23/12/2024
En 2024, le Groupe Alamo a donné son feu vert pour le lancement de la phase d’agrandissement du site de production du constructeur RIVARD à Daumeray (Maine-et-Loire). Prévue pour débuter en 2025, cette initiative marque une étape décisive dans le développement de l’entreprise et la concrétisation de ses ambitions industrielles.
Acquise en 2008 par le groupe industriel américain Alamo, RIVARD bénéficie du soutien d’une structure solide regroupant une quarantaine d’entreprises réparties entre les États-Unis et l’Europe. Le projet d’agrandissement, représentant un investissement de 20 millions d’euros, prévoit de doubler la surface du site de production d’ici 2026 et de créer une centaine d’emplois supplémentaires d’ici 2029.
Baptisé "Riv’Avenir", ce projet stratégique, soutenu activement par Alamo Group Inc., reflète une volonté claire d’expansion en France et à l’international. Cet élan repose sur un savoir-faire français reconnu et une clientèle fidèle, garantissant à RIVARD un positionnement unique sur le marché. L’extension des capacités de production permettra à l’entreprise de répondre à une demande croissante et d’accélérer la mise sur le marché de ses innovations.
La société RIVARD, dirigée par Jean-Michel Thion, est un acteur incontournable dans le domaine de l’assainissement, proposant une gamme diversifiée de solutions innovantes. Parmi ses produits phares figurent des véhicules de première intervention, des unités combinées d’aspiration et de haute pression, ainsi que des équipements ATEX conçus pour des charges allant jusqu’à 32 tonnes.
L’entreprise se distingue également par son expertise technique et sa maîtrise de plusieurs compétences clés, notamment dans les domaines de l’aspiration, de la haute pression et de l’automatisme. Cette maîtrise lui permet de mener à bien des projets industriels de grande envergure et de répondre aux besoins spécifiques des entreprises de BTP, notamment pour le terrassement grâce à ses trancheuses et excavatrices par aspiration.
Une reconnaissance bien méritée. Employant actuellement plus de 300 personnes, RIVARD affiche des résultats impressionnants avec une production annuelle de 250 véhicules et un chiffre d’affaires dépassant les 50 millions d’euros. Sa réputation repose sur la qualité de ses équipements et sa capacité à répondre aux attentes des marchés les plus exigeants.
Une vision tournée vers l’avenir. Avec ce projet d’envergure, RIVARD réaffirme son ambition de rester un leader sur ses marchés tout en renforçant son positionnement en tant qu’acteur majeur de l’industrie. En s’appuyant sur le soutien du Groupe Alamo, l’entreprise entend continuer à innover et à proposer des solutions de pointe, contribuant ainsi au développement économique local et à la création d’emplois.
Josselin Poirier, Directeur Commercial et Marketing de Rivard, confirme leur présence
au Carrefour des Gestions Locales de l'Eau à Rennes, les mercredi 22 et jeudi 23 janvier 2025.
Stand 98 - Hall 4.
23/12/2024
Vendredi 20 décembre 2024, Jean-Luc Moudenc, Maire de Toulouse et Président de Toulouse Métropole, ainsi que Jean-Michel Lattes, Président de Tisséo Collectivités et de Tisséo Ingénierie, ont présenté le dernier tunnelier, "Lise Enjalbert", destiné à la Ligne C.
Le dévoilement du tunnelier sur le site de la future station Ponts-Jumeaux marque un moment symbolique dans l’avancement de ce projet d’envergure. « Il y a tout juste deux ans, nous lancions ici-même le premier chantier de génie civil de la Ligne C. Nous remercions et saluons tous ceux qui contribuent au bon avancement de ce magnifique projet ! » a déclaré Jean-Michel Lattes, Président de Tisséo Collectivités et Tisséo Ingénierie.
Lors de la présentation du dernier tunnelier, Lise Enjalbert, Loïc Thévenot, directeur du département des travaux souterrains du groupe Eiffage, a affirmé : « C'est le plus grand chantier français après celui du Grand Paris. »
La présentation des cinq tunneliers mobilisés pour la construction de la Ligne C marquera l'année. Ces machines, mesurant chacune plus de 100 mètres de long, travailleront en simultané pendant deux ans pour creuser les 22 kilomètres de galeries souterraines nécessaires à ce projet. Les tunneliers permettront de relier Colomiers Gare à Montaudran Gare - Piste des Géants, en passant par plusieurs stations stratégiques.
