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Une offre intégrée

25/05/2025

Une offre intégrée

Depuis 2024, NGE ÉNERGIES SOLUTIONS, filiale du Groupe NGE, renforce sa présence sur le marché des réseaux secs en accompagnant les maîtres d’ouvrage publics et privés dans la conception, la réalisation et le pilotage de leurs infrastructures électriques et numériques.

 

Forte d’un maillage national dense et d’une implantation locale structurée, l’entreprise propose des solutions techniques sur mesure, adaptées aux spécificités de chaque territoire. Une approche pragmatique et de terrain, alignée avec les besoins croissants en infrastructures durables et intelligentes.

 

Une offre intégrée et tournée vers la transition écologique

 

Face aux enjeux de transition énergétique et numérique, le Groupe NGE a structuré une offre lisible, combinant des expertises complémentaires déjà mobilisées sur de nombreux projets : IRVE, marchés globaux de performance, aménagements connectés, etc.

 

Cette nouvelle organisation regroupe au sein de NGE ÉNERGIES SOLUTIONS :

  • les activités « énergies » historiquement développées par LACIS ;

  • les solutions « digitales et ville intelligente » portées par NGE Connect.

 

« Proposer dans une même offre la construction d’infrastructures, le recueil et l’analyse des données, ainsi que le pilotage des équipements, répond aux attentes des donneurs d’ordre et incarne notre culture multimétiers. » — Stéphane Perez, Directeur général délégué de NGE

 

Trois domaines d’intervention

  • Réseaux électriques : réalisation de réseaux BT et HTA, en aérien et en souterrain, y compris pour des sites industriels.

  • Aménagement urbain : éclairage public, SLT, bornes de recharge, vidéosurveillance, mobilier connecté, etc.

  • Télécommunications : déploiement de réseaux fibre optique (FTTH, montée en débit, liaisons longues distances), équipements dynamiques et supervision.

 

« Avec ce nouvel ensemble, nous proposons des offres ciblées, adaptées aux besoins et aux budgets de nos clients, qu’il s’agisse d’optimiser l’existant ou de construire de nouvelles infrastructures. » — Jean-Baptiste Gonnet, Président de NGE Connect

 

 

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4 nouveaux contrats d’achat

25/05/2025

4 nouveaux contrats d’achat

Le Groupe iliad annonce la signature de quatre nouveaux contrats d’achat d’énergies renouvelables (Power Purchase Agreements - PPA), répartis entre la France, l’Italie et la Pologne. Ces nouveaux projets viennent renforcer la stratégie énergétique du Groupe, qui compte désormais huit PPA en Europe, en droite ligne avec les engagements de son Plan Climat lancé en 2021.

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Avec ces contrats couvrant des périodes de 10 à 15 ans, iliad sécurise un approvisionnement en énergie bas carbone à des prix stables et compétitifs, dans un contexte marqué par la volatilité des prix de l’électricité. Cette démarche s’inscrit dans la volonté du Groupe de conjuguer durabilité environnementale et maîtrise des coûts énergétiques à long terme.

 

En France, le Groupe franchit une nouvelle étape en signant son premier PPA éolien, qui vient compléter son portefeuille solaire. Grâce à l’ensemble des quatre PPA français signés depuis 2023, 16 % de sa consommation énergétique nationale sera couverte par des énergies renouvelables dès 2027.

 

En Italie et en Pologne, les deux pays les plus carbonés de sa zone d’implantation, iliad continue de diversifier son mix énergétique tout en contribuant à la décarbonation locale. Les PPA signés en 2024 permettront de couvrir 21 % de la consommation énergétique en Italie et 13 % en Pologne dès 2026, avec un objectif ambitieux de 50 % d’ici 2035.

 

Tous les nouveaux projets bénéficient du label EKOenergy, garantissant une production respectueuse de la biodiversité et des communautés locales. Ce label, déjà attribué aux précédents PPA d’iliad, témoigne de la rigueur environnementale intégrée dans la sélection des projets.

