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Sous la supervision du fournisseur d'électricité Enedis, un forage dirigé de 500 mètre de long et 50 cm de diamètre est en cours, à 16 mètres sous le lit de la Dordogne entre les communes de Calès et de Mauzac-et-Grand-Castang.

Le projet, d'un coût total de 1,52 million d’euros, s’inscrit dans une démarche d'amélioration du réseau électrique pour les communes de Mauzac-et-Grand-Castang et Lalinde, situées sur la rive droite de la Dordogne. « Nous modifions le poste source de Calès pour améliorer la fourniture d’électricité », explique Sébastien Roche, responsable d’Enedis. Le forage permettra de faire passer des câbles électriques à haute tension sous la rivière, une étape essentielle pour garantir la continuité et la qualité de l'alimentation en électricité.

L’objectif est de réduire à la fois le nombre et la durée des coupures de courant grâce à l'installation de nouveaux interrupteurs télécommandés depuis Mérignac. Ces dispositifs permettront d’isoler les zones défectueuses du réseau et de rétablir rapidement le courant pour les usagers non affectés.

Parallèlement au forage sous la Dordogne, un autre forage de 30 mètres sera réalisé sous le canal et la voie ferrée, tandis que six kilomètres de lignes électriques seront enfouis à Mauzac-et-Grand-Castang et dans le hameau de Sauvebœuf, situé sur la commune de Lalinde. L’ensemble du réseau sera alimenté par la nouvelle ligne à haute tension installée sous la Dordogne.

Ce chantier, qui représente un investissement majeur pour Enedis, devrait se terminer à la mi-novembre, et vise à améliorer la résilience du réseau électrique en Dordogne.

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Depuis le 19 août et jusqu’au 15 novembre 2024, SNCF Réseau réalise des travaux de renouvellement de la voie ferrée d’accès Sud au Port de Strasbourg, en remplaçant à la fois les rails, les traverses et le ballast, et en intervenant sur plusieurs ouvrages d’art, afin de maintenir la performance de la ligne.

Ce projet de 6,3 millions d'euros s’inscrit dans une démarche de préservation et de renforcement des infrastructures. Il vise à remplacer les rails, les traverses et le ballast sur cette section stratégique. L’objectif de ces travaux est de garantir la performance et la sécurité de cette ligne, essentielle au transport de marchandises.

Des travaux indispensables pour un axe stratégique

L’accès ferroviaire au Port de Strasbourg est un point névralgique pour le transport de biens, reliant la zone portuaire aux grandes lignes nationales et internationales. Face à l'usure naturelle des matériaux due au passage intensif des trains, ces travaux de renouvellement étaient devenus indispensables. La modernisation de la voie ferrée permettra non seulement de maintenir une fluiditéoptimale du trafic, mais aussi d’éviter d’éventuels dysfonctionnements à moyen terme.

Le chantier porte sur trois éléments essentiels de l’infrastructure ferroviaire :

• Les rails : soumis à des contraintes élevées, ils seront remplacés afin de garantir la stabilité et la sécurité des trains qui circulent.
• Les traverses : ces éléments, situés sous les rails, assurent la bonne répartition du poids des trains. Leur renouvellement est crucial pour éviter toute déformation de la voie.
• Le ballast : cette couche de gravier qui soutient les traverses sera elle aussi entièrement renouvelée pour assurer un bon drainage et l’absorption des vibrations.

Un chantier programmé pour minimiser l’impact

Conscient de l’importance de maintenir la circulation ferroviaire et portuaire, SNCF Réseau a planifié ce chantier de manière à réduire au maximum les perturbations. Des mesures sont prises pour que les travaux n’interfèrent pas avec l’activité économique de la région et la fluidité du trafic ferroviaire.

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Les gestionnaires français et belge d’infrastructures énergétiques, GRTgaz et Fluxys hydrogen, filiale de Fluxys Belgium, annoncent le lancement d’un appel au marché visant à évaluer les besoins et l’intérêt économique pour la création d’une infrastructure « ouverte » de transport d’hydrogène franco-belge. 

