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EDF a annoncé que vendredi 20 décembre 2024, le réacteur nucléaire "Fla3", dernier-né de la filière nucléaire française, commencera à injecter de l’électricité sur le réseau national, marquant ainsi une étape clé dans le paysage énergétique du pays. Ce lancement intervient avec douze années de retard sur le calendrier initial.

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Selon EDF, le fonctionnement du réacteur sera marqué par plusieurs paliers de puissance progressifs jusqu’à l’été 2025. Cette phase permettra de finaliser les essais techniques avant que "Fla3" n’atteigne sa pleine capacité opérationnelle. Une fois ces tests validés, le réacteur devrait fonctionner à 100 % de sa puissance jusqu’à son premier arrêt programmé pour maintenance et rechargement du combustible, une étape baptisée "Visite Complète 1 (VC1)".

Initialement prévu pour entrer en service en 2012, "Fla3" aura nécessité 17 ans de travaux depuis le début du chantier en 2007. Les multiples problèmes techniques rencontrés ont considérablement alourdi la facture, désormais estimée à 13,2 milliards d’euros, soit quatre fois le devis initial de 3,3 milliards d’euros.

Le lancement de "Fla3" est emblématique de l’histoire récente du nucléaire en France. Pendant longtemps, ce réacteur de nouvelle génération a failli être le dernier à être construit dans le pays. Ce n’est qu’en 2022 que la France a officiellement décidé de relancer son programme nucléaire, misant à nouveau sur cette technologie pour renforcer sa souveraineté énergétique.

Malgré un contexte difficile, marqué par une hostilité croissante envers le nucléaire et des obstacles techniques persistants, EDF est parvenue à mener le chantier à son terme. Le démarrage de "Fla3" symbolise à la fois les ambitions et les défis de l'industrie nucléaire française face à une transition énergétique en constante évolution.

TERGI, entreprise spécialisée dans la conduite de travaux sur réseaux sensibles en Île-de-France, poursuit sa stratégie d’innovation en investissant dans une nouvelle aspiratrice-excavatrice ESE6 F1 du constructeur RSP. Cette acquisition renforce les capacités techniques de l’entreprise et témoigne de son engagement constant envers l'excellence opérationnelle.

La nouvelle aspiratrice-excavatrice ESE6 F1 est équipée de la dernière innovation 100 % RSP : un bras d’aspiration à articulation pivotante de 352 degrés. Cette avancée technologique offre une flexibilité et une précision accrues lors des interventions, même dans les environnements les plus complexes. Grâce à cette technologie, TERGI améliore encore la sécurité et l'efficacité de ses opérations.

Depuis sa création, TERGI se distingue par son savoir-faire dans les travaux sur réseaux électriques, de distribution d’énergie, de gaz et de protection cathodique. L’entreprise propose également des services de terrassement, de pose de revêtements de canalisations, de désamiantage et de génie civil. Chaque intervention est menée avec rigueur, dans le respect des normes en vigueur.

TERGI offre à ses clients une prise en charge complète, de l’étude de faisabilité à la réalisation des travaux. Son équipe d’ingénieurs et de spécialistes garantit des prestations adaptées aux besoins spécifiques de chaque projet. L’entreprise s’engage à respecter les exigences du décret anti-endommagement, assurant des interventions précises et sécurisées.

Grâce à cet investissement stratégique, TERGI confirme sa place parmi les acteurs de référence en conduite de travaux sur réseaux sensibles en Île-de-France.

En choisissant TERGI, vous bénéficiez de solutions techniques innovantes, d’un accompagnement personnalisé et d’un service irréprochable à chaque étape de votre projet.

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Le 12 décembre 2024, Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF, et Stéphane Doistau, directeur d’Energy Formation, ont inauguré une plateforme de formation dédiée aux métiers techniques à l’acheminement de l’hydrogène.

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Située sur le campus d’Energy Formation à Saint-Étienne-de-Montluc (44), cette plateforme est un outil indispensable pour préparer les équipes de GRDF et les acteurs de la filière à concevoir, poser, exploiter et entretenir de futurs réseaux hydrogène en toute sécurité. 

