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Le Parlement a définitivement adopté, mardi 1er avril 2025, une loi majeure permettant aux communes de conserver leurs compétences en matière de gestion de l’eau et de l’assainissement. Ce texte, voté dans les mêmes termes par le Sénat et l’Assemblée nationale, marque un tournant dans l’application de la loi NOTRe de 2015.

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Initialement, cette réforme prévoyait le transfert obligatoire de ces compétences aux communautés de communes d’ici à 2026. Avec cette nouvelle loi, les communes pourront désormais choisir de conserver cette responsabilité à leur échelle.

Les collectivités locales disposent désormais de trois possibilités :

• conserver la compétence en gestion de l’eau et de l’assainissement au niveau communal ;

• la déléguer à un syndicat intercommunal ;

• ou la transférer à leur communauté de communes.

Environ un tiers des communes françaises ayant déjà effectué ce transfert ne pourront toutefois pas revenir en arrière.

Le nouveau dispositif vise donc à introduire davantage de souplesse, tout en respectant les dynamiques territoriales déjà engagées.

Parmi les dispositions validées, le texte prévoit également la possibilité d’organiser une solidarité entre communes voisines en cas de pénurie d’eau.

Cette mesure, introduite par les députés, a été acceptée sans modification par les sénateurs, soucieux de garantir une adoption rapide de la loi.

Ce vote marque ainsi un retour à une certaine liberté d’organisation pour les communes, dans un domaine essentiel à la vie quotidienne des habitants et à la gestion durable des ressources.

Depuis sa création à la fin des années 1980, le fabricant Français RISA s’est imposée comme un acteur majeur dans la conception et la fabrication d’engins et d’équipements destinés à la construction de réseaux aériens et souterrains.

Forte de plusieurs décennies d’expérience, l’entreprise propose une gamme complète de machines performantes : grues de levage, grues de forage, treuils pour les réseaux aériens, ainsi que trancheuses à chaîne, trancheuses à roue ou encore roues de compactage pour les réseaux enterrés.

Aujourd’hui, plus de 2000 machines RISA sont utilisées chaque jour en France et à l’international, aussi bien par des TPE spécialisées que par de grands groupes nationaux et internationaux. Cette présence solide témoigne de la robustesse, de la fiabilité et de la technicité des équipements conçus par l’entreprise.

Un Partenariat Stratégique au Service de l’Innovation

Dans une volonté constante d’élargir son offre et de proposer des solutions à la pointe de la technologie, RISA a noué un partenariat stratégique avec LONGO RHINOZ, devenant distributeur exclusif de ses aspiratrices-excavatrices en France, dans les DOM-TOM, en Suisse romande et en Belgique.

Les aspiratrices-excavatrices LONGO RHINOZ sont reconnues pour leurs performances élevées, leur fiabilité et leur capacité d’intervention sur les chantiers les plus exigeants. Ce partenariat permet à RISA de renforcer sa position sur le marché tout en répondant aux nouveaux besoins des professionnels des réseaux.

Un Service Après-Vente Réactif et Performant

Au-delà de la qualité de ses machines, RISA se distingue par un service après-vente de très haut niveau. Un réseau de techniciens itinérants expérimentés, appuyé par un inspecteur technique dédié, garantit une grande réactivité et un accompagnement sur mesure.

Grâce à son centre de formation intégré, RISA assure une montée en compétence continue de ses équipes internes comme de ses partenaires. Ce savoir-faire technique, combiné à une forte culture de la satisfaction client, fait de RISA un partenaire de confiance pour la réussite des projets, même les plus complexes.

Une Vision d’Avenir

Avec son savoir-faire éprouvé, sa capacité d’innovation et ses partenariats stratégiques, RISA confirme son rôle de leader sur le marché des équipements pour réseaux. Une entreprise qui continue de bâtir, jour après jour, l’avenir des infrastructures souterraines et aériennes.

(Communiqué du Serce) Réseaux électriques : Découvrez dès à présent les besoins en main-d'œuvre, région par région, générés par l’annonce d’un investissement historique de 200 milliards d’euros d’ici 2040, porté par RTE et Enedis. 

Pour faire face aux défis du changement climatique, renforcer la résilience des réseaux et accompagner le développement de la production d’électricité décentralisée (éolien, solaire, hydraulique…), les gestionnaires de réseaux RTE et Enedis prévoient 200 milliards d’euros d’investissements cumulés à l’horizon 2040.

Cet effort financier massif vise également à anticiper l’électrification croissante des usages : mobilité électrique, chauffage, industries décarbonées… Autant de transformations qui nécessitent une modernisation et un renforcement sans précédent des infrastructures électriques françaises.

