23/05/2025
Cobra IS, filiale du groupe VINCI spécialisée dans les infrastructures énergétiques, annonce la cession de sa participation de 50 % dans la société brésilienne Mantiqueira Transmissora. Cette entité est chargée de l’exploitation de la ligne à haute tension du même nom, développée dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP). L’opération, d’un montant d’environ 130 millions d’euros, permet au fonds canadien Brookfield de devenir l’unique actionnaire de la société.
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Attribué à Cobra IS en 2016 à l’issue d’un appel d’offres public, le projet Mantiqueira s’est concrétisé par la construction d’une ligne de 1 200 kilomètres de long, dotée de 18 sous-stations, traversant 50 municipalités dans l’État brésilien du Minas Gerais. La mise en service, intervenue en 2022, a respecté les délais et les standards contractuels, malgré les perturbations liées à la pandémie de Covid-19. À son pic, le chantier a mobilisé jusqu’à 3 800 travailleurs, majoritairement recrutés localement.
Conformément aux accords conclus, Cobra IS continuera d’assurer l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure. Cette transaction illustre le savoir-faire technique de l’entreprise dans la réalisation de projets complexes de transport d’énergie, tout en s’inscrivant dans sa stratégie de rotation d’actifs. En effet, depuis 2023, Cobra IS a déjà cédé à Brookfield ses participations dans deux autres projets de PPP brésiliens : Sertaneja et Chimarrao.
Au total, le produit cumulé de ces trois cessions atteint environ 1,8 milliard de reals brésiliens, soit près de 300 millions d’euros. Une opération structurante pour Cobra IS, qui renforce ainsi sa capacité à réinvestir dans de nouveaux projets stratégiques tout en valorisant les actifs développés dans le temps.
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22/05/2025
Un chantier spectaculaire s’est récemment achevé au nord de Paris, marquant une étape clé dans la construction de la ligne 17 du Grand Paris Express. Un viaduc en acier de 200 mètres de long a été installé avec succès au-dessus des autoroutes A1 et A3, entre Gonesse (Val-d’Oise) et Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Cette opération hors norme, réalisée pour le compte de la Société du Grand Paris, a été conduite par les entreprises NGE et Cimolai, et constitue une prouesse technique majeure.
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Préassemblé sur une plateforme dédiée à Gonesse, l’ouvrage a été déplacé jusqu’à son emplacement définitif par lançage, lors de quatre nuits consécutives – les 14, 15, 19 et 20 mai 2025 – entre 22h30 et 4h30. Cette fenêtre nocturne, soigneusement choisie, a permis de limiter l’impact sur le trafic et d’assurer la sécurité des équipes. Pour l’occasion, les autoroutes A1 et A3, parmi les plus fréquentées de la région Île-de-France, ont été intégralement fermées à la circulation.
Le viaduc repose sur six piles fondées sur pieux, dont cinq implantées en bordure ou au centre des voies autoroutières. Ce franchissement s’inscrit dans la continuité d’une opération tout aussi impressionnante menée durant le week-end de Pâques, avec la pose de trois tronçons de viaduc au-dessus des voies du RER B, également sous interruption temporaire du trafic.
Au-delà de sa dimension spectaculaire, ce chantier illustre l’ambition et la complexité du projet Grand Paris Express. Véritable colonne vertébrale des mobilités futures en Île-de-France, la ligne 17 jouera un rôle stratégique dans le développement du territoire. Ce viaduc monumental en est un symbole fort : celui d’un ouvrage d’ingénierie audacieux, conçu pour répondre aux exigences d’un projet hors norme, et mené à bien grâce à la mobilisation et à l’expertise des acteurs du BTP.
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22/05/2025
Face aux défis de la transition énergétique, GRDF accélère son engagement en faveur du gaz renouvelable. Le gestionnaire de réseau a récemment lancé un appel à projets national intitulé « Innover pour valoriser la biomasse et améliorer la performance économique des méthaniseurs ». Une initiative qui vise à soutenir le développement de solutions technologiques innovantes pour améliorer la performance des installations et diversifier les ressources mobilisables.
GRDF s’est fixé un objectif ambitieux : atteindre 20 % de gaz renouvelable injecté dans ses réseaux d’ici 2030, en cohérence avec les ambitions de neutralité carbone portées par l’État. En 2024, 627 sites de méthanisation injectaient déjà 7,2 TWh de biométhane dans le réseau GRDF, confirmant l’essor d’une filière en pleine structuration.
