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À l’occasion de leur Assemblée générale, les Canalisateurs du Sud-Est (CSSE) ont présenté MonSuiviEau, un nouvel outil interactif de datavisualisation développé par la CERC Auvergne-Rhône-Alpes. Cet outil inédit permet de suivre les performances des réseaux d’eau potable et d’assainissement collectif sur les territoires de Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur.

                                                                                                                                                       Sponsor d'Intertas.info

Accessible gratuitement et sans inscription, MonSuiviEau met à disposition des données essentielles pour mieux connaître l’état des réseaux : rendement, qualité, taux de renouvellement, pertes, etc. Il s’adresse à l’ensemble des acteurs du territoire – collectivités, entreprises, grand public – et vise à renforcer la compréhension des enjeux liés à l’entretien et à la modernisation des infrastructures.

Grâce à une compilation des données issues de la base SISPEA, enrichies par les bases SANDRE et ERU du ministère de la Transition écologique, MonSuiviEau propose une vision détaillée des réseaux à travers quatre niveaux géographiques :

• Le périmètre global CSSE (Rhône-Alpes + PACA)

• Chaque région individuellement

• Les 14 départements couverts

• Les 3 318 services gestionnaires identifiés

Ce nouvel outil permet ainsi une première approche pour faciliter la planification des travaux de renouvellement, en identifiant les zones les plus sensibles ou les plus défaillantes. Il constitue un levier opérationnel au service de la performance, de la durabilité et de la transparence des réseaux d’eau et d’assainissement.

Cliquez-ici pour consulter le communiqué et pour accéder à l'outil MonSuiviEau

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Le caniveau à grille BG-FILCOTEN® pro, conçu par le fabricant BG-Graspointner, incarne une avancée majeure dans le domaine du drainage des eaux de surface. En combinant les propriétés reconnues du béton traditionnel avec les avantages d’un matériau innovant à haute performance, ce système s’impose comme une solution de référence pour les aménagements urbains, industriels et routiers.

Au cœur de cette innovation : un béton fibré ultra-performant, exempt de styrène, de fibres plastiques et de polymères. Ce matériau confère à BG-FILCOTEN® pro une légèreté remarquable, une résistance exceptionnelle et une empreinte environnementale maîtrisée. Grâce à sa composition 100 % minérale et sa fabrication réalisée uniquement à l’aide d’électricité verte, le produit est entièrement recyclable et dispose d’une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES), gage de son intégration dans les projets de construction durable.

                                                                                                                                                                         Sponsor d'Intertas.info

Certifié classe de charge E 600 selon la norme EN 1433, BG-FILCOTEN® pro est conçu pour supporter des charges lourdes sur des infrastructures exigeantes. Il trouve naturellement sa place sur les voiries, zones industrielles, aires de stationnement, surfaces pavées ou encore plateformes logistiques. Sa grande capacité de drainage, sa stabilité mécanique et ses faibles besoins en entretien en font un allié de choix pour les collectivités et les aménageurs.

Résistant au gel, aux UV, aux fortes chaleurs et classé incombustible (A1), ce caniveau offre une durabilité accrue et une intégration pérenne dans le béton, garantissant une tenue optimale dans le temps.

Implanté en France à Haguenau (67500), BG-Graspointner est un groupe familial fondé en 1965 en Autriche, aujourd’hui présent dans plus de 37 pays à travers le monde. Spécialiste des systèmes de drainage des eaux pluviales et des caniveaux techniques pour la protection des réseaux et câblages, l’entreprise conçoit des solutions alliant innovation technologique et responsabilité environnementale.

Ses produits sont utilisés sur une grande variété de chantiers : routes, pistes d’atterrissage, voies ferrées, quais portuaires, zones urbaines, parkings, terrasses, et partout où la gestion maîtrisée des eaux de surface est essentielle pour la sécurité et la durabilité des infrastructures.

Avec BG-FILCOTEN® pro, BG-Graspointner illustre parfaitement sa capacité à repenser les standards du drainage en apportant une réponse technique, écologique et durable aux défis contemporains de l’aménagement.