Le tunnelier "Lise Enjalbert" aura la particularité de passer sous le Canal Latéral à la Garonne. La voûte du tunnel sera située à moins 15 mètres sous la Garonne. Il permettra de relier le quartier des Minimes au quartier de Saint-Martin du Touch en passant par le Stade toulousain et une des entrées principales d’Airbus. Il passera aussi par la commune de Blagnac où un pôle d’échanges permettra d’assurer une correspondance
efficace et rapide avec différents modes de transport : le métro, la ligne tramway T1, la ligne Aéroport et plusieurs lignes de bus.
Les tunneliers sont des machines complexes capables de réaliser plusieurs tâches simultanément :
Ces machines se composent de deux parties principales :
Le bouclier : Situé à l’avant du tunnelier, il comprend :
Le train suiveur : Composé de plusieurs remorques, il abrite :
Un projet au service de Toulouse Métropole
La mise en service de la Ligne C s’inscrit dans le cadre du développement durable et de la mobilité douce à Toulouse. Grâce à ces cinq tunneliers, le réseau de transports toulousain se modernise pour répondre aux besoins croissants des habitants de la métropole.
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22/12/2024
Le Groupe NGE-BTP, par l'intermédiaire de son activité dédiée aux solutions numériques, NGE Connect, conçoit et commercialise PULSIO, un assistant digital accessible et intuitif. Spécialement conçu pour la gestion des équipements urbains des collectivités, PULSIO est déjà utilisé par plus d'une trentaine de communes.
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PULSIO est un assistant digital dédié au pilotage des équipements urbains des collectivités. Il a été conçu par NGE et particulièrement par NGE Connect, activité dédiée aux solutions numériques que développe le groupe de BTP. D’ores et déjà, plus d’une trentaine de collectivités l’ont adopté.
PULSIO est partenaire de l’association Mission Ecoter, présidée par Denis Thuriot, avec laquelle NGE a signé une convention en novembre dernier à l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités Locales afin de permettre aux adhérents un partage de bonnes pratiques.
NGE propose PULSIO aux petites et moyennes communes pour les accompagner dans les transitions énergétiques et numériques. Pour les collectivités, c’est une façon d’optimiser la gestion de leurs infrastructures et de faire des économies d’énergie.
PULSIO, l’assistant digital simple et accessible pour les communes : Fruit d'une collaboration étroite avec les collectivités, cette plateforme intégrée propose une approche globale et sur-mesure dans le pilotage des équipements urbains. Déjà éprouvé par une trentaine de collectivités,
PULSIO est un assistant digital simple, accessible et interopérable avec d’autres dispositifs existants. Grâce à des capteurs installés sur les infrastructures (compteurs d’eau ou d’électricité, lampadaires, radiateurs…), l'outil collecte les données et les fait remonter en temps réel sur un tableau de bord en ligne. Une interface simple, ergonomique et totalement personnalisable selon les besoins, sur laquelle les utilisateurs peuvent visualiser les données en un seul endroit et être alertés ou agir en cas d’anomalie détectée.
Une multitude d’informations peuvent être ainsi récoltées : qualité de l'air, niveaux sonores, consommations énergétiques, risques environnementaux...
La solution offre une palette de fonctionnalités adaptables : surveillance des infrastructures, optimisation des ressources, prévention des risques, amélioration du cadre de vie.…
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22/12/2024
La concertation organisée par SNCF Réseau et SNCF Gares & Connexions, préalable au projet de réouverture de la ligne ferroviaire Pau-Canfranc, débutée le 23 septembre en Béarn, s'est achevée le lundi 16 décembre 2024 à Oloron-Sainte-Marie.
Le projet de réouverture de la ligne Pau–Canfranc porte sur les aménagements et les travaux d’adaptation de l’infrastructure ferroviaire sur les 85 kilomètres de la ligne entre Pau et l’entrée du tunnel du Somport, ainsi que sur les services envisagés :
Principaux axes du projet :
Le projet inclut également la modernisation ou la suppression de passages à niveau, ainsi que des travaux de mise en accessibilité des gares sur l’ensemble du linéaire concerné.
À l’issue de la concertation volontaire, qui se termine le 20 décembre 2024, un bilan sera publié au cours du premier trimestre 2025.
