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Le constructeur d'aspiratrices-excavatrices MTS accorde une attention particulière à la mise en route approfondie de ses machines, à leur maintenance, à leur efficacité en utilisation quotidienne, ainsi qu'à leurs applications spécifiques.

Les aspiratrices-excavatrices de MTS sont reconnues pour leurs performances techniques exceptionnelles. Depuis des années, ces machines de pointe se sont imposées comme des références dans le secteur grâce à leur efficacité, leur robustesse et leur polyvalence. Mais au-delà de leurs caractéristiques techniques éprouvées, MTS veille également à ce que ses équipements soient exploités de manière optimale, en prenant en compte les spécificités de chaque chantier et les applications auxquelles elles sont destinées.

Un des atouts majeurs de MTS réside dans son partenariat stratégique avec JLB Formation, un organisme qui révolutionne l'approche de la formation à l’utilisation des aspiratrices-excavatrices. L'objectif de ce partenariat est clair : maximiser l'efficacité des machines MTS en fournissant aux utilisateurs une formation rigoureuse et adaptée aux défis du terrain.

JLB Formation est certifié QUALIOPI, et cette certification qualité a été délivrée au titre des actions de formation. Grâce à cette reconnaissance, les entreprises peuvent solliciter une prise en charge financière de ces formations par leur OPCO, facilitant ainsi l'accès à des sessions indispensables pour les opérateurs.

JLB Formation met l’accent sur une compréhension approfondie des aspiratrices-excavatrices, de leur fonctionnement et de leur utilisation optimisée dans des scénarios réels. Les formations incluent des démonstrations pratiques et des exercices interactifs, permettant aux participants d’acquérir des compétences directement applicables et de se familiariser avec les subtilités de ces équipements complexes.

En parallèle, JLB Formation aborde les enjeux de la prévention des risques avec une rigueur exemplaire. Les formations couvrent un large éventail de sujets liés à la sécurité, depuis les procédures de base jusqu’à la gestion des situations d’urgence. Les professionnels sont formés à identifier les risques potentiels, à mettre en place des mesures préventives et à réagir de manière appropriée en cas de problème, assurant ainsi un environnement de travail plus sûr et plus efficace.

Les méthodes pédagogiques employées par JLB Formation incluent des simulations de situations réelles et des exercices pratiques, permettant une meilleure assimilation des compétences. Les témoignages des participants soulignent l’impact significatif de cette approche, mettant en avant non seulement la qualité des formations dispensées, mais aussi l’expertise et l’engagement des formateurs.

Conclusion : JLB Formation se positionne comme un leader dans le domaine de la formation pour la manipulation des aspiratrices-excavatrices et la prévention des risques. Avec une méthode axée sur la pratique et la réalité du terrain, l’organisme offre une préparation complète et adaptée aux exigences du secteur. Pour les professionnels cherchant à optimiser leurs compétences techniques et leur culture de la sécurité, JLB Formation est un choix incontournable.

Pour plus d’informations sur les formations proposées par JLB Formation, visitez leur site web

Sète Agglopôle Méditerranée, en charge de l’assainissement pour les 14 communes de son territoire, utilisera la technique du forage dirigé pour protéger la qualité de l’eau de la lagune de Thau, essentielle à la conchyliculture.

Consultez l'article publié le 11/10/2024 par Sète Agglopôle Méditerranée.

Sète agglopôle méditerranée assure la compétence « assainissement » pour les 14 communes de son territoire. Son objectif est de garantir un service de collecte et de traitement des eaux usées performant et sécurisé à ses habitants et ses acteurs économiques, tout en préservant les milieux récepteurs, particulièrement sensibles sur notre territoire. 

Pour protéger et maintenir la qualité de l’eau de la lagune de Thau, dont dépend notamment la filière conchylicole, l’Agglopôle s’est engagée dans une politique ambitieuse pour mettre en séparatif les anciens réseaux unitaires (collecte des eaux usées et pluviales dans une même canalisation) pour réduire et maîtriser les déversements des réseaux d’eaux usées diluées dans le milieu naturel, en particulier lors de forts épisodes pluvieux (pluie de 86 mm en 24h, qui ne se produit qu’une fois tous les deux ans). 