Mais pour changer d’échelle, il devient essentiel d’accroître la productivité des installations existantes tout en mobilisant de nouvelles ressources, encore peu exploitées aujourd’hui.
Ouvert jusqu’au 30 juin 2025, l’appel à projets s’articule autour de deux axes stratégiques :
Valoriser les intrants complexes
Certains substrats, comme les déchets riches en lignine (résidus végétaux ligneux), les fumiers bruts ou les boues issues de stations d’épuration, présentent un fort potentiel mais restent difficiles à traiter. L’appel à projets vise à stimuler le développement de solutions de prétraitement (thermiques, chimiques, biologiques ou mécaniques) et de nouvelles méthodes de stockage permettant de réduire la présence d’inhibiteurs tels que l’ammoniac ou les composés soufrés.
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Développer des technologies de rupture
GRDF souhaite également faire émerger des innovations de fond : digesteurs à haut rendement, optimisations biologiques, ou nouvelles briques technologiques facilitant l’industrialisation et la montée en échelle. L’enjeu : améliorer la fiabilité, l’efficacité énergétique et la compétitivité économique des unités de méthanisation.
L’appel à projets s’adresse à une grande variété d’acteurs : start-up, laboratoires de recherche, industriels, bureaux d’études et centres techniques. Les candidats peuvent postuler seuls ou en consortium. Les projets en phase de recherche amont (TRL 2 à 4) sont également éligibles, à condition d’être accompagnés par un centre de recherche reconnu.
Les candidatures seront examinées par un jury GRDF, sur la base de critères techniques, économiques et d’innovation.
GRDF prévoit de mobiliser jusqu’à 300 000 euros pour soutenir les projets sélectionnés. Au-delà du financement, les porteurs bénéficieront d’un accompagnement technique ainsi que d’une mise en visibilité renforcée au sein de la filière gaz vert, un atout stratégique pour l’industrialisation des innovations.
Avec cet appel à projets, GRDF confirme son rôle de catalyseur d’innovation et sa volonté de construire, aux côtés des acteurs du territoire, un avenir énergétique plus durable et plus local.
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22/05/2025
Dans un rapport parlementaire, les députés Marie-Noëlle Battistel (PS) et Philippe Bolo (MoDem) proposent une réforme en profondeur du régime juridique encadrant les barrages hydroélectriques en France. Objectif : sortir de l’impasse réglementaire qui freine depuis plus de vingt ans les investissements dans ce secteur clé de la transition énergétique.
Les rapporteurs préconisent de transformer le régime actuel des concessions en un régime d’autorisations, déjà utilisé pour les petites installations. Ce changement permettrait de contourner l’obligation de mise en concurrence imposée par le droit européen, à l’origine de plusieurs procédures ouvertes par la Commission européenne contre la France, notamment pour la position dominante d’EDF (70 % de la capacité installée) et le non-renouvellement des concessions arrivées à échéance.
Au 31 décembre 2025, 61 des 340 concessions seront expirées, représentant environ 90 % de la capacité hydroélectrique nationale. Cette incertitude juridique empêche les exploitants de planifier de nouveaux investissements.
Les députés proposent également de qualifier les barrages d’ouvrages publics dans la loi, à l’instar des aéroports, et appellent à une révision de la directive européenne sur les concessions pour exclure explicitement l’activité hydroélectrique — une réforme qui pourrait prendre au moins cinq ans.
Enfin, ils rejettent la création d’un dispositif type Arenh pour l’hydroélectricité, estimant qu’il risquerait d’aboutir à une forme de privatisation indirecte. D'autres solutions sont à l'étude pour répondre aux exigences du droit communautaire, tout en préservant l'intérêt général.
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21/05/2025
Alors que le Plan France Très Haut Débit affiche un taux de couverture supérieur à 90 %, les réseaux d’initiative publique (RIP), qui ont permis de connecter les zones rurales, se retrouvent dans une impasse financière. Déficits d’exploitation, recettes en berne, contrats déséquilibrés : plusieurs territoires tirent la sonnette d’alarme.
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Derrière le bilan flatteur du Plan France Très Haut Débit – plus de 90 % du territoire désormais couvert en fibre optique – se cache une réalité moins reluisante : celle des RIP, ces réseaux financés par l’État et les collectivités pour desservir les zones jugées non rentables par les opérateurs privés. Après la phase de déploiement, souvent saluée pour sa rapidité, ces infrastructures entrent aujourd’hui dans une phase critique : l’exploitation, où les équilibres économiques s’avèrent de plus en plus précaires.
