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Aspiratrices mises en lumière

12/04/2024

Aspiratrices mises en lumière

Au salon Intermat 2024, sur le stand 6B 080 du Groupe R&G France, leader dans la commercialisation des aspirateurs-excavateurs RSP et AMPHITEC, sera présentée leurs dernières innovations.

 

Les visiteurs auront l'opportunité de découvrir par eux-mêmes les trois machines qui seront mises en lumière : l'aspiratrice-excavatrice ESE F1, l'aspiratrice-excavatrice ESE E et l'AMPHITEC VENTUS. Pour ceux qui ne peuvent se rendre au salon, une présentation en direct de ces trois machines sera diffusée sur "INTERTAS LE DIRECT".

 

Les aspirateurs-excavateurs sont devenus essentiels sur les chantiers de travaux publics en milieu urbain.

Face à la complexité des réseaux existants, ces machines offrent une solution cruciale pour déterminer avec précision les tracés et la profondeur des câbles et conduites déjà en place. De plus, elles garantissent une sécurité accrue pour les opérateurs sur le terrain, une productivité améliorée sur les chantiers, et une précision d'intervention remarquable.

 

Amphitec a marqué l'année 2023 en lançant "Ventus", la première excavatrice aspirante au monde équipée de trois pompes !

Cette technologie révolutionnaire combine les avantages du flux d'air et du vide, permettant un fonctionnement avec 1, 2 ou 3 pompes tout en maintenant un niveau sonore très bas. La différence fondamentale entre le concept de vide d'Amphitec et une machine à ventilateurs traditionnelle réside, entre autres, dans sa capacité à aspirer des liquides à grande échelle et à travailler en profondeur.

Cette machine offre la possibilité d'aspirer à plus de 300 mètres de distance, à des profondeurs de plus de 50 mètres, et de refouler à des distances supérieures à 200 mètres, voire 75 mètres pour des structures telles que gratte-ciels, silos, etc. Les produits Amphitec se distinguent par leur efficacité. La puissante pompe Roots fonctionne toujours efficacement à basse vitesse, combinée à une gestion optimale de la boîte de vitesses/boîte de transfert, garantissant une consommation de carburant optimale. Cette machine offre un équilibre parfait, rendant le travail plus rapide et plus sécurisé.

 

 

 

 

 

Optimisation des Chantiers

11/04/2024

 Optimisation des Chantiers

Communiqué de Wacker Neuson : Optimisation des Chantiers de Construction : Wacker Neuson Renforce sa Collaboration avec deux Leaders Technologiques dans les Accessoires pour Pelles Hydrauliques.

 

Mise en évidence de l'ouverture des interfaces : Wacker Neuson coopère avec Open-S Alliance et Clean System
- Wacker Neuson rejoint l'Open-S Alliance pour les systèmes d'attache rapide des excavateurs
- Partenariat avec Oilquick Clean System
- Participation au groupe de travail MiC 4.0 pour les normes logicielles relatives aux accessoires
- Toujours en ligne de mire : les clients et leur flexibilité

 

Avec sa large gamme de produits, Wacker Neuson vise à rendre le travail quotidien sur les chantiers de construction aussi facile et efficace que possible. "Dans l'intérêt de nos clients, nous nous concentrons de plus en plus sur les normes d'interface", déclare Alexander Greschner, directeur des ventes du groupe Wacker Neuson. "Grâce à des normes ouvertes, nous contribuons à réduire la complexité sur les chantiers et à garantir à nos clients la plus grande flexibilité possible. En tant qu'entreprise active au niveau mondial, nous sommes ouverts aux différentes initiatives et approches visant à établir des normes dans notre secteur."

 

C'est pourquoi la division des accessoires du groupe Wacker Neuson a renforcé sa collaboration avec deux leaders technologiques dans le domaine des accessoires pour pelles hydrauliques. "Nous sommes convaincus que l'adhésion à l'Open-S Alliance et notre étroite collaboration avec Clean System apporteront à nos clients une réelle valeur ajoutée", déclare Reinhold Baisch, directeur général de Wacker Neuson Aftermarket et responsable des accessoires.

L'Open-S Alliance est une initiative basée sur la norme S symétrique établie pour les systèmes d'attache rapide des excavateurs, qui a été élargie pour inclure les attaches rapides entièrement hydrauliques avec la norme Open-S. "Wacker Neuson proposera bientôt des produits conformes à la norme Open-S en usine. Il est donc logique que nous fassions partie de l'Open-S Alliance", ajoute Reinhold Baisch. "Nous travaillons également en étroite collaboration avec Oilquick pour nous assurer que nos accessoires sont compatibles avec le Clean System pour les attaches rapides entièrement hydrauliques, qui est largement utilisé en Europe centrale.

