrés : plusieurs territoires tirent la sonnette d’alarme.

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Derrière le bilan flatteur du Plan France Très Haut Débit – plus de 90 % du territoire désormais couvert en fibre optique – se cache une réalité moins reluisante : celle des RIP, ces réseaux financés par l’État et les collectivités pour desservir les zones jugées non rentables par les opérateurs privés. Après la phase de déploiement, souvent saluée pour sa rapidité, ces infrastructures entrent aujourd’hui dans une phase critique : l’exploitation, où les équilibres économiques s’avèrent de plus en plus précaires.

 

Dans certains départements, les alertes se multiplient. En Charente, le président du syndicat mixte Charente Numérique, Thibaut Simonin, ne cache plus son inquiétude : « Il y a deux semaines, je suis passé à ça de la cessation de paiement. Je ne suis même pas sûr de pouvoir monter le budget de l’année prochaine. » Le réseau a coûté 195 millions d’euros à construire, soit 20 millions de plus que prévu, un dépassement budgétaire que l’État refuse de compenser. Conséquence : les collectivités locales doivent souscrire de nouveaux emprunts pour rembourser les anciens, mettant en péril la soutenabilité du modèle.

 

Le phénomène n’est pas isolé. Selon une enquête de la Cour des comptes, neuf RIP sur dix ont connu un dépassement de leurs coûts initiaux. Et dans la plupart des cas, les revenus générés restent en deçà des projections. La transition des abonnés vers la fibre, plus lente qu’espérée, explique en partie ce retard à l’allumage. Mais d’autres éléments structurels viennent fragiliser ces réseaux.

 

Parmi eux, les contrats passés avec les opérateurs commerciaux. Dans certains territoires, ces derniers bénéficient de droits d’usage sur 20 ans, renouvelables pour un euro symbolique. Une clause aujourd’hui remise en question, notamment en Ariège. À cela s’ajoutent des loyers d’usage très faibles – environ 5 euros par abonné – qui ne permettent pas aux structures porteuses d’atteindre l’équilibre.

 

« Nous avons fait des simulations à moyen terme, et les comptes n’y sont pas », résume Walter Martin, président du RIP de l’Ain. Une phrase qui résonne comme un constat partagé par de nombreux élus locaux, confrontés à une impasse budgétaire.

 

Face à cette situation, la présidente de l’Arcep, Laure de La Raudière, a inscrit la question de la viabilité des RIP dans son plan stratégique 2030. Une révision des tarifs est attendue d’ici fin 2025. Mais elle prévient : « Le régulateur ne peut pas résoudre seul l’ensemble de ces problématiques », rappelant la diversité des situations locales.

 

De leur côté, les opérateurs télécoms, par la voix de leur fédération, se disent prêts à engager le dialogue. Mais pour de nombreux territoires, l’urgence est là. Comme l’a résumé avec gravité le sénateur Patrick Chaize, en ouverture de la conférence de printemps de l’Avicca : « Le prochain pas, on saute. »

 

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Interconnexion pour l’avenir

21/05/2025

Interconnexion pour l’avenir

Dans le cadre de sa politique en faveur du développement durable et de la gestion responsable de l’eau, la Ville de Vittel, en partenariat avec les communes de Contrexéville, Lignéville et Dombrot-le-Sec, a engagé un projet structurant visant à sécuriser l’approvisionnement en eau potable sur son territoire.

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Cet ambitieux projet d’interconnexion des réseaux a pour objectif de garantir une alimentation en eau fiable et durable pour les habitants, tout en préservant les ressources naturelles locales.


Les nappes phréatiques, notamment celle des Grès du Trias Inférieur (GTI), sont soumises à de fortes pressions dues aux usages domestiques, industriels et agricoles. Face à cette situation, les collectivités locales et les acteurs privés se sont engagés à restaurer l'équilibre quantitatif de la nappe, notamment dans le secteur du gîte C, d'ici 2027, conformément au protocole d'engagement signé en 2020. Le projet d'interconnexion s'inscrit pleinement dans cette dynamique de protection de la ressource, de solidarité intercommunale et d'adaptation au changement climatique.

