INTERTAS

Communiqué de M. Emmanuel Martin, Directeur Général Adjoint du groupe FIRALP en charge des métiers de la transition numérique et énergétique des territoires, je sollicite auprès des adhérents d'InfraNum un mandat d’Administrateur pour le renouvellement du conseil.
 
Le groupe FIRALP membre fondateur a toujours été présent au sein du conseil de la FIRIP devenu InfraNum en 2018. Ma candidature s'inscrit dans la continuité des engagements pris par Bertrand Alloin président de FIRALP et vice-président d'InfraNum, pour faire reconnaitre notre filière auprès des pouvoirs publics et des collectivités.
 
Alors que le plan France très Haut Débit touche à sa fin, de nouveaux défis se présentent à tous nos adhérents. La disparition annoncée de la manne qui a irrigué notre filière est dans tous les esprits.

Que faire lorsque la manne cesse ?
 
Être courageux en premier lieu. Dans un environnement incertain propice aux cassandres, le courage des chefs d’entreprises de notre filière évitera un immobilisme mortifère.
 
Être agiles ensuite. C’est la force de notre filière, habituée aux brusques variations de nos marchés. La transition numérique et énergétique des territoires constitue une formidable opportunité d’exercer notre agilité. A charge pour nous de convaincre les collectivités locales que notre filière est pertinente sur ces nouveaux marchés.
 
Être solidaires enfin. Notre filière représente un écosystème ou chacun doit trouver sa place quelques soit sa taille, son métier et son positionnement dans la chaine de valeur. C’est ce qui a contribué au succès du plan France Très Haut Débit. Nous l’avons fait, nous devons garder ce cap quelques soit la météo.
 
Voici les idées que je me propose de porter si je suis élu mardi prochain. Je les défendrai et développerai avec les membres du conseil et sous l’autorité de notre futur président.

Ensemble, nous permettrons à tous nos adhérents d’atteindre leur objectif de développement de leur entreprise.
 
Je remercie par avance celles et ceux parmi les chefs d’entreprise de notre filière qui soutiendront ma candidature.

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Selon l’enquête annuelle sur les réseaux de chaleur et de froid (EARCF) publiée ce 7 novembre, la France a franchi la barre symbolique des 1.000 réseaux de chaleur en 2023 (+6% par rapport à 2022), avec 2.685 bâtiments supplémentaires raccordés. Principalement situés en zone urbaine dense, ils desservent près de 50.000 sites pour un total de 26,1 TWh de chaleur livrée aux utilisateurs finaux (hors pertes de distribution et livraisons à d’autres réseaux de chaleur). Ils proposent un bouquet énergétique dominé par les énergies renouvelables (48% de leur consommation en 2023) et le gaz naturel (33%), y compris le biométhane injecté sur le réseau.

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Le développement des réseaux de chaleur s'est poursuivi en 2023 en France, avec le franchissement de la barre symbolique des 1.000 réseaux (+6% par rapport à 2022) et le raccordement de 2.685 bâtiments supplémentaires, selon l'enquête annuelle(Lien sortant, nouvelle fenêtre)  publiée ce 7 novembre. "En trois années, plus de 1.300 km de réseaux de chaleur ont été installés, soit une hausse de 21% du linéaire total", indique dans l'édito de l'étude Yann Rolland, président de Fedene Réseaux de chaleur et de froid, partenaire avec Amorce de cette enquête pilotée par le SDES (service statistiques des ministères du Partenariat avec les territoires, de la Transition écologique et du Logement). Le cap des 50.000 logements raccordés a aussi été dépassé l'an passé.

Stabilité des livraisons de chaleur en 2023

Les réseaux de chaleur, qui s'étendent sur 7.515 kilomètres, ont fourni en 2023 26,4 TWh de chaleur - sensiblement la même quantité qu'en 2022 -, soit l'équivalent de la consommation de chaleur d'environ 2,9 millions de logements. "Cette stabilité des livraisons de chaleur, alors que le nombre de bâtiments raccordés augmente s'explique par un hiver particulièrement doux et la poursuite des efforts de sobriété des consommateurs", commente Yann Rolland. Corrigées des variations climatiques et comportementales, les livraisons de chaleur auraient augmenté de 6% entre 2022 et 2023. Selon le président de la Fedene, la montée en puissance de la filière au cours de cette période est avérée si on la compare aux baisses de consommations globales des énergies dans le secteur résidentiel (-6,3% pour le gaz et -2,5% pour l'électricité).

