13/02/2025
NaTran (GRTgaz), leader européen du transport de gaz, publie un communiqué de presse sur les résultats de l'Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI). Les promoteurs d’H2med y partagent leur analyse et détaillent les prochaines étapes du projet.
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L'AMI visait à identifier les besoins des régions situées le long du corridor H2med, en particulier ceux liés aux dorsales hydrogène nationales développées par les cinq promoteurs du projet d'ici le début des années 2030. L’objectif était également d’évaluer les besoins précis des futurs utilisateurs de l'infrastructure sur l'ensemble de la chaîne de valeur de l’hydrogène. Les résultats permettront d'optimiser la conception des infrastructures et d'établir des spécifications opérationnelles.
Aujourd'hui, les promoteurs d’H2med ont organisé un webinaire pour présenter les résultats de l'AMI et leur analyse des principales tendances et données chiffrées. Cette présentation suit les récents résultats du CEF (Connecting Europe Facility), qui ont été annoncés au cours de la dernière semaine de janvier.
Les promoteurs des projets sont invités à signer une convention de subvention avec CINEA pour les deux projets H2med : CelZa et BarMar.
Près de 170 entreprises ont répondu et plus de 500 projets ont été déclarés, démontrant un fort intérêt pour l'infrastructure proposée et confirmant le rôle de H2med dans la réalisation des objectifs de décarbonation et de réindustrialisation des acteurs européens. Ces résultats montrent l'importance du projet H2med dans le cadre de REPowerEU - qui vise à produire 10 millions de tonnes d'hydrogène renouvelable et non fossile à l'échelle européenne et
10 millions de tonnes à partir d'importations - et le récent règlement Net Zero Industry Act, qui soulignent tous deux le rôle crucial de l'hydrogène dans l'UE.
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12/02/2025
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Le Schéma Directeur de Développement du Réseau (SDDR) établit les adaptations nécessaires pour électrifier l'économie, renforcer l’industrie et intégrer le développement des énergies nucléaire et renouvelables. La réindustrialisation du pays figure également parmi les priorités de ce plan.
La grande bascule, c’est la décarbonation par l’électrification, résume Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE. Bien que le réseau français soit aujourd’hui robuste et peu congestionné, il doit être renforcé afin d’accompagner la progression de la demande et de la production électrique. En effet, l’électricité représentera plus de 50 % de la consommation énergétique en 2050, contre 25 % actuellement.
Le projet de modernisation comprend le renouvellement de 23 500 km de lignes et de 85 000 pylônes, en prenant en compte les impacts des canicules et des crues. Il prévoit également l’intégration des futurs réacteurs EPR et des parcs éoliens offshore, ainsi que le renforcement des capacités d’exportation d’électricité, qui a atteint un record de 5 milliards d’euros en 2024.
Des investissements stratégiques seront réalisés sur plusieurs axes clés afin d’éviter les congestions, notamment sur le corridor nord-sud et les liaisons avec les zones hydroélectriques du Massif central et des Pyrénées. Par ailleurs, des infrastructures spécifiques seront développées pour les ports de Dunkerque, du Havre et de Fos-sur-Mer, ainsi que pour d’autres sites industriels à partir de 2029.
Ce programme constitue le troisième grand plan d’électrification en France, après celui de l’après-guerre et le plan Messmer des années 1970. Malgré son ampleur, il demeure compétitif face aux investissements de 250 milliards prévus en Allemagne et de 150 milliards en Grande-Bretagne.
RTE mise sur l’économie circulaire pour limiter les coûts, en réduisant notamment sa consommation d’aluminium et d’acier. L’optimisation des infrastructures existantes sera privilégiée à la création de nouvelles lignes, afin de garantir un développement efficient et durable du réseau électrique français.
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12/02/2025
Sur un chantier de l'opérateur Altitude Infra, CIRCET a confié pour la première fois à l'entreprise SATO la réalisation de chantiers d’extension de fibre optique à Tréprel et Vire (Calvados). Un défi relevé avec succès, démontrant l'adaptabilité des équipes de SATO à ce nouveau domaine d'expertise.
