25/04/2025
À l’occasion du 25ᵉ anniversaire de son partenaire APRRES INDUSTRIES, MTS Excavatrice Aspiratrice France est fière de s’associer à cet événement, le 15 mai 2025, pour vous présenter une machine d’exception : le DINO T-REX.
Véritable concentré de technologie, ce modèle incarne le futur de l’aspiration grâce à :
un design révolutionnaire,
des performances inégalées,
une efficacité pensée pour relever les défis de demain.
Conçu pour répondre aux exigences les plus pointues des professionnels du secteur, le DINO T-REX repousse les limites de l’innovation et redéfinit les standards de l’aspiration.
Rejoignez-nous lors de cette journée anniversaire pour découvrir cette nouveauté en action, rencontrer nos équipes et célébrer ensemble 25 ans de partenariat et de réussite.
👉 Inscription ou contactez directement MTS ou APPRES Industries
24/04/2025
Les tranchées ou les fouilles non protégées ou mal protégées présentent de graves risques pour les personnes travaillant à proximité. Depuis 2024, onze ensevelissements d'opérateurs sont à déplorer, soit autant que les cinq années précédentes où quatre accidents mortels et sept accidents très graves* ont été recensés. Comment agir pour supprimer les conséquences dramatiques des effondrements, des éboulements et des ensevelissements ?
Les tranchées ou les fouilles non protégées ou mal protégées ont entraîné sept accidents mortels et quinze accidents très graves* sur les sept dernières années. De nombreux métiers du bâtiment et des travaux publics sont concernés par les risques d'ensevelissement lors de travaux en tranchées.
Les accidents ont lieu majoritairement dans les activités suivantes :
Travaux de fouilles en tranchées : quelles sont les principales causes de ces accidents ?
Pour qu'il y ait un risque d'éboulement, trois éléments doivent être réunis :
Les causes d'un éboulement peuvent être multiples et se cumuler :
Il est courant d'entendre les idées reçues suivantes : « c'est pas profond », « c'est large », « ça tient », « on a l'habitude », « on n'en a pas pour longtemps », « on sait ce qu'on fait »… qui révèlent une sous-estimation des éléments déclencheurs et des lourdes conséquences qui en découlent.
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Et trop souvent, les compagnons descendent dans une tranchée alors qu'il n'y a pas lieu d'y aller.
Malheureusement, plusieurs accidents dramatiques se sont déroulés lors de travaux de courte durée, tels que des raccordements et des branchements d'eau ou la vérification d'une altimétrie en fond de fouille. L'encadrement et les opérateurs considéraient – à tort – que la mise en place de protections ne se justifiait pas.
Dans plusieurs cas, des compagnons sont descendus à 3, 5 voire 10 mètres de profondeur sans aucun blindage !
Un grand nombre d’accidents survient également dans des fouilles non blindées d'une profondeur inférieure à 1,30 mètre.
Cette série d’accidents mortels et graves aurait pourtant pu être évitée grâce à des mesures de prévention adaptées.
L’analyse montre que les trois quarts des accidents récents étaient liés directement à l'éboulement des parois de la fouille, et que les personnes ont été totalement ou partiellement ensevelies. Dans un tiers des cas, les victimes étaient des intérimaires.
À savoir : 1 m3 de terre qui s’effondre dans une tranchée équivaut à une charge de 1,8 tonne sur le corps.
Des mesures simples de prévention existent pourtant, pour éviter les éboulements et leurs conséquences terribles lorsque du personnel est enseveli.
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24/04/2025
Après plus de deux décennies passées au sein de Montabert, Christine Champoiral accède à la présidence de l’entreprise spécialisée dans les brise-roches et perforateurs hydrauliques. Une évolution logique pour cette dirigeante expérimentée, jusqu’ici directrice générale.
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Basée à Saint-Priest, Montabert conçoit et fabrique des équipements destinés aux secteurs de la construction et de l’extraction minière. Christine Champoiral en prend officiellement la tête, succédant à Maurice Stanich, président emblématique de l’entreprise depuis 23 ans.
Arrivée dans l’entreprise en 2002, Christine Champoiral a gravi les échelons avec constance et détermination. D’abord en charge de la relation client et de la logistique, elle devient cheffe de produit, puis directrice commerciale. Depuis novembre 2023, elle occupait le poste de directrice générale, aux côtés de Maurice Stanich, dont elle était la plus proche collaboratrice depuis un an et demi.