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L'entreprise familiale NEGRE Christophe et son fils Jérémy se démarque en tant que référence dans le domaine de la location d'aspiratrices-excavatrices RSP avec opérateurs dans le département de l'Hérault et les départements voisins. Cette entreprise familiale a su se forger une réputation solide grâce à son expertise et à son service de qualité.

Le parc de machines de l'entreprise est composé d'aspiratrices-excavatrices de l'un des principaux fabricants mondiaux, garantissant ainsi une qualité optimale et un service après-vente réactif. En tant qu'opérateurs expérimentés, Christophe et Jérémy NEGRE prennent soin de leurs machines, les maintenant toujours en parfait état de fonctionnement.

Les aspiratrices-excavatrices jouent un rôle essentiel sur les chantiers de travaux publics en milieu urbain.

Grâce à leur capacité à localiser précisément les réseaux souterrains et à déterminer la profondeur des câbles et conduites existants, ces machines permettent une intervention précise et sécurisée. Elles augmentent également la productivité des chantiers tout en assurant la sécurité des opérateurs sur le terrain.

NEGRE Christophe et Jérémy offrent leurs services à la fois aux professionnels et aux particuliers.

Si les travaux de terrassement et les VRD (voiries et réseaux divers) constituent leur cœur de métier, d'autres applications émergent dans le secteur du BTP, telles que l'aménagement de toitures terrasses, la construction de piscines, la mise en place de méthaniseurs, ou encore les projets de construction.

L'engagement de l'entreprise familiale envers la qualité de ses services, associé à son expérience dans le domaine, en fait un partenaire incontournable pour les acteurs du BTP à la recherche d'une solution fiable pour leurs besoins en aspiration-excavation. Grâce à son professionnalisme et à son savoir-faire, NEGRE Christophe et Jérémy continuent de bâtir leur réputation sur la satisfaction de leurs clients.

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Alors que la France touche à la fin de l’immense chantier du déploiement de la fibre optique, les fabricants de câbles amorcent une nouvelle étape de leur stratégie. Moins sollicités sur le marché intérieur, ils s’ouvrent désormais à l’export, en réorientant une part croissante de leur production vers l’étranger. Cette évolution, à la fois ambitieuse et prudente, s’inscrit dans un contexte de concurrence mondiale de plus en plus intense, en particulier face aux géants asiatiques.

                                                                                                                                                                       Sponsor d'Intertas.info

Il y a encore quelques années, les livraisons destinées au marché français atteignaient des niveaux records. En cinq ans, ces volumes ont chuté de façon spectaculaire, reflétant le ralentissement de la demande nationale. L’objectif du très haut débit pour tous ayant été largement atteint, les commandes internes diminuent logiquement.

Mais cette contraction du marché hexagonal ne signe pas la fin de l’activité. Au contraire, elle pousse les industriels à accélérer leur développement à l’international. Le rapport annuel du Sycabel, publié le 19 juin 2025, souligne d’ailleurs cette bascule stratégique : les opportunités de croissance se déplacent aujourd’hui vers l’extérieur.

Les fabricants français ont su réagir rapidement à cette nouvelle donne. En se positionnant sur les marchés européens encore en phase de déploiement, ils ont réussi à ouvrir de nouveaux débouchés. La production nationale alimente désormais des pays voisins tels que l’Italie, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Benelux, l’Autriche ou encore la Suisse.

Près d’un tiers des câbles produits en France sont aujourd’hui exportés. Une proportion en nette augmentation, qui permet de soutenir l’activité industrielle et de préserver les emplois dans un contexte post-déploiement.

Mais cette internationalisation ne va pas sans défis. Les industriels doivent composer avec une pression croissante, notamment de la part de certains acteurs asiatiques accusés de pratiques commerciales agressives, voire de dumping. Dans ce climat de forte concurrence, les fabricants européens misent sur la qualité, la fiabilité et l’innovation pour rester compétitifs.

Face à ces enjeux, la filière câble française cherche à se réinventer. Forte de son savoir-faire et de son ancrage industriel, elle entend s’affirmer sur les marchés internationaux tout en continuant à jouer un rôle stratégique dans les grandes transitions numériques et énergétiques.