 

« Un groupe européen comme le Groupe iliad doit penser ses approvisionnements énergétiques à l’échelle européenne, avec une même ligne de conduite : priorité partout aux énergies bas carbone et à la sécurisation de nos approvisionnements sur le long terme ! (…) Le Groupe iliad fait ici la preuve que le secteur des télécoms sait penser son développement de manière durable et responsable, » a déclaré Thomas Reynaud, Directeur Général du Groupe iliad.

 

Avec ces nouvelles signatures, iliad double le nombre de ses PPA et poursuit résolument la trajectoire vers une transition énergétique durable à l’échelle européenne.

 

Cliquez-ici pour consulter le communiqué

 

 

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Reprise de GEFOR par INFRA

23/05/2025

Reprise de GEFOR par INFRA

Communiqué – Les activités des sociétés GEFOR, GEFOR Lux, GEFOR Aspi (prestations et location d'aspiratrices-excavatrices) et GEFOR Forage (prestations et location de foreuses dirigées) ont été officiellement reprises par le Groupe INFRA

 

Dans le cadre de cette transition, Monsieur Mario Mathonet a quitté ses fonctions à compter du 15 mai 2025, et Monsieur François Teheux les quittera à compter du 31 mai 2025.

 

Le site internet https://geforforage.com regroupe désormais l’ensemble des activités de l’entreprise : forage dirigé et terrassement par aspiration.

 

Les nouveaux interlocuteurs sont :

 

Pour l’activité Forage dirigé :
M. Steven Forthomme
Tél. : +32 470 10 55 66
E-mail : steven.forthomme@geforforage.com

 

Pour l’activité Aspiration :
M. Ronny Ceulemans
Tél. : +32 475 97 95 30
E-mail : ronny.ceulemans@geforforage.com

 

Depuis sa création en 2008, GEFOR s’est imposée comme un acteur incontournable dans les domaines du forage dirigé et du terrassement par aspiration. Son expertise technique et son exigence en matière de qualité lui permettent de proposer des solutions fiables, adaptées aux besoins spécifiques des projets d’infrastructure.

 

Le Groupe INFRA, quant à lui, pose les fondations de demain. Chaque jour, il conçoit de nouvelles connexions – au sens propre comme au sens figuré. De la fibre optique aux réseaux de chaleur, des conduites d’eau à l’infrastructure ferroviaire, INFRA développe des solutions intelligentes et durables pour le cadre de vie d’aujourd’hui et des générations futures.

BAB TP renforce ses capacités

23/05/2025

BAB TP renforce ses capacités

L’entreprise BAB TP, filiale du Groupe CASTILLON, poursuit le développement de ses moyens techniques avec l’acquisition d’une nouvelle aspiratrice-excavatrice MTS DINO 12, montée sur châssis MAN. Ce nouvel équipement vient renforcer un parc désormais constitué de quatre camions aspirateurs de marque MTS, illustrant la volonté de l’entreprise de maintenir un haut niveau d’exigence en matière de sécurité, de performance et d’innovation.

 

Spécialisée dans la construction et la maintenance de réseaux électriques et gaz, BAB TP est implantée à Anglet (64) et s’est imposée comme un acteur incontournable dans le domaine des réseaux d’énergie sur la côte basque. Forte de plus de 30 années de collaboration avec ENEDIS et GRDF, l’entreprise intervient en milieux sensibles et urbains, où elle privilégie les méthodes douces de terrassement. L’utilisation de l’aspiration permet de réaliser des tranchées avec un minimum de nuisance et un risque réduit d’endommagement des réseaux existants.

 

Cette montée en puissance technique s’inscrit dans une stratégie globale d’efficacité opérationnelle et de respect de l’environnement. BAB TP dispose notamment, sur son site d’Anglet, d’une unité de criblage-chaulage EDS capable de traiter jusqu’à 50 tonnes par heure. Cette installation permet de valoriser les déblais issus des tranchées, en les criblant et en les amendant à la chaux avant réutilisation, contribuant ainsi à réduire l’empreinte environnementale des chantiers.

 

Les domaines de compétence de l’entreprise couvrent un large spectre :

  • Réseaux aériens et souterrains (BTA, HTA, HTB) : dépose, construction, liaisons, raccordements ;

  • Réseaux gaz : déroulage, tirage, essais, mise en gaz ;

  • Éclairage public.