Cette transformation du système électrique national s’accompagne d’une forte demande en compétences : techniciens, ingénieurs, chefs de chantier, spécialistes de la data, planificateurs, conducteurs de travaux…

Des milliers d’emplois sont à pourvoir dans toutes les régions, du littoral aux zones rurales, pour concevoir, construire, exploiter et entretenir les réseaux du futur.

Découvrez les besoins en recrutement, région par région

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• Auvergne-Rhône-Alpes

• Bourgogne-Franche-Comté

• Bretagne

• Centre-Val de Loire

• Grand Est

• Hauts-de-France

• Ile-de-France

• Normandie

• Nouvelle-Aquitaine

• Occitanie

• Pays de la Loire

• Provence Alpes Côte d’Azur

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SYTRAL Mobilités a désigné Egis comme maître d’œuvre général du futur Tramway Express de l’Ouest Lyonnais (TEOL), un projet structurant qui prolongera la ligne T2 sur environ 6 km, reliant l’ouest de la métropole lyonnaise au centre de Lyon via le sud de la Presqu’île.

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Pensé pour améliorer la desserte de l’ouest lyonnais, TEOL proposera une solution de transport rapide et confortable, combinant tramway de surface et tracé en tunnel (près de 50 %), avec une mise en service prévue à l’horizon 2032. Le projet ambitionne d'accueillir 50 000 à 55 000 voyageurs par jour.

Le tracé reliera le quartier de Confluence (Lyon 2e) à Alaï (Francheville / Tassin-la-Demi-Lune), en passant par Sainte-Foy-lès-Lyon, le plateau du 5e arrondissement et le carrefour Libération. Il offrira une fréquence de 5 minutes en heure de pointe et de nombreuses connexions avec les réseaux TCL (métro, tramway) et TER, notamment aux pôles de Perrache et Jean Macé.

TEOL comprendra :

• 3 km de tunnel avec 2 stations souterraines (Point du Jour, Charcot-Provinces),

• 3 stations de surface (Ménival, Libération, Alaï),

• Un nouveau pont sur la Saône avec cheminements pour les mobilités actives,

• Un pôle d’échange multimodal à Alaï, avec 300 places pour voitures et vélos.

Le projet se distingue par des défis techniques majeurs : pente de 8 %, creusement dans un terrain géotechniquement complexe (versant des Balmes), puits d’accès de plus de 70 mètres, environnement urbain dense et raccordement optimisé à la ligne T2 existante.

Cliquez-ici pour lire le communiqué de presse d'Egis

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Dans une décision rendue publique ce 3 avril, la cour administrative d’appel de Nancy a annulé les arrêtés du préfet des Ardennes autorisant l’exploitation du parc éolien du Mont des Quatre Faux, composé de 63 éoliennes.

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Le projet, porté par la SAS Parc éolien Mont des Quatre Faux, avait initialement reçu une autorisation en juin 2017 pour implanter soixante-trois éoliennes sur les communes de Bignicourt, Cauroy, Hauviné, Juniville, Neuville-en-Tourne-à-Fuy, Mont-Saint-Rémy et Ville-sur-Retourne. Cette décision avait été contestée par une association et plusieurs riverains, mais leur recours avait été rejeté en première instance par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne en 2020.

Saisie en appel, la cour de Nancy avait sursis à statuer en décembre 2022 pour permettre une régularisation du dossier, donnant lieu à un nouvel arrêté préfectoral en octobre 2023. Ce dernier n’a toutefois pas convaincu les juges.

Dans son arrêt, la cour reconnaît que certains vices initiaux ont été régularisés, mais estime que les atteintes paysagères générées par le projet restent majeures. En cause : un effet de saturation visuelle important sur plusieurs villages voisins (Cauroy, Machault, Mont-Saint-Remy, Dricourt et Pauvres), dû à la hauteur des éoliennes (200 m) et à leur implantation sur un territoire dégagé. Le relief, la végétation ou des mesures compensatoires n’étant pas de nature à atténuer cet impact, la cour juge que le projet porte une atteinte significative à l’environnement visuel des riverains.

Elle considère par ailleurs que ces atteintes ne sont pas régularisables sans une refonte majeure du projet, nécessitant une nouvelle étude d’impact.

Un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État reste possible dans un délai de deux mois.

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Depuis près de deux mois, la rue principale de Couffoulens (Aude) est le théâtre d’un important chantier. Objectif : poser une canalisation pour raccorder le village voisin de Roullens à la station d’épuration de Saint-Jean, à Carcassonne.