Le programme repose sur plusieurs orientations stratégiques :

  • Mobilisation de nouveaux captages d'eau, dont le forage de Suriauville IV rétrocédé par Nestlé Waters.
  • Optimisation des sources existantes pour assurer un débit suffisant et constant.
  • Renforcement des infrastructures
  • Création d'une interconnexion entre les réseaux d'eau de Vittel et Contrexéville.
  • Modernisation des équipements de captage, de traitement et de distribution.
  • Amélioration du rendement du réseau pour limiter les pertes en eau.
  • Mise en place d'une sectorisation permettant une meilleure détection de fuite et réduisant les délais d'intervention
  • Protection et gestion durable
  • Mise en place de dispositifs de surveillance des nappes.
  • Sensibilisation des usagers à une consommation économe et responsable.


Les travaux, estimés à 3,4 millions d'euros, prévoient (dont 900 000€ pour Dombrot) :

  • La pose de 5 700 mètres de canalisations en fonte entre Contrexéville et Vittel.
  • L'installation d'une station de refoulement de 100 m³/h à Contrexéville.
  • Le raccordement du forage de Suriauville IV à la nouvelle infrastructure.
  • L'intégration des communes de Lignéville et Dombrot-le-Sec au réseau interconnecté.


Le chantier se déroulera en deux phases :

  • Pose des conduites principales et équipements de refoulement.
  • Raccordement du Forage de Suriauville IV et création d'une station de dilution et de pompage à Contrexéville.


Ce projet bénéficie d'un financement collaboratif, avec le soutien du Département des Vosges et de l'Agence de l'Eau Rhin-Meuse, partenaires clés de cette opération d'intérêt général.

 

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Vols de matériels

21/05/2025

Vols de matériels

La Fédération DLR annonce la mise à disposition d’un document d’aide au dépôt de plainte, élaboré en collaboration avec les forces de l’ordre. Ce document a pour objectif d’aider les entreprises à structurer leurs déclarations de vol de manière conforme, afin de renforcer l’efficacité de la lutte contre le vol de matériels – un fléau en constante progression qui affecte durement le secteur.

 

La lutte contre les vols de matériels constitue un enjeu majeur pour la profession. Il est donc essentiel de disposer d’un processus clair et rigoureux pour signaler chaque vol. Le document d’aide élaboré conjointement par la Fédération DLR et le Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) s’inscrit dans cette démarche. Il fournit des instructions précises pour le dépôt de plainte, en veillant à ce que toutes les informations utiles soient réunies et transmises aux autorités compétentes.

 

L’objectif principal est de garantir que chaque plainte soit correctement enregistrée dans la base nationale FOVeS (Fichier des Objets et Véhicules Signalés). Un dépôt de plainte bien renseigné permettra aux forces de l’ordre de croiser les données, de cibler les contrôles et, in fine, de lutter plus efficacement contre la circulation illégale des matériels volés, y compris à l’échelle européenne.

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Un dépôt de plainte structuré et conforme est crucial pour plusieurs raisons :

  • Efficacité dans le traitement des plaintes : un document complet facilite le travail des forces de l’ordre, leur permettant d’intervenir plus rapidement et de manière plus ciblée.

  • Prévention des récidives : une meilleure organisation des données au sein du registre national permet d’identifier des tendances et de mettre en place des actions préventives pour dissuader les voleurs.

  • Renforcement de la coopération européenne : la lutte contre le vol de matériels ne s’arrête pas aux frontières. Un bon partage d’informations au sein de l’Union européenne – voire au-delà – améliore considérablement les chances de retrouver les matériels volés.

 

Le fruit d’une collaboration efficace

Ce document est le résultat d’un travail conjoint de près de deux ans entre la Fédération DLR et les autorités compétentes. Il illustre l’engagement fort des deux parties à lutter contre ce phénomène préoccupant. Dans un contexte économique déjà tendu, la protection des actifs des entreprises doit rester une priorité.

 

Structuré et facilement accessible, ce document s’inscrit dans les initiatives de la Fédération pour contrer les vols de matériels, témoignant de sa volonté d’apporter des solutions concrètes et efficaces aux entreprises du secteur. Toutes les entreprises, qu’elles soient adhérentes ou non à DLR, sont invitées à s’en saisir et à intégrer ses recommandations dans leurs procédures de dépôt de plainte. Elles contribueront ainsi activement à une lutte qui concerne l’ensemble de la profession.

 

Cliquez-ici pour accéder à ce document d’aide 

DINO T-REX : Retour en vidéo

21/05/2025

 DINO T-REX : Retour en vidéo

A l’occasion du 25ᵉ anniversaire d'APRRES INDUSTRIES, partenaire du constructeur d'aspiratrices-excavatrices MTS, nous avons eu le privilège de découvrir en exclusivité la toute nouvelle aspiratrice-excavatrice MTS : la DINO T-REX ! 