Dans les centres-villes où les immeubles sont anciens, les rues étroites et les sous-sols encombrés, il faut alors prévoir des solutions alternatives. L’Agglopôle a défini des orientations stratégiques et un plan d’actions, répondant aux enjeux suivants :

• Réduire les incidences sur les zones sensibles (lagune, cours d’eau, zones humides), en respectant notamment les objectifs en matière de Flux Admissible Microbiologique (FAM) définis par le SAGE (Schéma d’Aménagement et de Gestion de l’Eau)
• Rechercher et supprimer les dysfonctionnements (notamment les déversements par temps de pluie)
• Entretenir, renforcer et renouveler les infrastructures en tenant compte des aménagements en cours et à venir (lotissements, ZAC…), conformément au Schéma Directeur d’Assainissement. 

Travaux de renforcement du réseau 
Une des actions retenues dans le Schéma Directeur d’Assainissement est la création d’un nouveau réseau d’acheminement des eaux en direction de la station d’épuration des eaux usées de Sète (STEP), ainsi qu’une augmentation de la capacité de pompage du poste de relevage situé quai de Bosc, passant de 750 m³/h à 2265 m³/h. Les travaux permettront de créer un nouveau réseau d’assainissement composé de plusieurs tronçons. 

Les travaux consisteront à réaliser deux forages dirigés à partir de la route de Cayenne, de 550 mètres et 650 mètres linéaire de long, puis de poser une nouvelle conduite de 630 mm de diamètre. Cette section supplémentaire permettra de soulager la chaine de transfert existante, en redirigeant une partie des eaux directement vers la station d’épuration et en réduisant ainsi les déversements excessifs au niveau du Quai de Bosc. 

Le premier forage débutera du parking Cayenne pour arriver à l’entrée de la zone SNCF. Le second partira également du parking, jusqu’à la rue des Vermoutheries, au droit du quai de Bosc. 

Le forage dirigé est une technique de forage souterrain. Ce procédé permettra d’installer la conduite en PEHD en passant à une quinzaine de mètres sous le canal, permettant ainsi d’éviter d’avoir à creuser des tranchées sur la route de Cayenne, le Bassin du Midi et le quai de Bosc, réduisant ainsi d’importantes perturbations pour les riverains et la circulation en centre-ville. 

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France 3 Nouvelle-Aquitaine a récemment réalisé un excellent reportage vidéo mettant en lumière les travaux de la conduite enrubannée de GRDF à Limendous, dans le Béarn, pour le raccordement au méthaniseur de Gardères.

Cette vidéo est la propriété de France Télévisions et est protégée par les droits d'auteur. 

Toute duplication est formellement interdite. Toute infraction sera sanctionnée.

Article sur le même sujet publié le 09/09/2024

GRDF franchit une nouvelle étape dans la modernisation de ses méthodes de travail en Béarn en utilisant, pour la première fois sur un chantier réalisé par COREBA, la technologie d'enrubannage pour la pose d'une conduite de gaz. Cette avancée marque un tournant significatif dans la réalisation des travaux, en offrant des bénéfices tant sur le plan environnemental qu'opérationnel.

Pour réaliser ce chantier, l'entreprise COREBA utilise la technique de pose mécanisée à l'aide d'une trancheuse MARAIS équipée des derniers développements en matière de poseurs. Pour l'enrobage de la conduite sur le chantier, elle a fait appel à la société RDB-TP, pionnière en France dans la protection des réseaux de transport de gaz.