La plateforme de formation hydrogène : un outil unique pour accompagner le développement de la filière

Créée pour répondre à plusieurs besoins stratégiques, opérationnels et pédagogiques, elle vise à :

• Renforcer l’expertise technique liée à l’hydrogène en permettant d’en tester et maîtriser les spécificités en conditions réelles ;

• Promouvoir la sécurité des réseaux et des opérations d’hydrogène en formant aux meilleures pratiques en la matière et en reproduisant des conditions réelles de maintenance et d’exploitation ;

• Encourager la collaboration et l’innovation autour de cas d’usages concrets entre opérateurs gaziers, fournisseurs, entreprises de travaux, centres de recherche ou universités. 

La plateforme s’étend sur une surface d’environ 1000 m2. Elle est conçue autour d’un réseau hydrogène organisé en plusieurs zones fonctionnelles et pédagogiques : injection, travaux, détection de fuite, réseau usine, sécurité.  Elle permet également d’appréhender les différents usages.

Stéphane Doistau, directeur d'Energy Formation : En offrant un espace de formation, de collaboration et d’innovation, cette plateforme hydrogène accompagnera la montée en compétences et l’évolution des pratiques des acteurs de la filière qui opéreront sur les futures infrastructures hydrogène. Au-delà de la formation, cette plateforme pourrait devenir un pôle de référence pour le transfert de savoir-faire en France et en Europe. 

Laurence Poirier-Dietz directrice générale de GRDF : Fort de notre expertise en matière de gestion des réseaux gaz, GRDF travaille également dès aujourd’hui en faveur du développement de l’hydrogène au sein des territoires. Avec Energy Formation, nous préparerons les acteurs de la filière à relever les défis d’un futur énergétique décarboné, en conjuguant partage, innovation et excellence opérationnelle.

Cliquez-ici pour en savoir plus et consulter le communiqué

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Après une année 2024 marquée par une chute sévère de 21 % des ventes de matériels de BTP, le secteur pourrait entrevoir une amélioration en 2025.

Selon les prévisions de l’organisation professionnelle Evolis, le marché connaîtrait alors une baisse plus modérée de 3 %, laissant espérer un retour à la croissance positive dès 2026. Intertas.info analyse également les ventes de matériels pour les réseaux souterrains et aériens.

Cette reprise attendue intervient après une période difficile, notamment pour le segment des matériels de terrassement, particulièrement touché par la contraction du marché. Les principaux marchés européens ont également subi les conséquences de cette baisse prolongée.

Evolis adopte une posture prudente face aux incertitudes économiques persistantes. L’organisation rappelle que plusieurs facteurs conjoncturels pourraient encore influencer l’évolution du marché dans les années à venir. La vigilance reste donc de mise pour les acteurs du secteur.

Ventes de matériels pour les réseaux souterrains et aériens

Les prévisions des ventes de ces équipements sont spécifiques, mais très importantes pour les adhérents d’Intertas.info.

Matériels de détection

Le marché est resté stable en 2024 et devrait le demeurer en 2025.

Trancheuses

L’année 2024 a été marquée par une chute des ventes de trancheuses, une tendance qui devrait malheureusement se poursuivre en 2025.

Aspiratrices-excavatrices

Les ventes d’aspiratrices-excavatrices ont progressé en 2024, et le marché devrait continuer à croître en 2025.

Foreuses horizontales et dirigées

Le marché est resté stable en 2024 et devrait le demeurer en 2025.

Grues de forage et Grues de levage pour la plantation de poteaux

Ce marché reste stable, principalement en raison du renouvellement de matériel. Il devrait conserver le même niveau en 2025.

Nacelles

Selon Evolis, le marché des ventes de nacelles a été le seul à tirer son épingle du jeu en 2024. Les ventes devraient légèrement augmenter en 2025.

Porte-tourets, dérouleuses, treuils de tirage, etc.

Le marché est resté stable en 2024 et devrait le demeurer en 2025.

Consultez nous adhérents privilégiés

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Le Cerema et l’Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) ont dévoilé la liste des premières collectivités sélectionnées pour bénéficier de l'accompagnement du Cerema dans leurs études d’opportunité sur des projets de Réutilisation des Eaux Usées Traitées (REUT). Cinq collectivités recevront des aides financières directes, tandis que sept autres seront soutenues dans le montage de leur projet.