 

À l’occasion de la mise en service de la MTS DINO 12, la direction de BAB TP a publiquement félicité JLB FORMATION, prestataire en charge de la formation à l’utilisation de l’engin, saluant la qualité et le professionnalisme de l’accompagnement délivré.

 

A propos du Groupe CASTILLON

BAB TP fait partie du Groupe CASTILLON, entreprise familiale de taille intermédiaire (ETI) implantée en région Nouvelle-Aquitaine. Le groupe, dont les racines remontent à Saint-Palais (64), regroupe aujourd’hui neuf entreprises spécialisées dans les travaux publics, le bâtiment et la revalorisation des matériaux. Grâce à une croissance maîtrisée, à la fois organique et externe, le groupe est devenu un acteur de référence du BTP dans le Sud-Ouest, reconnu pour son ancrage territorial, sa technicité et ses valeurs humaines.

 

 

Vinci se désengage

23/05/2025

Vinci se désengage

Cobra IS, filiale du groupe VINCI spécialisée dans les infrastructures énergétiques, annonce la cession de sa participation de 50 % dans la société brésilienne Mantiqueira Transmissora. Cette entité est chargée de l’exploitation de la ligne à haute tension du même nom, développée dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP). L’opération, d’un montant d’environ 130 millions d’euros, permet au fonds canadien Brookfield de devenir l’unique actionnaire de la société.

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Attribué à Cobra IS en 2016 à l’issue d’un appel d’offres public, le projet Mantiqueira s’est concrétisé par la construction d’une ligne de 1 200 kilomètres de long, dotée de 18 sous-stations, traversant 50 municipalités dans l’État brésilien du Minas Gerais. La mise en service, intervenue en 2022, a respecté les délais et les standards contractuels, malgré les perturbations liées à la pandémie de Covid-19. À son pic, le chantier a mobilisé jusqu’à 3 800 travailleurs, majoritairement recrutés localement.

 

Conformément aux accords conclus, Cobra IS continuera d’assurer l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure. Cette transaction illustre le savoir-faire technique de l’entreprise dans la réalisation de projets complexes de transport d’énergie, tout en s’inscrivant dans sa stratégie de rotation d’actifs. En effet, depuis 2023, Cobra IS a déjà cédé à Brookfield ses participations dans deux autres projets de PPP brésiliens : Sertaneja et Chimarrao.

 

Au total, le produit cumulé de ces trois cessions atteint environ 1,8 milliard de reals brésiliens, soit près de 300 millions d’euros. Une opération structurante pour Cobra IS, qui renforce ainsi sa capacité à réinvestir dans de nouveaux projets stratégiques tout en valorisant les actifs développés dans le temps.

 

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Un chantier spectaculaire

22/05/2025

Un chantier spectaculaire

Un chantier spectaculaire s’est récemment achevé au nord de Paris, marquant une étape clé dans la construction de la ligne 17 du Grand Paris Express. Un viaduc en acier de 200 mètres de long a été installé avec succès au-dessus des autoroutes A1 et A3, entre Gonesse (Val-d’Oise) et Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Cette opération hors norme, réalisée pour le compte de la Société du Grand Paris, a été conduite par les entreprises NGE et Cimolai, et constitue une prouesse technique majeure.

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Préassemblé sur une plateforme dédiée à Gonesse, l’ouvrage a été déplacé jusqu’à son emplacement définitif par lançage, lors de quatre nuits consécutives – les 14, 15, 19 et 20 mai 2025 – entre 22h30 et 4h30. Cette fenêtre nocturne, soigneusement choisie, a permis de limiter l’impact sur le trafic et d’assurer la sécurité des équipes. Pour l’occasion, les autoroutes A1 et A3, parmi les plus fréquentées de la région Île-de-France, ont été intégralement fermées à la circulation.

 

Le viaduc repose sur six piles fondées sur pieux, dont cinq implantées en bordure ou au centre des voies autoroutières. Ce franchissement s’inscrit dans la continuité d’une opération tout aussi impressionnante menée durant le week-end de Pâques, avec la pose de trois tronçons de viaduc au-dessus des voies du RER B, également sous interruption temporaire du trafic.