Malgré des conditions hivernales exigeantes, les équipes de SATO ont su faire preuve de résilience et d'adaptabilité pour mener à bien ces travaux. Ce projet marque une première pour SATO dans le secteur de la fibre optique, un pas significatif dans la diversification de ses activités.
Les travaux réalisés ont impliqué plusieurs techniques spécialisées :
Micro-tranchée avec remblai béton
Tranchée traditionnelle et fonçage
Pose de chambres de tirage
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Cette réussite est également due à une collaboration efficace avec plusieurs partenaires :
GROUPE MARAIS : pour la location de trancheuse
Cemex : pour la fourniture de béton
Poisson TP : pour la location d’engins
L'expérience de SATO dans les réseaux secs (gaz, électricité, éclairage public, etc.) a largement contribué à la réussite de ce projet. Depuis sa création en 1972, l’entreprise se distingue par son engagement en faveur de la sécurité et de l’innovation.
En 2010, SATO avait déjà investi dans une aspiratrice-excavatrice montée sur camion afin d’améliorer la sécurité sur ses chantiers. En 2012, soucieuse d’adopter une approche plus respectueuse de l’environnement, elle a mis en place une plateforme de retraitement des déblais, permettant de réutiliser ces derniers pour le remblaiement des chantiers.
Depuis janvier 2015, SATO fait partie du groupe STURNO en tant que filiale indépendante.
L'entreprise SATO travaille avec des entreprises de renom telles qu’ENEDIS et GRDF, ainsi que pour des collectivités et syndicats comme le SDEC Énergie.
Spécialisée dans les études approfondies, les investigations complémentaires et la réalisation de travaux variés, SATO continue d’innover et de se développer dans le secteur des infrastructures.
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12/02/2025
Depuis le 1er janvier 2025, AEB est devenu le concessionnaire officiel de Yanmar Compact Equipment EMEA pour la région Centre-Val de Loire et ses environs. Ce partenariat stratégique permet à AEB d’élargir son offre de matériels et de renforcer sa position sur le marché des équipements compacts.
Fondée en 1961, AEB est une entreprise familiale qui s’est imposée comme un acteur clé de la distribution et de la location de matériels, avec 18 agences et 450 collaborateurs. Son choix de collaborer avec Yanmar repose sur la renommée et la qualité des mini et midi-pelles de la marque, dont une partie est fabriquée en France.
AEB assurera la distribution des machines Yanmar dans les départements de l’Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher, de la Vienne, du Cher, de l’Indre et de l’Eure-et-Loir. Parmi les modèles phares proposés figurent les mini-pelles ViO17, ViO23 et ViO27, ainsi que la nouvelle midi-pelle SV100-7, plébiscitée pour ses performances.
Pour François Poirrier, directeur commercial d’AEB, cette collaboration s’inscrit dans la continuité des valeurs de l’entreprise : proximité avec les clients et engagement à proposer des solutions adaptées aux réalités du terrain.
Avec ce partenariat, AEB confirme sa volonté de fournir des équipements de qualité et un service de proximité aux professionnels du Centre-Val de Loire et des régions avoisinantes.
11/02/2025
Eiffage Énergie Systèmes et GRDF ont conclu un accord-cadre à bons de commande pour l’acquisition, l’installation, la supervision, l’exploitation et la maintenance d’Infrastructures de recharge pour véhicules électriques (IRVE).
En l’espace de cinq ans, les experts IRVE d'Eiffage Énergie Systèmes devront installer 1 050 points de charge, répartis sur 126 sites, afin d’accompagner la transition énergétique de la flotte GRDF, qui compte actuellement 6 500 véhicules.
Conclu pour une durée ferme de trois ans, renouvelable deux fois un an, l’accord-cadre porte sur l’installation de bornes AC (de 7,4 kW, 11 kW et 22 kW), comportant un point de charge, et de bornes DC (de 25 kW, 50 kW et 100 kW), comportant deux points de charge.
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D’ici à fin 2029, les spécialistes IRVE devront installer 1 050 points de charge (PDC) à travers la France, soit autant de véhicules électriques déployés par GRDF en cinq ans. Cela représente : 70 PDC en 2025, 140 en 2026 et 280 de plus pour chacune des trois années suivantes. Ces 1 050 points de charge équiperont au total 126 sites GRDF.