"Depuis plus de 20 ans, j’ai eu la chance d’évoluer auprès de femmes et d’hommes passionnés qui font battre le cœur de cette entreprise : de nos équipes terrain jusqu’à nos partenaires et clients, partout dans le monde", témoigne-t-elle sur LinkedIn. "Ensemble, nous avons relevé de nombreux défis… et ce n’est que le début !"
Sous sa présidence, Christine Champoiral entend accélérer la transformation de Montabert autour de trois axes majeurs : l’innovation, la digitalisation et la circularité. "Dans un monde en transition, l’innovation, la digitalisation et la circularité seront nos leviers pour un avenir plus durable", explique-t-elle.
Montabert prévoit ainsi de renforcer ses investissements en recherche et développement, d’optimiser l’expérience client grâce aux outils numériques et de repenser ses modèles économiques pour intégrer davantage les enjeux environnementaux.
Dans son message à l’occasion de sa nomination, Christine Champoiral rend un hommage appuyé à son prédécesseur : "C’est avec cette conviction, et l’héritage de Maurice Stanich — que je remercie chaleureusement pour son mentorat — que j’aborde cette nouvelle étape."
Et de conclure : "Je suis fière de partager avec vous l’annonce officielle de ma prise de fonction en tant que présidente de Montabert. Merci à toutes et tous pour votre soutien. J’ai hâte de bâtir, avec vous, les prochains succès de Montabert !"
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24/04/2025
A Cadalen, charmante commune du Tarn située à seulement 10 kilomètres de Gaillac, la transformation du centre bourg se poursuit à un rythme soutenu. La deuxième phase des travaux d’aménagement de la Grand-Rue et des réseaux (eaux pluviales, eaux usées et eau potable) vient de s’achever avec succès, marquant une nouvelle étape dans la redynamisation du village.
Lancée début février 2025, cette opération d’envergure a débuté par la déconstruction complète des trottoirs et de la chaussée existante, devenue indispensable au regard de l’état des infrastructures. Les équipes de l’entreprise SNR ont été mobilisées pour la rénovation des réseaux, assurant la pose de nouvelles canalisations avec sérieux et professionnalisme. Ce travail de fond, essentiel bien qu’invisible, permettra de garantir une gestion optimale des eaux et la pérennité des équipements publics.
Une fois les réseaux modernisés, place aux travaux de surface. C’est l’entreprise TP Roumegoux, basée à Graulhet (81), qui a été chargée de cette seconde étape. Terrassements, pose de bordures en calcaire, réalisation de trottoirs en béton désactivé, maçonneries diverses : chaque intervention a été menée avec un grand soin pour respecter l’esthétique et l’identité patrimoniale de Cadalen.
Le résultat est largement salué par les riverains comme par les élus : la Grand-Rue affiche désormais un visage modernisé, tout en conservant le charme authentique qui fait la réputation de la commune. À souligner notamment la grande qualité des finitions et le choix pertinent des matériaux, qui apportent élégance et harmonie à l’espace public.
Forte de cette belle réussite, l’entreprise TP Roumegoux a également été sélectionnée pour conduire la troisième tranche des travaux. Ce nouveau chantier, dont le lancement est prévu début juin 2025, portera sur l’aménagement de la place de la mairie. Il comprendra la création de parkings en pavés, la réalisation de trottoirs et d’allées en béton désactivé, la construction d’un escalier en pierre, ainsi que l’édification de murs en pierre à bâtir. Les bordures seront réalisées en pierre calcaire provenant de la carrière Calminia, gage de qualité et de durabilité. De nombreux espaces verts viendront également compléter cet ensemble pour offrir un cadre agréable et végétalisé aux habitants.
Avec ces aménagements ambitieux, la municipalité de Cadalen affirme sa volonté de renforcer l’attractivité de son centre-bourg tout en mettant en valeur son patrimoine. Si les futures réalisations affichent la même qualité de finition que celle de la Grand-Rue, nul doute que le cœur de Cadalen deviendra un véritable écrin de vie et de convivialité.
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23/04/2025
Le mercredi 9 avril 2025, une coupure soudaine de la fibre a surpris les usagers du port de Caen (Calvados). En cause : des rongeurs ayant gravement endommagé les câbles. Une solution existe : le filet anti-rongeurs RATSTOP 500.