 

Conçu pour répondre aux exigences les plus pointues des professionnels du secteur, le DINO T-REX repousse les limites de l’innovation et redéfinit les standards de l’aspiration.

Véritable concentré de technologie, ce modèle incarne le futur de l’aspiration grâce à :

  • un design révolutionnaire,

  • des performances inégalées,

  • une efficacité pensée pour relever les défis de demain.

 

Spécificités de l'aspiratrice-excavatrice DINO T-REX :

✔ Turbines 2 Power +
✔ Bras EVO SLIDE
✔ Nouveau design
✔ Optimisation de l'espace dans la salle des machines
✔ Étagères 4 compartiments avec rack supérieur automatisé
✔ Serrures électriques
✔ Radiocommande avec écran et potentiomètre
✔ Détecteur de gaz
✔ Mise à la terre surveillée
✔ Optimisation du flux d'air
✔ Suppression du manchon de couvercle/flexible

 

 

 

Observatoire régional DT-DICT

20/05/2025

Observatoire régional DT-DICT

Du 19 mai au 20 juin 2025, l’Observatoire régional DT-DICT de Normandie (FRTP Normandie) mobilise l’ensemble des acteurs du secteur pour une troisième édition placée sous le signe de la sécurité et de la prévention sur les chantiers.

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Pour la troisième année consécutive, ce sont cinq semaines d’actions sur le terrain qui s’ouvrent, réunissant l’ensemble des acteurs concernés : maîtres d’ouvrage, exploitants de réseaux, entreprises de travaux, collectivités territoriales, bureaux d’études et autres acteurs impliqués dans la prévention des risques liés aux travaux à proximité des réseaux. 

 

L’objectif de cette initiative est clair : prévenir les risques liés aux interventions à proximité des réseaux en favorisant une meilleure compréhension des obligations réglementaires, des bonnes pratiques de chantier et des enjeux partagés par tous les intervenants.

 

Pour cela, le programme mise sur :

  • des visites de chantiers pédagogiques, où la théorie rencontre la pratique ;

  • des temps d’échange sur site, propices à un dialogue direct entre les différents acteurs ;

  • une sensibilisation collective aux enjeux de sécurité, de coordination et de prévention.

 

Chaque acteur, à son niveau, peut contribuer à renforcer la sécurité sur les chantiers :

  • en garantissant la sécurité des personnes (opérateurs, riverains, usagers) ;

  • en limitant les dommages aux réseaux (électriques, gaz, eau, télécoms...) ;

  • en favorisant une meilleure coordination dès la phase de préparation des travaux.

 

Cette mobilisation régionale est aussi l’occasion de renforcer les synergies entre les acteurs de terrain, de valoriser les bonnes pratiques, et de rappeler l’importance des responsabilités partagées en matière de prévention des endommagements.

 

Il est encore temps de rejoindre la dynamique et de prendre part à l’un des événements organisés dans toute la Normandie.

 

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Quelques gestes simples

20/05/2025

Quelques gestes simples

L’entretien des pneus constitue une étape incontournable dans la gestion efficace d’une flotte automobile, qu’il s’agisse de véhicules en circulation régulière ou immobilisés pour une longue durée. Trop souvent négligés lors des arrêts prolongés, les pneumatiques requièrent pourtant une attention particulière afin de garantir la sécurité, la performance et la longévité des véhicules.

 

Un contrôle visuel régulier s’impose, quel que soit le niveau d’utilisation du véhicule. Il s’agit notamment de repérer toute trace anormale d’usure ou de détérioration, et de retirer les corps étrangers qui peuvent s’être logés dans la bande de roulement : vis, boulons, pierres, etc.

 

Les pneus doivent toujours être gonflés à leur pression optimale, à vérifier lorsque les pneus sont froids.

  • Si la pression est inférieure de 10 à 20 % à la recommandation constructeur, une inspection visuelle est nécessaire avant regonflage.

  • En cas de sous-gonflage supérieur à 20 %, le pneu doit être démonté pour inspection interne, afin d’écarter tout risque de dommage structurel.