 

Outre les normes en matière de mécanique et de matériel, Wacker Neuson fait partie du groupe de travail Machines in Construction, MiC 4.0, qui travaille à l'introduction de normes d'interface dans les domaines de l'électronique, du transfert de données numériques et des logiciels, car les systèmes d'assistance numérique et les développements ultérieurs dans le domaine des interfaces homme-machine jouent également un rôle de plus en plus important.

 

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Achat d'électricité renouvelable

11/04/2024

Achat d'électricité renouvelable

SUEZ, un leader mondial des services à l'environnement, a signé avec ENGIE, un leader mondial de la transition énergétique, deux premiers contrats d'achat d'électricité renouvelable (Power Purchase Agreement - PPA) d'origine photovoltaïque. Ces contrats portent sur la production des centrales photovoltaïques ENGIE situées sur des Installations de Stockage de Déchets Non Dangereux de SUEZ, à Gueltas (56) et à Vémars (95).

 

Ces premiers PPA pour SUEZ répondent à l'un de ses objectifs pour le Climat inscrits dans sa feuille de route développement durable : porter à 70% la part de l'électricité durable dans sa consommation électrique d'ici 2030 au niveau mondial, et 100% en Europe.

 

Contribuer à la transition énergétique des territoires par la production d'énergie renouvelable sur les installations de stockage de déchets

D'ici à 2026, SUEZ et ENGIE s'engagent ensemble à mettre en service 14 centrales solaires photovoltaïques, venant s'ajouter à 4 centrales déjà en production. Situées sur des parcelles ou des installations de stockage de déchets qui ne sont plus exploitées, l'ensemble de ces unités de production d'électricité renouvelable représenteront une puissance cumulée de près de 180 MWc.

 

Champion de la production d'énergie à partir des déchets et des eaux usées, SUEZ donne désormais une seconde vie à ses installations de stockage de déchets non dangereux pour produire de l'énergie solaire renouvelable.

 

Les deux premiers PPA de SUEZ pour augmenter la part renouvelable de sa consommation d'électricité

 

La réalisation de ces projets solaires photovoltaïques vise à alimenter en électricité renouvelable une partie des sites industriels d'eau et de déchets de SUEZ, tout en garantissant un prix stable sur le long terme.

 

Ainsi, ces premiers PPA, tous deux d'une durée de 20 ans, ont été signés entre SUEZ et ENGIE :
-L'un porte sur la production électrique de l'une des plus puissantes centrales photovoltaïques d'Ile-de-France de 21,4 MWc. Composée de 37 200 panneaux solaires, la centrale ENGIE est installée à Vémars sur une parcelle de 32 hectares d'une Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux appartenant à SUEZ. Actuellement en construction, elle entrera en service d'ici la fin de l'année pour produire l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 10 000 habitants.
-L'autre porte sur la production électrique d'une centrale photovoltaïque ENGIE de 13 MWc. A Gueltas dans le Morbihan, la centrale est installée sur une parcelle de 16 hectares d'une installation de stockage de déchets non dangereux appartenant à SUEZ. Depuis début février 2024, les 24 300 panneaux photovoltaïques bifaces produisent l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 6 600 habitants. 

 

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FAE expose à Intermat

11/04/2024

FAE expose à Intermat

FAE, le spécialiste de la fabrication de raboteuses d’asphalte sur skid steers, exposera à INTERMAT 2024, leurs produits phares et des nouveautés en avant-première dédiées à l'univers des TP et des réseaux.

 

FAE vous donnent rendez-vous au salon INTERMAT au stand C127 du pavillon 6. FAE exposera : 

 

La RPL/EX : Raboteuse pour pelles de 8 à 14 t, capable de fraiser jusqu'à 13,5 cm de profondeur. avant-première exclusive !

 

La RPL/SSL et RPM/SSL : Raboteuses à outils fixes pour chargeuses compactes jusqu’à 135 ch.


La RWM/SSL : Scies à rocher à disque pour chargeuses compactes de 75 à 135 ch, capable de fraiser jusqu’à 50 cm de profondeur et créer des conduits d’une largeur modulable de 8, 10 ou 12 cm. La RWM/SSL vise principalement à réaliser des excavations extrêmement ciblées pour la pose de conduits électriques, d’eau, de gaz et de fibres optiques. L’indicateur de profondeur permet de gérer avec précision la profondeur des travaux et les patins autonivelants permettent de maintenir la profondeur de travail toujours constante. L’évacuation latérale optimisée permet en outre de maintenir le sillon dégagé des gravats.

 

MTH : Le modèle haut de gamme des machines multifonctions FAE permet de broyer des plaques de roche, des pierres, de l’asphalte et de stabiliser le terrain, avec une profondeur de travail maximale de 50 cm.