Ce réseau long de 150 kilomètres aurait vocation à relier la zone industrialo-portuaire de Dunkerque aux zones industrielles de Gand et d’Anvers. L’appel à manifestation d’intérêt sera ouvert du 16 octobre au 29 novembre 2024.

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GRTgaz et Fluxys hydrogen se positionnent en tant qu'acteurs majeurs dans les futurs réseaux d’hydrogène interconnectés à l’échelle européenne. La création d’un réseau de transport d’hydrogène par canalisations reliant trois ports industriels majeurs de Mer du Nord (Dunkerque, Gand et Anvers) marque une étape importante dans la structuration d’un réseau de transport d’hydrogène en Europe du Nord-Ouest.

En effet, ces grandes zones industrialo-portuaires, marquées par la présence d’industries lourdes comme la sidérurgie, le raffinage et la chimie, font face à des enjeux de décarbonation importants et accueillent aujourd’hui de nombreux projets de production et de consommation d’hydrogène décarboné, leviers essentiels dans l’atteinte des objectifs européens de neutralité carbone.

Des premiers projets de réseaux locaux de transport d’hydrogène dans ces clusters sont à l’étude pour des mises en service progressives d’ici 2030. Du côté français, GRTgaz développe ainsi le réseau DHUNE2 sur le Port de Dunkerque. Du côté belge, Fluxys hydrogen avance pour réaliser les premières infrastructures en 2026.

En réponse aux attentes croissantes du marché, GRTgaz et Fluxys hydrogen, proposent aujourd'hui une infrastructure mutualisée transfrontalière de 150 kms qui assurera une connectivité entre ces trois pôles industriels majeurs, garantissant une flexibilité et une diversité d’approvisionnement à tous les industriels qui souhaiteront s’y raccorder.

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Le 16 octobre 2024, Le fabricant RSP a marqué un tournant dans le secteur des travaux publics en présentant sa nouvelle aspiratrice-excavatrice de dernière génération, l'ESE 6, lors d'une journée portes ouvertes exceptionnelle organisée dans ses locaux de Drusenheim.

Les visiteurs présents ont eu l'opportunité d'assister à des démonstrations en conditions réelles, mettant en lumière les performances inégalées de cette machine révolutionnaire. Conçue pour offrir une efficacité optimale et relever les défis des chantiers les plus exigeants, l'ESE 6 s'impose comme une référence incontournable dans le domaine des aspiratrices-excavatrices.

Pour ceux qui n'ont pas pu assister à l'événement, une présentation complète de l'ESE 6 est disponible ci-dessous.

Avec l’ESE 6 de dernière génération, le leader des constructeurs d’aspiratrices-excavatrices RSP franchit une nouvelle étape dans l’innovation. Conçue pour répondre aux exigences les plus élevées des chantiers modernes, cette machine offre une puissance d’aspiration sans précédent, grâce à un flux d'air optimisé et une efficacité accrue sur le terrain. Il s'agit de l'aspiratrice-excavatrice la plus puissante jamais réalisée par RSP.

Puissance accrue et consommation maîtrisée

La nouvel ESE 6 de dernière génération intègre une technologie de pointe qui permet de travailler en niveau d'aspiration 1 tout en atteignant une puissance comparable au niveau 2 des modèles précédents. Cette innovation permet non seulement d'optimiser les performances, mais également de réduire la consommation de carburant, un atout de taille pour la maîtrise des coûts de chantier. Ainsi, les entreprises bénéficient d'une machine plus économique tout en améliorant leur productivité.

Le bras articulé 6D : un accès simplifié aux zones difficiles

Autre atout majeur de cette nouvelle génération, le bras articulé 6D avec son rayon de mouvement impressionnant de 352 degrés. Ce système révolutionnaire facilite l'accès aux zones difficiles et permet de limiter les repositionnements de l’appareil, ce qui représente un gain de temps considérable sur le chantier.

