INTERTAS

Créé en 2018, le cluster Méthatlantique s'engage à fédérer, promouvoir, professionnaliser et représenter les acteurs régionaux de la filière méthanisation et du méthane renouvelable, de la production aux usages. Il rassemble constructeurs, bureaux d’études, développeurs, financeurs, prestataires de services et fabricants de composants autour d’actions collectives structurées.

Doté d’une gouvernance associative et d’un plan d’actions ambitieux, Méthatlantique se positionne entre le think-tank et le do-tank. Véritable centre de ressources et boîte à outils, il accompagne porteurs de projets et parties prenantes régionales dans le développement de solutions durables pour l’avenir énergétique.

Leurs axes d’actionPromouvoir la filière méthanisation

… en soutenant les acteurs économiques régionaux de la filière méthane à travers l'information, la sensibilisation et la communication.

Professionnaliser les acteurs du biométhane

… en apportant un appui à la formation, en favorisant les démarches qualité, en assurant la sécurité des installations et en encourageant le partage d'expériences.

Innover dans le méthane renouvelable de demain

… en optimisant les procédés de méthanisation et en développant de nouveaux modes de production de méthane.

Représenter la filière méthanisation

… en défendant les intérêts des acteurs économiques du méthane renouvelable auprès des pouvoirs publics et des institutions locales, régionales et nationales.

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Le projet d'extension du tram vers le nord de l’agglomération de Strasbourg doit être revue. La commission d’enquête chargée du dossier a rendu un rapport défavorable, un revers pour la maire, et la présidente de l'Eurométropole, Pia Imbs.

Le projet prévoyait la création d’une nouvelle ligne de tram de près de cinq kilomètres, comprenant neuf stations, avec une mise en service initialement prévue pour fin 2027. Des aménagements urbains majeurs devaient accompagner cette extension, notamment la piétonnisation de l’avenue des Vosges et de la route de Bischwiller à Schiltigheim, ainsi que la création d’un parc de 16 hectares au niveau de la place de Haguenau.

Face à cet avis défavorable, le tribunal administratif de Strasbourg doit désormais statuer sur la forme du dossier, une étape nécessaire avant que l’enquête publique ne soit validée et rendue accessible.

"Nous prenons acte, nous acceptons cet avis", a déclaré Pia Imbs lors d’un point presse organisé le mardi 10 décembre. Elle a toutefois souligné que le principe du projet de tram reste intact. La maire de Strasbourg, Jeanne Barseghian, a confirmé qu’il n’y aurait pas de recours contre le rapport : "Nous allons retravailler" a-t-elle assuré, déterminée à revoir le projet pour répondre aux exigences formulées par la commission d’enquête.

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La ville de Gournay-sur-Marne a fait appel à SPIE CityNetworks pour doter ses rues d’un éclairage plus efficace et de meilleure qualité. Son objectif était double : améliorer le confort de ses habitants et réduire son impact sur l’environnement.

Après avoir réalisé un audit énergétique des installations d’éclairage de la ville avec le bureau d’études E-CONEX, la mairie de Gournay-sur-Marne a choisi l’éclairage LED, une solution offrant une bonne puissance lumineuse tout en étant très peu énergivore. La LED présentait aussi l’avantage de réduire significativement la perte de lumière et la pollution lumineuse dans le ciel.

SPIE CityNetworks s’est ainsi chargé de l’installation de plus de 1000 points lumineux, qui offrent plus de sécurité et de confort aux riverains. Les performances de cette nouvelle installation sur le plan environnemental sont majeures. La ville voit sa consommation énergétique réduite de 70% et ses émissions de gaz à effet de serre divisée par 8[1] après l’intervention de SPIE CityNetworks, en cours en 2024. L’amélioration de la qualité de service des installations au bénéfice des habitants est au rendez-vous. 

La ville a également décidé d’adapter l’éclairement dans le parc de la mairie et sur le pont Chetivet, pour mieux préserver la biodiversité. Ainsi, à proximité de ces zones, la température de couleur est diminuée. Les luminaires disposent également de détecteurs de présence afin de limiter la pollution lumineuse.