 

Au-delà de sa dimension spectaculaire, ce chantier illustre l’ambition et la complexité du projet Grand Paris Express. Véritable colonne vertébrale des mobilités futures en Île-de-France, la ligne 17 jouera un rôle stratégique dans le développement du territoire. Ce viaduc monumental en est un symbole fort : celui d’un ouvrage d’ingénierie audacieux, conçu pour répondre aux exigences d’un projet hors norme, et mené à bien grâce à la mobilisation et à l’expertise des acteurs du BTP.

 

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Pour sortir de l’impasse

22/05/2025

 Pour sortir de l’impasse

Dans un rapport parlementaire, les députés Marie-Noëlle Battistel (PS) et Philippe Bolo (MoDem) proposent une réforme en profondeur du régime juridique encadrant les barrages hydroélectriques en France. Objectif : sortir de l’impasse réglementaire qui freine depuis plus de vingt ans les investissements dans ce secteur clé de la transition énergétique.

 

Les rapporteurs préconisent de transformer le régime actuel des concessions en un régime d’autorisations, déjà utilisé pour les petites installations. Ce changement permettrait de contourner l’obligation de mise en concurrence imposée par le droit européen, à l’origine de plusieurs procédures ouvertes par la Commission européenne contre la France, notamment pour la position dominante d’EDF (70 % de la capacité installée) et le non-renouvellement des concessions arrivées à échéance.

 

Au 31 décembre 2025, 61 des 340 concessions seront expirées, représentant environ 90 % de la capacité hydroélectrique nationale. Cette incertitude juridique empêche les exploitants de planifier de nouveaux investissements.

 

Les députés proposent également de qualifier les barrages d’ouvrages publics dans la loi, à l’instar des aéroports, et appellent à une révision de la directive européenne sur les concessions pour exclure explicitement l’activité hydroélectrique — une réforme qui pourrait prendre au moins cinq ans.

 

Enfin, ils rejettent la création d’un dispositif type Arenh pour l’hydroélectricité, estimant qu’il risquerait d’aboutir à une forme de privatisation indirecte. D'autres solutions sont à l'étude pour répondre aux exigences du droit communautaire, tout en préservant l'intérêt général.

 

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Nouveau cap dans la transition

22/05/2025

Nouveau cap dans la transition

Le gestionnaire de réseau gazier veut franchir un nouveau cap dans la transition énergétique en misant sur des intrants sous-exploités et des technologies de rupture. Objectif : renforcer la production de biométhane injecté dans ses réseaux.

 

Face aux défis de la transition énergétique, GRDF accélère son engagement en faveur du gaz renouvelable. Le gestionnaire de réseau a récemment lancé un appel à projets national intitulé « Innover pour valoriser la biomasse et améliorer la performance économique des méthaniseurs ». Une initiative qui vise à soutenir le développement de solutions technologiques innovantes pour améliorer la performance des installations et diversifier les ressources mobilisables.

 

GRDF s’est fixé un objectif ambitieux : atteindre 20 % de gaz renouvelable injecté dans ses réseaux d’ici 2030, en cohérence avec les ambitions de neutralité carbone portées par l’État. En 2024, 627 sites de méthanisation injectaient déjà 7,2 TWh de biométhane dans le réseau GRDF, confirmant l’essor d’une filière en pleine structuration.

 

Mais pour changer d’échelle, il devient essentiel d’accroître la productivité des installations existantes tout en mobilisant de nouvelles ressources, encore peu exploitées aujourd’hui.

 

Ouvert jusqu’au 30 juin 2025, l’appel à projets s’articule autour de deux axes stratégiques :

 

  • Valoriser les intrants complexes
    Certains substrats, comme les déchets riches en lignine (résidus végétaux ligneux), les fumiers bruts ou les boues issues de stations d’épuration, présentent un fort potentiel mais restent difficiles à traiter. L’appel à projets vise à stimuler le développement de solutions de prétraitement (thermiques, chimiques, biologiques ou mécaniques) et de nouvelles méthodes de stockage permettant de réduire la présence d’inhibiteurs tels que l’ammoniac ou les composés soufrés.