Ce programme vise à renforcer la gestion de la ressource en eau face aux effets du changement climatique et aux enjeux de résilience, dans le cadre du Plan Eau 2023, qui ambitionne de multiplier par 10 la réutilisation des eaux d'ici 2030.

12 premiers lauréats intègrent le programme dès 2024. Une deuxième vague de candidatures est ouverte jusqu’au 28 février 2025, avec l’ouverture à l’accompagnement des études de faisabilité en plus des études d’opportunité. Retrouvez plus d’information sur la page Programme d’accélération de la REUT en littoral | Cerema et lors du webinaire d’appui à la candidature le 24 janvier.   

5 territoires sont directement lauréats de l’aide financière :

• CC Bassin Marennes et Rochefort Océan, CC Ile Oléron, CC Ile de Ré (Nouvelle Aquitaine): en deux volets séparés, le porteur de projet Eau 17 souhaite mobiliser 14 stations d’épuration dont 5 rejettent en mer, pour réutiliser les eaux usées traitées dans l’irrigation et les espaces verts ou dans des bornes de REUT multiusage, en s’inscrivant dans une démarche globale de sobriété et d’économie de la ressource en eau.
• Communauté d’agglomération Pays de l’Or (Occitanie) : La collectivité qui concentre des enjeux touristiques, environnementaux et agricoles, souhaite identifier les usages possibles pour les eaux usées traitées issues de 5 stations qui rejettent dans les étangs et lagunes. Elle mène déjà trois projets de REUT pour la revitalisation d’une zone humide, l’arrosage d’espaces verts et d’un golf.
• Communauté d’agglomération Sud La Réunion (La Réunion) : Ce projet qui s’intègre dans un projet de territoire concerne une station de traitement des eaux usées isolée des autres, envisage une gouvernance avec les usagers. L’eau de la station pourrait être utilisée par un lycée agricole et des industries.
• Commune de Sainte-Luce (Martinique) : La communauté d’agglomération Espace Sud Martinique porte cette étude d’opportunité sur les divers usages des eaux usées traitées d’une station rejetant en mer dont 50% doivent être réutilisées pour la distillerie.
• Communauté de communes de Belle-Ile-en-Mer (Bretagne) : le projet porté par le syndicat départemental Eau du Morbihan concerne 6 stations d’épuration de l’île qui rejettent habituellement en mer, avec des usages envisagés dans l’agriculture, l’élevage, ainsi que des usages urbains et domestiques. En parallèle, une démarche visant la sobriété, avec la réduction des fuites sur le réseau, est menée dans ce territoire régulièrement confronté au manque d’eau.

                                                                                                                                                                                                                          Sponsor

7 territoires vont être accompagnés par le Cerema pour monter le projet :

• Brest métropole et CA du Pays de Landernau-Daoulas (Bretagne) : le projet porté par Eau du Ponant concerne 2 stations d’épuration, pour des usages envisagés industriels, urbains ou pour l’hydrocurage. Cette démarche vise aussi l’engagement collectif autour de la question de la réutilisation des eaux usées traitées.
• Golfe du Morbihan Vannes Agglomération (Bretagne) : 10 stations d’épuration sont concernées par ce projet, qui envisage une réutilisation des eaux usées traitées pour l’irrigation agricole principalement, ainsi que pour l’arrosage d’espaces verts, l’hydrocurage, le nettoyage de voiries, le lavage de voitures, ou encore l’industrie. Un point d’attention sera de s’assurer que l’irrigation agricole vient en remplacement de prélèvements dans la ressource en eau et pas pour développer de nouvelles surfaces à irriguer.
• Communauté d’agglomération Cap Atlantique (Pays de la Loire): L’objectif de la démarche de REUT sur ce territoire qui doit importer 100% de son eau potable est de réduire les prélèvements destinés à l’irrigation agricole avec un objectif fixé à 310 000 m3 par an. Le projet concerne quatre stations d’épuration, et les usages envisagés concernent aussi les espaces verts, les usages urbains, les entreprises.
• CA Hérault Méditerranée (Occitanie) : la collectivité envisage de créer des cuves d’eaux usées traitées issues de la station d’Agde qui rejette en mer, dans les communes de l’agglomération, pour différents usages. La démarche comprend une étude sur l’intérêt de ce dispositif, sur les usages possibles des eaux usées traitées et leur acheminement.
• Commune de Serra di Ferro (Corse) : Ce projet mené sur le Sous bassin versant de Taravu concerne une station d’épuration qui rejette à 400 m de la côte, et vise à réfléchir à une évolution des pratiques agricoles vis-à-vis de la ressource en eau, en envisageant différents usages pour l’eau traitée issue de la station (agriculture, usages urbains, bornes d’eau du port de plaisance).
• Collectivité de Saint-Martin (Guadeloupe) : ce projet qui met en œuvre une gouvernance exemplaire vise à réutiliser les eaux usées traitées de 5 stations pour limiter les besoins de dessalement, dans une perspective d’autonomie alimentaire de Saint-Martin. Il s’intègre au projet de territoire pour la gestion des eaux (PTGE). Les usages envisagés sont l’irrigation, la défense incendie, l’arrosage d’espaces verts, l’hydrocurage.
• Commune de Dembini (Mayotte) : Ce projet porté par Eaux de Mayotte s’inscrit dans un contexte de difficulté d’approvisionnement en eau des habitants, et a pour objectif de réutiliser les eaux usées d’une ou plusieurs stations de traitement, pour réduire le recours au dessalement et alléger la charge sur le réseau d’eau.

