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Une nouvelle équipe à la tête du STRPEPP. : Avec une nouvelle gouvernance, le syndicat entame une nouvelle page de son histoire débutée. il y a maintenant 65 ans. Derrière ce nouveau duo, les industriels des réseaux d’eau potable, d’assainissement, d’énergies etde télécommunications, sont en ordre de marche pour relever les défis qui se présentent à eux : une circularité à continuer de développer, une mise en avant des solutions et des innovations portées par les membres et la volonté de fédérer et de faire progresser une filière essentielle à notre mode de vie.

L’assemblé générale du STRPEPP qui s’est réuni début juillet a élu Marc Palomarès à la Présidence du STRPEPP. Marc Palomarès est actuellement Directeur Technique et de l'Innovation du groupe ELYDAN. Avec plus de 25 ans d’expérience dans les polyoléfines, Marc Palomarès est un fin connaisseur de la réalité industrielle des membres du STRPEPP, qu’il double d’une solide expertise des produits dédiés aux réseaux et aux fourreaux de protection. Son parcours l’a précédemment amené à s’impliquer dans les organes de certification français avec notamment la Présidence du comité de marque NF114. Il est également Président de la section Pression du STRPEPP depuis 2017.

C’est donc un expert des réseaux, de leurs constituants en PE/PP et de l’environnement dans lequel évoluent les membres du STRPEPP qui arrive à la Présidence avec la volonté forte de faire progresser et défendre la profession dans son ensemble. 

Cette nouvelle Présidence se double de l’entrée en fonction de Nayla Sammour depuis début juin en tant que nouvelle Déléguée Générale. Nayla Sammour est issue du monde de l’organisation de salon professionnels dans le domaine de la promotion immobilière et commerciale, en France et à l’international. Elle a préalablement assuré des fonctions dévolues aux relations extérieures et à l’évènementiel du MEDEF et du MEDEF international. Femme de réseau dynamique et volontaire, elle impulse un nouvel élan à la Direction du STRPEPP, basé sur la mise en commun des opportunités et le nécessaire regroupement des acteurs industriels face aux chalenges qui se présentent pour les acteurs des réseaux. 

                                                                                                                                                                       Sponsor d'Intertas.info

Ces nouvelles énergies à la tête du syndicat contribueront à impulser un nouveau dynamisme au syndicat, pour continuer à fédérer une filière autour de solutions pérennes et durables. Alors que la préservation nécessaire de la ressource en eau comme l’adaptation au changement climatique font peser de lourdes conséquences sur les réseaux, dont le renouvellement constitue un des grands enjeux des infrastructures de ces prochaines décennies, les questions de circularité, de conformité sanitaire tout comme l’efficacité reconnue et l’excellence technique des solutions des membres du STRPEPP demeurent cruciales.

Au centre de ces grands enjeux, les solutions Polyéthylène et Polypropylène des membres du STRPEPP apparaissent plus que jamais comme des réponses crédibles et pertinentes, avec dorénavant un nouveau duo pour les porter. 

Le STRPEPP rassemble depuis 1960 des industriels fabricants de réseaux et accessoires en polyéthylène (PE) et polypropylène (PP) dont les solutions sont orientées vers une qualité maximale des réseaux. Les qualités du PE et du PP sont parfaitement adaptées aux enjeux du déploiement et de la rénovation des réseaux sous pression ou gravitaires, qu’il s’agisse d’eau potable (les solutions PE et PP font l’objet d’attestation de conformité sanitaire délivrées par le ministère de la Santé), d’eaux usées ou d’eaux dures. Reconnus dans leur application au transport du gaz, les réseaux PE et PP assurent le transport et l’évacuation des fluides et énergies utiles dans notre vie quotidienne comme notre activité industrielle.

Employés pour la protection des réseaux, les fourreaux et gaines PE et PP garantissent un accès à l’eau, à l’assainissement, aux énergies et aux télécommunications sur le long terme.

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Le 28 août 2025, Matignon a annoncé un accord de principe entre le Gouvernement français et la Commission européenne pour mettre fin aux différends qui freinaient depuis des années le développement de l’hydroélectricité en France.