 

BL0/EX et UML/EX pour pelles : Broyeur forestier pour pelle hydrauliques, avec rotor a outils fixes.

 

BL1/SSL pour chargeuses compactes : Broyeur forestier pour chargeuses compactes à partir de 45 ch.

 

PML/EX pour pelles : Broyeur avec rotor à marteaux mobiles pour pelles. Nouveau

 

 

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Communiqué d'infraNum

10/04/2024

Communiqué d'infraNum

La filière française des infrastructures numériques va accompagner l’Ukraine pour reconstruire et moderniser son réseau Très Haut Débit Accord avec le Gouvernement ukrainien et subvention FASEP Philippe Le Grand, Président d’InfraNum et Mykhailo Fedorov, Vice-Premier Ministre en charge de l’innovation, du développement de l’éducation, des sciences, des technologies et de la transformation digitale de l’Ukraine sont heureux d’annoncer la signature d’un accord, en présence de Pierre Heilbronn, envoyé spécial du Président de la République française pour l’aide et la reconstruction de l’Ukraine, entre InfraNum et le gouvernement Ukrainien concernant la reconstruction et la modernisation des infrastructures numériques très haut débit de ce pays.

 

Cette signature s’inscrit dans la continuité de la demande d’InfraNum d’une subvention de 756K€ au titre du FASEP (Fonds d’études et d’Aide au Secteur Privé), octroyée le 29 février par le comité interministériel aide projet.

Celle-ci permettra aux membres de la filière française de préparer la reconstruction des infrastructures numériques ukrainiennes via la mise en place d’études préliminaires et d’un projet pilote, ainsi que via la recherche anticipée des expertises et des financements nécessaires ensuite (partenariats publics-privés). 

 

En ligne avec l’approche internationale de la filière française des infrastructures numériques portée par InfraNum, la reconstruction a vocation à être réalisée par les acteurs locaux en Ukraine.

 

Depuis plus d’un an, les nombreux échanges entre Philippe Le Grand - Président d’InfraNum et Valerie Ionan - Vice-Ministre ukrainienne de la transformation digitale avec le concours des représentations diplomatiques des deux pays, ont permis de déterminer les enjeux et lepérimètre de collaboration face aux difficultés majeures auxquelles fait face le gouvernement ukrainien en cette période.

L’accord signé ce 10 avril 2024 fixe le cadre d’une collaboration étroite entre le Gouvernement ukrainien et la filière française des infrastructures numériques pour mettre en place cette stratégie de reconstruction et de modernisation de ces infrastructures sur place.

 

Des infrastructures numériques endommagées à hauteur de 2,3 Mds de dollars

 

Les dommages aux infrastructures numériques ukrainiennes sont estimés à 2,3 milliards de dollars (destruction ou détérioration des réseaux Internet des opérateurs de téléphonie fixe, des réseaux radios des opérateurs mobiles, des autres structures et équipements liés, soit environ 3 200 stations de télécommunications dont certaines ont pu être remises en service et plus de 60.000 km de fibre optique), générant un besoin d'investissement significatif. Si le Gouvernement ukrainien souhaite rétablir rapidement ses infrastructures de télécommunications, il entend, par la même occasion, les moderniser pour soutenir son développement économique et social, notamment en créant un environnement plus propice aux start-up et à l’éducation.

 

Lancement imminent de la 1e étape

 

Menant une politique volontariste d’internationalisation de son savoir-faire, basée sur le succès du plan France THD et un engagement de ses membres à l’international déjà réel (32Mds € de CA en 2022 et 100.000 collaborateurs employés à l’étranger), la filière française des infrastructures numériques propose une intervention coordonnée pour que la France puisse prendre une place centrale dans ce projet en permettant aux entreprises ukrainiennes de prendre en main la reconstruction de leur pays par elle-même.

 

L’obtention de la subvention FASEP permettra deux étapes opérationnelles décisives :

  • Une étude préliminaire, réalisée par des cabinets français avec des partenaires locaux. Elle établira un état des lieux technique, juridique et institutionnel pour déterminer les limites et possibilités dans le contexte actuel, et pour quantifier les besoins en investissement. Elle débouchera sur l’anticipation des conditions de succès de ces projets d’infrastructures numériques, la définition de différents scénarios de financements et des modèles économiques sous-tendant l’exploitation de ces réseaux. Elle devrait débuter d’ici la fin avril.
  • Un projet-pilote, de 8 mois maximum. Il consistera à apporter une couverture réseau à très-haut débit sur une localité cible pertinente. L’objectif est de démontrer la faisabilité concrète du déploiement des infrastructures numériques en Ukraine dans le cadre du partenariat établi entre les acteurs français et ukrainiens. Il sera mené par un consortium d’entreprises mené par le chef de file Grolleau (armoires et équipements télécoms) et réunissant également Stelogy (connectivité THD & réseaux, services IT), Netceed (distribution d’équipements télécoms), PCE Services (conception et construction de réseaux), Tactis (études et conseil en aménagement numérique des territoires), Sofrecom (conseil et ingénierie télécoms) et BG2V (cabinet d’avocats spécialisé en droit des affaires).