Consultez l'intégralité du communiqué du CEREMA.

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Le parc des expositions de Montpellier a accueilli les 11 et 12 décembre 2024 la 18ᵉ édition du Salon EnerGaïa, le seul forum professionnel dédié à toutes les énergies renouvelables. Cet événement majeur a rassemblé près de 500 exposants et attiré plus de 18 000 visiteurs, confirmant son rôle clé dans la transformation énergétique en Europe.

Stimuler l'innovation pour promouvoir une économie durable et décarbonée : tel est l'objectif du Salon EnerGaïa. Les engagements européens et les réglementations environnementales favorisent une mutation profonde des filières énergétiques. Le salon a su incarner cette dynamique en réunissant les acteurs de la production, de la distribution, de l'installation et des services liés aux énergies renouvelables.

Avec 23 % d’exposants internationaux, l’édition 2024 a enregistré une fréquentation record dans ses trois pavillons thématiques. Éolien, solaire, géothermie, biogaz et hydrogène étaient au cœur des discussions, grâce à des stands interactifs et à de nombreuses conférences.

L’accompagnement des territoires dans leur transition écologique était l’un des axes forts du forum. L’emploi et la formation dans les énergies décarbonées ont été largement abordés, renforcés par un rapport récent de l’association Evolen en collaboration avec Accenture et la Caisse des dépôts. Ce rapport prévoit la création de près de 200 000 emplois dans ce secteur d’ici cinq ans.

Parmi les grandes nouveautés de cette édition figuraient les Trophées de l’innovation. Cinq lauréats ont été récompensés pour leurs projets prometteurs, présentés en direct devant un jury et un public attentif. Cette initiative a permis de mettre en lumière des solutions novatrices destinées à accélérer la transition énergétique.

Profitant de l’événement, Michaël Delafosse, président de Montpellier Méditerranée Métropole, a annoncé le lancement d’un cluster des énergies renouvelables. Installé au sein de la Halle de l'Innovation, ce cluster sera structuré autour de six pôles de travail axés sur la formation, l’attractivité et l’innovation.

« En 2030, Montpellier sera le territoire le plus décarboné d’Europe », a affirmé M. Delafosse avec conviction. Avec 4 500 emplois déjà liés aux énergies renouvelables et des entreprises de pointe implantées dans la région, Montpellier ambitionne de devenir un acteur incontournable du secteur, au même titre que Bordeaux pour le vin ou Toulouse pour l’aéronautique. (source : Montpellier et sa Métropole)

Le Salon EnerGaïa 2024 a non seulement renforcé sa position de rendez-vous incontournable pour les professionnels des énergies renouvelables, mais il a également posé les bases d'un futur prometteur pour la transition énergétique en Europe.

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Covage, 3e opérateur d’infrastructure en France et spécialiste sur le marché de la fibre pour les entreprises, a présenté avec la fédération professionnelle InfraNum les résultats de son baromètre annuel « Fibre et Usages Numériques en Entreprise ».