Le secteur résidentiel est le principal bénéficiaire de la chaleur produite par les réseaux de chaleur avec 11,7 TWh de chaleur commercialisée livrée en 2023, suivi par le secteur tertiaire avec 11 TWh. Le secteur industriel achète 0,8 TWh de chaleur auprès des réseaux, tandis que les secteurs de l'énergie et de l'agriculture se partagent à eux deux 2,5 TWh.

Souvent gérés par des collectivités locales, les réseaux de chaleur sont principalement concentrés dans les grandes villes rappelle le SDES dans son résumé de l'enquête(Lien sortant, nouvelle fenêtre) . Ces systèmes sont particulièrement présents en Île-de-France (9,7 GW de puissance thermique), en Auvergne-Rhône-Alpes (3 GW), et dans le Grand Est (2,4 GW).

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La France compte environ 10 000 éoliennes, dont la plupart ont été installées au début des années 2000. D’ici 2030, environ 500 d’entre elles devront être remplacées chaque année. Cette opération, impressionnante et délicate, est actuellement menée par EDF Renouvelables sur le parc éolien d’Oupia, dans l’Hérault. Il s'agit d'une première en France métropolitaine.

L’accès au parc se fait par un chemin discret, à peine visible depuis la route principale. Après une montée à 250 mètres d’altitude, le chant des cigales et la force du vent se font entendre. Nous sommes sur la Serre d’Oupia, une colline arrondie couverte de garrigue et de pins. Depuis 2004, les neuf éoliennes installées par EDF Renouvelables participent au développement économique de cette commune de 250 habitants. Aujourd’hui, après vingt ans de fonctionnement, l’heure est au repowering, le renouvellement des éoliennes.

Un projet de longue haleine
« Le repowering consiste à démanteler des éoliennes en fin de vie pour les remplacer par des machines de nouvelle génération, plus puissantes et performantes, capables de produire davantage d’électricité. Un tel projet se prépare jusqu’à cinq ans avant le début des travaux. La Direction Développement d’EDF Renouvelables en pilote la concertation, ainsi que les études environnementales, acoustiques et paysagères », explique Delphine Bassou, directrice de projets chez EDF Renouvelables et responsable du chantier d’Oupia.

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Des machines à la pointe de la technologie
Les nouvelles éoliennes présentent plusieurs évolutions notables. Leur hauteur passe de 78 à 110 mètres, et leurs pales inclinables permettent de multiplier par 2,5 la puissance installée, passant ainsi de 8,1 MW à 20,7 MW. « Leur conception bénéficie de vingt années de retour d’expérience environnemental », précise Sarah Houdusse, responsable gestion d’actifs au pôle éolien Sud. « Nous avons ajouté un système de détection avifaune et instauré un bridage des machines lors des périodes sensibles pour les chauves-souris. »

Un impact positif pour la commune
Pour Laurie Gomez, maire d’Oupia, « le parc éolien fait partie intégrante de l’environnement des habitants depuis des années. Les inquiétudes initiales ont été prises en compte à l’époque et sont intégrées dans le projet de repowering. » Le parc génère à lui seul 30% des revenus communaux. « C’est une chance pour nous. Cela permet d’offrir aux habitants une qualité de vie optimale avec des infrastructures modernes. Nous avons même pu réduire les impôts de 15 % en deux ans. »

Optimisation des ressources et des coûts
Le repowering permet de réutiliser des infrastructures existantes, telles que les voies d’accès et le raccordement électrique, ce qui réduit les coûts d’exploitation et de maintenance. Toutefois, les travaux doivent s’adapter aux conditions climatiques locales. « La chaleur écrasante de l’été dernier a interrompu le chantier. Dans un environnement boisé et sec, avec des vents parfois violents, le risque d’incendie reste une préoccupation majeure », explique Anthony Dols, chargé d’affaires construction chez EDF Renouvelables.