 

Après remise en pression, une surveillance accrue est de mise pour détecter d’éventuelles pertes anormales, indicatrices d’une perforation complète, d’un défaut de valve ou d’un problème sur la jante. L’installation de valves haute pression peut être un complément judicieux pour améliorer la fiabilité.

 

Préserver les pneus de l’environnement

Il est essentiel que les pneus ne reposent ni dans des flaques d’eau, ni sur des surfaces contaminées par des produits chimiques ou pétroliers (huiles, carburants, solvants, etc.), ces derniers étant susceptibles de provoquer des détériorations irréversibles. En présence de contaminant, nettoyez les pneumatiques avec un détergent doux et rincez abondamment à l’eau claire. Le stockage doit ensuite se faire dans un lieu sec et propre, à l’écart de toute substance nocive.

 

Veillez à ce que les pneus reposent sur une surface plane et stable. Évitez les irrégularités du sol telles que nids-de-poule ou structures métalliques, qui peuvent provoquer des déformations localisées de la bande de roulement. De la même manière, les flancs des pneus ne doivent jamais être en appui contre des bordures, trottoirs ou autres surfaces rigides, sous peine de déformation anormale ou de dégradation.

 

Avant de remettre un véhicule en circulation après une période d’arrêt, inspectez minutieusement l’état des pneumatiques. Recherchez tout signe de dommage : coupures, hernies, sous-gonflage ou perte de pression. En cas de doute, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel du pneumatique, qui pourra poser un diagnostic précis et effectuer les réparations ou remplacements nécessaires.

 

En résumé, quelques gestes simples permettent de maintenir vos pneus en parfait état, de prolonger leur durée de vie et de garantir la sécurité de vos équipes. Une bonne gestion préventive, même en période d’immobilisation, c’est aussi l’assurance de remettre vos véhicules en service sans retard ni mauvaise surprise.

 

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Nouveau point, même expertise

20/05/2025

Nouveau point, même expertise

Détect Réseaux poursuit son expansion à l’échelle nationale avec l’ouverture d’une nouvelle agence à Caen, marquant une étape supplémentaire dans sa stratégie de croissance et de maillage territorial. Cette nouvelle implantation dans le département du Calvadospermet au réseau de renforcer son ancrage local et d’apporter une réponse de proximité aux besoins en détection et en géoréférencement des réseaux enterrés.

 

L’arrivée d’un nouveau franchisé, Jérémy Javoy, concrétise cette dynamique. Fort d’une solide expérience dans le domaine, il rejoint le réseau avec un engagement et un professionnalisme qui s’inscrivent pleinement dans les valeurs portées par Détect Réseaux : qualité, sécurité et exigence technique. Il pourra désormais s’appuyer sur la force d’un groupe structuré et sur un réseau d’agences fédérées autour du partage de compétences et d’expériences.

 

Cette ouverture illustre la volonté de Détect Réseaux d’accompagner ses clients au plus près des territoires, en leur garantissant la même qualité de service sur l’ensemble du territoire national. Grâce à cette nouvelle antenne, les acteurs locaux — entreprises de travauxpublics, collectivités, maîtres d’œuvre, exploitants et aménageurs — pourront bénéficier de solutions fiables etréactives pour localiser avecprécision les réseaux souterrains, tout en respectant les normes réglementaires en vigueur.

 

A propos de Détect Réseaux

Fondé en 2009 par Philippe Aymard, Détect Réseaux est un groupe national spécialisé dans la détection non destructive des réseaux enterrés. L’entreprise intervient auprès d’une large diversité de clients : BTP, construction, immobilier, collectivités locales et grande distribution. Elle mobilise des technologies avancées telles que le géoradar et l’induction électromagnétique pour garantir la précision de ses relevés.

 

Grâce à un réseau d’agences franchisées couvrant l’ensemble du territoire français, Détect Réseaux propose une offre experte et réactive, adaptée aux enjeux actuels de sécurité et de fiabilité des travaux à proximité des réseaux souterrains.

 

Avec cette nouvelle agence à Caen, Détect Réseaux confirme son ambition : être le partenaire de référence en détection de réseaux, partout en France.

 

 

 

Une priorité pour demain

19/05/2025

Une priorité pour demain

En déplacement le 16 mai 2025 à L’Haÿ-les-Roses (94), Éric Lombard, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, et Marc Ferracci, ministre chargé de l’Industrie et de l’Énergie, ont salué le déploiement réussi des bornes de recharge pour véhicules électriques en France, avec près de 2,5 millions de points de recharge sur l’ensemble du territoire, dont plus de 160 000 accessibles librement au public.