Cette cinquième édition, réalisée en collaboration avec l’IFOP, a sondé plus de 800 dirigeants d’entreprises françaises. Si l’édition précédente avait révélé un ralentissement dans l’adoption de la fibre, les résultats de 2024 viennent éclairer avec un angle nouveau les défis auxquels sont confrontés les entreprises françaises dans leurs projets de digitalisation, alors que le plan de fermeture du réseau cuivre s’accélère. Cette édition souligne le rôle essentiel de la fibre pour relever les défis numériques liés à la durabilité et à la compétitivité et met en avant la montée en puissance des nouveaux usages numériques : cloud, cybersécurité et même IA dans les entreprises françaises

La migration continue, mais les entreprises sont toujours inquiètes

En 2024, 75 % des entreprises françaises sont désormais raccordées à la fibre, un chiffre en apparence encourageant. Cependant, cette progression reste limitée avec seulement +12 % d’entreprises supplémentaires qui ont migré vers la fibre cette année.

La dynamique est particulièrement forte en zones rurales, portée par le déploiement des Réseaux d’Initiative Publique (RIP). À l’inverse, dans les grandes agglomérations, où le taux d’équipement est déjà élevé, la progression stagne depuis plusieurs années, en raison de problématiques techniques et organisationnelles, comme le manque de couverture FTTH en zone très dense (ZTD) ou des besoins spécifiques liés aux usages multi-accès.

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Plusieurs obstacles freinent encore la migration :

• L’éligibilité reste un point crucial pour 23 % des entreprises interrogées
• 20 % des entreprises estiment que les offres actuelles ne répondent pas à leurs besoins
• Un déficit d’information préoccupant : 48 % des entreprises n’ont pas connaissance de la fermeture imminente du réseau cuivre

“Si la migration vers la fibre progresse, elle met aussi en lumière des défis complexes pour certaines entreprises, notamment celles ayant des usages spécifiques. Par ailleurs, 48 % des entreprises ignorent encore que la fermeture du réseau cuivre est imminente. Il est impératif d’intensifier la communication pour atteindre les entreprises concernées.”, souligne Denis Teissier, Directeur Marketing chez Covage.

“La fermeture du cuivre ouvre une période prometteuse et intense pour le marché de la fibre dédié aux entreprises. C’est une opportunité majeure pour les entreprises françaises de combler leur retard dans l’intégration des technologies numériques au sein de leurs organisations et process. Cela leur permettra de renforcer leur compétitivité » explique Ilham Djehaïch, élue présidente d’InfraNum ce 10 décembre.

La RSE : une priorité pour 62% des entreprises

La durabilité s’impose également comme une priorité croissante pour les entreprises. Le baromètre révèle que 62 % d’entre elles intègrent désormais des critères RSE dans leurs choix numériques, à travers le recyclage du matériel, la réduction de la consommation énergétique ou encore le développement du télétravail pour limiter les déplacements.

Si seules 50 % des entreprises prennent en compte la politique RSE dans le choix d’un opérateur, la fibre optique constitue pourtant une opportunité concrète pour elles de réduire leur impact environnemental. En effet, cette technologie éco-responsable consomme jusqu’à quatre fois moins d’énergie que les technologies xDSL sur réseau cuivre et dix fois moins que la 4G.

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L’accès à la fibre : une opportunité stratégique pour la compétitivité des entreprises

La connectivité apparaît de plus en plus stratégique pour l’activité économique des entreprises. Si seulement 20 % d’entre elles déclarent pouvoir continuer leur activité sans impact en cas de coupure, de nombreuses entreprises cherchent plus de sécurité : 10 % bénéficient de deux accès fibre et 27 % associent désormais la fibre et un mobile en backup pour garantir leur résilience.

Les usages traditionnels comme la visioconférence ou le partage de fichiers lourds continuent de se renforcer, tandis que les besoins en cybersécurité, en cloud et en intelligence artificielle prennent une place de plus en plus importante. À ce titre, 17 % des entreprises déclarent déjà avoir besoin de débits supérieurs pour intégrer des solutions IA, soulevant la question de la capacité des opérateurs à répondre à ces futurs besoins.

Devant tous ces défis, la fibre s’impose comme un levier incontournable pour la compétitivité des entreprises et leur transition vers un numérique durable. Covage et InfraNum appellent à une mobilisation collective pour accompagner les entreprises dans cette transformation, en renforçant la communication et en soutenant des offres adaptées aux attentes spécifiques de chaque secteur.