« Pilotée par Eiffage Énergie Systèmes Nouvelles Mobilités, en charge du conseil et du dimensionnement des installations, l’offre clés en main formulée mobilise les différents savoir-faire de la branche pour les travaux et la maintenance, mais aussi pour la monétique (système Fulli opéré par APRR) et la supervision-exploitation (plateforme We-Go).
Sur chaque dossier, le périmètre des prestations comprendra : l’étude de faisabilité, le chiffrage, la fourniture des bornes, leur installation et mise en service, l’entretien et la maintenance (curative et préventive) des bornes et des installations électriques associées, l’intégration des bornes dans la supervision, la supervision-exploitation des bornes de recharge, ainsi qu’une hotline fonctionnant sans interruption », détaille Michel Deny, chef de projet.
Outre un taux de disponibilité supérieur à 98 %, cet accord-cadre engage les experts d'Eiffage Énergie Systèmes à effectuer la maintenance curative des installations en moins de 12 heures pour le diagnostic et le dépannage à distance et en moins de 48 heures pour la réparation et la remise en service.
Concernant la supervision, la plateforme We-Go permettra d’afficher l’essentiel des données relatives au suivi du déploiement des bornes (GPAO) et à la maintenance (GMAO) pour la planification des interventions et l’édition des rapports de maintenance.
Les spécialistes d'Eiffage Énergie Systèmes se sont engagés à livrer chaque dossier de l’accord-cadre dans un délai de neuf semaines, depuis l’enregistrement du bon de commande GRDF jusqu’à la levée des réserves.
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11/02/2025
À Solesmes (Sarthe), les travaux de modernisation des réseaux d’eau se poursuivent. Après l’intervention réalisée en fin d’année 2024 rue Jules Alain, c’est désormais au tour de la rue Angevine d’être concernée par d’importants travaux à partir du 10 février 2025.
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Ces travaux s’inscrivent dans un vaste programme visant à différencier les réseaux d’eaux pluviales et d’assainissement. L’objectif est d’optimiser la gestion des eaux usées tout en réduisant les risques d’inondation en cas d’intempéries. Le chantier, qui se déroulera jusqu’au 31 août 2025, entraînera des perturbations temporaires de la circulation dans le secteur.
La Communauté de communes a lancé ce projet ambitieux en 2024, avec un investissement total estimé à 3,5 millions d’euros hors taxes. Son financement est assuré conjointement par la commune de Solesmes et la Communauté de communes, avec le soutien de l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne.
Jusqu’à présent, Solesmes disposait d’un réseau unitaire, collectant à la fois les eaux pluviales et les eaux usées. Les travaux en cours permettront de créer une nouvelle canalisation exclusivement dédiée aux eaux usées, tandis que l’ancien réseau servira à l’évacuation des eaux pluviales. Cette transformation favorisera une gestion plus efficace et respectueuse de l’environnement.
Outre la création de ces infrastructures, les travaux incluent la reprise des branchements particuliers, avec des interventions aussi bien sur la voie publique que chez les usagers concernés. Ce programme s’inscrit dans un projet global en six phases, dont les premières tranches ont été mises en œuvre en 2024 et 2025.
La commune de Solesmes assure la gestion du réseau des eaux pluviales, tandis que la Communauté de communes est responsable des eaux usées. La maîtrise d’œuvre a été confiée à l’entreprise Safege, et les travaux sont réalisés par GT Canalisations pour les nouvelles infrastructures et SADE Travaux Spéciaux pour la réhabilitation du réseau existant.
Ce projet représente une avancée majeure pour Solesmes, renforçant la protection de l’environnement et améliorant les services publics offerts aux habitants.
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11/02/2025
La société publique franco-italienne TELT, qui supervise le chantier du tunnel de base du projet Lyon-Turin, a présenté jeudi 06 février 2025, le premier des sept tunneliers attendus, dont l'arrivée marque l'accélération du chantier.