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  • Développer des technologies de rupture
    GRDF souhaite également faire émerger des innovations de fond : digesteurs à haut rendement, optimisations biologiques, ou nouvelles briques technologiques facilitant l’industrialisation et la montée en échelle. L’enjeu : améliorer la fiabilité, l’efficacité énergétique et la compétitivité économique des unités de méthanisation.

 

L’appel à projets s’adresse à une grande variété d’acteurs : start-up, laboratoires de recherche, industriels, bureaux d’études et centres techniques. Les candidats peuvent postuler seuls ou en consortium. Les projets en phase de recherche amont (TRL 2 à 4) sont également éligibles, à condition d’être accompagnés par un centre de recherche reconnu.

 

Les candidatures seront examinées par un jury GRDF, sur la base de critères techniques, économiques et d’innovation.

 

GRDF prévoit de mobiliser jusqu’à 300 000 euros pour soutenir les projets sélectionnés. Au-delà du financement, les porteurs bénéficieront d’un accompagnement technique ainsi que d’une mise en visibilité renforcée au sein de la filière gaz vert, un atout stratégique pour l’industrialisation des innovations.

 

Avec cet appel à projets, GRDF confirme son rôle de catalyseur d’innovation et sa volonté de construire, aux côtés des acteurs du territoire, un avenir énergétique plus durable et plus local.

 

👉 Pour en savoir plus et déposer un dossier

 

 

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Projet à 25 milliards de dollars

21/05/2025

Projet à 25 milliards de dollars

Malgré des défis persistants en matière de financement et d’infrastructures, le projet stratégique de gazoduc Nigeria–Maroc poursuit sa progression avec détermination, s’imposant comme l’un des plus vastes chantiers énergétiques du continent africain. C’est ce qu’a confirmé cette semaine Leila Benali, ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, lors d’une session parlementaire.

                                                                                                                                                                          Sponsors d'Intertas.info

Entré dans une phase décisive, le projet voit actuellement la mise en place d’une société à but spécifique entre Rabat et Abuja, étape préalable à la décision finale d’investissement, attendue d’ici fin 2025.

 

Estimée à 25 milliards de dollars, cette infrastructure de 6 000 kilomètres, traversant 14 pays africains, ambitionne de fournir du gaz naturel à près de 400 millions de personnes, tout en faisant du Maroc un hub énergétique régional interconnectant l’Europe, l’Afrique et l’Atlantique.

 

En parallèle, le Maroc développe sa propre dorsale gazière nationale, avec un axe stratégique reliant Nador à Dakhla, en passant par Kénitra et Mohammedia, en vue de l’intégrer au gazoduc continental.

 

Selon l’expert international Abdeslam Mallaoui, le projet a franchi d’importantes étapes, notamment les études de faisabilité, le tracé optimal et la signature d’accords intergouvernementaux. Il souligne les travaux en cours sur la partie marocaine, incluant des levés topographiques et un terminal GNL à Nador.

 

Pour l’expert en énergie Amine Bennouna, le projet entre désormais dans une phase critique de structuration financière, avec la définition d’un plan d’affaires, l’identification des besoins en capital, et l’implication d’investisseurs internationaux, dont des partenaires émiratis et une banque africaine de l’énergie.

 

Outre son impact énergétique, le projet Nigeria–Maroc revêt une forte dimension géopolitique, en créant une alternative stratégique pour l’acheminement du gaz nigérian vers l’Europe, tout en renforçant l’intégration régionale et la sécurité énergétique en Afrique de l’Ouest.

 

L’échéance de 2025 pour l’investissement final approche, marquant une étape décisive pour un projet d’envergure continentale et aux retombées durables.

 

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Une impasse financière

21/05/2025

Une impasse financière

Alors que le Plan France Très Haut Débit affiche un taux de couverture supérieur à 90 %, les réseaux d’initiative publique (RIP), qui ont permis de connecter les zones rurales, se retrouvent dans une impasse financière. Déficits d’exploitation, recettes en berne, contrats déséquilibrés : plusieurs territoires tirent la sonnette d’alarme.