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Au Forum Energaïa, MECAROUTE a présenté ses solutions de protection des réseaux, notamment les gaines Rockshield et le filet anti-rongeurs RATSTOP 500, destiné à protéger câbles électriques et de communication contre les attaques de rongeurs.

Les gaines Rockshield, brevetées au niveau européen.

Ce procédé consiste à protéger les réseaux enIdéalement, recouvrant les câbles d'une gaine (Rockshield RS) ou d'une nappe (Rockshield PV), permettant ainsi leur enfouissement direct dans le sol, tout en éliminant l'utilisation de sable au fond des tranchées.

MECAROUTE dispose de plusieurs ateliers pour l'installation par spiralage de la gaine Rockshield RS 1000, parmi lesquels :

• Atelier Résopack : consiste à repositionner le câble protégé au sol après la fixation de la gaine.
• Atelier Enroulopack : consiste à ré-enrouler sur un touret le câble protégé après la fixation de la gaine. Cet atelier nécessite que les clients fournissent un touret vide, une dérouleuse, un engin de levage et une aide.
• Atelier Enrouloplus : une extension de l'atelier Enroulopack qui permet, en plus de la mise à disposition d’un touret vide, de travailler en totale autonomie.

Le filet anti-rongeurs RATSTOP 500 qui permet de protéger les câbles électriques ou les câbles de communication contre les agressions des rongeurs et notamment des rats. 

Le produit est réalisé en fil inox type AISI 304 de 0,28 mm tricoté. Il est composé de rangées de mailles d’environ 3 x 4 mm associées à des rangées de mailles d’environ 5 x 4 mm. Ces mailles sont suffisamment serrées pour dissuader le rongeur d’accéder aux câbles. Les qualités physique anticorrosives de l’inox pérennise la protection dans le temps. La ductibilité des mailles du filet permet d’envelopper avec facilité un toron de câble installé sur chemin de câble ou dans une galerie. Le RatStop est livré en rouleau de largeur 560 mm.

Performances : Des essais ont été réalisés pendant 4 semaines dans des lieux fréquentés par les rats, en enveloppant des appâts dans du RATSTOP 500. Durant ces 4 semaines, les rats n’ont jamais réussi à manger l’appât. Ces essais ont permis de confirmer l’efficacité du filet inox RATSTOP 500.

Mise en œuvre : Sur des chemins de câbles ou dans des galeries existantes, envelopper les câbles dans le RATSTOP 500, en respectant un recouvrement de 60 mm minimum, immobiliser le filet à distance régulière suivant le recouvrement afin d’éviter le passage d’un rongeur à l’aide d’un fil inox noué et posé en spirale ou en posant des d’attaches inox type Ligarex.

MECAROUTE recherche une personne motivée et autonome sur les chantiers.

- Le rayon d’action couvre le territoire national, ce qui implique de fréquents grands déplacements.

- L’entretien et la mécanique est à prendre en compte également

- Idéalement, Permis BE (remorque) et CACES F souhaités.

Mission :
L’opérateur se déplacera avec le fourgon de l’entreprise sur différents sites pour enrubanner des câbles HTA (hors tension) chez nos clients (SOBECA, SERPOLLET, SNCTP, VINCI Energies, SCUB, etc.).
Les sites peuvent être des chantiers ou des dépôts de nos clients.

Il installera sa machine et effectuera la prestation d’enrubannage de câbles.

Compétences et qualités requises :

• Bonne condition physique (travail en extérieur et manutention).
• Rigueur et souci de la qualité du travail réalisé.
•  Respect strict des consignes de sécurité.
• Un compte-rendu devra être rédigé après chaque mission.

Conditions :

• Poste à pourvoir rapidement avec possibilité de CDI.
• Dépôt situé à Corpeau (21).
• Rémunération selon profil.

Consultez le site Web : https://mecaroute.fr/reseaux

contact@mecaroute.fr       Tel. +33 (0)1 40 97 55 00

Communiqué de presse du Groupe EIFFAGE : Smulders (filiale belge d’Eiffage Métal) réalisera les fondations des sous-stations électriques des futurs parcs éoliens en mer de Centre Manche 1 et Centre Manche 2 en Normandie.