Conception ergonomique et maintenance simplifiée

La nouvelle conception du conteneur de l’ESE 6 permet non seulement un déchargement facilité, même sur les côtés les plus élevés, mais également un nettoyage optimisé. La machine a été pensée pour une maintenance simplifiée, avec des points de service stratégiques plus accessibles et une commande décentralisée des ensembles électriques. Ces innovations contribuent à maximiser la durée de vie de l’équipement tout en minimisant les temps d’arrêt.

Un environnement de travail plus agréable

Non seulement plus puissante, l’ESE 6 est aussi plus silencieuse. Grâce à une meilleure isolation et à l’optimisation des fréquences, le bruit de fond est considérablement réduit, offrant un environnement de travail plus agréable pour les opérateurs.

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Mardi 15 octobre 2024, la Société des grands projets a baptisé « Virginie », le dernier tunnelier de la ligne 17. Depuis le site de la future gare Le Mesnil- Amelot, son point de départ, Virginie démarrera prochainement le creusement d’un tunnel de 6,3 km en direction du Tremblay-en-France, où son arrivée est prévue courant 2026.

Il s’agit du 31e lancement de tunnelier sur le Grand Paris Express, et du 5e sur la future ligne 17 après les creusements successifs des tunneliers Florence, Sarah, Bantan et Dorine qui avaient permis de creuser plusieurs tronçons de la ligne dans les profondeurs de la Seine-Saint-Denis et du Val d’Oise dont le tunnel commun avec la ligne 16.

C’est un groupement d’entreprises mené par Razel-Bec qui va assurer la réalisation de ce tunnel de 6,3km de long qui permettra de relier le terminus nord de la ligne 17 à la gare Aéroport Charles de Gaulle 2 TGV. Le groupement réalisera également 7 ouvrages de service sur ce tracé. La fin de creusement du tunnelier Virginie est prévue courant 2026 au niveau la commune du Tremblay-en-France. La mise en service de ce tronçon est prévue pour fin 2030, permettant ainsi à la ligne 17 d’être intégralement opérationnelle.

Coiffée d’une roue de coupe de près de 10 mètres de diamètre, Virginie est presque prête pour son départ prévu d’ici décembre prochain. Son parcours est un réel défi car le tunnelier devra passer sous la zone aéroportuaire Paris Charles-de- Gaulle.

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Grâce au respect des délais et à l’expertise du groupement GENDRY-BIR, le planning des travaux du projet de réseau de chaleur, lancé cet été par la Société d’Exploitation des Énergies Renouvelables (SEER), est respecté à la lettre.

Cet été, la Société d’Exploitation des Énergies Renouvelables (SEER) a lancé d’importants travaux d'extension et de renforcement de son réseau de chaleur sur la commune de Grigny. Ces opérations, qui s’inscrivent dans une volonté d’amélioration durable des infrastructures énergétiques, avancent parfaitement selon le calendrier établi. En effet, le planning des travaux de forage dirigé est respecté à la lettre.

Le chantier, confié au groupement GENDRY-BIR, titulaire du marché, prévoit la pose de tubes calorifugés sur une distance totale de 1 100 mètres linéaires. Parmi ces travaux, 420 mètres sont réalisés en forage dirigé afin de franchir des obstacles majeurs tels que l’autoroute A6, l’aqueduc du Loing et le tramway T12. Cette méthode permet de limiter les impacts environnementaux et urbains, tout en garantissant une fiabilité optimale du réseau.

L’un des moments clés du projet a été atteint avec le succès du tirage du premier tube, d’une longueur de 430 mètres. Ce tube servira de fourreau pour le passage du réseau en DN 350, prévu pour janvier prochain. Cette étape cruciale témoigne de l’expertise et de la coordination entre les différentes équipes sur le terrain.