Conçu pour protéger les câbles électriques et de communication, le RATSTOP 500, proposé par la société MECAROUTE, agit comme une barrière physique contre les agressions des rongeurs, notamment les rats, réputés pour leur appétit destructeur. Fabriqué en fil inox type AISI 304 de 0,28 mm, il présente une double trame de mailles (environ 3 x 4 mm et 5 x 4 mm), suffisamment serrées pour dissuader tout passage.
Sa robustesse, sa résistance à la corrosion et sa ductilité en font une solution durable et facile à installer, même sur des torons déjà posés en galeries ou sur chemins de câbles. Le filet est livré en rouleaux de 560 mm de largeur et s’installe avec un recouvrement de 60 mm minimum, maintenu par du fil inox noué ou des attaches inox type Ligarex.
Des essais ont été réalisés pendant 4 semaines dans des environnements fortement fréquentés par les rongeurs. Des appâts enveloppés dans du RATSTOP 500 sont restés intacts pendant toute la durée des tests, prouvant l'efficacité de cette protection mécanique contre les intrusions.
Alors que la continuité des réseaux est un enjeu stratégique dans de nombreux secteurs – portuaire, industriel, télécoms – prévenir les attaques de rongeurs devient impératif.
Le filet RATSTOP 500 s’impose ainsi comme un outil de référence pour sécuriser les installations sensibles et éviter les interruptions coûteuses.
Des solutions complémentaires pour une protection globale
Par ailleurs, la division "Réseaux" de la société MECAROUTE propose les gaines et nappes Rockshield, brevetées au niveau européen. Ces solutions permettent un enfouissement direct des câbles dans le sol sans ajout de sable en fond de tranchée. Les produits Rockshield RS (gaine) et Rockshield PV (nappe) viennent ainsi compléter le filet RATSTOP 500 dans une logique de protection globale et pérenne des réseaux.
23/04/2025
Le Groupe ALLEZ s’engage pour l’inclusion. Fidèle à ses valeurs et à ses engagements en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), le Groupe ALLEZ franchit une nouvelle étape significative en matière de diversité, d’équité et d’inclusion.
Avec fierté, le Groupe Allez annonce son adhésion à la plateforme ISES, un dispositif d’accompagnement dédié aux personnes en situation de handicap – qu’il soit visible ou invisible – ainsi qu’aux collaborateurs exerçant un rôle de proche aidant.
Grâce à cette initiative, le Groupe ALLEZ souhaite offrir un appui concret et personnalisé à ses collaborateurs sensibilisés ou directement concernés, en les accompagnant dans leurs démarches administratives, médico-sociales et financières.
👉 Cliquez ici pour vous connecter à la plateforme
Plaçant l’humain au cœur de son projet d’entreprise, le Groupe ALLEZ réaffirme avec force sa volonté de bâtir un environnement de travail plus inclusif, solidaire et responsable, où chaque situation individuelle est accueillie avec écoute, respect et bienveillance.
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23/04/2025
Alors que la consommation finale d’énergie en Europe repose encore à 85 % sur les énergies fossiles, la transition vers un modèle bas carbone impose une refonte profonde des vecteurs de production, de transport et de stockage de l’énergie. Dans ce contexte, l’hydrogène vert émerge comme une solution systémique pour soutenir le développement massif des énergies renouvelables.
L’hydrogène vert, produit par électrolyse de l’eau via une alimentation en électricité d’origine renouvelable, constitue un débouché flexible et pilotable pour ces sources intermittentes. Ce couplage permet de renforcer la bancabilité des projets renouvelables à grande échelle (notamment les parcs éoliens offshore) en assurant un débouché à la production excédentaire et en optimisant les facteurs de charge.
Ce mécanisme crée un cadre propice aux investissements structurants dans les infrastructures électriques, tout en stabilisant le réseau grâce à une capacité de stockage et de report temporel de la consommation.
L’hydrogène se distingue de l’électricité par sa capacité à être stocké en masse et transporté sur de longues distances, y compris via des infrastructures gazières existantes ou adaptées. Ce potentiel le positionne comme un vecteur énergétique stratégique pour compenser la variabilité de la production renouvelable et assurer l’équilibre offre-demande à différentes échelles spatiales et temporelles.
L’intégration d’hydrogène dans le système énergétique européen ouvre la voie à une reconfiguration des flux énergétiques, en substitution progressive aux hydrocarbures importés.
Le développement de l’hydrogène vert repose sur une montée en puissance incrémentale, structurée autour d’écosystèmes locaux à forte valeur ajoutée. Ces hubs territoriaux, souvent centrés sur la mobilité lourde (transport routier, ferroviaire ou fluvial), permettent d’ancrer des modèles économiques viables dès les premières phases de déploiement.