Mi-septembre, Eiffage annonçait une prise de commandes globale de Smulders (filiale belge d’Eiffage Métal) à plus de 1 milliard d’euros sur 2024 grâce au gain de huit contrats significatifs dans le secteur en croissance de l’éolien offshore.

Parmi ces contrats, Smulders a remporté le contrat EPC (Engineering, Procurement and Construction) attribué par Chantiers de l’Atlantique, agissant pour le compte de RTE, pour les fondations jackets des deux sous-stations électriques des futurs parcs éoliens en mer de Centre Manche 1 et Centre Manche 2.

Chaque structure pèsera environ 7 000 tonnes et supportera une sous-station de transformation électrique d’une capacité de 1,25 GW.

Avec l’appui des équipes d’Eiffage Métal en France, Smulders assurera la fabrication des deux fondations jackets, à partir de 2026, sur ses sites de production en Belgique puis l’assemblage final sur le site de Vlissingen aux Pays-Bas. La livraison de ces deux fondations est prévue en 2029 pour Centre Manche 1 et 2030 pour Centre Manche 2.

Ce contrat conforte la position de Smulders comme leader européen sur le marché des structures métalliques clés en main pour ce secteur et la capacité d’Eiffage à accompagner les ambitions de la France dans le mix énergétique et le développement des énergies renouvelables

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SPIE, le leader européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications, installe une nouvelle canalisation de gaz à haute pression à Hagen, en Rhénanie-du-Nord–Westphalie (Allemagne). 

Le donneur d’ordre est la société Westnetz GmbH, le plus important gestionnaire de réseau de distribution d’électricité et de gaz de l’ouest de l’Allemagne. La canalisation de quatre kilomètres et demi représente un tronçon important du réseau de distribution et vient renforcer l’approvisionnement en gaz de l’industrie locale et des réseaux de distribution situés en aval.

Cette canalisation de gaz à haute pression « Hagen-Hohenlimburg-Ambrock » reliera les vallées de Volmetal et Nimmertal dans le sud-est de la Ruhr. La conduite en acier, entièrement souterraine, sera posée à une distance d’un à deux mètres de la canalisation existante sur la majeure partie de son tracé. Le parcours comporte plusieurs difficultés, notamment deux zones de fort dénivelé et un passage sous l’autoroute A 45. 

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Dans le cadre de la réalisation de cette nouvelle canalisation, SPIE prend en charge son installation et confie et coordonne les travaux de génie civil ainsi que le forage horizontal à d’autres corps de métier. La cérémonie d'inauguration des travaux s’est déroulée au mois d’août. L’achèvement des travaux sur les douze tronçons est prévu pour mi-2026. « Nous insérons la conduite de gaz à haute pression de 160 mètres de long et dotée d’une gaine de matière plastique renforcée en fibres de verre dans un forage allant jusqu’à douze mètres de profondeur sous l’autoroute. Ces travaux seront sans incidence sur le trafic », explique Sven Bönig, responsable de projet au sein de la division opérationnelle CityNetworks & Grids de SPIE.

Lors de la mise en œuvre du projet, SPIE a pris diverses mesures afin de réduire sa consommation d’énergie et les émissions de CO2. L’approvisionnement en électricité du site est, par exemple, entièrement assuré par des panneaux solaires sur les conteneurs de chantier. Les excavateurs et engins lourds utilisent du biodiesel et sont équipés de chaînes extralarges afin de protéger le sol en atténuant le compactage de celui-ci. « Pour chaque projet, nous veillons à réduire notre empreinte carbone en mettant en place des mesures adaptées. C’est un élément important de notre stratégie de développement durable », déclare Peter Pfannenstiel, directeur de la division opérationnelle CityNetworks & Grids de SPIE Germany Switzerland Austria. L’équipe porte une attention particulière à la protection de la biodiversité de la région frontalière de la Ruhr et du Sauerland. « Des spécialistes en pédologie, écologie et archéologie accompagnent les travaux depuis le début, afin de protéger, par exemple, les amphibiens dans la vallée de Nimmertal et le muscardin de Hunsdiek », souligne Sven Bönig. Toutes les mesures de protection des espèces bénéficient d’un suivi par une entreprise spécialisée en la matière.