                                                                                                                                                                      Sponsor d'Intertas.info

Derrière le bilan flatteur du Plan France Très Haut Débit – plus de 90 % du territoire désormais couvert en fibre optique – se cache une réalité moins reluisante : celle des RIP, ces réseaux financés par l’État et les collectivités pour desservir les zones jugées non rentables par les opérateurs privés. Après la phase de déploiement, souvent saluée pour sa rapidité, ces infrastructures entrent aujourd’hui dans une phase critique : l’exploitation, où les équilibres économiques s’avèrent de plus en plus précaires.

 

Dans certains départements, les alertes se multiplient. En Charente, le président du syndicat mixte Charente Numérique, Thibaut Simonin, ne cache plus son inquiétude : « Il y a deux semaines, je suis passé à ça de la cessation de paiement. Je ne suis même pas sûr de pouvoir monter le budget de l’année prochaine. » Le réseau a coûté 195 millions d’euros à construire, soit 20 millions de plus que prévu, un dépassement budgétaire que l’État refuse de compenser. Conséquence : les collectivités locales doivent souscrire de nouveaux emprunts pour rembourser les anciens, mettant en péril la soutenabilité du modèle.

 

Le phénomène n’est pas isolé. Selon une enquête de la Cour des comptes, neuf RIP sur dix ont connu un dépassement de leurs coûts initiaux. Et dans la plupart des cas, les revenus générés restent en deçà des projections. La transition des abonnés vers la fibre, plus lente qu’espérée, explique en partie ce retard à l’allumage. Mais d’autres éléments structurels viennent fragiliser ces réseaux.

 

Parmi eux, les contrats passés avec les opérateurs commerciaux. Dans certains territoires, ces derniers bénéficient de droits d’usage sur 20 ans, renouvelables pour un euro symbolique. Une clause aujourd’hui remise en question, notamment en Ariège. À cela s’ajoutent des loyers d’usage très faibles – environ 5 euros par abonné – qui ne permettent pas aux structures porteuses d’atteindre l’équilibre.

 

« Nous avons fait des simulations à moyen terme, et les comptes n’y sont pas », résume Walter Martin, président du RIP de l’Ain. Une phrase qui résonne comme un constat partagé par de nombreux élus locaux, confrontés à une impasse budgétaire.

 

Face à cette situation, la présidente de l’Arcep, Laure de La Raudière, a inscrit la question de la viabilité des RIP dans son plan stratégique 2030. Une révision des tarifs est attendue d’ici fin 2025. Mais elle prévient : « Le régulateur ne peut pas résoudre seul l’ensemble de ces problématiques », rappelant la diversité des situations locales.

 

De leur côté, les opérateurs télécoms, par la voix de leur fédération, se disent prêts à engager le dialogue. Mais pour de nombreux territoires, l’urgence est là. Comme l’a résumé avec gravité le sénateur Patrick Chaize, en ouverture de la conférence de printemps de l’Avicca : « Le prochain pas, on saute. »

 

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Nouvelles perspectives

21/05/2025

Nouvelles perspectives

Scania étoffe sa gamme de chaînes cinématiques Super avec le lancement du moteur Super 11, une innovation qui allie performance, légèreté et efficacité énergétique. Ce nouveau moteur de 11 litres, positionné entre les moteurs 9 et 13 litres, propose jusqu’à 7 % d’économies de carburant par rapport à l’actuel moteur 9 litres, tout en étant 85 kg plus léger que le moteur Super 13.

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Conçu pour répondre aux besoins des applications sensibles au poids et à la consommation énergétique, le Super 11 offre aux transporteurs une solution performante et flexible, sans compromis sur la fiabilité et la qualité emblématiques de Scania.

 

Disponible en trois puissances – 350, 390 et 430 chevaux – et conforme aux normes Euro 4, 5 et 6, ce moteur partage 85 % de ses composants avec le Super 13, moteur reconnu pour sa robustesse.

 

« Le Super 11 ouvre de nouvelles perspectives pour un transport plus économe et durable. Il est plus léger, plus sobre et parfaitement adaptable, tout en conservant la fiabilité qui fait la réputation de Scania. C’est un choix intelligent pour les opérateurs soucieux d’équilibrer performance, charge utile et durabilité », déclare Ayyoob Zarmehri, Chef de produit Ventes et marketing camions chez Scania.