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Le 13 juin 2025, EDF Renouvelables a officiellement annoncé le lancement d’un projet ambitieux et innovant : la construction d’une centrale solaire flottante sur le bassin de la centrale hydroélectrique du Cheylas, en Isère. À l’horizon 2027, ce site accueillera une infrastructure inédite combinant deux sources d’énergie renouvelable : l’hydroélectricité et le solaire photovoltaïque.

                                                                                                                                                                       Sponsor d'Intertas.info

Il s’agira de la deuxième centrale solaire flottante de ce type en France, après celle de Lazer, dans les Hautes-Alpes, mise en service en 2023. Implantée à cheval sur les communes du Cheylas et de Sainte-Marie-d’Alloix, la future centrale reposera sur la retenue d’eau de la station de transfert d’énergie par pompage (STEP), exploitée par EDF Hydro.

Pas moins de 70 000 panneaux photovoltaïques seront installés à la surface du bassin, pour une puissance totale de 44 MWc. La production annuelle escomptée est de 60 GWh, soit l’équivalent de la consommation électrique de 28 000 habitants — près d’un quart de la population de la Communauté de communes Le Grésivaudan.

Initiée en 2019, cette initiative a franchi avec succès l’ensemble des étapes réglementaires, obtenant ses autorisations administratives en 2024. En juin 2025, les travaux préparatoires ont débuté, notamment l’aménagement des zones destinées à la mise à l’eau des flotteurs. La consultation des entreprises est actuellement en cours et se poursuivra jusqu’à la fin de l’année. Le début du chantier de construction est prévu pour janvier 2026, en vue d’une mise en service à l’été 2027.

Encore peu répandu en France, ce type d’installation témoigne de la volonté d’EDF Renouvelables de valoriser son foncier existant en développant des projets sur des sites déjà aménagés. « Ce projet illustre notre capacité à innover et à répondre aux défis énergétiques de demain, tout en optimisant les infrastructures existantes », souligne Sofiane Boukebbous, directeur du développement Sud-Est et Outre-mer chez EDF 

Dès les premières phases de conception, les équipes d’EDF Hydro ont été étroitement associées afin d’assurer la parfaite compatibilité entre les activités de la STEP et le futur fonctionnement de la centrale solaire. « Grâce à l’expertise de notre centre d’ingénierie hydraulique, nous avons pu anticiper l’intégration de ce nouvel équipement sans aucun impact sur l’exploitation actuelle », explique Jean-Dominique Peillex, directeur d’EDF Hydro Jura Maurienne.

Une fois opérationnelle, la centrale solaire fonctionnera de manière autonome et indépendante de la STEP, cette dernière étant raccordée à un réseau électrique distinct, conçu pour les installations de très forte puissance.

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Le Groupe Fondasol a reçu deux prix saluant sa démarche d’innovation et de décarbonation de ses métiers d’ingénierie-conseil en construction, à l’occasion de l’édition 2025 de Solscope, salon international de la géotechnique, du forage et des fondations, qui s’est tenue les 18 et 19 juin 2025 à Eurexpo Lyon, autour du thème « Les géosciences pour intégrer le changement climatique ».

Sur la photo, Marc Floreani (a gauche) Directeur commercial chez FONDASOL et Michel Rispal Directeur R&D Méthodes et Matériel reçoivent les deux prix décernés à Fondasol.

Le Prix de l’Innovation a été décerné à CLEA, l’atelier de forage 100 % électrique développé par le Groupe. Adapté aux reconnaissances géotechniques et environnementales les plus courantes, CLEA optimise également l’ergonomie du poste de travail ainsi que la mesure et l’exploitation des paramètres de forage.

Après plusieurs mois d’essais à l’agence de Nantes, le prototype de CLEA est actuellement affecté à l’agence de Strasbourg-Montbéliard, dans l’optique de poursuivre les tests sur différentes lithologies. La première série de CLEA sera prochainement déployée dans le Sud de la France, avant une généralisation progressive dans l’ensemble des agences du Groupe.

Parallèlement, les équipes R&D du Groupe poursuivent un travail d’identification des différentes lithologies, afin de proposer une aide au pilotage du forage. Ce travail fait l’objet d’une thèse CIFRE en partenariat avec l’université Gustave Eiffel.