Un défi technique et organisationnel
Le véritable défi du projet résidait dans la gestion simultanée de l’exploitation, du démantèlement des anciennes éoliennes et de la construction des nouvelles. « Nous avons implanté les nouvelles machines à distance des existantes pour faciliter la création des plateformes et des fondations, tout en poursuivant la production d’électricité au maximum. Cette implantation optimise également l’intégration paysagère et prend en compte les déplacements de l’avifaune », conclut Anthony Dols.

Le projet d’Oupia marque une étape clé pour EDF Renouvelables, confirmant son engagement en faveur de la transition énergétique et son expertise dans le domaine du repowering.

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La Société Lyonnaise d’Intervention Rapide (SLIR),  acteur de premier plan dans le domaine de l’assainissement industriel, a reçu un nouveau "VORTEX" du constructeur AMPHITEC, expert en aspiration et refoulement de matières sèches et liquides.

Cette acquisition a été réalisée auprès de la société R&G France, distributeur des marques renommées RSP et Amphitec. Rappelons qu’en 2022, la société néerlandaise Amphitec a été intégrée au groupe familial allemand R&G Holding, également propriétaire de RSP.

Grâce à son savoir-faire technique, son esprit d’innovation et un service après-vente d’excellence, R&G France s’est imposée comme le leader du marché des aspiratrices-excavatrices en France. En collaborant avec des marques prestigieuses comme RSP et Amphitec, l’entreprise propose des solutions sur mesure face aux défis variés des industries modernes.

Basée à Lyon, la Société Lyonnaise d’Intervention Rapide (SLIR) est une référence incontournable dans le secteur de l’assainissement industriel. Forte de plus de 30 ans d’expérience, elle intervient dans des secteurs variés tels que l’agroalimentaire, la pétrochimie, la pharmaceutique, ou encore auprès des collectivités territoriales.

Ses principales prestations incluent :

• Nettoyage industriel
• Dégazage et vidange
• Récupération et gestion des déchets

Outre ses interventions dans les milieux professionnels, la SLIR met également son expertise au service des particuliers dans toute la région Auvergne-Rhône-Alpes.

La SLIR se distingue par son souci constant de sécurité, sa démarche respectueuse de l’environnement, et sa réactivité. Que ce soit pour des travaux en milieu pétrolier ou dans d’autres industries, ses prestations respectent scrupuleusement les normes réglementaires en vigueur, garantissant ainsi des services de haute qualité à ses partenaires.

Pour en savoir plus sur la gamme complète des équipements Amphitec, contactez le commercial Marc Pavia  Tél. : 0760443901 (Mobile)

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Engcon, leader mondial des tiltrotateurs, élargit sa gamme avec l’introduction de l’EC02 Basic, un modèle conçu pour les opérateurs recherchant simplicité, performance et accessibilité. Idéal pour les pelles compactes, l’EC02 Basic se concentre sur les fonctions essentielles de rotation et d’inclinaison, le tout dans un format rationalisé.

Avec une capacité de rotation illimitée et une inclinaison de ±40°, l’EC02 Basic garantit une maniabilité exceptionnelle. Son design compact et son poids léger de 91 kg en font une solution parfaitement adaptée aux pelles de 1,5 à 3 tonnes, préservant ainsi la stabilité de la machine tout en offrant une flexibilité incomparable pour les tâches complexes.

Caractéristiques principales :

• Rotation : infinie pour une précision totale.
• Inclinaison : ±40°, permettant de travailler sur des terrains irréguliers avec facilité.
• Sécurité : conforme aux normes européennes avec une vanne de maintien de charge standard, assurant une sécurité maximale.
• Compatibilité universelle : peut être équipé de la plupart des systèmes d’attaches rapides disponibles sur le marché.

L’EC02 Basic s’intègre directement au système de commande de l’excavatrice, simplifiant ainsi l’installation et réduisant le temps de mise en service. Pour une précision accrue, il peut être associé au système de commande proportionnelle engcon DC2, qui permet un contrôle fluide et continu des mouvements. Ce système offre également une fonctionnalité d’assistance à distance via le réseau mobile, garantissant un support technique rapide et efficace.