Grâce à une durée de vie de 50 000 heures (soit 5 fois plus que les solutions d’éclairage traditionnel), la technologie LED permet également à la ville de réduire significativement ses coûts de maintenance.

Enfin, Gournay a choisi de se munir d’un système de gestion intelligent, qui permet de piloter à distance et en temps réel chaque point lumineux en fonction des besoins. En offrant une vision globale et détaillée du parc d’éclairage à tout moment, ce dispositif permet à la commune de suivre précisément la puissance d’éclairement et la consommation énergétique de ses installations, mais aussi de vérifier les pannes présentes sur le réseau. 

SPIE CityNetworks assurera la maintenance de l’ensemble de ces installations pour les 9 années à venir.

« La ville de Gournay-sur-Marne a su tirer parti de toutes les technologies actuelles pour atteindre les objectifs escomptés. Nous sommes ravis d’avoir accompagné la commune dans ce projet de rénovation énergétique, qui confirme notre rôle de partenaire de la performance des territoires et de leur durabilité », ajoute Bastien Pourcelle, Responsable d’Activité chez SPIE CityNetworks.

[1] Les émissions de CO2 du parc l’éclairage public de Gournay-sur-Marne passent de 64,57 tonnes de CO2 par an avec l’ancien parc, à 8,86 tonnes de CO2 par an (estimation sur les mesures effectuées de janvier à juin 2024)

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Depuis 1998, l’entreprise CONTAMINE, PME basée à Saint-Junien en Haute-Vienne spécialisée dans la construction de réseaux électriques, de télécommunications et d'éclairage public, collabore étroitement avec SIG-IMAGE, un acteur clé du développement de solutions techniques pour les réseaux d’infrastructure. Ce partenariat, qui fête ses 26 ans, est un exemple de réussite fondée sur la confiance, l'innovation et une vision commune.

CONTAMINE s’est imposée comme un acteur incontournable dans le domaine des réseaux aériens et souterrains. Grâce à une équipe de collaborateurs hautement qualifiés et à l’utilisation de matériel de dernière génération, l’entreprise garantit des prestations alliant expertise technique et innovation. Ce succès est renforcé par le soutien de SIG-IMAGE, qui fournit les solutions CAPITOLE et DICTservices, parfaitement adaptées aux besoins de CONTAMINE.

Karine et Guillaume Le Roux, dirigeants de CONTAMINE, expriment leur enthousiasme :
« SIG-IMAGE a toujours accompagné l'évolution de notre entreprise. C'est un véritable partenariat. Chaque projet est une nouvelle opportunité de bénéficier de solutions parfaitement adaptées à nos exigences. Aujourd'hui, tout notre bureau d'étude utilise SIG-IMAGE, ce qui nous permet d'être plus réactifs et performants. »

Une vision tournée vers l’avenir
Ce partenariat illustre l’importance d’une vision commune, où technologie et expertise humaine s’allient pour bâtir des succès durables.

Les travaux de la future autoroute du Chablais, qui s’étendra sur 16,5 km pour relier Machilly à Thonon-les-Bains, devraient commencer en 2026 pour une mise en service prévue en 2029. Le budget total de ce projet est estimé à 315 millions d’euros.

En gestation depuis plus de trois décennies, le projet de liaison autoroutière entre Machilly et Thonon-les-Bains entre dans une phase décisive. Lors d'un point presse tenu le samedi 7 décembre, en présence du préfet et des élus locaux, Amédéa, filiale du groupe Eiffage, a dévoilé le tracé et le calendrier des travaux.

L'autoroute A412 s’étendra sur 16,5 km avec deux fois deux voies limitées à 110 km/h. Elle reliera Machilly, au niveau de la RD 1206, à Thonon-les-Bains, en contournant plusieurs communes. En plus de ces deux villes, dix autres communes seront directement impactées par cette infrastructure.