Le Premier ministre François Bayrou s’est félicité de cette avancée : « Après plus de dix ans de précontentieux, nous avons enfin ouvert une voie pour lever l’impasse et permettre le redémarrage des investissements dans les barrages hydroélectriques français ».

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Deuxième source de production électrique derrière le nucléaire, l’hydroélectricité reste la première énergie renouvelable du pays. Son exploitation, majoritairement en concession, a suscité des conflits avec Bruxelles :

• en 2015, sur la position dominante d’EDF ;
• en 2019, sur l’absence de remise en concurrence des concessions.

Ce blocage a freiné les investissements indispensables à la modernisation et à la sécurité des ouvrages.

• Le compromis présenté à Bruxelles repose sur :
• Un cadre juridique révisé : passage progressif du régime de concession vers l’autorisation (hors Compagnie nationale du Rhône).
• Le maintien des exploitants actuels, pour préserver la sécurité, l’emploi et la valeur locale.
• L’ouverture du marché via 6 GW de “capacités virtuelles” EDF, mises aux enchères sous supervision de la CRE.

La réforme devra être traduite dans une proposition de loi portée prochainement par les députés Marie-Noëlle Battistel et Philippe Bolo. Cet accord marque une étape clé pour relancer l’investissement dans l’hydroélectricité et clore plus de dix années de tensions avec Bruxelles.

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Alliant puissance, précision et fiabilité, la nouvelle Yanmar SV39 s’impose comme un choix incontournable pour les professionnels du BTP à la recherche d’une machine capable de relever les défis les plus exigeants. Conçue pour délivrer un rendement constant, même dans des conditions d’utilisation prolongées et intensives, cette mini-pelle incarne l’équilibre parfait entre robustesse et efficacité.

Une stabilité qui inspire confiance

Dotée d’un châssis robuste et parfaitement équilibré, la SV39 garantit une stabilité exceptionnelle. Cet atout permet aux opérateurs de travailler avec une grande précision, y compris lors de manœuvres délicates ou de travaux nécessitant une extrême finesse. Sa conception intelligente favorise également l’utilisation d’une large gamme d’accessoires, sans compromis sur la puissance ni sur la productivité.

Le confort au service de la performance

La performance ne s’arrête pas à la mécanique : Yanmar place aussi l’opérateur au cœur de la conception. La cabine de la SV39, pensée dans les moindres détails, offre un environnement ergonomique et confortable, réduisant la fatigue et favorisant un haut niveau de concentration. Résultat : une productivité optimale, tout au long de la journée.

Une maintenance simplifiée

Consciente que le temps est un facteur clé sur les chantiers, Yanmar a conçu la SV39 pour que son entretien soit rapide et intuitif. Cette maintenance simplifiée réduit les arrêts imprévus et contribue à prolonger la durée de vie de la machine, assurant ainsi un retour sur investissement durable.

Les atouts majeurs de la Yanmar SV39 :

• Stabilité et précision incomparables
• Performances renforcées pour les travaux intensifs
• Confort optimal pour l’opérateur
• Maintenance simplifiée pour plus de productivité
• Fiabilité éprouvée et technologie intelligente
• Polyvalence accrue grâce à de nombreux équipements compatibles

Avec la SV39, Yanmar confirme son engagement à accompagner les professionnels du BTP dans leurs défis quotidiens en leur offrant une machine performante, fiable et pensée pour durer.

La nouvelle JT21 Ditch Witch® s’impose comme une référence dans la catégorie des foreuses compactes. Avec une vitesse de chariot de 65,5 m/minute, elle se distingue par une rapidité supérieure de 35 % par rapport aux modèles concurrents. À cette performance s’ajoute une augmentation de 40 % de la puissance de fond de trou par rapport à son prédécesseur. Pour les professionnels, cela se traduit par des interventions plus rapides, un respect accru des délais et une productivité renforcée sur le terrain.

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

La JT21 est équipée d’un moteur Deutz® de 74 chevaux, garant d’une puissance constante et d’une fiabilité reconnue. Cette motorisation assure un forage efficace dans des sols variés, réduisant les pertes de temps et améliorant le rendement global des chantiers.