 

Durant 2 jours, la délégation française composée de Philippe Le Grand, Président d’InfraNum, Etienne Dugas, Directeur Général Adjoint de Grolleau et Oksana Zoppini, avocate au sein du cabinet BG2V, sera reçue par les principaux ministères (Affaires étrangères et transformation digitale, Territoires et infrastructures, Économie – innovation) ainsi que par le Régulateur et des acteurs locaux (Vega, Datagroup, HomeNet).

 

« La modernisation des réseaux très haut débit de l’Ukraine se prépare dès maintenant afin d’être prêts à démarrer au moment de la reconstruction à grande échelle. C’est également un message de solidarité et de confiance en l’avenir que nous envoyons à nos partenaires ukrainiens » explique Philippe Le Grand, Président d’InfraNum.

 

L’excellence française reconnue à l’international

 

Le projet espère établir un modèle pour des investissements futurs, potentiellement similaires aux programmes français de développement du très haut débit (France Très Haut Débit et New Deal Mobile), en projetant jusqu’à 10 milliards d’euros d’investissement au total.

 

Alors que la filière française des infrastructures numériques présentait récemment son savoir-faire et son approche internationale lors d’un événement organisé par le Ministère Européen des Affaires Étrangères qui réunissait 40 pays, elle confirme ici sa mobilisation à développer, avec des partenaires étrangers, une coopération étroite et durable à la hauteur des enjeux pour ces infrastructures stratégiques.      

Une ressource décarbonée

10/04/2024

Une ressource décarbonée

Le projet GREEN RIVER inaugure sa plateforme récupératrice d’énergie de la mer à Honfleur. Ce projet Vallée de la Seine d’intérêt national initié en 2021 a pour objectif la création et l'optimisation d'une plateforme flottante multi-sources électriques destinée à créer une ressource décarbonée.

 

Le prototype de flotteur installé dans le port de Honfleur vient concrétiser trois années de travail menées par BUILDERS École d’Ingénieurs, HAROPA PORT et l’Université Caen Normandie, co-pilotes du programme.


Financé à hauteur de 650 000 € par l’ADEME et la Région Normandie (70 % du budget global), le programme GREEN RIVER entend développer une plateforme flottante pour produire l'énergie là où elle est disponible et consommée : dans les ports. Ce projet d'ingénierie est l’occasion pour BUILDERS École d’ingénieurs de valoriser son expertise dans le domaine des infrastructures maritimes et portuaires, l’un des axes majeurs de son activité, tant du point de vue recherche que formation, ainsi que son engagement en matière de construction durable et de changement climatique.


Les enjeux du projet GREEN RIVER sont pluriels. Outre la production et le stockage d’énergies renouvelables décarbonées, il s’agit de participer à l’amélioration de la qualité de l’air dans les ports et les villes portuaires en privilégiant l’utilisation de moyens de transport électriques. Sur le plan économique, les promoteurs du programme souhaitent valoriser un secteur d’activité à la pointe pour la Normandie et la Région Île-de-France et développer à termes l’emploi dans ces territoires en développant un marché considérable (la flotte mondiale comptabilise 120 000 navires marchands de transport de marchandises, 146 ports enregistrant un trafic annuel supérieur à l’équivalent d’un million de conteneurs de 20 pieds et réalisant 86 % du volume total). Plus de 20 % de la population mondiale vit en 2023 à moins de 30 km des côtes, plus de 50 % dans les zones côtières à moins de 100 km.

 

Une plateforme multi-énergie inédite : Cette mise à l’eau marque une étape décisive pour le projet GREEN RIVER. À terme, la future plateforme, dont le flotteur vient d’être mis à l’eau, sera équipée de différents systèmes de récupération d'énergie :
- Tensionneurs actifs intégrés aux systèmes hydrauliques en preuve de concept et qui pourront servir ensuite à maintenir les amarres de navires sous tension constante afin de réduire les mouvements des navires et d’éviter les accrochages des amarres. Grâce à ces vérins batteries hydrauliques à double effet, GREEN RIVER entend convertir le mouvement résiduel en travail mécanique, puis en énergie électrique
- Cellules à déformation développées par la société normande Scienteama, visant à récupérer l'énergie d’impacts des vagues et des ondes de batillage. Cette technologie sera utilisée dans la conception de capteurs autonomes innovants.
- Turbines éoliennes et hydroliennes dites à "portance active", utilisant des pales à la trajectoire non circulaire pour un meilleur rendement à termes

- Panneaux solaires, installés en tête de pieu par l’Université de Caen, en collaboration avec BUILDERS et Scienteama, permettra, par sa maturité technologique, d’assurer l’alimentation de l’ensemble du système de contrôle et d’acquisition de données de la plateforme.