D’un poids de 2.300 tonnes, long de 180 mètres et doté d’une puissance de 8.100 kW, ce tunnelier, fourni par l’allemand Herrenknecht, est en cours d’assemblage à Saint-Julien-Mont-Denis (Savoie). Il creusera 9 kilomètres dans la galerie nord, en parallèle de celle réalisée par Federica dans la galerie sud, avec une progression moyenne de 350 mètres par mois.
"Les vitesses d’avancement attendues se situent entre 10 et 15 mètres par jour, voire plus selon les conditions géologiques, soit bien au-delà des méthodes conventionnelles", précise Emmanuel Humbert, directeur construction France chez TELT.
Les tunneliers, spécialement conçus pour ce projet, ont été transportés en pièces détachées, pré assemblés en surface, puis assemblés en souterrain. "Les premiers tours de roue devraient avoir lieu après l’été", annonce M. Humbert.
Parmi les sept tunneliers nécessaires pour forer 75 % du tunnel de base, quatre ont déjà été validés en usine et un autre commandé. Deux machines avaient été utilisées lors des premières phases du chantier.
L’excavation du tunnel a débuté en 2016. À ce jour, 15,7 kilomètres ont été creusés. En janvier, TELT annonçait 40 kilomètres excavés sur les 164 prévus, comprenant deux tunnels ferroviaires parallèles et des galeries annexes.
Le chantier mobilise actuellement 2.800 travailleurs, un effectif qui atteindra 4.000 au pic des travaux. L’achèvement du projet est prévu pour 2033.
Fin 2024, l’État français a validé le tracé "grand gabarit" des voies d’accès au tunnel sous le Mont-Cenis.
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10/02/2025
SNCF Réseau réalise des travaux de renouvellement de la voie entre Gambsheim et Drusenheim, sur la ligne Strasbourg-Lauterbourg, du 10 février au 29 juin 2025, en remplaçant rails, traverses et ballast pour maintenir la performance de la ligne.
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La Région Grand Est, l’Etat et SNCF Réseau poursuivent leur engagement en faveur de la modernisation des infrastructures ferroviaires régionales, essentielles pour la mobilité quotidienne de milliers d’habitants. Afin de perturber le moins possible les circulations ferroviaires, ces travaux seront effectués essentiellement de nuit.
Du fait du passage répété des trains, les constituants de la voie s’usent et doivent être remplacés afin de :
Entre Gambsheim et Drusenheim, SNCF Réseau va réaliser des travaux de renouvellement de voie afin de remplacer les rails, les traverses et le ballast. Ces travaux auront lieu du 10 février au 29 juin 2025. Ils seront réalisés de nuit entre 22h00 et 05h20 du lundi soir au samedi matin. Ces travaux permettront de remplacer 6 km de voie, 2 km de rail et le renouvellement de 3 passages à niveau. Au total, jusqu’à 45 personnes seront mobilisées sur ce chantier.
Le coût de cette opération est de 12,5 M€ cofinancé par :
Ces travaux font partie d'un programme global de remise à niveau des lignes de dessertes fines du territoire, inscrit au volet mobilités 2023-2027 du Contrat de Plan Etat- Région (CPER).
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10/02/2025
Dans le cadre du déploiement de la fibre optique, la méthode "GreenPose", développée par la société OT Engineering, est de plus en plus adoptée afin de limiter l'impact environnemental des chantiers et de réduire l'empreinte carbone.
Comme dans le département de la Vienne (voir notre article du 17 janvier 2025), l'opérateur de télécommunications ORANGE et son partenaire SOGETREL mise autant que possible sur la méthode "Green Pose" pour atteindre son objectif dans le Poitou : assurer une éligibilité quasi-complète dans le Poitou d'ici fin 2025, tout en limitant l'impact environnemental des chantiers et en réduisant l'empreinte carbone.
Vendredi, une présentation a eu lieu à Ouzilly sur le chantier, mettant en avant la méthode GreenPose, présentée par Benjamin Collomb, chef de projet chez OT Engineering.