Bien que plus abordable, l’EC02 Basic partage les mêmes standards de qualité et de durabilité que les modèles haut de gamme d’engcon. Conçu pour répondre aux besoins des chantiers les plus exigeants, ce tiltrotateur compact est une solution polyvalente pour optimiser la productivité tout en réduisant les coûts.

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Le 2 décembre 2024, Renaud Dehillotte a pris ses fonctions en tant que Directeur Général de JCB France, filiale française du constructeur britannique spécialisé dans les équipements pour le batiment, les travaux publics et l’agriculture.

Avec une carrière riche et diversifiée, notamment chez DAF France, il apporte une expertise précieuse pour piloter les activités françaises de JCB.

Diplômé d’un Master en Management et Administration des Entreprises de l’IAE Bordeaux en 1999, Renaud Dehillotte a rejoint DAF en 2003. Pendant près de deux décennies, il a occupé des postes clés dans divers domaines, notamment la vente, le marketing et les finances, avant d’être nommé Directeur Général de DAF France en 2021. Cette riche expérience lui a permis d’acquérir une vision stratégique et opérationnelle précieuse, qui sera essentielle pour relever les défis de JCB France.

En rejoignant JCB, Renaud Dehillotte s’est fixé pour mission de consolider et développer la position de l’entreprise sur le marché français. « J’ai à cœur de renforcer et de développer les succès de JCB en France. 

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Dans le cadre du plan « France 2030 », CESI LINEACT, l’unité de recherche et d’innovation de l’école d’ingénieurs CESI, et les entreprises Conscience, Pilgrim Technology et Traak, spécialisées notamment dans la robotique et l’industrie, ont créé un consortium dédié au projet REISAR (Système Robotisé Avancé pour l’Inspection des Réseaux d’Assainissement et la Préservation de l’Eau).

Ce dernier, soutenu par Normandie AeroEspace (NAE), le pôle EMC2 et l’Office International de l’Eau mobilise les compétences et savoir-faire de chacune des entreprises partenaires pour relever les défis pressants de gestion durable de l’eau et de maintenance des infrastructures d’assainissement.

Les réseaux d’assainissement sont essentiels pour l’acheminement sécurisé des eaux usées vers les centres de traitement. Néanmoins, leur vieillissement croissant et leur accessibilité complexe rendent nécessaire l’adoption de technologies avancées pour préserver la qualité du service et éviter des pollutions des sols, conformément aux objectifs de développement durable de l’ONU pour 2030. REISAR propose une solution unique en combinant des technologies robotiques, de géolocalisation et de communication avancées pour répondre à ces enjeux critiques.

L’objectif de ce projet est de cartographier et de pouvoir naviguer avec une précision inégalée (moins de 40 cm) dans ces réseaux d’acheminement des eaux usées grâce à un robot hybride amphibie. Il devra avoir la capacité d’évoluer dans des environnements complexes et contraints en toute autonomie et souvent sans possibilité de communiquer avec son opérateur.

Le consortium est structuré pour répondre aux enjeux multidisciplinaires portés par le projet : Cliquez-ici pour lire la suite du communiqué

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Créée en 2020 par Ludovic Chevènement, la société AlphaGreen aide les gestionnaires de parcs matériels à réduire l'empreinte carbone de leurs activités grâce à une technologie innovante de nettoyage interne des moteurs par injection d’hydrogène.

Animé par la conviction qu’il est possible dès aujourd’hui de diminuer les émissions de CO₂ des véhicules et engins de chantier grâce à des solutions concrètes, Ludovic Chevènement, expert en motorisation automobile, a fondé AlphaGreen. « Nous aspirons à jouer un rôle clé dans la transition énergétique, en montrant que les entreprises peuvent agir dès maintenant sur les motorisations thermiques existantes, tout en se préparant à l’électrification de leurs parcs et en investissant dans la recherche de technologies alternatives comme l’hydrogène »

Le parc thermique mondial ne disparaîtra pas instantanément. Il est donc crucial d’exploiter toutes les opportunités pour limiter son impact environnemental. 