À présent, le chantier entre dans une nouvelle phase, avec le lancement du second forage. L’objectif est clair : réussir le tirage du second fourreau d’ici la fin novembre. Ce défi, tout aussi technique que le précédent, marque une étape déterminante dans la finalisation des travaux.

Grâce au respect des délais et à l’expertise du groupement GENDRY-BIR, le projet avance sereinement, assurant ainsi à la commune de Grigny un réseau de chaleur renforcé et plus performant pour répondre aux besoins énergétiques futurs.

Ce chantier exemplaire montre l’engagement de la SEER à moderniser ses infrastructures tout en minimisant les nuisances pour les habitants et en anticipant les défis techniques avec brio.

Face à l'augmentation des vols d'engins de chantier ces dernières années, la fédération DLR et le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale ont décidé d'agir en lançant, le 10 octobre 2024, la commission "Halte aux vols d’engins". 

Ce dispositif vise à améliorer l'efficacité des actions de prévention et de récupération des machines volées dans le secteur du BTP, un enjeu crucial pour les entreprises de location de matériel.

Avec une valeur croissante due à l’électrification et aux technologies embarquées, les engins de chantier sont devenus une cible de choix pour les réseaux criminels. Afin de prévenir ces délits et mieux soutenir les victimes, la commission "Halte aux vols d’engins" rassemble déjà une vingtaine de membres, dont l'Association européenne de la location (ERA). Ses actions se concentrent notamment sur l’amélioration de la caractérisation des machines pour faciliter les enquêtes des forces de l’ordre, l’analyse des pratiques des voleurs, ainsi que l’accompagnement des utilisateurs lors du dépôt de plainte.

Le plateau d’investigation véhicule (PIV) du PJGN, spécialisé dans le soutien aux enquêtes de terrain sur les vols de véhicules, a récemment étendu ses compétences aux engins de chantier. Entre 2023 et 2024, le PIV a enregistré une hausse de 20 % de son activité, avec environ 200 sollicitations par jour, dont une partie liée aux engins volés. Un questionnaire adressé aux membres de la DLR a permis d’évaluer un préjudice total de 30 millions d’euros entre 2021 et 2024, même si ce chiffre est probablement sous-estimé.

Des zones géographiques sensibles : Les régions bordelaise, nantaise, parisienne, ainsi que l’axe rhodanien, ont été identifiées comme les principales zones d’activité des voleurs, notamment en raison de leur proximité avec des ports et des axes autoroutiers facilitant l’exportation des engins volés vers d’autres pays. En Gironde, par exemple, 69 faits de vols ont été recensés entre janvier et septembre 2024, dont 47 impliquant des mini-pelles, souvent maquillées avant d’être envoyées vers l’Espagne ou le Portugal.

Pour répondre à ce phénomène, plusieurs actions sont en cours de déploiement. Le PIV travaille sur la mise à jour du fichier des objets et véhicules signalés (FOVeS) pour mieux intégrer les engins de chantier dans ses bases de données. En parallèle, des formations seront proposées aux forces de l’ordre afin de mieux identifier ces machines. La DLR, pour sa part, publiera un guide de bonnes pratiques destiné à ses adhérents en 2025. Depuis octobre 2024, il est également possible de déposer plainte en ligne, une avancée qui devrait faciliter les démarches des entreprises victimes et améliorer le taux de récupération des engins volés.

Avec ces initiatives, la fédération DLR et le PJGN espèrent contenir l'ampleur des vols d'engins et apporter une réponse plus efficace à ce phénomène en expansion.

Consultez la news de de la gendarmerie nationale : Le PJGN perfectionne ses compétences dans le vol des engins de chantier.

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GRDF a marqué un tournant historique à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime) avec SPAC SAS (Groupe Colas)en réalisant le renouvellement de 300 mètres de réseau en acier avec enrubannage et réemploi des terres excavées. 