Avec 9,5 tonnes de tirage et 9 tonnes de poussée, la JT21 a été pensée pour répondre aux conditions de forage les plus difficiles. Elle offre la puissance nécessaire pour maintenir le rythme des travaux, quelles que soient les contraintes du terrain.

La machine est dotée d’une pompe à boue de grande cylindrée fonctionnant à bas régime. Ce choix de conception prolonge significativement la durée de vie de l’équipement, tout en garantissant des performances optimales sur les chantiers les plus exigeants. Résultat : des coûts de maintenance réduits et une disponibilité accrue.

La JT21 intègre plusieurs améliorations technologiques destinées à simplifier l’utilisation et à optimiser la gestion des opérations :

• Système télématique avancé pour un suivi en temps réel des performances et une meilleure gestion du parc machines.
• Commandes multimodes par joystick permettant une adaptation fine aux préférences des opérateurs et aux conditions de forage.
• Écrans LCD intégrés offrant une visibilité claire sur les fonctions et les diagnostics.

Le centre de gravité abaissé et la nouvelle architecture de la foreuse améliorent sa stabilité et sa maniabilité, renforçant ainsi la sécurité et la précision des opérations sur différents types de terrains.

Le système Virtually Assisted Makeup and Breakout (VAM) supprime le recours aux capteurs de chariot et contribue à prolonger la durée de vie des filetages. Les tiges et outils de forage conservent ainsi leurs performances plus longtemps, réduisant les coûts liés aux remplacements et à l’usure prématurée.

En combinant vitesse, puissance, fiabilité et longévité, la JT21 Ditch Witch® répond aux attentes des entreprises souhaitant optimiser leur productivité tout en réduisant leurs coûts d’exploitation. Elle se positionne comme un outil incontournable pour les chantiers où la précision, la rapidité et la durabilité sont des critères essentiels.

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Communiqué du groupe de travail CINERGIC, qui rassemble les organisations professionnelles DLR, EVOLIS, FFB, FNTP et SEIMAT, se félicite de la parution de l’arrêté officialisant l’éligibilité des matériels de chantier électriques et solutions de recharge et d’opérations de rétrofit électrique à un programme d’aide à l’acquisition au dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE), dans le cadre d’une modification du programme E-Trans porté par l’ADEME. 

Ce dispositif, ouvert jusqu’en 2028, permettra d’accompagner financièrement la transition énergétique du parc de matériels de construction. 

Cette annonce constitue un aboutissement majeur pour CINERGIC : elle concrétise plus de 18 mois de travaux collectifs, engagés dès l’élaboration de la Feuille de route nationale de décarbonation des engins de chantier. C’est une étape intermédiaire précédant la mise en place effective à moyen terme, d’une fiche standardisée Certificat d’Économie d’Energie (CEE). 

Aux côtés du SGPE, de l’ADEME, de l’ATEE et des pouvoirs publics, le groupe a œuvré sans relâche pour faire reconnaître le secteur des matériels de chantier et obtenir son éligibilité à des mécanismes d’aide adaptés à ses réalités et à ses usages spécifiques. 

Un nouveau cycle s’ouvre désormais : les organisations professionnelles du groupe CINERGIC entameront les travaux avec l’ADEME lors d’une première réunion programmée le mardi 2 septembre, afin de définir les contours opérationnels du dispositif d’appel à projets et les modalités concrètes de sa mise en œuvre pour les entreprises du BTP. 

En parallèle, CINERGIC poursuit son engagement pour élargir et diversifier les solutions d’accompagnement à la décarbonation : élaboration de guides d’information, développement d’outils pratiques et mobilisation en faveur de dispositifs complémentaires destinés à soutenir l’investissement dans des matériels plus sobres et respectueux de l’environnement. 

Cliquez-ici pour consultez l'arrêté officialisant l’éligibilité des matériels de chantier électriques

                                                                                                                                                                     Sponsor d'Intertas.info

À propos de CINERGIC 

CINERGIC – Consortium d’intérêt pour les énergies de chantier – est un groupe de travail interprofessionnel né de la volonté commune des principales organisations représentatives du secteur des matériels de construction, à usage du bâtiment et des travaux publics (DLR, EVOLIS, FFB, FNTP, SEIMAT). 