"GreenPose est une approche tout-en-un", explique-t-il. "Elle combine quatre étapes essentielles : la création de la tranchée, la pose des fourreaux et de la gaine pour la fibre, le traitement des matériaux excavés – avec l’ajout d’un liant et d’eau –, puis le remblaiement immédiat de la fouille."
Une fois la machine passée, le chantier reste remarquablement propre. L’absence de bétonnières sur site s’explique par le fait que la terre excavée est directement réutilisée après avoir été mélangée aux liants, évitant ainsi le recours au béton et la gestion des déblais en décharge. "Avec une méthode classique, il faut faire venir des camions-toupies et transporter les déblais pour retraitement. Ici, tout est optimisé : l’empreinte carbone est réduite de plus de 80 %, et l’utilisation de ciment est bien moindre", précise Benjamin Collomb.
La performance de GreenPose est notable : la machine progresse à près de 270 mètres par heure, soit une vitesse quatre à cinq fois supérieure aux techniques traditionnelles. "En seulement cinq heures, nous pouvons poser un kilomètre de réseau. Nos équipes, composées de huit à neuf personnes, se répartissent les tâches : quatre à cinq gèrent le système, tandis que les autres se concentrent sur les travaux annexes. Ainsi, en fin de journée, le chantier est complètement terminé", ajoute-t-il.
Cette efficacité réduit significativement les nuisances sonores et les perturbations du trafic, un point fort salué par les représentants d’Orange. "C’est plus rapide, plus économique et très avantageux. Les routes restent bloquées moins longtemps", souligne Olivier Pineau, directeur du déploiement de la fibre chez Orange pour la Vienne et les Deux-Sèvres.
En résumé, Voici les trois principales raisons pour lesquelles Greenpose est un choix de premier ordre.
Réduction massive de l’empreinte carbone : L’impact environnemental est une préoccupation croissante pour les acteurs de la fibre optique, et Greenpose l’a bien compris. Avec un procédé innovant, l'entreprise réduit de 84 % l’impact écologique de ses installations. Comment ? En gérant simultanément les déblais et le remblayage des tranchées. Ce processus intégré minimise non seulement les émissions de CO₂, mais aussi les besoins en matériel et en ressources, contribuant ainsi à un déploiement plus vert et plus propre.
Un gain de temps précieux pour vos projets : Le temps, c’est de l’argent – et, dans ce cas, aussi un facteur de confort pour les usagers. Grâce à sa technologie de pointe, Greenpose peut installer jusqu’à 1 kilomètre de fibre optique par jour. Ce rythme soutenu permet non seulement de réduire les délais d’installation, mais aussi de limiter les perturbations pour les usagers et les riverains, souvent inévitables lors de travaux sur les voies publiques. Greenpose accélère vos projets, pour une mise en service plus rapide, et avec un minimum de désagréments.
Sécurité avant tout : L'approche de Greenpose mise aussi sur la sécurité. Moins d'engins mobilisés, c’est moins de risques d'accidents pour les équipes et les habitants. Cette diminution de la présence d'équipements lourds sur les routes rend les chantiers plus sûrs et contribue à préserver l’environnement des zones d’intervention. Greenpose garantit ainsi une solution qui favorise la sécurité, tant pour les personnes que pour les écosystèmes.
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10/02/2025
Le Groupe BAGE, l’un des leaders dans le domaine de la conception, de la construction et de la maintenance d’infrastructures, vient d’accueillir CHRISTOPHE NERVI en tant que Directeur Délégué du périmètre Nouvelle-Aquitaine, qui couvre les filiales AQUITAINE Réseaux, LAGES Réseaux et TTPI Réseaux.
Fort d’une carrière riche et diversifiée dans la direction de centres de profit, Christophe Nervi a occupé des postes clés au sein de VINCI Autoroutes, EXEDRA et Sogea Ouest TP. Son expertise dans les infrastructures d’énergie, les réseaux routiers et les travaux de canalisations représente un atout stratégique pour accompagner la croissance du Groupe BAGE en Nouvelle-Aquitaine.
Avec cette nomination, le Groupe BAGE réaffirme son engagement à développer ses activités et à renforcer son positionnement en tant qu’acteur incontournable du secteur.