Pour améliorer la connectivité avec le réseau ferroviaire, un échangeur sera aménagé à Perrignier, facilitant l’accès au TER transfrontalier desservant Genève. Par ailleurs, une véloroute de 10 km sera créée le long de l’autoroute pour sécuriser les déplacements à vélo, notamment entre les communes et les gares.

Le Conseil départemental, fervent défenseur du projet, espère désenclaver le Chablais et mieux connecter les agglomérations d'Annemasse et de Thonon-les-Bains. L'A412 est perçue comme un levier de développement économique et d'amélioration de la mobilité dans cette région en pleine expansion.

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En 2024, le constructeur YANMAR s'est une fois de plus démarqué en lançant les mini-pelles ViO38-7 et ViO33-7. Compactes, bien équilibrées et performantes dans toutes les configurations de travail, ces machines sans déport arrière offrent un confort optimal à l'opérateur.

Le constructeur YANMAR continue de repousser les limites de l'excellence dans le domaine des engins de chantier avec les mini-pelles ViO38-7 et ViO33-7. Ces machines, synonymes de puissance et de polyvalence, sont conçues pour répondre aux exigences des professionnels du BTP tout en garantissant un confort exceptionnel à leurs utilisateurs.

Les ViO38-7 et ViO33-7 s’inscrivent dans la gamme des mini-pelles sans déport arrière de YANMAR, offrant une compacité maximale et une maniabilité hors pair. Grâce à cette configuration, les opérateurs peuvent travailler en toute sécurité dans des espaces restreints sans risquer d'endommager l’environnement immédiat.

L’équilibre parfait entre puissance et stabilité permet à ces machines d'assurer des performances élevées, même sur des terrains difficiles. La robustesse de leur châssis, associée à une répartition optimale du poids, garantit une excellente stabilité et une capacité de levage impressionnante.

YANMAR a placé l'opérateur au cœur de ses priorités. Les cabines des ViO38-7 et ViO33-7 sont spacieuses, ergonomiques et dotées de commandes intuitives. Les sièges à suspension réglable offrent un confort optimal, même lors d'une utilisation prolongée.

Pour en savoir plus sur ces deux machines cliquez sur les images

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Dans le cadre de la sécurisation des infrastructures électriques régionales, EHTP, filiale de NGE, pilote un chantier stratégique pour le compte de RTE (Réseau de Transport d'Électricité). Ce projet ambitieux vise à établir une liaison électrique entre les postes de Bancairon et Valabres, sur une distance de 14 kilomètres, au cœur des routes sinueuses et escarpées des Alpes.

Le chantier, situé aux portes du parc national du Mercantour, se déroule dans un environnement à la fois exigeant et spectaculaire. Ce contexte impose des contraintes techniques et environnementales considérables, nécessitant une expertise spécifique et une coordination rigoureuse entre les équipes.

La synergie entre les différentes filiales du groupe NGE est au cœur de la réussite de ce projet. En cette première année de travaux, la société NICOLO, filiale locale de NGE spécialisée dans les canalisations et basée à Saint-Jeannet (06), est en charge des travaux de terrassement. Forte de son expertise régionale, NICOLO assure l'adaptation des infrastructures aux spécificités géologiques et climatiques de la zone.

Débuté en janvier 2024, ce chantier mobilisera près de 30 intervenants spécialisés jusqu’à son achèvement prévu en 2026. Les travaux incluent plusieurs étapes clés :

• Terrassement : préparation du terrain sur les 14 km de tracé.
• Pose de conduites : installation des gaines nécessaires au passage des câbles.
• Construction de chambres de jonction : points d'interconnexion des câbles.
• Déroulage de câbles haute tension : pose de câbles de 63 000 volts pour garantir une alimentation électrique fiable et performante.

Ce projet illustre une nouvelle fois l’expertise de NGE dans les métiers de l’énergie et sa capacité à relever des défis techniques de grande ampleur. À travers ce chantier, le groupe confirme son engagement en faveur de la modernisation et de la sécurisation des infrastructures essentielles, tout en respectant les exigences environnementales des territoires.