Son objectif : accompagner et accélérer la décarbonation des matériels de chantier, en fédérant l’ensemble des acteurs concernés – constructeurs, distributeurs, loueurs, utilisateurs, énergéticiens et pouvoirs publics – autour d’une même feuille de route. 

CINERGIC agit comme une véritable plateforme de convergence et de coordination. Ses travaux sont conçus pour être concrets et opérationnels à court et moyen termes. Ils ont vocation à devenir des recommandations de référence pour les décideurs publics, notamment dans le cadre de la Stratégie Nationale Bas Carbone et de la transition énergétique des chantiers. 

En unissant leurs forces au sein de CINERGIC, les organisations professionnelles affirment leur capacité à agir collectivement et à porter la voix d’une filière en pleine transformation, au service de chantiers durables, respectueux des Hommes et de l’Environnement 

Le constructeur français RISA vient de livrer sur un chantier à Nice une deuxième grue hybride DCR24. Compacte et polyvalente, cette grue, alliant forage et manutention, répond parfaitement aux exigences des travaux de réseaux aériens.

Intégrée dans le gabarit d’un porteur 6x6 MAN TGS de 520 ch, la DCR24 concentre de nombreuses fonctionnalités dans un espace réduit. Elle dispose notamment d’un réservoir d’eau de 200 L, associé à un enrouleur de 10 m et à une pompe électrique, renforçant son autonomie sur chantier.

Sa grue, capable de lever jusqu’à 8 tonnes à seulement 3 mètres de son axe, constitue l’un de ses principaux atouts. Grâce à un ingénieux système de pliage, l’ensemble se replie complètement dans la tourelle, sans dépasser du camion. Cette conception permet une maniabilité optimale et facilite l’accès aux zones de travail les plus contraintes.

Avec un déport latéral pouvant atteindre 12 mètres et une hauteur sous crochet de 15 mètres, la DCR24 offre une grande souplesse d’intervention. Installée en dos de cabine, elle laisse la possibilité d’intégrer une benne d’environ 4 mètres à l’arrière du porteur, optimisant ainsi les capacités de transport de matériaux et la fonctionnalité globale de l’engin.

Au-delà de la grue, l’équipement intègre des tarières avec rallonges télescopiques ainsi qu’un moteur de forage logé astucieusement dans l’axe du deuxième bras. Un système de stabilisation à géométrie variable complète l’ensemble, garantissant sécurité et stabilité sur tous types de terrains.

Avec cette deuxième grue DCR24 mise en service à Nice, RISA confirme sa capacité à développer des solutions toujours plus compactes, performantes et adaptées aux besoins du terrain.

Avec plus de 30 ans d’expérience, RISA s’impose comme un acteur incontournable des matériels pour travaux de réseaux. Depuis son site de Caussade (Tarn-et-Garonne), l’entreprise conçoit et fabrique une large gamme d’engins destinés aux réseaux aériens (grues, treuils) comme souterrains (trancheuses, roues de compactage). En parallèle, elle distribue en exclusivité en France les aspiratrices-excavatrices LONGO, renforçant son rôle de partenaire de référence des entreprises de travaux publics.

Le projet de modernisation de la ligne électrique 400 000 volts entre Amiens et Petit-Caux franchit une nouvelle étape. Du 1er septembre au 1er octobre, une enquête publique sera organisée, conformément au Code de l’environnement. Cette démarche vise à informer et à associer le public ainsi que l’ensemble des parties prenantes avant la décision d’autorisation.

                                                                                                                                                                        Sponsor d'Intertas.info

L’enquête porte sur différentes demandes administratives :

• la déclaration d’utilité publique pour la ligne aérienne à deux circuits 400 000 volts reliant les postes d’Argœuves, Dosset et Navarre ;
• les cinq liaisons électriques aéro-souterraines à 90 000 et 225 000 volts ;
• la création et l’aménagement des postes électriques de Dosset et de Bresle ;
• ainsi qu’une demande de dérogation à la loi « Littoral ».