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22/12/2024
Communiqué de Presse du Groupe NGE-BTP : La Compagnie Nationale du Rhône (CNR), concessionnaire du Rhône, a annoncé la désignation du groupement sous-concessionnaire chargé de la gestion du port public d’Arles pour une durée de 25 ans.
Le groupement est composé de la CCI du Pays d’Arles (mandataire), NGE Concessions, la Banque des Territoires (Groupe Caisse des Dépôts), la Caisse d’Épargne CEPAC et la Compagnie Fluviale de Transport (Groupe Sogestran).
La sous-concession du port public d’Arles, qui s’étend sur une durée de 25 ans, comprend le développement, l’exploitation, la maintenance et le gros entretien du port public d’Arles notamment pour accompagner la croissance des flux massifiés du port. Cela marque un tournant stratégique pour le port d’Arles, qui sera entièrement modernisé au cours des deux premières années du projet.
Pourquoi ce projet tient à cœur au Groupe NGE ?
NGE va par ailleurs assurer les travaux pour la modernisation et les nouveaux aménagements du port d’Arles grâce à notre offre Multimétiers très présente à Arles.
Le Groupe NGE mobilisera son expertise multimétiers pour réaliser les travaux de modernisation et les nouveaux aménagements du port public d’Arles.
Présents localement, leurs équipes auront à cœur de déployer des solutions innovantes et adaptées pour faire de ce port un acteur incontournable du transport fluvial en France.
Consulter le communiqué du Groupe NGE
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20/12/2024
La fermeture du site de production et du service après-vente (S.A.V.) des nacelles élévatrices Versalift à Morlaàs, dans les Pyrénées-Atlantiques (64), marque la fin d’une aventure industrielle de huit ans. À partir de maintenant, les nacelles Versalift seront produites à Flavigny (54), sur le site de France Élévateur, une autre entité du Groupe Time Manufacturing, un acteur majeur dans la fabrication de nacelles élévatrices à l’échelle mondiale.
Les dernières nacelles fabriquées à Morlaàs viennent tout juste d’être enlevées pour être livrées chez un client, symbolisant ainsi la clôture d’un chapitre dans l’histoire du site de Morlaàs.
Ce site, qui avait démarré en 2016 avec un bâtiment vide et une équipe à créer, a vu la production de plus de 2000 nacelles élévatrices sur porteur, destinées à des clients français et européens.
Laurent Cuyolla, à l’origine de cette aventure, revient sur ces années de travail et d’engagement : « Nous avons toujours été à l'écoute du client et du marché, en mettant l’accent sur la qualité et la réactivité dans tout ce que nous avons entrepris. » Il ajoute que bien que le site de Morlaàs ferme ses portes, la production des nacelles Versalift se poursuivra à Flavigny avec le même soin et professionnalisme.
Laurent Cuyolla remercie chaleureusement toutes les personnes ayant contribué à cette aventure. « Merci à tous ceux qui ont été impliqués de près ou de loin : clients, partenaires, fournisseurs, salariés, et collègues du groupe Time Manufacturing… », déclare-t-il.
Il tient aussi à rendre hommage à ceux qui l’ont soutenu depuis le début, notamment Odile Cuyolla Jiori et Eric Azzopardi, qui étaient présents dès la création de ce projet. Enfin, il adresse une mention spéciale à Per Torp, Kim Jensen, Charles Goffin et la Direction du Groupe Time Manufacturing pour leur soutien constant, qui ont permis de faire vivre ce projet pendant huit années.
Cette fermeture du site Morlaàs marque donc un tournant pour la production des nacelles élévatrices Versalift, qui continuera néanmoins son parcours sous l’égide du groupe Time Manufacturing, dans une nouvelle phase de croissance et de développement.
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19/12/2024
L'État a confirmé le choix du scénario du « grand gabarit » pour les voies d'accès françaises du tunnel transfrontalier Lyon-Turin. Ce projet colossal, dont le chantier du tunnel entre la France et l'Italie en Savoie est en cours, prend une nouvelle ampleur. Mais en vallée de la Maurienne, les communes les plus touchées par les travaux demandent une meilleure compensation fiscale.