Ce chantier a mis en œuvre une technique innovante d'enrubannage, accompagnée du réemploi des terres excavées. Plusieurs expérimentations ont été menées, notamment l’enrubannage manuel de branchements renouvelés et le treuillage en tranchée urbaine, dans le but d'établir de nouvelles pratiques pour l'avenir.

Cette journée a également vu une première technologique avec le déploiement réussi de 400 mètres de PE63 préenrubanné par DYKA France. Malgré des conditions météorologiques extrêmes, liées à la tempête Kirk, et la complexité des réseaux enterrés, les travaux se sont déroulés sans encombre grâce à la coopération des équipes sur place.

Avec déjà 250 kilomètres de réseau posés, l'enrubannage s'impose comme une solution prometteuse, offrant des possibilités variées pour les chantiers à venir, tout en contribuant à la transition écologique des infrastructures de GRDF.

Ce chantier ouvre la voie à de futures innovations, avec un premier projet en PE125 déjà à l’horizon.

Pour en savoir plus sur ce chantier : Consulter le poste sur Linkedin de M. Antoine LAVEINE  Chargé de Projets & Expertise à la Direction Technique Industrielle de GRDF.

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Les travaux pour le déploiement des réseaux électriques et de la fibre optique sur le site emblématique du Pas de Peyrol sont en cours ! Il était l'un des derniers grands sites touristiques du Cantal à ne pas être raccordé au réseau électrique.

Ce projet, d'un coût estimé à environ 800 000 euros, grâce au précieux soutien de l’État, du Syndicat Départemental d'Électrification du Cantal (SDEC), de la Régie Auvergne Numérique, des opérateurs téléphoniques, du Département du Cantal et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le défi énergétique est au cœur de ce projet. En remplaçant les groupes électrogènes qui alimentaient le site depuis des années, ce chantier mettra un terme à l'utilisation massive de fioul, ayant consommé des centaines de milliers de litres. Cette avancée s'inscrit dans la volonté du Pas de Peyrol, classé Grand Site de France, de s'aligner sur les exigences environnementales et énergétiques de demain. La suppression des groupes électrogènes constitue un pas décisif vers une gestion durable de ce site naturel d’exception.

Au-delà de l'aspect énergétique, ce projet permet d'améliorer considérablement les infrastructures du Pas de Peyrol, en particulier les équipements sanitaires et de sécurité. La connexion à la fibre optique facilitera aussi les communications et le développement des services numériques pour les visiteurs, tout en préservant le cadre naturel unique de ce lieu.

L'Entreprise Électrique Saint-Flour Marvejol est en charge de l'alimentation en réseau haute tension (HTA) et basse tension (BT) du Pas de Peyrol, avec une ligne souterraine de 4 400 mètres depuis le col de Serre. Ces travaux sont réalisés en partenariat avec l'entreprise SOCALEC, toutes deux appartenant au groupe VINCI Energies, pour le compte du SDEC.

Ce chantier souligne l'engagement des acteurs locaux et nationaux à moderniser un site touristique de grande renommée, tout en respectant les impératifs écologiques.

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GeoGuard est la nouvelle solution innovante et bas-carbone pour l'adduction d'eau potable en polyéthylène (PE), développée par DYKA. Ces conduites en PE100 sont préenrobées en usine avec un géotextile extrêmement résistant.

DYKA innove avec GeoGuard, une solution révolutionnaire pour l’adduction d’eau potable en polyéthylène (PE), alliant performance et respect de l’environnement. Ces conduites en PE100 se distinguent par leur préenrobage en usine avec un géotextile extrêmement résistant, offrant une protection maximale contre les agressions externes et les risques liés aux futurs terrassements.

Une protection optimale sans sable : Grâce à cet enrobage spécifique, les tubes GeoGuard sont protégés contre les pierres, points durs ou autres éléments abrasifs présents dans le sol, éliminant ainsi le besoin d’aménager les fonds de fouille avec du sable ou des couches protectrices supplémentaires. Cela simplifie considérablement la mise en œuvre des canalisations, tout en garantissant leur durabilité.