La massification de la demande locale constitue un prérequis à la rentabilisation des CAPEX liés à la production (électrolyseurs), à la logistique (stockage, transport) et aux infrastructures de ravitaillement (stations H₂). La collaboration entre acteurs industriels, énergéticiens, opérateurs de mobilité et collectivités territoriales est essentielle pour mutualiser les investissements et réduire les risques technico-économiques.
Le succès de la filière passe par plusieurs facteurs clés :
Massification de la demande initiale, notamment via la mobilité lourde, génératrice de volumes constants.
Optimisation technico-économique des chaînes logistiques et des architectures systèmes.
Normalisation et interopérabilité des composants pour favoriser la reproductibilité et la scalabilité des projets.
Intégration réglementaire, assurant la reconnaissance de l’hydrogène bas carbone dans les cadres européens de certification et de soutien.
L’efficacité énergétique intrinsèque de l’hydrogène est souvent remise en cause en raison des pertes liées à sa conversion. Cependant, cette analyse néglige la dimension systémique : l’objectif n’est pas de maximiser l’efficience d’un maillon isolé, mais d’assurer la flexibilité, la résilience et la soutenabilité globale du système énergétique.
En résumé : L’hydrogène vert n’est pas seulement un carburant alternatif : il est un vecteur de transformation du système énergétique européen, capable d’aligner sécurité d’approvisionnement, décarbonation et souveraineté industrielle.
22/04/2025
Dans le département de l’Hérault, La Grande-Motte innove en matière de transition énergétique avec la mise en service de Motteo, un nouveau réseau de chaleur et de rafraîchissement alimenté par l’énergie de la mer Méditerranée.
Ce projet exemplaire allie performance énergétique, faible empreinte carbone et intégration architecturale, au cœur d’une des stations balnéaires les plus emblématiques de la côte méditerranéenne.
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Porté par Dalkia, filiale du groupe EDF spécialisée dans les services énergétiques, Motteo repose sur un principe simple et durable : la thalassothermie. Cette technologie permet de capter les calories naturellement présentes dans l’eau de mer pour produire de la chaleur ou du rafraîchissement, grâce à un système de pompes à chaleur réversibles. Une fois l’énergie extraite, l’eau est restituée à la Méditerranée sans impact sur l’environnement.
L’installation, implantée sur le port dans un bâtiment de 300 m², a été conçue pour s’intégrer parfaitement à l’architecture singulière de La Grande Motte. Ce site technique assure la distribution d’une boucle d’eau douce tempérée, utilisée ensuite pour répondre aux besoins de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de rafraîchissement des bâtiments raccordés.
D’une longueur de 6 kilomètres, le réseau Motteo alimentera à terme une trentaine de bâtiments, représentant l’équivalent de 2 000 logements. Il desservira notamment des équipements publics majeurs tels que la Mairie, le Palais des congrès, ainsi que des bâtiments tertiaires. Au total, ce sont 6 MW de chaleur et 1,7 MW de froid qui seront produits localement, avec plus de 50 % d’énergie renouvelable.
Outre sa performance énergétique, Motteo contribue à la lutte contre le changement climatique. Il permettra d’éviter chaque année l’émission de 1 800 tonnes de CO₂, soit l’équivalent de 900 voitures retirées de la circulation. Les usagers bénéficieront en prime d’un tarif attractif, avec une TVA réduite à 5,5 % grâce à l’utilisation majoritaire d’énergies renouvelables.
Ce projet ambitieux, développé dans le cadre d’une délégation de service public confiée à Dalkia, bénéficie du soutien de l’État via l’ADEME, à hauteur de 7 millions d’euros dans le cadre du Fonds Chaleur, et de la Région Occitanie, qui y a contribué à hauteur de 1,4 million d’euros dans le cadre de son dispositif de soutien à la géothermie.
Motteo s’inscrit pleinement dans la stratégie de transition énergétique du territoire, offrant une réponse concrète et innovante aux enjeux de décarbonation, tout en valorisant les ressources naturelles locales. Un projet exemplaire qui pourrait inspirer d’autres collectivités littorales.
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22/04/2025
Le dernier ouvrage sans tranchée du projet Celtique Interconnector vient d’être achevé : la traversée de 126 mètres, réalisée à 10 mètres sous la rivière par forage dirigé (HDD), marque la fin de 15 mois de travaux intenses en Bretagne.