Le Prix de la Campagne d’Investigation de l’année a été attribué au programme conduit pour la construction d’un site industriel dans l’Ain, ajusté grâce à SOLSCORE, l’outil d’analyse et de modélisation géotechnique prédictive du Groupe.

Lancé en 2022, Solscore s’appuie sur la richesse de la base de données de Fondasol (plus de 750 000 données à ce jour) et sur la puissance des algorithmes pour fournir une tendance immédiate et une information complète sur les risques liés aux aléas du sous-sol d’un site donné. Cette approche s’avère statistiquement plus fiable qu’une reconnaissance exclusivement réalisée sur le terrain.

Comme le souligne Olivier Sorin, Président du Groupe Fondasol : « Nous vivons une époque où l’on récompense souvent le bruit et l’opulence, rarement la substance. Aussi, recevoir ces deux prix — pour l’innovation avec notre atelier de forage 100 % électrique CLEA et pour la pertinence de nos investigations via notre outil de modèle prédictif Solscore — est une manière discrète de rappeler que la matière résiste encore. Le sol est une vérité qu’on ne contourne pas. Au sein du Groupe Fondasol, nous ne promettons pas un monde meilleur, seulement un monde mieux compris, plus sobre et plus silencieux. C’est peut-être plus modeste, mais sans doute plus utile. »

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Alors que l’examen de la proposition de loi portant programmation nationale énergie et climat pour les années 2025 à 2035 se poursuit à l’Assemblée nationale, les amendements adoptés jusqu’à présent pourraient exclure les filières solaire et éolienne (terrestre et en mer) de la future programmation énergétique du pays. Il est urgent de réintroduire ces filières stratégiques dans le texte de loi, sans quoi les conséquences énergétiques et sociales seront désastreuses. 

Les amendements adoptés par l’Assemblée nationale stipulent que la politique énergétique du pays « propose un objectif annuel de production d’énergie décarbonée » et que « les énergies décarbonées sont produites à partir d’installations nucléaires, hydraulique, marémotrices, géothermiques, aérothermiques, biomasse, osmotiques et cinétiques ». Cette affirmation laisse de côté, dans un grand élan de négationnisme technologique, les deux filières renouvelables qui se développent le plus rapidement dans le reste du monde : le solaire et l’éolien.

Veut-on réellement que la France ignore à ce point la réalité du terrain ? Veut-on réellement que la filière industrielle de l’éolien en mer, qui compte aujourd’hui plusieurs sites de production de composants sur le territoire, sombre dans les méandres de la politique politicienne ? Veut-on réellement que la filière solaire, qui apporte des revenus complémentaires au monde agricole et que les collectivités locales souhaitent développer partout en France disparaisse ? Veut-on réellement renoncer à l’opportunité d’accueillir chez nous des sites de production de panneaux et de cellules photovoltaïques, alors que plusieurs projets industriels sont en cours ?

                                                                                                                                                     Sponsor d'Intertas.info

Voilà les questions que le secteur des énergies renouvelables souhaite adresser aux députés. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) appelle ainsi le Gouvernement et le rapporteur à réintroduire par voie d’amendement ces trois filières (solaire, éolien terrestre et éolien en mer) dans la loi de programmation énergétique. C’est une question de réalisme technologique, de crédibilité de la France, de confiance des investisseurs.

« Nous avons atteint un seuil critique, celui de la crédibilité de l’action politique. Dessiner l’avenir énergétique de la France en décidant, par pure convention politicienne, que le solaire et l’éolien devaient être exclus de l’équation est totalement irresponsable. Notre secteur économique demande solennellement au Gouvernement et au rapporteur, qui sont les seuls acteurs capables de déposer encore des amendements à ce stade de l’examen du texte, de faire des propositions afin d’éviter une véritable aberration énergétique », indique Jules NYSSEN, Président du SER. 

Le Groupe NaTran, anciennement GRTgaz, espère bientôt entamer les travaux du tout premier tronçon de ce qui deviendra la grande autoroute française de l’hydrogène. Ce corridor stratégique reliera Fos-sur-Mer, sur la côte méditerranéenne, à l’Allemagne, en traversant notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes. À terme, ce réseau souterrain s’étendra sur près de 850 kilomètres.