Facilitation de l'identification grâce au fil de détection : Les tourets de PE GeoGuard peuvent également être équipés d’un fil de détection métallique, facilitant ainsi leur localisation après l’installation. Cette fonctionnalité est particulièrement utile lors de futurs travaux de maintenance ou de terrassement, permettant d’identifier rapidement les canalisations enfouies.

Réduction de l’impact environnemental : L’un des atouts majeurs de GeoGuard réside dans sa contribution à la réduction de l’empreinte carbone des chantiers. En effet, en réutilisant les matériaux présents sur site, GeoGuard permet de réduire l’impact environnemental de 8 tonnes de CO2 par kilomètre de réseau posé. Cette réduction est rendue possible par l’élimination du recours à des matériaux de protection comme le sable et les gravats.

Économies logistiques et matérielles : Grâce à l’utilisation de GeoGuard, il est possible d’éviter l’achat de 350 tonnes de sable et de gravats par kilomètre de réseau installé. Cela se traduit également par une réduction significative du nombre de rotations de camions, jusqu’à 13 trajets en moins par kilomètre de réseau posé. Cette optimisation logistique permet non seulement de diminuer les coûts, mais également de limiter les nuisances liées au transport.

Une solution compatible avec la pose mécanisée : GeoGuard a été conçu pour s’intégrer parfaitement dans des processus de pose mécanisée, permettant d’atteindre des cadences impressionnantes de 400 à 500 mètres par jour. Cela en fait une solution idéale pour les grands projets d’infrastructure nécessitant rapidité et efficacité, tout en maintenant un haut niveau de qualité et de sécurité.

Conclusion : Avec GeoGuard, DYKA propose une solution innovante et durable pour l’adduction d’eau potable en polyéthylène. En plus d'offrir une protection renforcée des conduites et une réduction significative de l’empreinte environnementale, GeoGuard simplifie les chantiers et optimise les coûts, tout en garantissant une pose rapide et sécurisée.

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Le constructeur d'aspiratrices-excavatrices MTS accorde une attention particulière à la mise en route approfondie de ses machines, à leur maintenance, à leur efficacité en utilisation quotidienne, ainsi qu'à leurs applications spécifiques.

Les aspiratrices-excavatrices de MTS sont reconnues pour leurs performances techniques exceptionnelles. Depuis des années, ces machines de pointe se sont imposées comme des références dans le secteur grâce à leur efficacité, leur robustesse et leur polyvalence. Mais au-delà de leurs caractéristiques techniques éprouvées, MTS veille également à ce que ses équipements soient exploités de manière optimale, en prenant en compte les spécificités de chaque chantier et les applications auxquelles elles sont destinées.

Un des atouts majeurs de MTS réside dans son partenariat stratégique avec JLB Formation, un organisme qui révolutionne l'approche de la formation à l’utilisation des aspiratrices-excavatrices. L'objectif de ce partenariat est clair : maximiser l'efficacité des machines MTS en fournissant aux utilisateurs une formation rigoureuse et adaptée aux défis du terrain.

JLB Formation est certifié QUALIOPI, et cette certification qualité a été délivrée au titre des actions de formation. Grâce à cette reconnaissance, les entreprises peuvent solliciter une prise en charge financière de ces formations par leur OPCO, facilitant ainsi l'accès à des sessions indispensables pour les opérateurs.

JLB Formation met l’accent sur une compréhension approfondie des aspiratrices-excavatrices, de leur fonctionnement et de leur utilisation optimisée dans des scénarios réels. Les formations incluent des démonstrations pratiques et des exercices interactifs, permettant aux participants d’acquérir des compétences directement applicables et de se familiariser avec les subtilités de ces équipements complexes.