La technologie d’enrubannage présente un avantage notable : elle permet d’éviter les déplacements supplémentaires de camions sur les chantiers. Habituellement, ces derniers sont nécessaires pour le transport des matériaux, notamment le sable, utilisé pour protéger les conduites lors de leur enfouissement. Grâce à l'enrubannage, les conduites sont directement enrobées sur place, réduisant ainsi la circulation de véhicules lourds et, par conséquent, l'empreinte carbone du chantier.

Cette innovation s'inscrit également dans un contexte plus large, celui de l'essor de la méthanisation sur le territoire. La méthanisation, qui consiste à transformer les déchets organiques en gaz renouvelable, nécessite le déploiement d'infrastructures adaptées pour transporter ce biogaz. Avec l'augmentation des projets de méthanisation en France, l'adoption de solutions comme l'enrubannage s'avère cruciale pour répondre aux besoins croissants en infrastructures tout en minimisant l'impact environnemental.

GRDF s'engage activement dans la transition énergétique, et cette nouvelle technologie s'intègre parfaitement dans la volonté de l'entreprise de « verdir » ses chantiers. En réduisant les émissions de CO₂ liées au transport et en simplifiant les opérations de pose de conduites, l'enrubannage représente un pas de plus vers des pratiques de construction plus respectueuses de l'environnement.

Ainsi, avec cette première en Béarn, GRDF démontre une nouvelle fois son engagement à innover pour accompagner la transition énergétique, tout en contribuant à la réduction de l'empreinte carbone de ses activités. Cette méthode, prometteuse pour l’avenir, pourrait bien devenir la norme sur les futurs chantiers de GRDF.

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Loxam, spécialiste de la location d'engins de chantier, a collaboré avec Vinci Energies, et le constructeur de nacelles Multitel pour développer une nacelle sur véhicule léger, spécialement conçue pour améliorer la sécurité des opérateurs. 

Cette innovation s'appuie sur les retours d'expérience des utilisateurs et intègre des dispositifs de sécurité avancés pour répondre aux principaux risques rencontrés lors de l'utilisation de nacelles.

Parmi les nouveautés, un détecteur d’accrochage de harnais a été ajouté pour prévenir les chutes de hauteur, ainsi qu'un système de blocage de l’inclinaison du panier à +/-10°, garantissant une stabilité optimale. Un anémomètre électronique, avec des alertes visuelles et sonores, permet également de contrôler l’utilisation en cas de vents forts.

Pour renforcer la sécurité autour du véhicule, des LEDs supplémentaires, des feux tricolores, ainsi que des radars et caméras de recul ont été installés, réduisant ainsi les risques de collision et d’accidents.

Ces nacelles font partie de la gamme Loxsafe et sont désormais disponibles à travers toute la France, offrant une solution performante et sécurisée aux opérateurs en conditions réelles. (https://www.loxam-access.com)

Cette initiative marque une avancée importante dans la sécurisation des travaux en hauteur et reflète l'engagement de Loxam à répondre aux besoins des professionnels du terrain.

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Setics Group, l’un des principaux cabinets de conseil indépendants spécialisés dans les réseaux Très Haut Débit (THD) et les services numériques, sera présent à l'Université de la Transition Numérique des Territoires (UTNT) (Stand 39/40).

Depuis 25 ans, Setics se positionne comme un leader parmi les cabinets de conseil indépendants spécialisés dans les réseaux THD et les services numériques. Avec la création récente de Setics Group, il y a près de deux ans, l’entreprise a renforcé son engagement à accompagner les réseaux publics dans leur transition vers des infrastructures modernes et sécurisées. Setics propose une gamme complète de services, incluant la due diligence, l’audit et le conseil stratégique, afin de répondre aux besoins spécifiques de ses clients.

L’entreprise joue un rôle crucial dans l’aménagement numérique des territoires, en France et à l’international, en apportant son expertise pour éliminer les zones non connectées et pour faciliter la transition du cuivre vers la fibre optique. De plus, Setics se distingue dans le domaine de la sécurité des infrastructures avec des solutions de vidéoprotection et des conseils financiers adaptés, optimisant ainsi les investissements dans les réseaux FTTH. Forte de son équipe composée de 70 experts de 12 nationalités différentes, Setics continue d’innover et de proposer des solutions de premier ordre pour relever les défis du secteur de la fibre optique.