Commandés par Carcassonne Agglo, les travaux ont été confiés à l’entreprise Écho TP. Le chantier, prévu pour durer trois mois, avance dans les délais. Une étape technique a récemment été franchie avec succès : le franchissement en encorbellement du pont, suivi de la pose de la canalisation dans la rue Jean-Jaurès.

Pour creuser la tranchée, les équipes utilisent une trancheuse Tesmec, une machine capable d’ouvrir des tranchées larges et profondes, même en terrain rocheux – un atout essentiel sur ce secteur où le sous-sol est particulièrement très dur.

Si les conditions restent favorables, les travaux devraient être achevés d’ici un mois. Les habitants espèrent désormais qu’une réfection complète de la chaussée viendra clore ce chantier en beauté.

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Depuis 2006, le Grand Prix National de l'Ingénierie est un événement incontournable qui récompense les projets les plus innovants et à fort impact, contribuant aux grandes transitions technologiques, environnementales et sociétales.

Organisé par le ministère de la Transition Écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, en collaboration avec le Ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique ainsi que l'Académie des technologies, cet événement met en lumière les projets et innovations d'ingénierie qui contribuent aux grandes mutations industrielles et environnementales.

Le GPNI vise à récompenser les entreprises d'ingénierie qui démontrent leur capacité à concevoir des solutions innovantes, adaptées aux défis contemporains. Il met en avant l'expertise des professionnels de l'ingénierie et leur rôle crucial dans la réalisation des grandes transitions, qu'elles soient écologiques, numériques ou énergétiques.

Cette année, les entreprises pourront présenter leurs projets dans l'une des trois catégories suivantes :

• Pour une industrie décarbonée, compétitive et résiliente : Encourager les solutions techniques qui favorisent la réduction de l'empreinte carbone et la compétitivité industrielle.

• Adapter l'existant pour lutter contre les causes et effets du dérèglement climatique : Valoriser les initiatives qui permettent d'améliorer les infrastructures et systèmes existants face aux défis climatiques.

• Innover pour les transitions énergétiques et s'intégrer territorialement : Soutenir les projets qui favorisent le développement des énergies renouvelables et l'ancrage territorial des infrastructures.

Les projets les plus innovants et impactants seront distingués par trois prix, correspondant aux trois catégories mentionnées. En complément du Grand Prix, deux distinctions supplémentaires pourront être décernées aux projets jugés remarquables dans les autres catégories.

Les candidatures pour le Grand Prix National de l’Ingénierie 2025 sont acceptées jusqu’au 22 mai. 

Comment participer ?

Toutes les entreprises d'ingénierie, quel que soit leur domaine d'activité ou leur taille, sont invitées à soumettre leur candidature. Pour en savoir plus sur le règlement du concours et les modalités de participation : Cliquez-ici

Le Grand Prix National de l'Ingénierie 2025 est une occasion unique pour les entreprises de mettre en avant leur savoir-faire, démontrer leur capacité d'innovation et de contribuer activement aux transformations de demain. Ne manquez pas cette opportunité de faire briller votre ingénierie au service des grandes transitions !

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JCB élargit sa gamme de mini-pelles à zéro émission avec le lancement de la nouvelle JCB 8008E CTS électrique. Cette mini-pelle de 1 tonne vient compléter la 19C-1E au sein de la gamme de pelles compactes JCB E-TECH. 

JCB continue de renforcer son engagement en faveur de la décarbonation des chantiers avec le lancement de la JCB 8008E CTS, une mini-pelle 100 % électrique d’une tonne, qui vient étoffer la gamme compacte E-TECH, aux côtés de la 19C-1E. Cette nouvelle machine combine performances, compacité et zéro émission, tout en conservant la robustesse et l’ergonomie de son équivalent thermique, la 8008 CTS.

Un design éprouvé, une technologie maîtrisée

Extérieurement, la JCB 8008E CTS reprend la même structure, la même carrosserie et le même bras de pelle que sa version thermique. Elle conserve également les commandes à leviers traditionnelles, ce qui facilite la prise en main pour les opérateurs habitués à la gamme.

Sous le capot, le moteur thermique laisse place à une technologie électrique éprouvée issue des autres modèles JCB E-TECH : une batterie de 9,9 kWh, un convertisseur DC-DC et un onduleur alimentent une pompe hydraulique standard, assurant des performances identiques à celles de la version diesel.