En parallèle, JLB Formation aborde les enjeux de la prévention des risques avec une rigueur exemplaire. Les formations couvrent un large éventail de sujets liés à la sécurité, depuis les procédures de base jusqu’à la gestion des situations d’urgence. Les professionnels sont formés à identifier les risques potentiels, à mettre en place des mesures préventives et à réagir de manière appropriée en cas de problème, assurant ainsi un environnement de travail plus sûr et plus efficace.

Les méthodes pédagogiques employées par JLB Formation incluent des simulations de situations réelles et des exercices pratiques, permettant une meilleure assimilation des compétences. Les témoignages des participants soulignent l’impact significatif de cette approche, mettant en avant non seulement la qualité des formations dispensées, mais aussi l’expertise et l’engagement des formateurs.

Conclusion : JLB Formation se positionne comme un leader dans le domaine de la formation pour la manipulation des aspiratrices-excavatrices et la prévention des risques. Avec une méthode axée sur la pratique et la réalité du terrain, l’organisme offre une préparation complète et adaptée aux exigences du secteur. Pour les professionnels cherchant à optimiser leurs compétences techniques et leur culture de la sécurité, JLB Formation est un choix incontournable.

Pour plus d’informations sur les formations proposées par JLB Formation, visitez leur site web

France 3 Nouvelle-Aquitaine a récemment réalisé un excellent reportage vidéo mettant en lumière les travaux de la conduite enrubannée de GRDF à Limendous, dans le Béarn, pour le raccordement au méthaniseur de Gardères.

Cette vidéo est la propriété de France Télévisions et est protégée par les droits d'auteur. 

Toute duplication est formellement interdite. Toute infraction sera sanctionnée.

Article sur le même sujet publié le 09/09/2024

GRDF franchit une nouvelle étape dans la modernisation de ses méthodes de travail en Béarn en utilisant, pour la première fois sur un chantier réalisé par COREBA, la technologie d'enrubannage pour la pose d'une conduite de gaz. Cette avancée marque un tournant significatif dans la réalisation des travaux, en offrant des bénéfices tant sur le plan environnemental qu'opérationnel.

Pour réaliser ce chantier, l'entreprise COREBA utilise la technique de pose mécanisée à l'aide d'une trancheuse MARAIS équipée des derniers développements en matière de poseurs. Pour l'enrobage de la conduite sur le chantier, elle a fait appel à la société RDB-TP, pionnière en France dans la protection des réseaux de transport de gaz.

La technologie d’enrubannage présente un avantage notable : elle permet d’éviter les déplacements supplémentaires de camions sur les chantiers. Habituellement, ces derniers sont nécessaires pour le transport des matériaux, notamment le sable, utilisé pour protéger les conduites lors de leur enfouissement. Grâce à l'enrubannage, les conduites sont directement enrobées sur place, réduisant ainsi la circulation de véhicules lourds et, par conséquent, l'empreinte carbone du chantier.

Cette innovation s'inscrit également dans un contexte plus large, celui de l'essor de la méthanisation sur le territoire. La méthanisation, qui consiste à transformer les déchets organiques en gaz renouvelable, nécessite le déploiement d'infrastructures adaptées pour transporter ce biogaz. Avec l'augmentation des projets de méthanisation en France, l'adoption de solutions comme l'enrubannage s'avère cruciale pour répondre aux besoins croissants en infrastructures tout en minimisant l'impact environnemental.

GRDF s'engage activement dans la transition énergétique, et cette nouvelle technologie s'intègre parfaitement dans la volonté de l'entreprise de « verdir » ses chantiers. En réduisant les émissions de CO₂ liées au transport et en simplifiant les opérations de pose de conduites, l'enrubannage représente un pas de plus vers des pratiques de construction plus respectueuses de l'environnement.

Ainsi, avec cette première en Béarn, GRDF démontre une nouvelle fois son engagement à innover pour accompagner la transition énergétique, tout en contribuant à la réduction de l'empreinte carbone de ses activités. Cette méthode, prometteuse pour l’avenir, pourrait bien devenir la norme sur les futurs chantiers de GRDF.

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