                                                                                                                                                                                                                                 Sponsor d'Intertas.info

Ce projet d’envergure nationale s’inscrit dans une dynamique européenne plus large : le programme H2med. Portée par la France, l’Espagne et le Portugal, avec le soutien de l’Allemagne, cette initiative transnationale vise à connecter les réseaux d’hydrogène de la péninsule Ibérique au nord-ouest de l’Europe, afin d’assurer un approvisionnement en hydrogène vert compétitif d’ici à 2030. Le projet est conduit par les gestionnaires de réseau de transport des pays partenaires : Enagás, NaTran, OGE, REN et Teréga.

Au cœur de cette ambition, le projet HY-FEN (Hydrogen French Eastern Network) prévoit le développement d’une infrastructure dédiée au transport d’hydrogène depuis le sud de la France jusqu’à la frontière allemande. Il s’inscrit dans la continuité du projet BarMar, avec pour vocation de relier l’Espagne, la France et l’Allemagne, en passant par des vallées à fort potentiel de production et de consommation d’hydrogène, notamment la vallée du Rhône. Ce corridor comprendra également des projets de stockage souterrain à grande échelle. HY-FEN bénéficie d’ores et déjà d’un financement européen à hauteur de 15 millions d’euros.

Sur l’ensemble du tracé, 280 kilomètres traverseront la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui accueillera le premier tronçon actuellement en phase d’étude. Ce segment initial comprendra 40 kilomètres de canalisation enterrée, reliant les industriels de la Vallée de la Chimie au futur réseau HY-FEN, en passant par l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. La mise en service de ce tronçon, comme de l’ensemble du réseau français, est prévue pour 2030.

Dans cette opération, NaTran intervient en tant qu’opérateur d’infrastructure. « Un appel à projets lancé fin 2024 a suscité de nombreuses manifestations d’intérêt. Le marché est en pleine structuration et la demande pour relier producteurs et consommateurs d’hydrogène est manifeste », explique Bérangère Preault, déléguée territoriale Rhône Méditerranée. L’objectif est clair : proposer davantage de débouchés, diversifier les sources d’approvisionnement, garantir des prix maîtrisés et offrir une traçabilité environnementale conforme aux attentes des clients.

Les canalisations de cette future autoroute de l’hydrogène seront enterrées à une profondeur minimale d’un mètre et présenteront un diamètre compris entre 900 et 1 200 millimètres. L’infrastructure sera par ailleurs conçue pour être interconnectée avec des installations de stockage de grande capacité, un élément clé pour assurer la flexibilité du système énergétique et soulager ponctuellement le réseau électrique.

Avant le démarrage effectif des travaux, NaTran devra encore obtenir l’ensemble des autorisations administratives requises et mener les concertations publiques, étape incontournable mais potentiellement longue dans l’avancement du projet.

Avec ce projet structurant, la France ambitionne de se positionner comme l’un des futurs carrefours européens de l’hydrogène bas carbone.

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La direction de Yanmar annonce la nomination de Ryu Kudo au poste de président-directeur général de Yanmar Compact Equipment. Cette décision stratégique reflète la volonté du groupe japonais de renforcer son engagement en faveur de l’innovation et du développement durable dans le secteur des équipements compacts.

Fort de plusieurs décennies d’expérience dans l’industrie de la construction, Ryu Kudo apporte une expertise précieuse à la tête de cette entité clé du groupe Yanmar. Il occupe actuellement les fonctions de président et directeur délégué de Yanmar Construction Equipment Co., Ltd., un poste qu’il continuera à exercer parallèlement à ses nouvelles responsabilités internationales.

« C’est un honneur de diriger l’activité historique de machines de construction de Yanmar », a déclaré Ryu Kudo. « Je suis ravi d’avoir l’occasion de contribuer à jeter les bases du développement durable. »

Cette nomination marque une étape audacieuse dans le parcours de Yanmar Compact Equipment, résolument tourné vers la fourniture de solutions innovantes, fiables et respectueuses de l’environnement à l’échelle mondiale.