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Le projet Lyon-Turin vise à relier Lyon à Turin via un tunnel à grande vitesse. Bien que le tunnel transfrontalier soit prévu pour 2033, les 120 kilomètres de voies d'accès, dont la construction débutera après trois ans d'études prévues pour 2025, n'ont pas encore franchi cette étape. Le coût estimé des voies d'accès est de 8 milliards d'euros, auxquels s'ajoutent 11,1 milliards pour le tunnel transfrontalier et 2 milliards pour les voies d'accès en Italie, portant le coût total à plus de 26 milliards d'euros selon une estimation de la Cour des comptes en 2012.
Les études pour définir le tracé des voies d'accès, comprenant viaducs et six tunnels, débuteront en 2025. Ces études, d’un coût de 164 millions d'euros, sont une étape cruciale avant les travaux. Le projet, avec ses enjeux techniques et logistiques, ambitionne de transformer les échanges ferroviaires entre la France et l'Italie.
Si ce projet est porteur de promesses économiques, il entraîne aussi des impacts considérables sur les communes de la Maurienne, particulièrement touchées par les travaux. Les élus et habitants réclament des compensations fiscales pour faire face aux nuisances liées aux chantiers. Ces compensations visent à soutenir les territoires dans la gestion des répercussions économiques et sociales du projet.
Le coût total du projet Lyon-Turin, tunnel et voies d’accès compris, est estimé à plus de 26 milliards d'euros selon les dernières évaluations de la Cour des comptes. Bien que ces chiffres puissent évoluer, le projet reste un investissement de grande envergure.
Alors que le scénario du « grand gabarit » a été validé, l'inquiétude demeure dans les vallées affectées. Les demandes de compensation fiscale deviennent un enjeu crucial pour les communes de la Maurienne, qui espèrent un soutien face aux impacts des travaux. Si le projet est prometteur à long terme, il soulève des interrogations sur la gestion des répercussions locales. Le tracé grand gabarit retenu avait la faveur des élus locaux.
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19/12/2024
Récemment, Gilles Pichon, dirigeant de SIG-IMAGE, et Cyril Michel, son directeur commercial, ont eu le plaisir de rendre visite à l’entreprise Gabarre SAS, située à Castelnau-Durban (09). Spécialisée dans les travaux publics et les réseaux, cette société est un partenaire de longue date de SIG-IMAGE. Depuis 15 ans, Gabarre SAS utilise les solutions Capitole, témoignant d’une relation basée sur la confiance et le développement commun.
Lors de cette rencontre, Laurent Saint-Pierre, responsable de Gabarre SAS, a partagé son expérience sur l’utilisation des solutions proposées. Il a notamment souligné : « Capitole nous permet de libérer de la bande passante pour nos techniciens et d'améliorer significativement notre productivité, particulièrement pour les responsables d'affaires. »
Ces propos confirment l’efficacité des outils de SIG-IMAGE, conçus pour allier simplicité d’utilisation et gain de productivité. L’intégration fluide des solutions dans le quotidien des équipes de Gabarre SAS est une source de satisfaction et de motivation pour l’équipe de SIG-IMAGE.
Au-delà des résultats concrets et des retours d'expérience, ces échanges permettent à SIG-IMAGE de :
Gilles Pichon a tenu à remercier chaleureusement l’équipe de Gabarre SAS pour leur accueil et la confiance renouvelée au fil des années. « C’est grâce à des clients comme vous que nous sommes constamment motivés à améliorer et à innover », a-t-il déclaré.
Ce partenariat exemplaire incarne la mission de SIG-IMAGE : proposer des solutions performantes, adaptées aux besoins réels des professionnels, tout en restant à l’écoute pour mieux anticiper les évolutions futures.
19/12/2024
L'édition 2024 du Baromètre Kantar/Centre d'information sur l'eau intitulé "Les Français et l'eau" révèle que la satisfaction globale des usagers du service de l'eau demeure très élevée. Cependant, la qualité de l'eau du robinet devient une préoccupation majeure. Les questions liées à l'eau et à la santé, en particulier la présence de polluants émergents, suscitent un intérêt croissant.
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Avec un taux de satisfaction globale de 88%, les Français affirment une nouvelle fois leur confiance dans le service d'eau, selon le Baromètre annuel "Les Français et l'eau"* réalisé par Kantar pour le Centre d'information sur l'eau présenté ce 5 décembre. Après une forte baisse en 2023 (-7 points), la confiance dans la qualité de l'eau du robinet reste stable à 80%, un niveau plancher observé sur les dix dernières années. Si les Français savent à la quasi-unanimité (96%) que le dispositif de contrôle de l'eau existe et que l'eau doit respecter des normes de qualité, ils ne sont plus que 78% à juger les normes suffisamment exigeantes et 67% à estimer les contrôles suffisants.