Mathieu SCHMITT, Directeur Général de Setics, déclare : « Nous sommes impatients de participer à l’UTNT de Strasbourg et d’exposer aux côtés du Cercle CREDO. Nous sommes fiers de notre engagement continu au sein du Cercle CREDO, qui reflète notre volonté de contribuer activement au développement des infrastructures numériques. Cet événement représente une excellente opportunité pour présenter nos solutions innovantes, rencontrer des acteurs clés du secteur des infrastructures et des télécommunications, et échanger sur les dernières tendances. Nous espérons renforcer nos partenariats et contribuer à la transformation numérique du secteur des infrastructures. Notre engagement démontre notre détermination à jouer un rôle majeur dans l'innovation et l'amélioration des réseaux de télécommunications en France et à travers le monde. »

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L'Université de la Transition Numérique des Territoires UTNT (anciennement Université du Très Haut Débit), organisée par Infranum, idealCO et l'Avicca, se tiendra au Parc des Expositions de Strasbourg les 15 et 16 octobre 2024.

L'événement phare de la filière des infrastructures numériques revient cette année avec un nouveau nom et une ambition renouvelée. Après le succès de l'édition 2023 à Bourges, qui a rassemblé 1 700 participants, cette rencontre annuelle évolue pour accompagner les territoires vers un avenir plus connecté et durable.

Alors que l'objectif « France numérique 2030 » se précise, les enjeux immédiats restent concentrés sur le plan France Très Haut Débit : qualité de service, complétude et pérennité des réseaux. L'arrêt progressif du réseau cuivre impose de relever de nouveaux défis, préparant ainsi une transition vers des modèles numériques innovants, au service des citoyens et des collectivités.

Ne manquez pas cet événement incontournable ! Rejoignez-nous à Strasbourg les 15 et 16 octobre 2024 pour participer aux discussions et échanges qui façonneront le futur numérique des territoires.

Consultez le site Web de Université de la Transition Numérique des Territoires

Découvrez l’Observatoire de la Transition Numérique des Territoires

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Muriel Brociero, cheffe de produit chez SIG-IMAGE, l'un des leaders dans la conception et l'édition de logiciels, était à Paris pour assister à la Convention Nationale des Prestataires de Cartographie, organisée par Enedis.

Cette rencontre annuelle rassemble les principaux acteurs du secteur pour discuter des enjeux liés aux marchés d'Enedis, à la sécurité dans les postes électriques, à la photogrammétrie, aux contrôles des plans et au nouveau format StaR-Elec, particulièrement pertinent pour SIG-IMAGE.

Le standard StaR-Elec : un enjeu central pour SIG-IMAGE

Le format StaR-Elec, introduit en 2022, est un géostandard conçu par un groupe de travail réunissant divers acteurs : distributeurs de réseaux, l'AODE, des exploitants de réseaux d'éclairage public, des entreprises de travaux, des bureaux d'études et des éditeurs de logiciels comme SIG-IMAGE. Ce standard vise à simplifier les échanges de données tout au long des phases d'un projet, de la conception à la réalisation des travaux, en unifiant les processus entre maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre, entreprises, topographes, cartographes, et autres parties prenantes.

Un jumeau numérique pour optimiser les processus

Actuellement, les mêmes informations sont souvent ressaisies jusqu'à quatre fois, ce qui entraîne des pertes de temps et une dégradation de la qualité. Le StaR-Elec se présente comme une solution innovante, permettant une fluidité et une précision accrue à chaque étape du projet. En effet, ce géostandard joue le rôle d'un "jumeau numérique", optimisant les échanges de données et réduisant les erreurs.

La première étape de la mise en œuvre de ce standard consiste à exporter les plans de récolement au format RecoStaR, avec la solution d’étude CAPITOLE, d'ici la fin de l’année. Cette avancée facilitera les échanges d'informations entre les différents acteurs d’un projet.