                                                                                                                                                                          Sponsor d'Intertas.info

Face à la nécessité de réduire notre dépendance aux énergies fossiles pour des raisons stratégiques et climatiques, les ministres ont réaffirmé l’engagement de la France à opérer une transition vers les véhicules électriques. Pour garantir le succès de cette transition, le déploiement d’un réseau de bornes de recharge adapté aux besoins des usagers constitue une priorité.

 

À l’occasion de ce déplacement, les ministres ont annoncé plusieurs mesures, visant notamment à :

  • Accélérer le développement du réseau de bornes de recharge publiques et en entreprise, avec un objectif de 7 millions de bornes d’ici 2030, dont 400 000 en libre accès au grand public ;

  • Améliorer l’expérience et l’information des usagers des bornes de recharge publiques ;

  • Mieux synchroniser les moments de recharge avec la disponibilité de l’électricité sur le réseau.

 

Pour en savoir plus, consulter le dossier :

480 - DP - Le Gouvernement fixe le cap de 7 millions de bornes de recharge pour véhicules électriques en 2030-pdf

 

Sommaire du dossier

  • Véhicules électriques et bornes de recharge en France : où en sommes-nous ?

  • Le déploiement des véhicules électriques et hybrides rechargeables poursuit sa forte dynamique depuis plus de deux ans

  • Des expériences utilisateurs en constante amélioration

  • Un déploiement rapide et inédit des points de recharge, à maintenir dans la durée

  • Une recharge facile et de proximité, pour tous, à tout moment

  • Une information fiable et en temps réel sur la disponibilité et les tarifs des bornes

  • La recharge du quotidien à domicile

  • Une boîte à outils d’aides individuelles

  • Adapter la recharge aux capacités du réseau et proposer une tarification plus économique

  • Le développement de la recharge bidirectionnelle

  • La recharge du quotidien sur le lieu de travail

  • La recharge hors domicile : hebdomadaire ou pendant les vacances

  • Un soutien de l’État aux opérateurs de recharge grâce à l’attribution de crédits valorisables

  • Un engagement fort du gouvernement

 

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Cap sur demain avec Gioria

19/05/2025

Cap sur demain avec Gioria

Après deux années à la tête de la direction du SERCE, qui représente les entreprises de la transition énergétique et numérique, Yannick Saint Roch a quitté ses fonctions le 28 avril 2025. Michel Gioria a été désigné pour lui succéder.

 

Le SERCE évolue dans un secteur en pleine transformation. La montée en puissance des enjeux liés à la décarbonation soutient la croissance de l’activité des entreprises membres, quels que soient leurs domaines d’intervention : optimisation énergétique du parc immobilier et des procédés industriels, développement des réseaux et infrastructures électriques, renouvellement du parc nucléaire, essor des énergies renouvelables et de l’autoconsommation, ou encore mobilité électrique.

 

Dans ce contexte, et afin de renforcer son action tant sur le terrain que dans le débat public, le SERCE a engagé une réorganisation de ses priorités autour de deux axes majeurs :

  • Maintenir un dialogue structuré avec les grands donneurs d’ordres et les territoires, en particulier sur les enjeux liés aux réseaux et infrastructures ;

  • Renforcer la visibilité de la profession dans les secteurs tertiaire et industriel, notamment autour des sujets d’électrification, de digitalisation et d’efficacité énergétique.

 

Dans cette dynamique, plusieurs commissions thématiques ont été créées : « Smart grids et production EnR », « Mobilités durables et IRVE », « Data, cybersécurité et IA ». L’équipe permanente du SERCE a également été renforcée pour mieux accompagner les adhérents et soutenir les transformations à l’œuvre dans la filière.

                                                                                                                                                                            Sponsor d'Intertas.info

C’est dans ce cadre que Michel Gioria prend aujourd’hui la direction du SERCE, avec pour mission de porter les ambitions du secteur et de contribuer activement à la réussite de la transition énergétique.