Pour répondre à cet enjeu, AlphaGreen a développé une solution capable de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de polluants, notamment les oxydes d’azote (NOx) et les hydrocarbures (HC), ciblés par les Zones à Faibles Émissions (ZFE). « On peut comparer notre technologie à un détartrage de cafetière, mais appliqué à un moteur. En injectant de l’hydrogène après le filtre à air, nous effectuons un nettoyage interne qui restaure les performances du moteur proches de leur état initial. Ce procédé prolonge la durée de vie du moteur, améliore son rendement énergétique, et réduit considérablement les émissions polluantes », détaille Ludovic Chevènement.

AlphaGreen compte parmi ses clients des transporteurs, des exploitants de carrières et des entreprises de travaux publics, qui adoptent cette solution comme une réponse concrète et efficace aux défis environnementaux actuels.

Sur le moniteurmateriels, vous pouvez lire aussi un article sur la société AlphaGreen.

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L’Arcep a publié la quatrième édition de son rapport, mettant en avant deux indicateurs clés : le taux de pannes et le taux d’échecs lors des raccordements. Les résultats montrent une amélioration encourageante sur une grande partie du territoire.

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Cette nouvelle édition permet d’analyser l’évolution des taux de pannes et d’échecs de raccordement observés dans les trois premières publications, parues fin juillet 2023, début février 2024 et fin juillet 2024 :

• Taux de pannes : Les résultats sont globalement encourageants. La plupart des réseaux enregistrent une diminution du taux de pannes par rapport aux éditions précédentes, en particulier ceux ayant bénéficié d’un plan de remise en état.

• Taux d’échecs au raccordement : La situation reste hétérogène selon les réseaux. Une amélioration est toutefois visible sur les réseaux d’Altitude, acquis en 2021, ainsi que sur ceux d’Altice, dont les taux se rapprochent progressivement des standards du marché.

Ces évolutions positives reflètent les efforts déployés par les opérateurs d’infrastructure et les opérateurs commerciaux pour améliorer la qualité des réseaux en fibre optique.

Les progrès sont particulièrement marqués sur les réseaux ayant fait l’objet d’un plan de remise en état. Cependant, l’Arcep rappelle qu’il est essentiel d’évaluer ces indicateurs sur le long terme et qu’il reste prématuré de tirer des conclusions définitives sur l’efficacité des travaux menés.

L’Arcep poursuit ses travaux pour enrichir l’observatoire avec de nouveaux indicateurs. Ces derniers permettront, d’une part, de mieux évaluer l’expérience des utilisateurs et, d’autre part, de mesurer le respect des processus industriels par les opérateurs commerciaux lors des raccordements.

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Cette semaine, RIVARD, constructeur français de renom, a organisé une série de démonstrations de son aspiratrice-excavatrice EXVAC. Ces événements se sont déroulés dans plusieurs centres SAV régionaux, notamment à Lyon (Corbas), Dijon (Longvic) et Clermont-Ferrand (Gannat). Une occasion unique pour les professionnels de découvrir les innovations d’un équipement conçu pour répondre aux exigences des chantiers modernes.

L’EXVAC s’impose comme une solution performante et polyvalente, idéale pour les opérations de terrassement par aspiration et les travaux en milieu urbain. Ses points forts incluent :

• Un bras ergonomique et robuste doté de 6 mouvements, garantissant une grande précision et flexibilité.

• Une turbine industrielle de haute capacité pour une aspiration efficace.

• Une benne de 10 m³ arrondie, spécialement conçue pour faciliter le bennage et optimiser le stockage.

• Un système d’avancement hydrostatique, permettant une mobilité fluide sur les chantiers.

•  Une commande 100 % radiocommandée, assurant sécurité et simplicité d’utilisation.

Avec ces caractéristiques, l’EXVAC combine innovation technologique et ergonomie pour offrir un outil de travail fiable et efficace, parfaitement adapté aux besoins des professionnels.

Les démonstrations ont attiré de nombreux clients, venus rencontrer l’équipe RIVARD pour en savoir plus sur les performances de cette aspiratrice-excavatrice française. Ces échanges ont permis de mettre en lumière les avantages d’un équipement qui facilite le travail au quotidien tout en répondant aux normes environnementales et sécuritaires les plus strictes.

Envie de découvrir l’EXVAC ?