Le projet Celtic Interconnector, mené conjointement par RTE (Réseau de Transport d’Électricité) et son homologue irlandais EirGrid, vise à créer une liaison électrique à courant continu (HVDC) d’environ 575 km, dont 500 km sous-marin, permettant un échange direct d’électricité entre la France et l’Irlande. D’une capacité de 700 MW, cette infrastructure stratégique reliera la côte nord de la Bretagne à la côte sud de l’Irlande.
Ce projet s’inscrit pleinement dans les objectifs européens de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique, en facilitant l’intégration des énergies renouvelables et en renforçant un mix énergétique à faible empreinte carbone. Il contribue également à accroître la sécurité et la solidarité électriques entre les deux pays. La mise en service est prévue pour fin 2026, avec une ouverture du marché de l’électricité au premier semestre 2027.
Depuis le lancement du projet, OPTIMUM accompagne RTE dans toutes les étapes des travaux sans tranchée : de l’identification du site d’atterrissage à la supervision de l’ingénierie et de la construction.
3 atterrissages HDD, soit 1 320 mètres forés à travers du granite dur
1 microtunnel AVN 1200 de 84 mètres, réalisé sous les voies ferrées dans un sous-sol schisteux
1 traversée de rivière en HDD de 126 mètres, dans un sol composé de sable et de granite
Le dernier forage dirigé, réalisé par le Groupe GENDRY, est passé à 10 mètres sous une rivière côtière, à travers sables et roches granitiques. Bien qu’il s’agisse d’une zone humide à accès restreint, aucune éruption n’a été constatée, notamment grâce à une surveillance rigoureuse des paramètres de forage et de boue. Un point de vigilance essentiel, compte tenu de la présence de zones boisées protégées et d’habitations à proximité.
Les inspections ont confirmé l’intégrité structurelle du forage, désormais prêt pour l’installation des câbles haute tension :
3 gaines PEHD DN 225
5 gaines PEHD DN 63
Fondée en 2018 par François Gandard et Alexandre Cambier, OPTIMUM s’impose comme un acteur de référence dans l’ingénierie dédiée aux travaux sans tranchée. Spécialisée dans l’étude, le conseil et l’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO), l’entreprise accompagne ses clients dans la pose de réseaux complexes, notamment dans les secteurs stratégiques de l’oil & gas, de l’électricité et des énergies marines renouvelables (EMR)."
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22/04/2025
Le Groupe NGE signe une année 2024 exceptionnelle avec un chiffre d’affaires record de 4,6 milliards d’euros, en hausse de +38,7 % par rapport à 2023. Cette performance historique s’appuie sur une croissance organique solide de +4,7 % et sur l’acquisition stratégique de Sade en mars 2024, qui renforce significativement l’expertise du Groupe dans les infrastructures liées au cycle de l’eau.
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Chiffres clés au 31 décembre 2024 :
Chiffre d’affaires : 4,637 Md€ (+38,7 % / 3,344 Md€ en 2023 – proforma Sade 12 mois)
Effectifs : 23 609 collaborateurs, dont 95 % en CDI (+44,5 % vs. 2023)
Recrutements : 5 061 embauches, contre 4 234 en 2023 (+20 %)
Résultat net part du Groupe : 57,5 M€ (+29 %)
Cette dynamique confirme la robustesse du modèle NGE fondé sur trois piliers : expertise, proximité et Multimétiers. L’intégration réussie de Sade place désormais le Groupe parmi les leaders dans la conception-réalisation et la construction d’infrastructures hydrauliques.
Jean Bernadet, président de NGE, commente :
« L’année 2024 démontre que la croissance du Groupe est saine et durable. Nous avançons sur un modèle entrepreneurial de temps long, en regardant toutes les opportunités et en capitalisant sur 22 ans de maîtrise de nos métiers au service d’infrastructures stratégiques en France et à l’international pour les mobilités, l’eau et les énergies. Nous sommes un collectif de 24 000 collaborateurs animés par la même volonté : construire ensemble des ouvrages qui changent le monde et dont nous sommes fiers. »
Stéphane Perez, directeur général de NGE, ajoute :
« La force de nos synergies métiers a de nouveau confirmé sa puissance avec l’intégration réussie de Sade. L’année 2025 est bien orientée avec de nombreuses opportunités et l’accentuation de nos ambitions liées à la transition écologique. Nous sommes un acteur incontournable de la transformation des territoires, qui ont besoin d’être accompagnés sur le financement, la construction, la rénovation et la maintenance d’infrastructures essentielles, participant directement à leur résilience et à leur dynamisme économique. »
Cliquez-ici pour lire la totalité du communiqué
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19/04/2025
Dans le cadre de la transition énergétique et de la modernisation des infrastructures, la formation des professionnels de l’éclairage public représente un enjeu stratégique pour les territoires. À ce titre, FORMAPELEC, à travers ses centres de Pont-du-Château et Changis-sur-Marne, s’impose comme un acteur essentiel pour accompagner cette évolution.