Perspectives d'avenir pour le StaR-Elec et SIG-IMAGE

La deuxième phase de ce projet, prévue pour le premier semestre de 2025, permettra de produire des fichiers au format StaR-Elec pour une intégration directe dans les solutions d’étude CAPITOLE et les SIG de la gamme GEOréseaux. Cette évolution s’inscrit dans la volonté de SIG-IMAGE de proposer des outils à la pointe de la technologie pour une gestion plus efficace des réseaux électriques.

Accompagnement et expertise métier : la clé de la réussite

Adopter le format StaR-Elec implique plus qu'une simple implémentation technique : il nécessite également une formation, une documentation complète, ainsi qu'une collaboration étroite entre les acteurs du secteur. Chez SIG-IMAGE, l'accompagnement des clients est une priorité. L'équipe d'experts métier de SIG-IMAGE est prête à soutenir les utilisateurs dans cette transition pour garantir une adoption réussie du standard, contribuant ainsi à une meilleure gestion des données des réseaux électriques.

Avec la multiplication des tempêtes, de nombreux experts et citoyens proposent une solution radicale : enterrer les lignes électriques pour protéger le réseau. Toutefois, cette option, bien qu'attrayante, est plus complexe qu'il n'y paraît.

Les infrastructures de lignes électriques peuvent être aériennes ou souterraines, chacune ayant ses avantages et inconvénients. Voici une comparaison entre ces deux types d’installation :

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Lignes électriques aériennes
Avantages :

• Coût inférieur : La construction et l'installation des lignes aériennes sont généralement moins coûteuses que les lignes souterraines.
• Facilité de maintenance : L’accès est plus simple pour les réparations et les entretiens, ce qui permet une intervention rapide en cas de panne.
• Durée d'installation plus courte : La mise en place des lignes aériennes est généralement plus rapide que pour les câbles souterrains.
• Flexibilité : Les lignes aériennes peuvent être modifiées ou déplacées plus facilement si nécessaire.

Inconvénients :

• Exposition aux intempéries : Les lignes aériennes sont vulnérables aux conditions climatiques extrêmes (tempêtes, neige, vents forts), ce qui peut provoquer des coupures fréquentes.
• Impact visuel : Elles sont souvent jugées inesthétiques, en particulier dans les zones résidentielles ou touristiques.
• Risques environnementaux : Les lignes aériennes peuvent perturber la faune, comme les oiseaux, et présentent des risques accrus d'incendie dans les régions sèches.
• Vulnérabilité aux accidents : Elles sont exposées aux chocs externes (arbres qui tombent, collisions de véhicules).

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Lignes électriques souterraines
Avantages :

• Protection contre les intempéries : Les câbles souterrains sont moins sensibles aux conditions climatiques, ce qui réduit les coupures de courant dues aux orages, vents violents, ou chutes de neige.
• Esthétisme : Ils n'ont aucun impact visuel, ce qui les rend plus adaptés aux zones urbaines ou protégées.
• Sécurité accrue : Moins de risques d'accidents (incendies, chutes de poteaux) et moins d’interactions avec la faune.
• Durée de vie plus longue : Les câbles souterrains ont généralement une durée de vie plus longue et nécessitent moins d'entretien une fois installés.

Inconvénients :

• Coût élevé : L'installation de lignes souterraines est beaucoup plus coûteuse en raison des travaux de terrassement et du matériel requis.
• Difficulté de maintenance : L'accès aux câbles pour les réparations est plus complexe, ce qui peut entraîner des interventions plus longues et coûteuses.
• Installation plus lente : L’enfouissement des lignes demande plus de temps, notamment en zones urbaines denses ou pour des terrains complexes.
• Impact environnemental initial : Les travaux de creusage pour l’installation des câbles peuvent perturber les sols et les écosystèmes locaux.