Fondé en 2010, le Groupe BAGE est une ETI française indépendante, à taille humaine et portée par un esprit de proximité. Il se distingue comme leader dans les domaines de la conception, de la construction et de la maintenance d’infrastructures, tout en offrant, de manière intégrée, les services associés à ces activités.
En 15 ans, le Groupe BAGE a bâti son développement en intégrant des PME familiales et en implantant des agences locales. Leur stratégie est de conserver l’agilité et la proximité d’un réseau de filiales tout en profitant de la force d’un groupe
Sponsor d'Intertas
Leurs Métiers
Pour le Groupe BAGE, l'engagement de l'entreprise dans l'amélioration continue, la sécurité des collaborateurs et la réduction de l'impact environnemental illustre sa vision durable et à long terme. Le renouvellement constant des certifications et qualifications sur ses sites témoigne également de sa volonté de rester à la pointe des normes du secteur.
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09/02/2025
Suite à la baisse significative des ventes de matériels de BTP en 2024, qui a touché presque toutes les catégories d’équipements, une inflexion de la tendance baissière du marché français des matériels est prévue en 2025.
L'année 2025 devrait marquer une inflexion de cette tendance sur le marché français des matériels de terrassement, routiers, de levage et pour le béton. Toutefois, les investissements resteront limités par un contexte économique incertain. Que ce soit du côté des commandes privées ou publiques, le niveau d'activité et les besoins à court terme en matériels ne laissent pas présager de reprise immédiate.
Les prévisions des principales fédérations clientes ne sont pas optimistes, reflétant une certaine prudence des acteurs du secteur. De plus, l'environnement économique et politique actuel contribue à alimenter l'incertitude et à freiner les décisions d'investissement.
Malgré ce contexte difficile, une amélioration progressive pourrait voir le jour en toute fin d'année 2025. Les effets des baisses de taux pourraient stimuler timidement le marché et amorcer un redressement progressif. Cependant, un léger recul pourrait encore être observé avant que les signes d'une véritable reprise ne se manifestent.
Dans ce climat incertain, les entreprises du secteur devront faire preuve de prudence et d'adaptabilité pour naviguer au mieux dans cette période de turbulences et saisir les opportunités qui pourraient émerger à moyen terme.
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09/02/2025
Dans le secteur des infrastructures de télécommunications et d'énergie, les aiguilles de tirage sont indispensables pour faciliter le passage des câbles à travers les conduits souterrains. Toutefois, leur utilisation et leur entretien doivent faire l'objet d'une vigilance accrue afin de garantir des opérations efficaces et sécurisées.
Les aiguilles de tirage, souvent fabriquées en fibre de verre ou en acier, permettent d'insérer et de guider les câbles à travers des conduits souterrains.
Leur utilisation efficace repose sur plusieurs bonnes pratiques :
Choix Adapté : Sélectionner l'aiguille en fonction du diamètre et de la rigidité nécessaire pour le tirage.
Lubrification : Utiliser un lubrifiant approprié pour réduire la friction et faciliter le passage.
Prévention des Torsions : Éviter les flexions excessives qui pourraient endommager l'aiguille ou le câble.
Tension Contrôlée : Appliquer une tension adaptée pour prévenir toute dégradation des câbles.
Un bon entretien des aiguilles de tirage prolonge leur durée de vie et garantit un usage en toute sécurité. Voici les principales recommandations :
Inspection Régulière : Examiner l'état de l'aiguille avant chaque utilisation. Une aiguille fissurée ou effilochée peut poser un risque.
Nettoyage Systématique : Retirer les résidus et enrouler correctement l'aiguille pour éviter les déformations.
Stockage Adéquat : Conserver l'aiguille à l'abri de l'humidité et des températures extrêmes pour éviter la corrosion et garantir une durée de vie optimale.
Le respect de ces bonnes pratiques améliore non seulement la sécurité des opérateurs, mais optimise également le tirage des câbles. Cela permet de réduire le temps d'intervention et les coûts liés aux équipements défectueux, garantissant ainsi la fiabilité des infrastructures de télécommunications et d'énergie.
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