A Pont-du-Château, FORMAPELEC dispose de plateaux techniques dédiés à l’éclairage extérieur, permettant une formation en conditions proches du terrain. Supports d’éclairage, signalisation et systèmes connectés y sont mis à disposition pour une mise en situation concrète.
A Changis-sur-Marne, une formation de Monteur en Éclairage Public est proposée via les dispositifs POEI et POEC, facilitant l’accès à l’emploi pour les demandeurs d’emploi et les personnes en reconversion.
Sponsor
Conçues en partenariat avec la Commission Éclairage Public et Équipements Connectés du SERCE, les formations couvrent des thématiques clés :
Installation et maintenance des réseaux
Éclairage intelligent et optimisation énergétique
Sécurité des interventions
Réglementation et normes
Formation Monteur en Éclairage Public (POEI/POEC)
Ces parcours permettent d’acquérir les compétences nécessaires pour répondre aux besoins du terrain et assurer la performance des installations.
FORMAPELEC propose également un accompagnement sur mesure aux entreprises :
Conseil technique sur les solutions d’éclairage
Suivi pédagogique individualisé
Aide au montage administratif (Constructys)
Logistique (hébergement, restauration)
L’éclairage public est un levier majeur pour réduire la consommation énergétique tout en garantissant un service de qualité. En formant les professionnels aux technologies de demain, FORMAPELEC contribue activement à bâtir des villes plus durables et résilientes.
Créée en 1972 par les organisations professionnelles de l’équipement électrique (SERCE et FFIE), FORMAPELEC est une Association Loi 1901 spécialisée dans la formation des professionnels du génie électrique et des réseaux de communication.
👉 Plus d’informations et visites des centres : www.formapelec.fr
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19/04/2025
Si le projet d’un métro à Bordeaux n’est pas encore acté, l’étude de faisabilité continue d’avancer. Le jeudi 17 avril, la Métropole a présenté les conclusions de la seconde phase de cette étude devant ses élus. Si l'enthousiasme reste mesuré, des éléments importants ont été précisés, notamment le coût financier et le tracé retenu.
Sponsor
Le budget estimé pour la réalisation du métro se situe entre 2,15 et 2,25 milliards d’euros. Quant au tracé, c’est finalement la ligne nord qui a été choisie parmi les deux propositions présentées lors de la première phase en septembre 2023. Ce choix repose sur un potentiel de fréquentation estimé à 157 000 voyageurs par jour, contre 112 000 pour la ligne sud. Ce tracé traverserait plusieurs communes de la Métropole, reliant Lormont à Pessac, avec une vingtaine de stations.
Un des atouts majeurs de cette ligne est son accessibilité aux grands équipements et axes stratégiques de Bordeaux, comme l’hôpital Pellegrin, la gare Saint-Jean et le campus universitaire. Elle offrirait également une connexion avec la rive droite et le secteur d’Euratlantique, renforçant ainsi la mobilité au sein de la Métropole.
Malgré ces avancées, certains points de l'étude restent préoccupants. Des interrogations subsistent sur la faisabilité technique, notamment la capacité des vieux bâtiments du centre-ville à supporter la construction du métro, ou la possibilité de creuser un passage sous la Garonne. La phase 3 de l’étude, prévue jusqu’à l’automne 2025, devrait permettre de finaliser le choix du tracé, des stations, et d’évaluer la rentabilité socio-économique du projet.
Bordeaux-Métropole insiste sur le fait que cette nouvelle étape ne constitue pas une décision finale concernant la réalisation du projet, mais un approfondissement technique et stratégique. « À ce stade, la rentabilité et l’opportunité globale du projet ne sont pas encore démontrées », précise-t-on. Les résultats complets de cette phase seront rendus publics dans les mois à venir, offrant ainsi des éléments clés pour une décision éclairée sur la création d’une ligne de métro à Bordeaux.
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