 

Déclaration de Michel Gioria, Directeur général du SERCE :

« C’est avec une grande détermination que je prends mes fonctions de Directeur général du SERCE. Dans un contexte de transition énergétique et numérique accélérée, les entreprises du SERCE jouent un rôle essentiel. Leur contribution à l’électrification des usages, à la modernisation des réseaux et infrastructures, ainsi qu’au développement de solutions d’efficacité énergétique est au cœur des défis que nous devons relever collectivement.
J’ai pleinement conscience que ces défis ne pourront être surmontés sans une meilleure reconnaissance et attractivité des métiers, ni sans un partenariat renforcé entre les acteurs. Je mettrai toute mon expérience au service de nos adhérents, au bénéfice d’une économie décarbonée, compétitive et ancrée dans les territoires, au service de la réindustrialisation et de la souveraineté énergétique. »

 

Michel Gioria est titulaire d’un master en économie de l’environnement, de l’énergie et des ressources naturelles de l’Université de Toulouse. Il débute sa carrière en 2002 comme économiste à l’Agence Poitou-Charentes Énergie Déchets Eau (APCEDE), devenue aujourd’hui l’Agence Régionale d’Évaluation Environnement et Climat (AREC) Nouvelle-Aquitaine.

Il rejoint l’ADEME en 2006, d’abord en tant qu’économiste, puis devient chef de service adjoint au sein du service “Recherche et technologies avancées” à partir de 2010. En 2012, il est nommé directeur régional adjoint de l’ADEME Provence-Alpes-Côte d’Azur, avant de prendre la tête du service “Recherche et technologies avancées” en 2015.

De 2017 à 2021, il occupe le poste de directeur régional Île-de-France de l’ADEME.

En 2021, il est nommé délégué général de France Énergie Éolienne, devenue France Renouvelables en septembre 2023.

Entre janvier 2022 et mars 2025, il préside la commission “Énergies renouvelables et territoires” de l’Union Française de l’Électricité (UFE).

 

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Retour d’expérience concret

19/05/2025

Retour d’expérience concret

Jean-Jacques Rincent, PDG des Laboratoires Rincent, publie un nouvel ouvrage qui s’inscrit dans la continuité de sa publication de septembre 2024, en accès libre, consacrée aux forces de tension internes des tirants. 

 

Traduction en Français : Ce nouvel ouvrage constitue un résumé de l’expérience acquise à partir de l’analyse de plus de 24 000 courbes d’essais obtenues lors de l’analyse de 3 000 ancrages au sol. Il apporte un retour d’expérience concret sur la complexité des essais non destructifs : les équipements de test, les règles permettant d’obtenir des résultats d’acquisition interprétables. Les exemples proviennent d’essais réalisés au Brésil au cours des cinq dernières années, ainsi que de la méthodologie de test adoptée pour cette expérimentation.

 

Ces essais sont généralement réalisés sur des ancrages au sol constitués de torons ou de barres d’armature ayant plusieurs décennies. Les informations sur leur longueur et leur force de tension initiale sont souvent inexistantes après 40 ans. C’est pourquoi ces essais par analyse vibratoire fournissent les réponses et les informations nécessaires au diagnostic de stabilité et de maintenance.

 

Les exemples choisis concernent des ancrages équipés de barres, de torons, ainsi que des clous, des ancrages passifs et des micropieux. Des essais sur des goujons précontraints sont décrits, ainsi qu’un essai sur une barre d’armature liée à la construction d’un château du début du XVIe siècle. Il est rappelé que ces essais permettent de déterminer la longueur totale du tirant, la longueur libre, le diamètre du tirant — c’est-à-dire l’armature avec son coulis de ciment — et enfin la force de tension au moment de l’essai.

 

Ces données sont essentielles pour évaluer la stabilité des murs de soutènement stabilisés par des tirants. Il convient de rappeler que les essais statiques, difficiles à réaliser en hauteur, ne fournissent aucune information sur les longueurs et présentent un risque de rupture des tirants anciens. Tous les essais réalisés permettent d’élaborer une méthode d’essai à adopter, en tenant compte du retour d’expérience acquis sur des milliers d’essais statiques.

 

Pour les ouvrages de soutènement et les tirants en particulier, l’accès à la tête des tirants doit être conservé afin de :

  • réaliser des essais d’inspection,

  • retendre les tirants si nécessaire,

  • tout en les protégeant contre la corrosion.

Le respect de ces conditions permet de mettre en œuvre une maintenance durable des ouvrages. Cette méthode d’essai constitue un outil de diagnostic des ancrages au sol, utilisé par les gestionnaires d’ouvrages de soutènement pour concevoir des projets de maintenance.