 

Grâce à des intervalles d’entretien allongés jusqu’à 30 % avec l’utilisation de l’huile moteur LDF-5, le Super 11 augmente la disponibilité des véhicules et réduit les coûts d’exploitation. Son architecture intègre des technologies avancées, telles que le calage variable des soupapes, un logiciel moteur optimisé, un système de frein moteur puissant et un dosage breveté du turbo pour une meilleure gestion de l’AdBlue.

Le Super 11 est compatible avec les carburants HVO et FAME, permettant ainsi aux opérateurs de réduire leur empreinte carbone sans investissements supplémentaires.

 

Ce moteur polyvalent répond à de nombreuses applications : transport de bennes, de carburants, collecte des déchets, transport sous température dirigée, dépannage, ou encore véhicules équipés de bras ampliroll.

 

« Ce moteur incarne la nouvelle génération du transport intelligent, alliant ingénierie de pointe et efficacité opérationnelle, en ville comme sur longue distance », conclut Ayyoob Zarmehri.

 

Le moteur Super 11 sera disponible à la vente à partir de juin 2025.

Vols de matériels

20/05/2025

Vols de matériels

La Fédération DLR annonce la mise à disposition d’un document d’aide au dépôt de plainte, élaboré en collaboration avec les forces de l’ordre. Ce document a pour objectif d’aider les entreprises à structurer leurs déclarations de vol de manière conforme, afin de renforcer l’efficacité de la lutte contre le vol de matériels – un fléau en constante progression qui affecte durement le secteur.

 

La lutte contre les vols de matériels constitue un enjeu majeur pour la profession. Il est donc essentiel de disposer d’un processus clair et rigoureux pour signaler chaque vol. Le document d’aide élaboré conjointement par la Fédération DLR et le Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) s’inscrit dans cette démarche. Il fournit des instructions précises pour le dépôt de plainte, en veillant à ce que toutes les informations utiles soient réunies et transmises aux autorités compétentes.

 

L’objectif principal est de garantir que chaque plainte soit correctement enregistrée dans la base nationale FOVeS (Fichier des Objets et Véhicules Signalés). Un dépôt de plainte bien renseigné permettra aux forces de l’ordre de croiser les données, de cibler les contrôles et, in fine, de lutter plus efficacement contre la circulation illégale des matériels volés, y compris à l’échelle européenne.

                                                                                                                                                                        Sponsor d'Intertas.info

Un dépôt de plainte structuré et conforme est crucial pour plusieurs raisons :

  • Efficacité dans le traitement des plaintes : un document complet facilite le travail des forces de l’ordre, leur permettant d’intervenir plus rapidement et de manière plus ciblée.

  • Prévention des récidives : une meilleure organisation des données au sein du registre national permet d’identifier des tendances et de mettre en place des actions préventives pour dissuader les voleurs.

  • Renforcement de la coopération européenne : la lutte contre le vol de matériels ne s’arrête pas aux frontières. Un bon partage d’informations au sein de l’Union européenne – voire au-delà – améliore considérablement les chances de retrouver les matériels volés.

 

Le fruit d’une collaboration efficace

Ce document est le résultat d’un travail conjoint de près de deux ans entre la Fédération DLR et les autorités compétentes. Il illustre l’engagement fort des deux parties à lutter contre ce phénomène préoccupant. Dans un contexte économique déjà tendu, la protection des actifs des entreprises doit rester une priorité.

 

Structuré et facilement accessible, ce document s’inscrit dans les initiatives de la Fédération pour contrer les vols de matériels, témoignant de sa volonté d’apporter des solutions concrètes et efficaces aux entreprises du secteur. Toutes les entreprises, qu’elles soient adhérentes ou non à DLR, sont invitées à s’en saisir et à intégrer ses recommandations dans leurs procédures de dépôt de plainte. Elles contribueront ainsi activement à une lutte qui concerne l’ensemble de la profession.

 

Cliquez-ici pour accéder à ce document d’aide 

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