Vous souhaitez assister à une démonstration sur site ou dans un centre technique ? RIVARD vous invite à contacter votre interlocuteur commercial pour réserver votre session personnalisée.

Le troisième trimestre 2024 enregistre une chute de 15 % dans la distribution de matériel de BTP, après un recul de 7,9 % au trimestre précédent.

La tendance baissière se confirme, les distributeurs faisant face à un retournement prolongé du marché.

En revanche, la location de matériel pour le BTP continue de croître, avec une progression de 6,4 % par rapport à l’année dernière. Bien que la croissance soit modeste sur le dernier trimestre (+1,1 %), la demande reste soutenue, offrant des perspectives positives à moyen terme.

Pour la manutention industrielle et agricole, une légère baisse de 0,9 % est constatée après des performances exceptionnelles en début d’année. Toutefois, le secteur demeure robuste, avec une hausse annuelle de 12,3 % en septembre.

Face à cette situation contrastée, les entreprises restent prudentes. Si la demande pour l’achat de matériel d'occasion et les services de maintenance montre une légère hausse, les prévisions d’embauche et d’investissements dans la manutention et la distribution demeurent en retrait, signalant une prudence généralisée dans un environnement économique incertain.

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Gendry Export, filiale du Groupe GENDRY, poursuit son expansion en Afrique de l'Ouest en participant activement au projet "MCA-Sénégal II" et en ajoutant un nouveau partenaire, le groupe espagnol Elecnor, basé à Dakar.

Le groupe Elecnor, sous la direction de M. François Christien, a confié la réalisation de cinq forages dirigés entre la centrale de production de Kounoune et la centrale électrique de Cap des Biches, dans le cadre du projet d'envergure MCA-Sénégal II. Dans l'un de nos articles publiés en octobre 2024, Gendry Export était déjà en charge, aux côtés du géant de la construction Eiffage, de la réalisation de deux forages dirigés en D630 ainsi que de la construction d’une zone de recyclage à Dakar.

Ce projet ambitieux, mené avec l'appui de la filiale CPMAT du Groupe Gendry, s'inscrit dans un Groupement d’Intérêt Économique (GIE) de chantier, en collaboration avec HERBOSCH-KIERE et Enshore Subsea. Ces interventions techniques visent à renforcer les infrastructures locales et à soutenir le développement économique de la région.

Alexandre Favrel, représentant de Gendry Export, avait déjà exprimé son enthousiasme face à ce nouveau défi : « Le Sénégal représente un marché dynamique et en pleine croissance, avec un potentiel énorme pour des collaborationsfructueuses. Nous sommes ravis de pouvoir apporter notre expertise et de contribuer au développement économique du pays. » Cette déclaration reflète la vision optimiste de l'entreprise, qui voit en ce partenariat une opportunité de renforcer sa présence sur le continent africain.

Un savoir-faire reconnu et une expertise en forages dirigés : Depuis sa création en 1996, le Groupe GENDRY s’est forgé une solide réputation dans le domaine des forages dirigés, tant en France qu’à l’international. En proposant des solutions techniques adaptées aux exigences des terrains les plus complexes, l’entreprise accompagne ses clients à chaque étape de leurs projets. Que ce soit en milieu rural ou urbain, le Groupe GENDRY garantit la réussite et la sécurité des travaux entrepris.

Fidèle à ses valeurs, le groupe se distingue par son respect rigoureux des normes, sa détermination à atteindre des objectifs ambitieux et son engagement envers la qualité. Ces principes fondamentaux sont au cœur de chaque projet et contribuent à sa réputation d'excellence.

Ce nouveau contrat marque une étape supplémentaire dans la stratégie de croissance internationale de Gendry Export. En apportant son savoir-faire au projet MCA-Sénégal II, l'entreprise confirme son leadership dans le secteur des forages dirigés et son engagement en faveur du développement durable.

Cette collaboration illustre également la volonté de Gendry Export de contribuer de manière positive aux économies locales, tout en consolidant sa position sur la scène internationale. Fort de son expertise et de son expérience, le Groupe GENDRY, dirigé par Sylvain GENDRY, s’affirme comme un acteur clé du développement des infrastructures, tout en participant activement à la modernisation des régions dans lesquelles il intervient.