En résumé, les lignes aériennes sont moins coûteuses et plus faciles à entretenir, mais plus vulnérables aux intempéries et moins esthétiques. Les lignes souterraines, bien que plus chères, offrent une meilleure fiabilité à long terme et une intégration plus discrète dans le paysage.

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L’agence Detect Réseaux France 01 sera présente au Salon des Maires (01), des Élus locaux et des Décideurs publics des Communes et des Intercommunalités de l’Ain, qui se tiendra le vendredi 18 octobre 2024 à Bourg-en-Bresse. 

Cet événement incontournable réunira les acteurs majeurs des collectivités locales et permettra à l’équipe de Detect Réseaux 01 de faire connaître ses services et ses missions auprès des décideurs publics.

Detect Réseaux France est spécialisée dans la détection de réseaux enterrés, un enjeu clé pour la sécurité et l'efficacité des chantiers publics. À l'heure où les projets d'infrastructure se multiplient, la prévention des accidents et la préservation des réseaux souterrains (électricité, eau, gaz, télécommunications) sont devenues primordiales pour les collectivités territoriales. L’agence s’emploie à fournir des services de haute précision grâce à ses technologies de pointe et son expertise.

Les visiteurs du salon auront l'opportunité de rencontrer Yohann Basset, Amaury Araud, Jeanmichel Marinho, ainsi que le reste de l'équipe de l’agence Detect Réseaux France 01, qui seront sur place pour présenter leur offre complète et discuter des enjeux spécifiques des projets des communes et des intercommunalités de l'Ain. Ce sera également l’occasion d’échanger autour des solutions personnalisées que Detect Réseaux peut proposer pour chaque type de chantier.

Ce rendez-vous sera une chance unique pour les élus et décideurs locaux d'en savoir plus sur les services de détection de réseaux, mais aussi de tisser des liens avec des professionnels engagés dans la sécurisation et la gestion durable des infrastructures locales.

Rendez-vous donc à l’Ainterexpo de Bourg-en-Bresse le 18 octobre pour découvrir l’agence Detect Réseaux France 01 et échanger avec une équipe à la pointe de l’innovation et de la sécurité !

À Propos de Détect Réseaux France : Detect Réseaux France, fondé en septembre 2009 par Philippe Aymard, est un groupe national spécialisé dans la détection de réseaux enterrés. L'entreprise offre ses services aux maîtres d'œuvre (MOE), maîtres d'ouvrage (MOA), mairies, collectivités, entreprises de TP, et concessionnaires. Elle se distingue par sa capacité à repérer et à créer avec précision les plans des ouvrages souterrains, garantissant ainsi des interventions sûres et efficaces sur le terrain.

(Communiqué) La Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) s’alarme des mesures annoncées par le Gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances pour 2025. Les choix opérés auraient un effet récessif sur l’économie française et, contrairement aux ambitions affichées, permettraient seulement de stabiliser le déficit public.

Le Gouvernement privilégie des hausses de prélèvements, alors que la France est déjà à un niveau record par rapport aux pays de l’OCDE, et des coupes drastiques en matière d’investissement local qui représente plus de 70 % de l’investissement public civil. Ces choix porteraient gravement préjudice à la croissance, contribueraient à accroître les déséquilibres territoriaux et sacrifieraient la transition écologique.

Effondrement du fonds vert, baisse de deux points du taux du fonds de compensation pour la TVA, amputation du budget de l’Agence de financement des infrastructures de transport, création d’un fonds d’épargne imposé, cette politique de « stop and go » serait en contradiction totale avec les impératifs catégoriques de la transition écologique et du soutien à nos territoires.

La FNTP regrette ces options d’ajustement budgétaire par des « coups de rabot », au lieu de s’attaquer à la réduction des déficits publics par des réformes de structure portant sur les dépenses sociales – représentant plus de la moitié des dépenses publiques – et les dépenses courantes de l’Etat. Les pays qui ont réussi à réduire leurs déficits publics, sans porter atteinte à la croissance, ont préservé leur investissement.