 

Un premier succès qui en appelle d’autres : Initialement prévu à Rouen, le projet a finalement vu le jour dans le port d’Honfleur dont la forte exposition aux vents et aux fortes vagues, ainsi que le marnage important ont nécessité de redimensionner le flotteur. Le prototype mis à l’eau avec le concours du groupe CIFE ETPO se compose d’une bouée de 7 tonnes coulissant le long d’un pieu central. Le comportement du flotteur depuis son installation a validé les résultats des modélisations effectuées à l’aide des canaux à houle expérimentaux et numériques de BUILDERS École d’ingénieurs. Le site pilote comprend également des panneaux solaires, implantés en tête de pieux et reliés à la batterie intégrée à l'intérieur du flotteur. En parallèle de la construction et du déploiement de la plateforme pilote, les équipes du projet GREEN RIVER ont franchi un premier cap dans l’étude des turbines à portance active. Les résultats encourageants devraient rapidement déboucher sur la construction d'un prototype. Les prototypes de plaques à réaction d’impact aux vagues et aux ondes de batillage et les tensionneurs actifs devraient être positionnés sur le flotteur dans les prochaines semaines.

La FNTP lance InfraClimat

10/04/2024

La FNTP lance InfraClimat

La Fédération Nationale des Travaux Publics lance InfraClimat ( www.infraclimat.com ), une plateforme digitale de visualisation des impacts du changement climatique sur les infrastructures françaises. 

 

La plateforme a été développée par Onepoint, acteur majeur de la transformation digitale des organisations. Mis à disposition gratuitement en ligne et à destination de l’ensemble des collectivités françaises, l’outil vise à faire prendre conscience des risques, mais aussi des solutions existantes. 

 

Qu’est-ce qu’une France à +4°C en 2100, correspondant à la trajectoire de référence pour l’adaptation au changement climatique élaborée par le GIEC ? Comment les aléas climatiques vont-ils impacter notre patrimoine d’infrastructures partout en France ? Quelles sont les solutions pour s’y préparer au mieux ? Quels types d’infrastructures peuvent protéger les territoires des effets du changement climatique ? 

 

En matière de changement climatique, tous les experts s’accordent sur un point : il y a urgence à agir !  Et pour ce faire, il convient de sensibiliser massivement citoyens et décideurs publics. 

 

Les infrastructures représentent un patrimoine estimé à plus de 2 000 milliards d’euros en France. Présentes sur l’ensemble du territoire, ces infrastructures sont les piliers des activités sociales et économiques : accès à la santé, à l’emploi, à l’eau et à l’énergie, au numérique…Mais elles sont de plus en plus vulnérables face au changement climatique.

 

Sensibiliser, et permettre aux décideurs publics d’agir, c’est justement l’objectif premier d’InfraClimat car il n’existe pas d’outil cartographique simple permettant aux décideurs publics locaux et aux professionnels des infrastructures de se projeter dans les enjeux d’adaptation à l’échelle de leur territoire.

InfraClimat permet, en effet, de disposer d’une information générale sur la nature des vulnérabilités auxquelles sont exposées les infrastructures et d’accéder à un panel de solutions existantes basées sur des cas d’usage ou des études et travaux. 

 

La plateforme, développée depuis un an par Onepoint grâce à sa solution technologique Provoly, s’appuie ainsi sur des sources de données nationales issues d’organismes publics de référence disponibles en open data (cf. note méthodologique en annexe).

 

Cinq aléas climatiques ont été retenus, compte-tenu de leur impact potentiellement important sur les infrastructures :

  • Les submersions marines : menacent les infrastructures côtières, les habitations et les installations touristiques, nécessitant des investissements importants pour la protection du littoral. 
  • Les vagues de chaleur : nécessitent des adaptations des infrastructures urbaines de mobilité, ainsi qu’une maintenance adaptée de toutes les infrastructures routières. 
  • Les inondations et les précipitations extrêmes : fragilisent les ouvrages d’art, impactent les réseaux d’eau pluviale et d’assainissement, entraînant pollutions et coupures d’eau.
  • La sècheresse et la chaleur extrême : impactent les infrastructures (ressuage, albedo…), augmentent la concentration de pollution, fragilisent les réseaux d’adduction d’eau…
  • Le retrait-gonflement d’argile : fragilise les infrastructures routières en provoquant des mouvements de terrains.