Dans certains départements, les alertes se multiplient. En Charente, le président du syndicat mixte Charente Numérique, Thibaut Simonin, ne cache plus son inquiétude : « Il y a deux semaines, je suis passé à ça de la cessation de paiement. Je ne suis même pas sûr de pouvoir monter le budget de l’année prochaine. » Le réseau a coûté 195 millions d’euros à construire, soit 20 millions de plus que prévu, un dépassement budgétaire que l’État refuse de compenser. Conséquence : les collectivités locales doivent souscrire de nouveaux emprunts pour rembourser les anciens, mettant en péril la soutenabilité du modèle.
Le phénomène n’est pas isolé. Selon une enquête de la Cour des comptes, neuf RIP sur dix ont connu un dépassement de leurs coûts initiaux. Et dans la plupart des cas, les revenus générés restent en deçà des projections. La transition des abonnés vers la fibre, plus lente qu’espérée, explique en partie ce retard à l’allumage. Mais d’autres éléments structurels viennent fragiliser ces réseaux.
Parmi eux, les contrats passés avec les opérateurs commerciaux. Dans certains territoires, ces derniers bénéficient de droits d’usage sur 20 ans, renouvelables pour un euro symbolique. Une clause aujourd’hui remise en question, notamment en Ariège. À cela s’ajoutent des loyers d’usage très faibles – environ 5 euros par abonné – qui ne permettent pas aux structures porteuses d’atteindre l’équilibre.
« Nous avons fait des simulations à moyen terme, et les comptes n’y sont pas », résume Walter Martin, président du RIP de l’Ain. Une phrase qui résonne comme un constat partagé par de nombreux élus locaux, confrontés à une impasse budgétaire.
Face à cette situation, la présidente de l’Arcep, Laure de La Raudière, a inscrit la question de la viabilité des RIP dans son plan stratégique 2030. Une révision des tarifs est attendue d’ici fin 2025. Mais elle prévient : « Le régulateur ne peut pas résoudre seul l’ensemble de ces problématiques », rappelant la diversité des situations locales.
De leur côté, les opérateurs télécoms, par la voix de leur fédération, se disent prêts à engager le dialogue. Mais pour de nombreux territoires, l’urgence est là. Comme l’a résumé avec gravité le sénateur Patrick Chaize, en ouverture de la conférence de printemps de l’Avicca : « Le prochain pas, on saute. »
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21/05/2025
Scania étoffe sa gamme de chaînes cinématiques Super avec le lancement du moteur Super 11, une innovation qui allie performance, légèreté et efficacité énergétique. Ce nouveau moteur de 11 litres, positionné entre les moteurs 9 et 13 litres, propose jusqu’à 7 % d’économies de carburant par rapport à l’actuel moteur 9 litres, tout en étant 85 kg plus léger que le moteur Super 13.
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Conçu pour répondre aux besoins des applications sensibles au poids et à la consommation énergétique, le Super 11 offre aux transporteurs une solution performante et flexible, sans compromis sur la fiabilité et la qualité emblématiques de Scania.
Disponible en trois puissances – 350, 390 et 430 chevaux – et conforme aux normes Euro 4, 5 et 6, ce moteur partage 85 % de ses composants avec le Super 13, moteur reconnu pour sa robustesse.
« Le Super 11 ouvre de nouvelles perspectives pour un transport plus économe et durable. Il est plus léger, plus sobre et parfaitement adaptable, tout en conservant la fiabilité qui fait la réputation de Scania. C’est un choix intelligent pour les opérateurs soucieux d’équilibrer performance, charge utile et durabilité », déclare Ayyoob Zarmehri, Chef de produit Ventes et marketing camions chez Scania.
Grâce à des intervalles d’entretien allongés jusqu’à 30 % avec l’utilisation de l’huile moteur LDF-5, le Super 11 augmente la disponibilité des véhicules et réduit les coûts d’exploitation. Son architecture intègre des technologies avancées, telles que le calage variable des soupapes, un logiciel moteur optimisé, un système de frein moteur puissant et un dosage breveté du turbo pour une meilleure gestion de l’AdBlue.