Le dossier soumis à l’enquête comprend un grand nombre de documents techniques, dont l’étude d’impact. Pour faciliter la consultation, un guide simplifié a été élaboré afin d’orienter le public vers les principales informations.

Un dispositif complet a été mis en place pour garantir l’accessibilité du dossier :

• En version numérique : le dossier est consultable dans les 54 mairies concernées, aux horaires habituels d’ouverture. Un registre numérique d’observations et de propositions y est intégré.
• En version papier : le dossier est disponible dans les mairies d’Argœuves, Baromesnil, Beauchamps, Flixecourt, Hallencourt, Petit-Caux et Tours-en-Vimeu, avec un registre papier destiné aux contributions.
• En ligne : à partir du 1er septembre, le dossier et le registre seront accessibles sur registre-numerique.fr/ligne-electrique-amiens-petitcaux

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(Communiqué) Sogelink, acteur majeur des solutions logicielles au service de la digitalisation de la construction et des infrastructures en Europe, engage une nouvelle étape de son développement avec la nomination d’Antoine Dumurgier au poste de CEO.

                                                                                                                                                                          Sponsor d'Intertas.info

Sogelink ambitionne d’accélérer la transition vers une construction plus durable, plus intelligente et plus sûre, en proposant des solutions logicielles, cloud et mobiles dédiées au secteur des infrastructures. Depuis 25 ans, ses solutions contribuent à la digitalisation de la chaîne de valeur du secteur. Le groupe compte aujourd’hui plus de 700 collaborateurs répartis dans six pays, au service de plus de 18 000 clients et 220 000 utilisateurs. Grâce à une solide réputation sur le marché, Sogelink est idéalement positionnée pour renforcer son rôle de leader sur le marché européen de la Construction Tech.

Diplômé de l’École Polytechnique (X93), de l’ISAE-Supaero et titulaire d’une licence de droit, Antoine Dumurgier bénéficie d’une solide expérience dans la transformation logicielle, le management international et l’innovation. Il a débuté sa carrière à la NASA, à la Direction Générale de l’Armement (DGA), puis au sein du cabinet de conseil en stratégie McKinsey & Company. Il a ensuite passé 14 ans au sein du groupe Edenred, dont 8 au Comité Exécutif, où il a piloté des équipes transverses et mené de nombreuses acquisitions internationales.
Avant de rejoindre Sogelink, il occupait le poste de CEO de Berger-Levrault, éditeur de logiciels présent dans 7 pays avec un chiffre d’affaires de plus de 200 M€, où il a conduit la transformation SaaS, investi dans des fonctionnalités basées sur l’IA, et renforcé la dimension internationale du groupe.

Il succède à Fatima Berral qui, pendant 12 ans dont 7 en tant que CEO, a piloté une croissance organique forte et mené des acquisitions stratégiques qui ont élargi l’offre et renforcé l’ancrage européen du Groupe. Fatima Berral assurera désormais la présidence du Comité Stratégique, nouvel organe de gouvernance destiné à accompagner le Groupe sur ses enjeux stratégiques et la définition de la vision produit.

Cette transition managériale s’inscrit dans la continuité de l’investissement réalisé en 2023 par CVC Capital Partners, aux côtés de Keensight Capital, actionnaire historique, afin d’accompagner le Groupe dans l’accélération de son développement international et la consolidation de son leadership européen.

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Le virage électrique s’accélère dans le secteur du BTP. Longtemps réservés aux véhicules lourds de transport, les certificats d’économies d’énergie (CEE) s’ouvrent désormais aux engins agricoles et de chantier électriques, routiers comme non routiers.

                                                                                                                                                                    Sponsors d'Intertas.info

Un arrêté publié au Journal officiel le 3 août dernier est venu modifier le programme E-Trans, porté par l’Ademe dans le cadre du dispositif national des CEE. Jusqu’ici, ce soutien financier concernait uniquement l’achat, la location longue durée ou le rétrofit de poids lourds, autobus, autocars et navettes urbaines électriques.