 

Trois types d’infrastructures sont adressées dans la plateforme, permettant de disposer d’un large éventail des différents types de vulnérabilités auxquelles elles sont exposées et des solutions existantes pour y faire face. Les routes  -  Les ponts  -  Les stations d’épuration

 

L’inaction aura de très lourdes conséquences. Selon un récent rapport de l’Ademe, le réchauffement climatique dans l'Hexagone pourrait coûter au moins 260 milliards d’euros par an d’ici la fin du siècle, si aucune politique d’adaptation et d’atténuation n'est mise en place : un coût bien supérieur aux efforts financiers que doit consentir notre pays pour assurer sa transition écologique, en particulier les collectivités locales qui sont en première ligne. 

 

Pour Alain GRIZAUD, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « InfraClimat est une démarche de sensibilisation inédite sur le rôle central des infrastructures dans l’adaptation au changement climatique. Face à la généralisation et à l’augmentation de l’impact des aléas climatiques sur tout le territoire, nous devons accélérer dans la connaissance des vulnérabilités et la mise en œuvre de solutions opérationnelles. »

 

Pour Florent GITIAUX, Partner Sustainability & Innovation, Onepoint : « Pour concevoir InfraClimat, nous avons dû mobiliser de nombreuses expertises complémentaires, du design stratégique et de la résilience climatique à l'identification et la qualification des données, jusqu’au développement de la solution technique sur notre socle Provoly. InfraClimat illustre de manière concrète l’approche de Onepoint en matière de développement de solutions technologiques à empreinte positive, contribuant ainsi à une meilleure prise en compte des enjeux  d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. »

 

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Pour la 1ère fois à INTERMAT

09/04/2024

Pour la 1ère fois à INTERMAT

Présent pour la 1ère fois à INTERMAT, CLAAS a la volonté de présenter ses gammes adaptées au secteur des TP : Tracteurs de 125 à 445 ch en transmission à variation continue et chargeuses sur roues de 5 à 20 tonnes.

 

Avec plus de 12 000 salariés et 13 usines dans le monde, le groupe CLAAS est présent dans plus de 140 pays. Leader européen en machines agricoles, la marque est également un acteur qui répond aux problématiques de transports dans le secteur du TP. Ses usines de production Européennes, (France, Allemagne, Autriche, ...) produisent une vaste gamme de machines, et notamment des tracteurs et chargeuses sur roues, dont les performances sont à la hauteur des exigences des acteurs des Travaux Publics. 


Ces matériels, tous équipés du dispositif CLAAS Connect permettant la géolocalisation des engins, le contrôle de leur consommation énergétique ou encore l’optimisation des tracés, se caractérisent par un confort de conduite, une sécurité d’utilisation, une simplicité de prise en main et une robustesse éprouvée. 
Avec cette participation à INTERMAT, il s’agit également pour CLAAS, dans un contexte de décarbonation du secteur de la construction, de faire connaitre des solutions qui ont déjà fait leurs preuves dans le secteur agricole.

 

Depuis le 1er octobre 2023, les machines CLAAS conformes à la norme antipollution la plus récente (Stage V) sont autorisés à être alimentés en carburants HVO (Hydrotreated Vegetable Oil), produits principalement à partir de déchets et de résidus, à commencer par les huiles alimentaires usagées et les graisses animales. En remplaçant le GNR par du HVO, les émissions de CO2 peuvent être réduites jusqu'à 90 % sur l'ensemble de cycle de vie d’une machine.

 

Le chargeur télescopique électrique SCORPION 732e : pour une manutention silencieuse et sans émissions locales

Si les moteurs à combustion avec des carburants durables comme le HVO (huiles végétales hydrotraitées) restent supérieurs même à moyen terme à d’autres concepts en termes de densité d’énergie et d’infrastructure de ravitaillement sur les modèles de forte puissance, le potentiel des entraînements électriques sans émissions locales est important pour les modèles de faible puissance et pour les applications comme la manutention ou les travaux de voirie.

 

Les chargeurs télescopiques offrent ainsi une grande polyvalence pour le levage de précision de charges lourdes ou le remplissage des remorques. Un chargeur télescopique électrique comme le CLAAS SCORPION 732e – développé en partenariat avec Liebherr – présente de nombreux avantages : il est très silencieux et fonctionne sans émissions locales. Avec deux moteurs électriques indépendants de 90 kW chacun, un concept de batterie modulaire de 64 kWh pour une autonomie maximale de quatre heures et un chargeur embarqué de 22 kW, les performances et la polyvalence sont assurées. La force de traction maximale est annoncée à 53 kN, la vitesse maximale est de 30 km/h. Le prototype du SCORPION 732e offre jusqu’à quatre heures d’autonomie d’affilée. 