Face au « mur d’investissements » de la transition écologique et aux besoins vitaux de nos territoires, la FNTP en appelle à la responsabilité du Parlement pour opérer des arbitrages budgétaires en cohérence avec le souci de la préparation de l’avenir et du redressement national.

Pour Alain GRIZAUD, Président de la FNTP : « La réduction du déficit public est une impérieuse nécessité mais elle doit se faire en préservant l’investissement local afin de réussir la transition écologique, prendre soin des territoires et ne pas trop peser sur la croissance ».

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Haulotte (leader mondial des matériels d'élévation de charges et de personnes) et l’équipe hydrogène d’Equans France testent une nacelle ciseau tout-terrain HS18 E de la gamme PULSEO, alimentée à l'hydrogène vert en conditions réelles.
 
En mai 2022, Haulotte et l’équipe hydrogène d’Equans France (comprenant les collaborateurs anciennement rattachés à Bouygues Energies & Services) ont conclu un accord pour tester en condition réelle une nacelle ciseau tout-terrain*, HS18 E, de la Gamme PULSEO*.
 
Cette nacelle est équipée d’un Range Extender amovible** fonctionnant grâce à une pile à hydrogène, qui permet de recharger les batteries. Si des engins électriques sont déjà disponibles, l’hydrogène a l’avantage de permettre la décarbonation de chantiers isolés et dépourvus d’infrastructures électriques ainsi que d’augmenter l’autonomie et de permettre des recharges rapides. Cette expérimentation sur chantier est une première en France et a nécessité l’homologation de tous les équipements et de la station de recharge.

Cette expérimentation en condition réelle s’effectue via l’appui de Bouygues Construction Matériel sur un chantier piloté par Bouygues Bâtiment Habitat Social et équipé d’une station de recharge à hydrogène. Ce partenariat entre Haulotte et Equans ouvre la voie à une transition énergétique accélérée sur les chantiers, permettant d’augmenter l’autonomie et la productivité des équipements. Ce système de recharge rapide permet également d’éviter les longues périodes de charge et de palier aux risques de vols nocturnes de matériel. Outre le bénéfice environnemental, l’utilisation de l’hydrogène apporte aussi plus de confort pour les opérateurs et les personnes à proximité du chantier puisque les émissions polluantes et sonores sont fortement réduites, la pile à combustible ne rejetant que de la vapeur d’eau.
 
Pour relever ce défi, Haulotte et Equans se sont appuyés sur deux sociétés françaises pour concevoir et déployer les solutions. Roth H2 fournit une station de recharge qui répond aux contraintes de place et de robustesse propres aux chantiers et H2SYS assure l’intégration de la technologie pile à hydrogène et stockage haute pression dans la nacelle fabriquée par Haulotte. C’est donc toute la chaîne de valeur qui est concernée par cette expérimentation, de l’approvisionnement d’hydrogène jusqu’à son usage.

Rendue possible grâce aux certifications obtenues lors du développement du projet, pour la nacelle comme pour la station de recharge, l’expérimentation sur le chantier pilote a pu démarrer en mai 2024 et s’est déroulée sur le second semestre 2024. Son objectif est double : premièrement, de confirmer la viabilité technique et économique de la technologie hydrogène pour ces nouveaux usages et, deuxièmement, de valider les études sur l'écosystème d'approvisionnement en hydrogène sur les sites de construction.

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Un chantier de 1 000 mètres débutera le 14 octobre sur l’avenue Général de Gaulle à Saint-Christol-lez-Alès (30), afin de remplacer une conduite d'eau potable vétuste par une nouvelle canalisation en fonte ductile de 200 mm de diamètre.

Ce chantier, d’une durée de 7 mois, est rendu indispensable par l’état de vétusté de l’ancienne conduite, sujette à de nombreuses fuites. Les travaux consisteront à installer une nouvelle canalisation en fonte ductile de 200 mm de diamètre, dans le but de sécuriser l'alimentation en eau potable des habitants. Ce projet s’inscrit également dans la finalisation de la remise à neuf d’un long tronçon reliant Boisset-et-Gaujac à Alès.