Pour NGE et ses filiales comme NICOLO, ce projet s’inscrit pleinement dans une démarche de développement durable et de proximité, renforçant leur rôle d’acteurs incontournables au service des territoires.

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Communiqué : La fédération InfraNum annonce l'élection d'Ilham Djehaïch-Mezouar (Directrice Générale d'Altitude Infra THD) à la présidence. Un conseil d’administration renouvelé, féminisé et plus représentatif de la filière a également été désigné.

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Nous félicitons les membres de ce nouveau conseil d'administration :

• Audrey Briand, TDF

• Ilham Djehaïch-Mezouar, Altitude Infra

• Philippe Le Grand, Teleos

• Audrey Maurel, INLO Avocats

• Marie Lamoureux, Axione

• Stéphane Lelux, TACTIS
  

• Etienne Dugas, GROLLEAU
  

• Emmanuel Martin, FIRALP
  

• Pierre-Michel Attali, Smart World Partners
  

• Antoine Roussel, Groupe Alsatis
  

• Antoine Fournier, Thésée DataCenter

• Le Dantec Paul, ekho
  

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• Arnaud Paitel, Prysmian

• Xavier Vignon, Sogetrel
  

• Emmanuel Mouton, Synox

Aux côtés de ce conseil d’administration, Ilham Djehaïch-Mezouar portera une vision audacieuse et collective, plaçant la responsabilité sociétale et environnementale (RSE) au cœur des priorités d’InfraNum. Elle œuvrera pour répondre aux défis numériques d’aujourd’hui tout en bâtissant les solutions durables de demain. 

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Depuis juillet dernier, Enedis mène un chantier d’envergure en Haute-Loire : l’enfouissement de 16 km de lignes moyenne tension. Cette opération, réalisée à l’aide d’une trancheuse, s’inscrit dans un vaste plan de lutte contre les aléas climatiques.

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Les communes de Riotord, Marlhes et Saint-Régis-du-Coin ont été identifiées comme particulièrement vulnérables aux intempéries, notamment aux chutes d’arbres provoquées par les tempêtes de neige. Ces dernières années, plusieurs épisodes climatiques ont privé le secteur d’électricité pendant plusieurs jours. L’enfouissement des lignes devrait donc améliorer la résilience du réseau et limiter les coupures de courant en période hivernale.

Le chantier, entamé en juillet 2023, est sur le point de s’achever. La mise en service de la nouvelle ligne est prévue pour le premier semestre 2025. Enedis justifie ces travaux par la nécessité de sécuriser certaines infrastructures électriques particulièrement exposées aux risques naturels.

Cette opération représente un investissement de 1,6 million d’euros, soit plus de la moitié du budget global alloué par Enedis au département cette année. Et ce n’est pas le seul chantier prévu : en 2024, 54 kilomètres de lignes moyenne tension seront enfouis dans différentes zones. En 2025, Enedis prévoit de consacrer 3 millions d’euros supplémentaires à des travaux similaires.

Ces investissements illustrent la volonté d’Enedis de moderniser son réseau tout en répondant aux enjeux climatiques. Grâce à ces infrastructures renforcées, les habitants de la Haute-Loire devraient pouvoir affronter les hivers à venir avec plus de sérénité.

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La production d’hydrogène et de méthane de synthèse, bien que complexe, est clé pour une énergie durable. Le youtubeur scientifique M. Bidouille a exploré ce sujet en s’immergeant dans le projet Power to Gas Jupiter 1000 de GRTgaz à Fos-sur-Mer.

Pour beaucoup, les concepts d'électrolyse et de production de méthane de synthèse évoquent des procédés complexes et peu accessibles. Pourtant, ces technologies représentent des solutions clés pour la transition énergétique. Pour mieux les comprendre, le youtubeur scientifique Monsieur Bidouille a relevé le défi de vulgariser ces notions en se rendant sur un site industriel à la pointe de l’innovation : le démonstrateur Power to Gas Jupiter 1000, situé à Fos-sur-Mer, près de Marseille.