 

L’objectif final est d’accroître la durabilité des structures de soutènement. Les essais proposés sont expliqués à l’aide de nombreux exemples, avec pour but de proposer une méthodologie de réalisation des essais d’analyse vibratoire sur les ancrages au sol, ainsi qu’un cadre pour leur interprétation.

 

Cliquez-ici pour commander l'ouvrage

NGE franchit une nouvelle étape

17/05/2025

NGE franchit une nouvelle étape

Face à l’urgence climatique, le groupe NGE franchit une nouvelle étape dans son engagement environnemental avec la création de NGE Transitions, sa première société à mission. Sa raison d’être : « Construire des aménagements cohérents avec la transition écologique en accélérant la décarbonation des pratiques des travaux publics ».

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Objectif affiché : 275 kg de CO₂e pour 1 000 € de chiffre d’affaires.

 

Un indicateur ambitieux, soutenu par une approche globale qui agit à toutes les étapes du projet – de la conception à la réalisation – autour de quatre axes structurants :

  • Réalisation de chantiers exemplaires, à impact environnemental et sociétal positif,

  • Déploiement d’une méthodologie de comptabilité environnementale innovante, basée sur 12 critères d’analyse,

  • Transmission de nouveaux savoir-faire aux équipes et partenaires,

  • Expérimentation de solutions bas carbone à chaque étape.

Véritable laboratoire d’innovation durable, NGE Transitions est pilotée par un comité de mission indépendant.

 

Premier chantier emblématique : à Rillieux-la-Pape, aux abords de la Halle du Réemploi pour le groupe GEIM, les résultats sont concrets :

  • Émissions de CO₂ divisées par 3,

  • 72 % de matériaux réemployés,

  • Utilisation de matériels électriques, biocarburants, béton et enrobés bas carbone,

  • Bilan carbone neutre.

 

Cette réalisation a été rendue possible grâce à des partenaires engagés comme Kiloutou, Cemex, Mecalac et Dynapac.

 

« Avec NGE Transitions, nous voulons construire autrement, au service des territoires et de la transition écologique », déclare Jean Bernadet, président de NGE.

 

Une nouvelle ère s’ouvre pour les travaux publics chez NGE : plus sobres, plus responsables, et résolument tournés vers l’avenir.

 

 

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L’engagement collectif

17/05/2025

L’engagement collectif

A l’occasion de ses 120 ans, l’ASTEE (Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement) convie l’ensemble des acteurs du secteur à son 104e congrès annuel, qui se tiendra à Toulouse du 2 au 5 juin 2025. Ce rendez-vous incontournable rassemblera plus de 650 participants – élus, décideurs, scientifiques, chercheurs, ingénieurs et techniciens – autour d’un objectif commun : accélérer la transition écologique dans les villes et les territoires.

 

Lieu d’échange et de réflexion collective, le congrès s’inscrit dans un contexte d’urgence climatique, souligné par les dernières projections du GIEC et le franchissement des limites planétaires. Il entend mettre en lumière le rôle central des territoires dans cette transition indispensable.

 

Toulouse Métropole, territoire d’accueil de cette édition, illustre pleinement cette dynamique. Confrontée à des défis environnementaux majeurs, la métropole met en œuvre une politique volontariste dans les domaines de l’eau, de l’assainissement et des déchets pour s’adapter aux effets du changement climatique. Capitale européenne du Spatial et de l’Aéronautique, Toulouse offre également un terreau fertile à l’émergence de partenariats scientifiques et techniques durables entre les secteurs de l’environnement et des hautes technologies.

 

Un congrès placé sous le signe de l’innovation, du dialogue interdisciplinaire et de l’engagement collectif au service de la transition écologique.

 

Cliquez-ici pour en savoir plus : Programme - Dossier partenariat - Dossier intervenant - Dossier de présentation - Brochure - Appel à communications

 

L’Astee est l’association des professionnels de l’eau et des déchets. Créée en 1905, elle est reconnue d’utilité publique depuis 1918.

À la fois historique et résolument tournée vers l’avenir, l’Astee est un acteur technique et scientifique de référence dans les domaines de l’eau et des déchets en France. De dimension nationale, mais également ancrée dans les territoires grâce à ses 12 sections locales, l’association regroupe plus de 4 000 membres — personnes morales et physiques — issus des secteurs de l’eau (eau potable, assainissement, gestion écologique des ressources en eau et des milieux aquatiques), des déchets (ordures ménagères résiduelles) et de la propreté urbaine.

 

 

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