Plus de sept répondants sur dix (72%) considèrent sur les effets du dérèglement climatique ont un impact sur la qualité de l'eau du robinet (+4 points par rapport à 2023). 73% pensent désormais que le dérèglement climatique a autant d'impact sur la qualité de l'eau du robinet que la pollution des ressources en eau. Par contre, les préoccupations liées aux impacts du dérèglement climatique baissent sur presque tous les autres items (de 6 points pour la "hausse des températures" à 16 points pour "il y aura de plus en plus de sécheresses"). Sans surprise, l'enquête de terrain ayant eu lieu en période fortement pluvieuse (du 14 septembre au 18 octobre), l'item qui a le plus progressé est "il y a de plus en plus d'inondations". Cette météo particulière en 2024 dans la plupart des régions explique aussi que la crainte de manquer d'eau chute de 9 points (62% contre 71%) après deux années consécutives (2022 et 2023) à des niveaux records.
Besoin d'informations sur les polluants émergents
L'édition 2024 du baromètre met aussi en évidence l'intérêt des Français pour les sujets liés à l'eau et la santé, notamment les polluants émergents. Interrogés sur la question, 46% des Français indiquent qu'ils souhaitent être informés sur la pollution par les Pfas ou polluants éternels, désormais en quatrième position de leurs besoins d'informations, juste devant les résidus de médicaments (45%, +4points) et derrière les microplastiques (50%, +5 points), les nitrates et pesticides (54%) et les virus et bactéries (56%). Parallèlement, les actions de contrôle de la qualité menées par les collectivités et les entreprises de l'eau sont de plus en plus reconnues (76% pour les premières, +3 points et 73% pour les secondes, +4 points) tandis que la confiance accordée à celles des autorités de santé reste stable, à 79%.
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La consommation d'eau du robinet reste toujours loin devant celle de l'eau en bouteille (67% des répondants déclarent en boire quotidiennement contre 50% pour l'eau en bouteille). Parmi les raisons évoquées de la préférence pour l'eau du robinet, la praticité et le prix restent déterminants. À noter, 53% de ceux qui ne consomment pas d'eau en bouteille pointent que ce n'est pas écologique et que cela produit des déchets plastiques.
Un prix considéré "plutôt bon marché" par 50% des Français
Autre enseignement marquant du baromètre 2024 : les Français n'ont jamais été aussi nombreux à considérer le prix du service de l'eau "plutôt bon marché". Ils sont désormais 50% (+13 points en un an). Mais 79% pensent que le prix du service de l'eau va augmenter. Principales raisons invoquées : la rareté des ressources (54%), l'inflation (51%), les besoins de traitement (50%). Le traitement de l'eau est d'ailleurs largement accepté (86% de réponses favorables, +3 points). 86% des répondants se disent également satisfaits de la présentation de leur facture, 73% estimant que les postes de dépenses sont désormais détaillés de manière claire.
En termes d’anticipations, 79 % des répondants pensent que le prix de l’eau va augmenter. Parmi les principales raisons évoquées pour justifier cette hausse, figurent :
▶️ la rareté des ressources (54 %)
▶️ l’inflation (51 %)
▶️les besoins croissants en traitement de l’eau (50 %)
▶️ La rénovation des canalisations est également mentionnée par près de la moitié des Français
*Enquête menée du 5 au 23 septembre 2024 auprès de 3.041 individus âgés de 18 ans et plus, issus d'un échantillon représentatif de la population française métropolitaine. Interviews réalisées en ligne. (Source : Anne Lenormand - Banque des Territoires)
18/12/2024
Le Groupe GENDRY vient de nous annoncer avec satisfaction la fin de son chantier de Grigny (Essonne) l’un des projets les plus ambitieux et complexes qu’il ait eu l’opportunité de mener en collaboration avec BIR (Groupe BIR). Ce chantier a représenté un défi, tant sur le plan technique que sur le plan organisationnel.
Sylvain Gendry, le dirigeant du Groupe GENDRY, nous détaille le projet :
Le projet a consisté en la réalisation de 2 forages de 430 mètres de longueur, avec la pose d’un tube PEHD Ø 800 mm servant de fourreau pour la pose d’une conduite acier calorifugée Ø 350 mm, destinée à l’extension du réseau de chauffage urbain à base géothermique, une solution innovante qui s’inscrit pleinement dans la transition énergétique.