Le projet Jupiter 1000, piloté par GRTgaz, vise à montrer comment transformer l'électricité renouvelable excédentaire en gaz vert. L'hydrogène y est produit par électrolyse de l'eau : un courant électrique décompose l'eau en hydrogène et en oxygène. Cet hydrogène peut être utilisé directement comme carburant propre ou injecté dans les réseaux de gaz naturel.

Mais l’innovation ne s’arrête pas là. L’hydrogène peut également être combiné au dioxyde de carbone capté dans l’air ou provenant d'industries locales pour produire du méthane de synthèse. Ce dernier, similaire au gaz naturel, peut être stocké et utilisé dans les infrastructures existantes.

Dans sa vidéo, Monsieur Bidouille explique ces processus complexes avec son talent habituel pour la pédagogie et l’humour. Illustrations claires, analogies simples et démonstrations sur site rendent ces technologies futuristes beaucoup plus accessibles.

La capacité de convertir l'électricité renouvelable en gaz stockable permettrait de résoudre un défi central de la transition énergétique : l'intermittence des énergies solaire et éolienne. Grâce à des projets comme Jupiter 1000, la France explore des solutions concrètes pour atteindre ses objectifs climatiques.

En partageant cette expérience immersive, Monsieur Bidouille montre que la technologie derrière les mots "électrolyse" et "méthane de synthèse" n'a rien de sorcier. Elle constitue une réponse pragmatique et prometteuse aux enjeux énergétiques de demain.

Une chose est sûre : l'avenir de l'énergie se construit dès aujourd'hui, et grâce à des initiatives de vulgarisation comme celle-ci, il devient un peu plus compréhensible pour tous.

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La société RISA, intégrée au Groupe LOUAULT depuis janvier 2024, a organisé un événement d’envergure les 5 et 6 décembre dans les usines de Remorques Louault à Saint-Fargeau. Cette rencontre a permis de présenter en avant-première une nouvelle gamme de produits technologiques, illustrant l’ambition du groupe de devenir un leader dans les équipements industriels et de chantier.

Lors de cet événement, Jérôme Louault, président-directeur général du Groupe Louault, a accueilli les invités pour une visite des deux sites industriels :

• Remorques Louault : Premier constructeur français de remorques et semi-remorques porte-engins, porte-caissons et sur mesure. L’entreprise est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de remorques et semi-remorques destinées à cinq secteurs d’activité : transport, recyclage, exploitation forestière, travaux publics et véhicules spécifiques.

• Louault Technologies et Industries : Spécialisée dans la mécano-soudure, la découpe laser et plasma, cette entité certifiée EN 15085-2 intervient dans six secteurs majeurs : ferroviaire, industrie, armement, travaux publics, nucléaire et carrosserie industrielle.

Lors de l’événement, des remorques et porte-chars du constructeur Louault ainsi que plusieurs engins de levage, de forage et treuils du constructeur RISA étaient exposés.

Dans un showroom spécialement aménagé, plusieurs innovations ont été dévoilées :

• L'Aspiratrice-excavatrice et la balayeuse du constructeur STOCK : Ces engins, désormais distribués en exclusivité en France par RISA, offrent des performances exceptionnelles pour le nettoyage et l’excavation. Les excavatrices-aspiratrices sont parfaitement adaptées aux interventions rapides sur les réseaux souterrains. Avec la nouvelle réglementation des DICT, elles sont reconnues comme un procédé d'excavation sans dégâts pour les travaux de réparation ou de réfection.

• L’Outsider : Véritable révolution technologique proposée par Risa, cet engin de levage et de forage est équipé d’un mini-char de 14 tonnes développant 520 CV. Capable de se déplacer à 90 km/h, il installe des poteaux électriques dans des zones difficiles d'accès grâce à un drone motorisé monté sur des chenilles en caoutchouc renforcé. La grue de levage et de forage 80TA30 possède une capacité de levage de 8 000 kg à 3 000 mm. Elle offre une puissance impressionnante grâce à son moteur de forage développant 1 600 m/kg et à sa rotation illimitée dans les deux sens.