Désormais, les pelles, chargeuses, tracteurs ou encore compacteurs électriques entrent dans le champ d’application du programme. Cette extension marque une étape importante pour des secteurs encore très dépendants des carburants fossiles.

Le dispositif est valable jusqu’en 2028, offrant ainsi une visibilité précieuse aux acteurs du BTP et du monde agricole. Les entreprises pourront valoriser leurs investissements en matériels électriques en mobilisant les CEE, ces « droits à subvention » générés par les économies d’énergie réalisées.

Pour l’Ademe, l’enjeu est clair : décarboner progressivement les activités les plus consommatrices d’énergie, sans freiner leur compétitivité. Les engins électriques, encore plus coûteux à l’achat que leurs équivalents thermiques, pourront ainsi trouver plus facilement leur place sur les chantiers.

L’ouverture des CEE aux engins de chantier constitue un signal fort pour la filière », estime un acteur du secteur. « C’est une étape attendue pour accompagner la montée en puissance de solutions électriques adaptées au BTP. »

Avec cette mesure, la transition énergétique gagne un nouveau terrain : celui des chantiers et des exploitations, où l’électrification pourrait rapidement changer le visage des pratiques professionnelles.

Cliquez-ici pour consulter l'arrêté publié au Journal officiel 

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La gamme électrique YANMAR

Face à l’urgence climatique et à la hausse du coût des énergies fossiles, le recours aux énergies renouvelables s’impose comme une réponse à la fois locale, durable et économique. Dans cet esprit, Trifyl déploie à Gaillac (81) son plus grand réseau de chaleur alimenté par la biomasse. La mise en service est prévue pour décembre 2026.

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Le futur réseau de chaleur sera alimenté par une ressource abondante et de proximité : les sous-produits forestiers tarnais. Broyats non traités issus des déchetteries, écorces de scieries et autres déchets de bois constitueront le combustible principal. Ce choix permet à la fois de valoriser la filière bois locale et de réduire la dépendance aux énergies fossiles.

Dotée de deux chaudières bois (2 000 kW et 600 kW), complétées par une chaudière d’appoint au gaz, la chaufferie alimentera un réseau de 5 km de canalisations enterrées.

Au total, 21 bâtiments publics seront raccordés : écoles, hôpital, EHPAD, piscine, lycées… L’énergie, distribuée sous forme d’eau chaude en circuit fermé, permettra :

• une réduction importante des émissions de gaz à effet de serre,
• la suppression des risques liés au gaz sur les sites raccordés,
• une stabilité des tarifs énergétiques sur le long terme.

La chaufferie sera équipée d’un filtre à manches pour traiter les fumées : seules des vapeurs d’eau seront rejetées, sans émission de particules fines. Implantée sur l’ancien site d’Alphacan, la chaufferie intégrera une zone de dépôt intérieure, positionnée à l’opposé des habitations pour limiter les nuisances sonores et les poussières.

La logistique a été conçue pour minimiser l’impact : un seul camion par jour, aucun passage en zone résidentielle et aucune livraison le week-end. Un traitement paysager soigné assurera l’intégration harmonieuse du site dans son environnement.

Calendrier des travaux :

• Mi-juin 2025 : démarrage du chantier avec la construction de la chaufferie
• Été 2025 à automne 2026 : pose progressive du réseau et des sous-stations
• Décembre 2026 : mise en service complète du réseau

Les travaux dureront environ un an et seront confiés à des entreprises locales ou de proximité.

Ce réseau de chaleur, le 9ᵉ de Trifyl, représente un investissement de plus de 10 millions d’euros, financé à 50 % par des aides publiques (ADEME, Région Occitanie). La Ville de Gaillac n’aura aucun coût à supporter.

Au-delà de sa dimension énergétique, ce projet illustre l’engagement du territoire en faveur :

• de la transition énergétique,
• de l’économie circulaire,
• de la réduction des consommations.

Un projet d’envergure qui contribuera à faire de Gaillac une ville exemplaire dans l’utilisation des ressources locales au service de l’intérêt collectif.