Le Super 11 est compatible avec les carburants HVO et FAME, permettant ainsi aux opérateurs de réduire leur empreinte carbone sans investissements supplémentaires.
Ce moteur polyvalent répond à de nombreuses applications : transport de bennes, de carburants, collecte des déchets, transport sous température dirigée, dépannage, ou encore véhicules équipés de bras ampliroll.
« Ce moteur incarne la nouvelle génération du transport intelligent, alliant ingénierie de pointe et efficacité opérationnelle, en ville comme sur longue distance », conclut Ayyoob Zarmehri.
Le moteur Super 11 sera disponible à la vente à partir de juin 2025.
21/05/2025
Malgré des défis persistants en matière de financement et d’infrastructures, le projet stratégique de gazoduc Nigeria–Maroc poursuit sa progression avec détermination, s’imposant comme l’un des plus vastes chantiers énergétiques du continent africain. C’est ce qu’a confirmé cette semaine Leila Benali, ministre marocaine de la Transition énergétique et du Développement durable, lors d’une session parlementaire.
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Entré dans une phase décisive, le projet voit actuellement la mise en place d’une société à but spécifique entre Rabat et Abuja, étape préalable à la décision finale d’investissement, attendue d’ici fin 2025.
Estimée à 25 milliards de dollars, cette infrastructure de 6 000 kilomètres, traversant 14 pays africains, ambitionne de fournir du gaz naturel à près de 400 millions de personnes, tout en faisant du Maroc un hub énergétique régional interconnectant l’Europe, l’Afrique et l’Atlantique.
En parallèle, le Maroc développe sa propre dorsale gazière nationale, avec un axe stratégique reliant Nador à Dakhla, en passant par Kénitra et Mohammedia, en vue de l’intégrer au gazoduc continental.
Selon l’expert international Abdeslam Mallaoui, le projet a franchi d’importantes étapes, notamment les études de faisabilité, le tracé optimal et la signature d’accords intergouvernementaux. Il souligne les travaux en cours sur la partie marocaine, incluant des levés topographiques et un terminal GNL à Nador.
Pour l’expert en énergie Amine Bennouna, le projet entre désormais dans une phase critique de structuration financière, avec la définition d’un plan d’affaires, l’identification des besoins en capital, et l’implication d’investisseurs internationaux, dont des partenaires émiratis et une banque africaine de l’énergie.
Outre son impact énergétique, le projet Nigeria–Maroc revêt une forte dimension géopolitique, en créant une alternative stratégique pour l’acheminement du gaz nigérian vers l’Europe, tout en renforçant l’intégration régionale et la sécurité énergétique en Afrique de l’Ouest.
L’échéance de 2025 pour l’investissement final approche, marquant une étape décisive pour un projet d’envergure continentale et aux retombées durables.
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20/05/2025
La Fédération DLR annonce la mise à disposition d’un document d’aide au dépôt de plainte, élaboré en collaboration avec les forces de l’ordre. Ce document a pour objectif d’aider les entreprises à structurer leurs déclarations de vol de manière conforme, afin de renforcer l’efficacité de la lutte contre le vol de matériels – un fléau en constante progression qui affecte durement le secteur.
La lutte contre les vols de matériels constitue un enjeu majeur pour la profession. Il est donc essentiel de disposer d’un processus clair et rigoureux pour signaler chaque vol. Le document d’aide élaboré conjointement par la Fédération DLR et le Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) s’inscrit dans cette démarche. Il fournit des instructions précises pour le dépôt de plainte, en veillant à ce que toutes les informations utiles soient réunies et transmises aux autorités compétentes.
L’objectif principal est de garantir que chaque plainte soit correctement enregistrée dans la base nationale FOVeS (Fichier des Objets et Véhicules Signalés). Un dépôt de plainte bien renseigné permettra aux forces de l’ordre de croiser les données, de cibler les contrôles et, in fine, de lutter plus efficacement contre la circulation illégale des matériels volés, y compris à l’échelle européenne.
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Un dépôt de plainte structuré et conforme est crucial pour plusieurs raisons :
Efficacité dans le traitement des plaintes : un document complet facilite le travail des forces de l’ordre, leur permettant d’intervenir plus rapidement et de manière plus ciblée.
Prévention des récidives : une meilleure organisation des données au sein du registre national permet d’identifier des tendances et de mettre en place des actions préventives pour dissuader les voleurs.