Ce projet a nécessité l'utilisation de notre équipement HK 80, ainsi que de tous les équipements de pompage, recyclage et centrifugation. Nous ferons un retour d'expérience (REX) spécifique à posteriori sur ces forages, car nous avons rencontré quelques difficultés techniques dues à la présence de roche et à un bâtiment construit sur le tracé initial.
Nous souhaitons remercier particulièrement SPL SEER pour leur confiance en nous confiant ce projet. Nous souhaitons également adresser nos remerciements à :
Nous tenons à exprimer notre gratitude à tous ceux qui ont contribué au succès de ce projet. Parmi eux, nous remercions particulièrement :
Nous remercions également nos prestataires :
Un grand merci à Antoine Davy et Mael Roumaud pour leur collaboration.
Nous sommes particulièrement fiers de participer à l’extension du réseau de chauffage urbain à Grigny ! Ce projet d’envergure va permettre de raccorder 23 000 logements dans quatre communes différentes, avec 27 km de réseau.
Ce projet illustre parfaitement l'innovation que nous intégrons au quotidien dans nos métiers et représente un bel exemple de collaboration pour mener à bien des initiatives ambitieuses.
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18/12/2024
CNSE franchit une nouvelle étape en matière d'innovation en livrant son premier conteneur aménagé sur berce, spécialement conçu pour répondre aux besoins des entreprises engagées dans une démarche écoresponsable. Ce conteneur vise à réduire l'empreinte carbone tout en garantissant performance et praticité.
Des Atouts Inégalés
Une Réponse aux Défis Écologiques
Avec cette innovation, CNSE démontre son engagement envers le développement durable et l’amélioration des conditions de travail. Ce conteneur aménagé sur berce représente une solution complète, conjuguant respect de l'environnement, performance opérationnelle et bien-être des équipes.
En s'équipant de ce conteneur, les entreprises peuvent non seulement améliorer leur productivité mais aussi affirmer leur volonté de réduire leur impact environnemental. Une avancée prometteuse vers un futur plus durable et responsable.
CNSE est spécialisé dans la fabrication de bases de vie mobiles et fixes, aménagées ou non, d'abris de décontamination, de conteneurs, de WC autonomes pour les chantiers, ainsi que dans les solutions sanitaires mobiles et fixes pour les chantiers et l’événementiel.
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18/12/2024
La trancheuse à chaîne Tesmec 985 est spécialement conçue pour répondre aux besoins des professionnels des réseaux secs et humides. Grâce à sa conception compacte et à ses performances élevées, elle s’impose comme un choix idéal pour les chantiers où l’espace est limité.
Des performances robustes pour un creusement précis
Équipée d’un moteur CAT Tier 4/Stage V de 375 ch, la Tesmec 985 offre une puissance optimale pour les travaux de creusement exigeants. Son dispositif de compensation automatique du dévers au niveau du train de chenilles garantit une stabilité accrue sur les terrains irréguliers.
Elle peut atteindre des profondeurs de creusement de 183 cm et propose des largeurs variables entre 30 et 71 cm, grâce à ses outils simples ou à double chaîne. L’équipement de creusement est déportable à droite ou à gauche, offrant une flexibilité maximale selon les contraintes du chantier.
Gestion efficace des déblais et transport simplifié
Son convoyeur central monté sur la machine facilite le chargement des déblais directement dans des camions placés devant la trancheuse. Cette configuration réduit l’espace occupé par l’ensemble et optimise l’organisation du chantier. Pour simplifier son transport, le convoyeur se replie
entièrement sur la machine.
Confort et sécurité de l’opérateur
La cabine ROPS pressurisée assure un environnement de travail sécurisé et confortable. Elle est équipée d’air conditionné, de chauffage et d’une isolation phonique. Pour une visibilité optimale, la cabine peut être surélevée, permettant à l’opérateur de superviser les opérations avec précision.
La trancheuse Tesmec 985 intègre plusieurs systèmes technologiques de pointe :
En combinant puissance, précision et technologies avancées, la trancheuse à chaîne Tesmec 985 se distingue comme un équipement incontournable pour les professionnels à la recherche de performances fiables et d’une productivité optimale sur les chantiers les plus complexes.
Groupe Marais