• Treuil de tirage "BOXER" : Conçu par Risa pour les travaux sur les lignes haute tension, cet équipement répond aux normes de levage les plusstrictes.

Grâce à son expertise et à son savoir-faire, RISA, dirigée par Martial Pautrat, propose une large gamme de produits performants et adaptés aux exigences du marché. Basée à Caussade (81), RISA se distingue par ses solutions innovantes pour la construction de réseaux souterrains et aériens.

• Pour les réseaux souterrains : Trancheuses à chaîne, trancheuses équipées de scies à rocher, spiraleuses, roues de compactage, aspiratrices-excavatrices, balayeuses, ...
  

• Pour les réseaux aériens : Grues de levage, grues de forage, Outsider, treuils, ...
  

Le Groupe Louault, fort de ses 450 employés et d’un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros en 2023, poursuit son expansion. « Nous réalisons de la croissance interne et externe avec l’objectif de dépasser les 150 millions d’euros », a déclaré Jérôme Louault. « Nous continuons à faire des acquisitions et à développer nos entreprises en interne. »

Le GROUPE LOUAULT est composé d'un pole constructeur de matériels  et d'un pole constructeur industriel :   

Cliquez ici pour en savoir plus sur les marques du groupe LOUAULT.

Autres sociétés du Groupe Louault

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Après deux ans de recherche, d’innovation et d’efforts, EKOCOFFRE PLOT et REGARD sont enfin disponibles à la vente ! Ces coffrages sur mesure, conçus pour répondre aux enjeux actuels de durabilité, promettent de transformer les pratiques du BTP en alliant performance, simplicité et respect de l’environnement.

Basée à Rousson, dans le Gard, la société Boudi, fondatrice de cette innovation, a été récompensée lors du prestigieux concours Alès Audace 2024. Elle se distingue par son engagement pour une économie circulaire et sa volonté de réduire l’impact environnemental du secteur de la construction.

EKOCOFFRE est le fruit de cette vision : des panneaux et coffrages fabriqués entièrement à partir de plastiques recyclés, destinés au coulage de béton dans des ouvrages tels que les plots et regards.

Conçus pour le coulage des regards de caniveau, EKOCOFFRE PLOT et REGARD se démarquent par leur conception novatrice :

• Matériaux 100 % recyclés : Fabriqués en polypropylène (PP) post-consommation, ces coffrages valorisent les déchets plastiques tout en réduisant le besoin en matières premières neuves.
• Non adhérent au béton et insensible à l'humidité : Le polypropylène garantit une facilité de pose et de retrait, sans outil spécifique.
• Léger et manuportable : Une caractéristique qui simplifie considérablement leur utilisation sur les chantiers.
• Garantie économie circulaire : Grâce à un système de consigne, chaque coffrage peut être récupéré, reconditionné ou recyclé en fin de vie, fermant ainsi la boucle de son cycle de vie.

Le secteur du BTP est souvent pointé du doigt pour la quantité de déchets générés par les matériaux de construction. Avec EKOCOFFRE, la société Boudi propose une solution à la fois écologique et performante :

• Réemployable : Réutilisable à de nombreuses reprises, EKOCOFFRE s’inscrit dans une démarche de réduction des déchets. Contrairement à de nombreuses solutions prétendument durables, EKOCOFFRE garantit un recyclage effectif, limitant ainsi son empreinte environnementale.
• Sur-mesure : Chaque coffrage est fabriqué dans les ateliers de Boudi pour répondre aux besoins spécifiques des professionnels du BTP.

EKOCOFFRE n’est pas seulement une innovation technique, c’est aussi une réponse concrète aux besoins des entreprises et artisans du BTP. En combinant robustesse, simplicité d’utilisation et respect de l’environnement, ce coffrage permet d’allier efficacité et responsabilité écologique.

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