 

Le groupe CLAAS dispose historiquement d'un ancrage très fort en France au travers de plus de 230 points de vente, assurant une qualité de service irréprochable, mais aussi d’un département « Grands Comptes » afin de traiter les affaires d’envergures nationales et internationales. CLAAS vous accueillera Hall 6 allée B021 ! Venez à notre rencontre et échanger avec nous sur vos projets. 

Moteur à hydrogène Cummins

09/04/2024

Moteur à hydrogène Cummins

Cummins s'apprête à marquer un tournant dans l'industrie de la construction avec la présentation de son moteur à hydrogène B6.7H lors du salon Intermat à Paris.

 

Ce moteur innovant promet une transition vers des carburants plus propres sans compromettre les performances ou la complexité pour les fabricants et les utilisateurs. Avec une puissance et une efficacité améliorées, Cummins s'engage dans la voie de la durabilité et de la réduction de l'impact environnemental.

 

Spécialisé dans la commercialisation de solutions énergie, le constructeur américain Cummins fondé en 1919 à Columbus (Indiana) conçoit et fabrique des moteurs industriels, des groupes électrogènes ainsi que des pièces détachées pour toute application, terrestre et marine. Robustesse, Performance, Innovation, Service & Excellence sont les valeurs qui animent notre quotidien. Au-delà de nos gammes de produits standards,

 

Cummins France vous propose des solutions sur mesure adaptées à vos projets. Cummins France possède son propre réseau de concessionnaires. Experts Cummins, ils assurent la couverture de l’ensemble du territoire métropolitain + DOM-TOM. 

 

 

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Nouveau Président

09/04/2024

Nouveau Président

Déterminé à toujours mieux servir ses clients sur un marché ferroviaire mondial en croissance, le Groupe Geismar renforce son équipe managériale et nomme un nouveau Président à la tête de son organisation.

 
Accompagner la croissance : Dans un marché mondial des équipements de pose et d’entretien des voies ferrées bénéficiant d’une dynamique positive, le Groupe Geismar est de plus en plus sollicité par ses clients pour les fournir en matériels allant des petites machines de maintenance aux véhicules rail-route en passant par les draisines et les instruments de mesure. Parallèlement, Geismar développe et déploie sa nouvelle gamme de machines décarbonées Activion, soutenant ainsi les efforts de toute la filière ferroviaire en faveur de la réduction des émissions de CO2 et de la lutte contre le changement climatique.

Dans ce contexte, l’objectif prioritaire du Groupe Geismar pour les années à venir est de renforcer sa capacité à répondre à la demande en se dotant d’une stratégie industrielle ambitieuse.

 
Un nouveau Président pour le Groupe : Afin de mener à bien cette stratégie, le Groupe Geismar a choisi de nommer un nouveau Président à compter du 27 mars 2024 : M. Nicolas Yatzimirsky (Polytechnique, ENSTA, Sciences Po Paris).

M. Nicolas Yatzimirsky bénéficie d’une expérience de plus de 20 ans à la tête d’entreprises industrielles en France et à l’étranger, notamment Albea Tubes, Consolis et Verallia. Son goût pour le management et sa connaissance détaillée du fonctionnement des unités de production sont de réels atouts pour atteindre les objectifs fixés par le Groupe.

 
Raphaël Geismar déclare : « Après quelques années d’un contexte économique et géopolitique troublé dont le Groupe a su surmonter les difficultés, je suis ravi d’accueillir M. Nicolas Yatzimirsky au poste de Président du Groupe Geismar. Son arrivée va renforcer la dynamique de croissance de la société et nous permettre de répondre encore plus efficacement aux besoins de nos clients. L’expertise industrielle reconnue de M. Yatzimirsky est un atout supplémentaire pour accélérer notre mutation, accompagner la croissance du marché ferroviaire et améliorer la performance globale du Groupe.

 

Nicolas Yatzimirsky déclare : « Je suis très heureux de rejoindre le Groupe Geismar, un des leaders mondiaux dans le domaine des équipements pour l’installation, le contrôle et l’entretien des voies ferrées. J’ai à cœur d’aider cette entreprise centenaire à relever les défis du XXIème siècle. A l’écoute de nos clients français et étrangers, l’équipe que j’anime poursuivra la stratégie de développement de solutions techniques intelligentes et productives avec le concours de tous les collaborateurs du Groupe. »  

Philippe Neys est décédé

08/04/2024

Philippe Neys est décédé

Acteur économique impliqué dans le monde des affaires, en politique et dans le sport, Philippe Neys est décédé dans la nuit du dimanche 7 avril au lundi 8 avril des suites d'une longue maladie, à l’âge de 70 ans.