Afin de permettre la réalisation des travaux, une circulation alternée sera mise en place, régulée par des feux tricolores fonctionnant même de nuit. Les conditions de circulation seront assouplies les samedis et dimanches, avec le rétablissement de deux voies de circulation.

En plus du renouvellement de la conduite principale, les branchements particuliers d’eau potable seront également remplacés jusqu’à l’emplacement des compteurs existants. Conformément au règlement de service, les nouveaux compteurs seront installés à la limite du domaine privé/public.

Le chantier présente une complexité particulière en raison de la traversée de deux ouvrages d’art : les ponts routiers de l’Alzon et du Respechas, situés au nord de la commune. Suivant les recommandations des services du Conseil départemental du Gard, le carrefour du lycée sera franchi par un forage dirigé sous le rond-point.

Aucune interruption de l’alimentation en eau potable n’est prévue, à l’exception de la mise en service de la nouvelle conduite, qui entraînera une coupure de très courte durée. Le retour à la normale est prévu pour le printemps 2025.

Le coût total du projet s’élève à 841 000 € HT, avec une participation de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse à hauteur de 170 000 €, et une contribution de 34 000 € du Conseil départemental du Gard. Alès Agglomération financera les 637 000 € restants dans le cadre du plan Alès Aggl’Eau 2030. Ce plan, qui prévoit un investissement annuel de 20 millions d’euros jusqu’en 2030, vise à moderniser l’ensemble du réseau d’eau du territoire, afin de sécuriser l’alimentation en eau et préserver cette ressource naturelle.

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Colas (mandataire), en groupement avec deux de ses filiales, Perrier et Aximum, a été retenu par SYTRAL Mobilités pour réaliser la construction d’une ligne de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) reliant la gare de Lyon Part-Dieu au carrefour des Sept Chemins à Bron, pour un montant de 61,6 millions d’euros dont 52,5 millions pour Colas.

Cette ligne, d'une longueur de 7,7 km, inclut 5,8 km de voies nouvelles et prévoit la création de 16 stations. Elle traversera notamment Lyon 3ème, Villeurbanne, Vaulx-en-Velin et Bron. Les travaux commenceront mi-octobre pour une durée de 31 mois et mobiliseront jusqu’à 250 collaborateurs.

Dans le cadre de ce contrat, Aximum assurera les prestations de balisage de chantier urbain. Les équipes de Colas mettront leurs moyens en commun pour réaliser les prestations de VRD et notamment l’assainissement, les massifs et les réseaux de multitubulaires.

Conformément à ses engagements en matière de respect de l’environnement, le groupement mettra en œuvre des solutions visant à réduire l’empreinte carbone des opérations, notamment par l’utilisation de revêtements perméables clairs à base de liants biosourcés.

Le projet étant implanté au cœur de la métropole lyonnaise, le groupement portera une attention particulière à la réduction des flux de transports et leur optimisation. Les besoins de livraison seront coordonnés et les déplacements fluidifiés, permettant le maintien de la circulation des bus et modes doux pendant toute la durée des travaux et préservant ainsi un cadre de vie satisfaisant pour les riverains, les usagers et les salariés tout en garantissant leur sécurité.

De plus, la mise en place d’un partenariat avec plusieurs entreprises d’insertion (dont la Maison de l’Emploi) permettra à de nombreuses personnes en difficulté (chômeurs de longue durée, personnes en réinsertion…) de se réadapter à un environnement professionnel, pour un total de 27 000 heures de travail réalisées.

"Ce contrat témoigne de la confiance accordée au groupe Colas par SYTRAL mobilités etillustre notre capacité à allier enjeux opérationnels, expertise environnementale et responsabilité sociale", explique Pascal Trouf, Directeur Général Territoire Sud-Est de Colas France.

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