Renforcement de la coopération européenne : la lutte contre le vol de matériels ne s’arrête pas aux frontières. Un bon partage d’informations au sein de l’Union européenne – voire au-delà – améliore considérablement les chances de retrouver les matériels volés.
Le fruit d’une collaboration efficace
Ce document est le résultat d’un travail conjoint de près de deux ans entre la Fédération DLR et les autorités compétentes. Il illustre l’engagement fort des deux parties à lutter contre ce phénomène préoccupant. Dans un contexte économique déjà tendu, la protection des actifs des entreprises doit rester une priorité.
Structuré et facilement accessible, ce document s’inscrit dans les initiatives de la Fédération pour contrer les vols de matériels, témoignant de sa volonté d’apporter des solutions concrètes et efficaces aux entreprises du secteur. Toutes les entreprises, qu’elles soient adhérentes ou non à DLR, sont invitées à s’en saisir et à intégrer ses recommandations dans leurs procédures de dépôt de plainte. Elles contribueront ainsi activement à une lutte qui concerne l’ensemble de la profession.
20/05/2025
A l’occasion du 25ᵉ anniversaire d'APRRES INDUSTRIES, partenaire du constructeur d'aspiratrices-excavatrices MTS, nous avons eu le privilège de découvrir en exclusivité la toute nouvelle aspiratrice-excavatrice MTS : la DINO T-REX !
Conçu pour répondre aux exigences les plus pointues des professionnels du secteur, le DINO T-REX repousse les limites de l’innovation et redéfinit les standards de l’aspiration.
Véritable concentré de technologie, ce modèle incarne le futur de l’aspiration grâce à :
un design révolutionnaire,
des performances inégalées,
une efficacité pensée pour relever les défis de demain.
Spécificités de l'aspiratrice-excavatrice DINO T-REX :
✔ Turbines 2 Power +
✔ Bras EVO SLIDE
✔ Nouveau design
✔ Optimisation de l'espace dans la salle des machines
✔ Étagères 4 compartiments avec rack supérieur automatisé
✔ Serrures électriques
✔ Radiocommande avec écran et potentiomètre
✔ Détecteur de gaz
✔ Mise à la terre surveillée
✔ Optimisation du flux d'air
✔ Suppression du manchon de couvercle/flexible
20/05/2025
Dans le cadre de sa politique en faveur du développement durable et de la gestion responsable de l’eau, la Ville de Vittel, en partenariat avec les communes de Contrexéville, Lignéville et Dombrot-le-Sec, a engagé un projet structurant visant à sécuriser l’approvisionnement en eau potable sur son territoire.
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Cet ambitieux projet d’interconnexion des réseaux a pour objectif de garantir une alimentation en eau fiable et durable pour les habitants, tout en préservant les ressources naturelles locales.
Les nappes phréatiques, notamment celle des Grès du Trias Inférieur (GTI), sont soumises à de fortes pressions dues aux usages domestiques, industriels et agricoles. Face à cette situation, les collectivités locales et les acteurs privés se sont engagés à restaurer l'équilibre quantitatif de la nappe, notamment dans le secteur du gîte C, d'ici 2027, conformément au protocole d'engagement signé en 2020. Le projet d'interconnexion s'inscrit pleinement dans cette dynamique de protection de la ressource, de solidarité intercommunale et d'adaptation au changement climatique.
Le programme repose sur plusieurs orientations stratégiques :
Les travaux, estimés à 3,4 millions d'euros, prévoient (dont 900 000€ pour Dombrot) :
Le chantier se déroulera en deux phases :
Ce projet bénéficie d'un financement collaboratif, avec le soutien du Département des Vosges et de l'Agence de l'Eau Rhin-Meuse, partenaires clés de cette opération d'intérêt général.
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19/05/2025
L’entretien des pneus constitue une étape incontournable dans la gestion efficace d’une flotte automobile, qu’il s’agisse de véhicules en circulation régulière ou immobilisés pour une longue durée. Trop souvent négligés lors des arrêts prolongés, les pneumatiques requièrent pourtant une attention particulière afin de garantir la sécurité, la performance et la longévité des véhicules.
Un contrôle visuel régulier s’impose, quel que soit le niveau d’utilisation du véhicule. Il s’agit notamment de repérer toute trace anormale d’usure ou de détérioration, et de retirer les corps étrangers qui peuvent s’être logés dans la bande de roulement : vis, boulons, pierres, etc.