 

Figure emblématique du Pays basque, il a laissé son empreinte sur le territoire par son dévouement dans le monde de l’entreprise et du sport. Il occupait d'ailleurs le poste de président du Medef Pays basque, après avoir dirigé le Medef de Nouvelle-Aquitaine de 2019 à 2023. Il a été adjoint au maire de Bayonne.

 

Originaire de Neuilly-sur-Seine, il a consacré sa carrière au Pays basque en reprenant en 1983 la société ETPM (Entreprise Travaux Publics Multiples) fondée par son père. À l'origine spécialisée dans la fabrication de poteaux électriques, l'entreprise s'est orientée vers l'enfouissement des réseaux au début des années 1990, devenant ainsi un acteur incontournable dans son domaine. En 2019, il a transmis ETPM à ses deux fils, Olivier et Xavier, tout en continuant à suivre de près le développement de l'entreprise avec bienveillance.

 

Alain Rousset, président de la région Nouvelle-Aquitaine, a rendu hommage à Philippe Neys en soulignant son dévouement envers l’entreprise et le sport, notamment le rugby et la pelote basque. ""Il a commencé à se faire remarquer en reprenant en 1983 l’entreprise de travaux publics ETPM fondée par son père. Philippe Neys a su la faire prospérer en développant son activité dans l'enfouissement des réseaux. Aujourd’hui, cette entreprise emploie plus de 200 salariés et est dirigée depuis 2019 par ses fils, Olivier et Xavier, offrant ainsi un bel exemple de transmission familiale. En parallèle, Philippe Neys s’est attaché à soutenir le développement économique des entreprises de la région, notamment au sein du Medef. La région Nouvelle-Aquitaine tient à saluer son engagement envers l’activité économique.

 

Les obsèques de Philippe Neys auront lieu le lundi 15 avril à 15h30 en la cathédrale Sainte-Marie de Bayonne.

 

Intertas adresse ses condoléances à sa famille et à ses proches.

Divergences d'opinions

08/04/2024

Divergences d'opinions

La ligne électrique de 400 000 volts, longue de 65 kilomètres, qui pourrait être construite en Provence-Alpes-Côte d'Azur, reliant le Gard aux Bouches-du-Rhône, suscite des divergences d'opinions.

 

Si les travaux franchissent la phase de concertation, ils débuteront en 2028 pour un investissement de 300 millions d'euros. Le projet ambitieux de RTE vise à relier Jonquières-Saint-Vincent dans le Gard au port industriel de Fos-sur-Mer.

 

Pour en savoir plus sur cette ligne électrique, veuillez consulter l'article du 10 février 2024 en cliquant ici.

 

Avant le début des travaux de cette "autoroute de l'électricité", RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, doit surmonter de nombreux obstacles administratifs. La première étape consiste à réunir une centaine de parties prenantes, notamment les communes, les intercommunalités et les associations de défense de l'environnement, autour de la table à Arles. La présentation et la validation de l'aire d'étude du tracé, une bande de 40 kilomètres de large couvrant 600 kilomètres carrés au total, sont effectuées. La deuxième phase, prévue pour le début de l'année prochaine, impliquera une concertation publique sur le tracé final, engageant les habitants et les propriétaires terriens.


Alors que la concertation publique de RTE, mandatée par l'État, s'est terminée le 7 février 2024, les agriculteurs concernés par le projet de ligne à très haute tension entre Fos et le Gard ont exprimé leur opposition lors d'une manifestation pacifique à Arles.
Déjà le mois dernier, la fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles d'Arles (FDSEA), le syndicat des riziculteurs de France et la filière rizicole française ont affirmé leur "opposition farouche à ce projet de ligne à très haute tension, qui viendrait défigurer ce territoire unique, réduire à nouveau la surface agricole française et imposer de nouvelles contraintes aux agriculteurs. Une traversée d'une ligne à très haute tension au milieu de ces territoires serait tout bonnement "inconcevable" pour eux."


Ainsi, dans les rues, équipés de pancartes et de cinq tracteurs, près de 500 manifestants - agriculteurs, maires, élus, militants et citoyens - se sont mobilisés pacifiquement pour tenter de faire entendre leur voix et empêcher la création de cette ligne.
Avant de terminer leur marche en direction de la place de la République, le cortège s'est symboliquement arrêté devant la sous-préfecture pour demander au préfet "la saisine immédiate de la commission nationale du débat public (CNDP).

 

Nous avons collaboré avec des ingénieurs sur diverses solutions et RTE ne veut pas les entendre. Aujourd'hui, la plus grosse pétition compte plus de 23 000 signatures. Maintenant, il faut en recueillir 50 000", déclare Jean-Luc Moya, de l'association Agir pour la Crau.

 

 

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