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Plus qu’un simple loueur de matériel, le Groupe TAPIR s’affirme aujourd’hui comme une marque fédératrice, capable d’allier l’agilité d’une PME à la puissance d’un groupe structuré. Une stratégie gagnante qui lui permet d’accompagner ses clients dans les défis techniques, sécuritaires et environnementaux des chantiers de demain.

Créé en 2008 à Cournon-d’Auvergne (63800) et dirigé par Jérôme Hennequin, le Groupe TAPIR s’est rapidement imposé comme un acteur incontournable des travaux publics. Spécialiste de la location d’aspiratrices-excavatrices avec opérateur, il incarne aujourd’hui une PME dynamique, innovante et résolument tournée vers l’avenir.

Derrière l’image du tapir, animal robuste et méthodique, se cache un ensemble de savoir-faire complémentaires. Travaux publics, réseaux secs, bâtiment, transport, topographie ou encore géodétection : le Groupe fédère désormais neuf sociétés et plus de 200 collaborateurs, répartis en Auvergne, Nouvelle-Aquitaine, Rhône-Alpes, Occitanie et Centre-Val-de-Loire.

Avec le plus grand parc d’aspiratrices-excavatrices de France, TAPIR dispose d’une véritable force de frappe. Une capacité qui lui permet de répondre aussi bien aux besoins des grandes métropoles qu’aux chantiers industriels les plus sensibles.

En août 2025, le Groupe a encore renforcé son parc en intégrant une nouvelle aspiratrice-excavatrice pour Aspirloc, ainsi que trois aspiratrices-excavatrices RSP pour ses agences TAPIR : deux RSP ESE 6 nouvelle génération, particulièrement adaptées aux chantiers urbains et une aspiratrice triple turbines, idéale pour les travaux industriels et l’aspiration sur grande longueur.

Si la performance technique est indéniable, le Groupe TAPIR revendique avant tout une culture centrée sur l’humain. La bienveillance, la sécurité et la formation des opérateurs sont au cœur de son ADN. Tous sont habilités et régulièrement formés pour intervenir en toute sécurité à proximité des réseaux sensibles.

TAPIR ne cesse d’investir dans des solutions technologiques afin de renforcer l’efficacité et limiter l’impact environnemental :

• camions fonctionnant au bio-gaz,
• robots autonomes pour l’aspiration (« Gargantua »),
• numérisation 3D,
• systèmes de réduction du bruit…

Bien avant que la transition écologique ne devienne un impératif, TAPIR avait déjà adopté des huiles hydrauliques biodégradables et instauré un tri systématique des déchets. Aujourd’hui, son engagement se traduit par des pratiques éco-responsables concrètes et par l’obtention de la certification MASE, gage de rigueur en matière de sécurité, santé et environnement.

En conjuguant innovation, expertise et valeurs humaines, le Groupe TAPIR illustre parfaitement la voie que doit suivre le secteur des travaux publics. À la fois agile et structuré, ancré dans ses territoires mais ouvert aux grands défis technologiques et écologiques, il s’impose comme un partenaire incontournable pour bâtir les infrastructures de demain.

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La Banque des Territoires vient d’accorder au Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) un Aqua Prêt de 967 M€ sur 30 ans. Ce financement permettra de déployer une filière membranaire haute performance, destinée à renforcer la qualité de l’eau potable distribuée à près de 4 millions d’usagers franciliens.

Le projet prévoit l’équipement des trois principales usines du Sedif – Méry-sur-Oise, Neuilly-sur-Marne et Choisy-le-Roi – avec un traitement de finition capable d’éliminer la quasi-totalité des micropolluants, dont les PFAS, les perturbateurs endocriniens, les résidus médicamenteux et les microplastiques. Cette technologie permettra également de fournir, à terme, une eau adoucie et sans chlore.

« Ce projet illustre tout le savoir-faire et l’engagement de la Banque des Territoires pour accompagner la transition écologique des acteurs publics locaux », souligne Olivier Sichel, directeur général de la Caisse des Dépôts.

Les travaux débuteront dans le courant du 1er semestre 2026, la mise en service des nouvelles unités membranaires mi-2030, pour une livraison prévue en 2032.

👉 En savoir plus : lire le communiqué de presse

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