Des caractéristiques clés pour plus de flexibilité

• Batterie lithium-ion de 9,9 kWh

• 
  

  Poids inférieur à 1 tonne, permettant un transport facile sur une remorque tractée par un utilitaire

• Châssis extensible pour un meilleur accès et une stabilité accrue

• Flèche tubulaire avec vérin monté sur le dessus et passage interne des flexibles

• Recharge possible en 110 V et 230 V, avec chargeur embarqué intégré

Une autonomie adaptée à une journée de travail

Avec une capacité de 9,9 kWh, la mini-pelle peut assurer une journée d’utilisation classique. Silencieuse (66 dB(A) au poste de conduite, 80 dB(A) en extérieur), elle est parfaitement adaptée aux environnements sensibles : travaux en intérieur, en tunnel ou en centre-ville.

La recharge est simplifiée grâce à une borne embarquée, accessible à l’arrière de la machine. En 230 V, la recharge de 20 à 80 % s’effectue en environ trois heures.

Des performances inchangées

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La 8008E CTS n’a rien à envier à sa version thermique. Elle offre :

• Un arrachement au godet de 9,3 kN

• Un arrachement au balancier de 4,6 kN

• Une vitesse de déplacement de 1,8 km/h

• Une force de traction de 7,75 kN

Elle est équipée en série d’un arceau TOPS avant, d’un balancier de 880 mm, d’un phare LED sur la flèche, d’un gyrophare sur canopy et d’un dispositif d’immobilisation à clé. En option, JCB propose une gamme de godets, le système JCB Livelink Lite et un gyrophare vert pour signaler le port de la ceinture de sécurité.

Un poste de conduite modernisé

Seul changement notable côté opérateur : un tableau de bord revu, intégrant un compteur de charge, un voyant bleu indiquant que la machine est en marche, un voyant vert pour la charge et un voyant rouge pour les éventuelles anomalies.

Une solution idéale pour les chantiers urbains et les loueurs

Avec zéro émission, peu d’entretien (pas de carburant, d’huile ni de filtres à remplacer) et une grande simplicité d’utilisation, la JCB 8008E CTS se positionne comme une solution idéale pour les loueurs et les interventions dans des environnements contraints.

Ce nouveau modèle renforce l’offre E-TECH de JCB, affirmant la volonté du constructeur de proposer des machines plus propres, plus silencieuses et plus économiques, sans compromis sur la performance.

« Viviana » est le premier des sept nouveaux tunneliers chargés de poursuivre le creusement du tunnel de base de la future ligne ferroviaire Lyon–Turin. Il percera les 9 kilomètres situés côté français, entre Saint-Martin-La-Porte et La Praz.

Conformément à la tradition, le tunnelier a été baptisé d’un nom féminin : Viviana, en hommage à l’épouse de Mario Virano, premier directeur général de TELT, décédé en juin 2023. La cérémonie de baptême s’est tenue en présence de la direction de TELT, de travailleurs et d’entreprises françaises et italiennes, ainsi que du ministre des Transports français, Philippe Tabarot, et du vice-président du Conseil des ministres italien et ministre des Transports, Matteo Salvini. Tous deux ont apposé leur signature sur le tunnelier, marquant symboliquement son lancement.

Viviana incarne l’excellence technologique au service du chantier de cette infrastructure européenne. Conçu, fabriqué et assemblé dans l’usine Herrenknecht à Schwanau, en Bade-Wurtemberg — la dernière usine de conception de tunneliers encore en activité en Europe — il est le fruit d’une collaboration paneuropéenne impliquant de nombreuses entreprises, dont une dizaine implantées en France et en Italie.

Long de 180 mètres, d’un diamètre de 10,4 mètres et d’un poids impressionnant de 2 300 tonnes, Viviana est parfaitement dimensionné pour relever les défis de ce projet d’envergure. Sa tête, équipée de 61 molettes, véritable « dentier » géant, broie la roche au fur et à mesure de sa progression dans la montagne. Dans son sillage, il installe les anneaux constituant le revêtement définitif du tunnel, composés de 8 voussoirs en béton armé, garantissant ainsi la stabilité de la galerie qui accueillera les trains entre la France et l’Italie.

Véritable usine itinérante montée sur 10 remorques, le tunnelier évacue la roche extraite vers la surface grâce à un convoyeur intégré, optimisant ainsi le processus d’excavation et la réutilisation des matériaux. Doté d’une puissance de 8 100 kW, Viviana progresse à un rythme de 300 à 450 mètres par mois.

Le chantier se déroulera 24 heures sur 24, avec une équipe d’environ quinze professionnels à bord du tunnelier, assurant son bon fonctionnement et supervisant l’ensemble des opérations nécessaires à l’avancement du tunnel.