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Après le lancement en septembre du site de l’entreprise Sturno, c’est désormais le Groupe STURNO, réunissant plusieurs filiales, ce groupe familial indépendant, au service des collectivités et des industriels, qui se modernise avec un site web moderne et intuitif, offrant des solutions durables en Travaux Publics, Eau et Déchets dans le Grand Ouest.

Fondé en 1920 à Avranches, dans le sud de la Manche, le Groupe STURNO œuvre depuis plus d'un siècle avec une volonté constante d'être un partenaire de confiance pour les collectivités. Le groupe répond aux besoins essentiels des citoyens en matière d’eau, d’énergies (électricité, gaz et chaleur) et de gestion des déchets, tout en privilégiant des solutions respectueuses de l’environnement.

Un Management Humain et Proche

Au-delà de ses innovations technologiques, le Groupe STURNO mise sur un management à taille humaine. Chaque entreprise du groupe adopte une organisation familiale, axée sur la proximité et l’épanouissement personnel de ses collaborateurs. L'humain reste au cœur de l'organisation, avec un dialogue constructif, des formations adaptées et la mise en place des moyens nécessaires pour atteindre les objectifs fixés.

Le Groupe STURNO continue ainsi de porter haut ses valeurs, avec l’ambition d’assurer à ses collaborateurs un cadre de travail épanouissant et de répondre aux défis des collectivités et industriels avec des solutions durables et performantes.

Sponsors d'Intertas.info

La ville de Gournay-sur-Marne a fait appel à SPIE CityNetworks pour doter ses rues d’un éclairage plus efficace et de meilleure qualité. Son objectif était double : améliorer le confort de ses habitants et réduire son impact sur l’environnement.

Après avoir réalisé un audit énergétique des installations d’éclairage de la ville avec le bureau d’études E-CONEX, la mairie de Gournay-sur-Marne a choisi l’éclairage LED, une solution offrant une bonne puissance lumineuse tout en étant très peu énergivore. La LED présentait aussi l’avantage de réduire significativement la perte de lumière et la pollution lumineuse dans le ciel.

SPIE CityNetworks s’est ainsi chargé de l’installation de plus de 1000 points lumineux, qui offrent plus de sécurité et de confort aux riverains. Les performances de cette nouvelle installation sur le plan environnemental sont majeures. La ville voit sa consommation énergétique réduite de 70% et ses émissions de gaz à effet de serre divisée par 8[1] après l’intervention de SPIE CityNetworks, en cours en 2024. L’amélioration de la qualité de service des installations au bénéfice des habitants est au rendez-vous. 

La ville a également décidé d’adapter l’éclairement dans le parc de la mairie et sur le pont Chetivet, pour mieux préserver la biodiversité. Ainsi, à proximité de ces zones, la température de couleur est diminuée. Les luminaires disposent également de détecteurs de présence afin de limiter la pollution lumineuse.

Grâce à une durée de vie de 50 000 heures (soit 5 fois plus que les solutions d’éclairage traditionnel), la technologie LED permet également à la ville de réduire significativement ses coûts de maintenance.

Enfin, Gournay a choisi de se munir d’un système de gestion intelligent, qui permet de piloter à distance et en temps réel chaque point lumineux en fonction des besoins. En offrant une vision globale et détaillée du parc d’éclairage à tout moment, ce dispositif permet à la commune de suivre précisément la puissance d’éclairement et la consommation énergétique de ses installations, mais aussi de vérifier les pannes présentes sur le réseau. 

SPIE CityNetworks assurera la maintenance de l’ensemble de ces installations pour les 9 années à venir.

« La ville de Gournay-sur-Marne a su tirer parti de toutes les technologies actuelles pour atteindre les objectifs escomptés. Nous sommes ravis d’avoir accompagné la commune dans ce projet de rénovation énergétique, qui confirme notre rôle de partenaire de la performance des territoires et de leur durabilité », ajoute Bastien Pourcelle, Responsable d’Activité chez SPIE CityNetworks.

[1] Les émissions de CO2 du parc l’éclairage public de Gournay-sur-Marne passent de 64,57 tonnes de CO2 par an avec l’ancien parc, à 8,86 tonnes de CO2 par an (estimation sur les mesures effectuées de janvier à juin 2024)

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