Les pneus doivent toujours être gonflés à leur pression optimale, à vérifier lorsque les pneus sont froids.
Si la pression est inférieure de 10 à 20 % à la recommandation constructeur, une inspection visuelle est nécessaire avant regonflage.
En cas de sous-gonflage supérieur à 20 %, le pneu doit être démonté pour inspection interne, afin d’écarter tout risque de dommage structurel.
Après remise en pression, une surveillance accrue est de mise pour détecter d’éventuelles pertes anormales, indicatrices d’une perforation complète, d’un défaut de valve ou d’un problème sur la jante. L’installation de valves haute pression peut être un complément judicieux pour améliorer la fiabilité.
Il est essentiel que les pneus ne reposent ni dans des flaques d’eau, ni sur des surfaces contaminées par des produits chimiques ou pétroliers (huiles, carburants, solvants, etc.), ces derniers étant susceptibles de provoquer des détériorations irréversibles. En présence de contaminant, nettoyez les pneumatiques avec un détergent doux et rincez abondamment à l’eau claire. Le stockage doit ensuite se faire dans un lieu sec et propre, à l’écart de toute substance nocive.
Veillez à ce que les pneus reposent sur une surface plane et stable. Évitez les irrégularités du sol telles que nids-de-poule ou structures métalliques, qui peuvent provoquer des déformations localisées de la bande de roulement. De la même manière, les flancs des pneus ne doivent jamais être en appui contre des bordures, trottoirs ou autres surfaces rigides, sous peine de déformation anormale ou de dégradation.
Avant de remettre un véhicule en circulation après une période d’arrêt, inspectez minutieusement l’état des pneumatiques. Recherchez tout signe de dommage : coupures, hernies, sous-gonflage ou perte de pression. En cas de doute, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel du pneumatique, qui pourra poser un diagnostic précis et effectuer les réparations ou remplacements nécessaires.
En résumé, quelques gestes simples permettent de maintenir vos pneus en parfait état, de prolonger leur durée de vie et de garantir la sécurité de vos équipes. Une bonne gestion préventive, même en période d’immobilisation, c’est aussi l’assurance de remettre vos véhicules en service sans retard ni mauvaise surprise.
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19/05/2025
Détect Réseaux poursuit son expansion à l’échelle nationale avec l’ouverture d’une nouvelle agence à Caen, marquant une étape supplémentaire dans sa stratégie de croissance et de maillage territorial. Cette nouvelle implantation dans le département du Calvadospermet au réseau de renforcer son ancrage local et d’apporter une réponse de proximité aux besoins en détection et en géoréférencement des réseaux enterrés.
L’arrivée d’un nouveau franchisé, Jérémy Javoy, concrétise cette dynamique. Fort d’une solide expérience dans le domaine, il rejoint le réseau avec un engagement et un professionnalisme qui s’inscrivent pleinement dans les valeurs portées par Détect Réseaux : qualité, sécurité et exigence technique. Il pourra désormais s’appuyer sur la force d’un groupe structuré et sur un réseau d’agences fédérées autour du partage de compétences et d’expériences.
Cette ouverture illustre la volonté de Détect Réseaux d’accompagner ses clients au plus près des territoires, en leur garantissant la même qualité de service sur l’ensemble du territoire national. Grâce à cette nouvelle antenne, les acteurs locaux — entreprises de travauxpublics, collectivités, maîtres d’œuvre, exploitants et aménageurs — pourront bénéficier de solutions fiables etréactives pour localiser avecprécision les réseaux souterrains, tout en respectant les normes réglementaires en vigueur.
A propos de Détect Réseaux
Fondé en 2009 par Philippe Aymard, Détect Réseaux est un groupe national spécialisé dans la détection non destructive des réseaux enterrés. L’entreprise intervient auprès d’une large diversité de clients : BTP, construction, immobilier, collectivités locales et grande distribution. Elle mobilise des technologies avancées telles que le géoradar et l’induction électromagnétique pour garantir la précision de ses relevés.
Grâce à un réseau d’agences franchisées couvrant l’ensemble du territoire français, Détect Réseaux propose une offre experte et réactive, adaptée aux enjeux actuels de sécurité et de fiabilité des travaux à proximité des réseaux souterrains.
Avec cette nouvelle agence à Caen, Détect Réseaux confirme son ambition : être le partenaire de référence en détection de réseaux, partout en France.