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En décembre 2024, EDF Archipel Guadeloupe et le Syndicat Mixte d’Électricité de la Guadeloupe (Symeg) ont lancé un projet ambitieux d’enfouissement du réseau électrique en moyenne tension sur l’île de Marie-Galante. Ce chantier, d’une durée de deux ans, vise à renforcer la résilience du réseau face aux aléas climatiques, en particulier les cyclones, tout en contribuant à l’embellissement paysager de l’île.

Ce chantier, d’un montant estimé à environ 5 millions d’euros, a pour objectif l’enfouissement de 34 km de lignes électriques. Cela représente 85 % du réseau électrique en moyenne tension de l'île, un progrès significatif pour la sécurité énergétique de Marie-Galante. L’objectif est de réduire les risques liés aux tempêtes et cyclones qui frappent régulièrement l’archipel, en protégeant les installations électriques des intempéries.

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Le projet inclut également une dimension esthétique, car il permettra de retirer les anciens poteaux électriques de la ligne aérienne, contribuant ainsi à améliorer le paysage naturel de l’île. Ces travaux permettront de minimiser les coupures de courant dues aux conditions météorologiques extrêmes, tout en offrant une meilleure qualité de service à la population.

Les travaux sont menés par l’entreprise locale LARNEY ET FILS, une société de construction qui a choisi d'utiliser la trancheuse MARAIS GD2, un matériel performant permettant de creuser les tranchées nécessaires à l’enfouissement du câble. Cette machine permet de trancher les bas-côtés à une profondeur d’un mètre, où seront installés les câbles électriques de nouvelle génération. Ces câbles sont conçus pour durer au minimum 40 ans, garantissant ainsi la durabilité du réseau pour plusieurs décennies.

Pour Marie-Line Bassette, la directrice générale d’EDF Archipel Guadeloupe, ce projet représente un pas important vers un réseau plus résilient face aux événements climatiques violents. « L’enfouissement des lignes électriques est essentiel pour garantir une continuité de service en période de cyclones. Cela permettra non seulement de sécuriser le réseau, mais aussi de répondre aux attentes des habitants en termes de qualité de service et d’esthétique », a-t-elle déclaré.

EDF Guadeloupe, qui assure le service public de l’électricité pour l'archipel de la Guadeloupe ainsi que pour les îles du Nord (Saint-Martin, Saint-Barthélemy), est un acteur clé dans ce projet.

Le Symeg, quant à lui, joue un rôle de coordination et d’accompagnement pour les 32 communes de Guadeloupe dans la gestion du réseau d’électricité et la transition énergétique.

En conclusion, l’enfouissement de 34 km de réseau électrique à Marie-Galante représente une avancée majeure dans la modernisation du réseau énergétique de l’île, contribuant à sa résilience face aux aléas climatiques, tout en améliorant son esthétique et sa durabilité.

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Dans une dynamique de modernisation et d'optimisation du réseau d'eau potable, la Régie de L'Eau Bordeaux Métropole a souscrit un prêt de 35 millions d'euros auprès de la Banque des Territoires. Ce financement vise à renouveler et à étendre les canalisations afin d'améliorer la performance du système de distribution d'eau et de préserver cette ressource précieuse. 

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Dès 2024, la Régie a engagé le renouvellement de 20 km de canalisations. L'objectif à terme est d'atteindre un taux de renouvellement annuel de 1 % du réseau, garantissant une amélioration continue des infrastructures et une réduction des pertes en eau.

Le prêt contracté avec la Banque des Territoires constitue un levier essentiel pour concrétiser cette modernisation. Ce soutien financier permet à la Régie de L'Eau de poursuivre son engagement en faveur d'un réseau plus résilient et performant.

L'ambition de ce projet repose sur trois axes majeurs :

• Améliorer le rendement du système de distribution pour limiter les pertes en eau et optimiser les performances du réseau.

• Anticiper les défis futurs en intégrant les conséquences du changement climatique et de la croissance démographique.

• Garantir un approvisionnement optimal et durable en eau potable pour l'ensemble des usagers de Bordeaux Métropole.

Ce financement marque une avancée cruciale dans la modernisation du réseau. Pour Sylvie Cassou-Schotte, présidente de la Régie de L’Eau Bordeaux Métropole :

"Ce financement représente une avancée cruciale pour la modernisation de notre réseau. Il témoigne de notre volonté d’agir dès maintenant pour assurer un approvisionnement en eau fiable et durable à nos usagers. Chaque euro investi aujourd’hui est un pas de plus vers une gestion plus efficiente et résiliente de la ressource."

 

Avec cette initiative, Bordeaux Métropole renforce la fiabilité et la pérennité de son réseau d’eau potable, garantissant ainsi un service de qualité pour les générations actuelles et futures.

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