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A l’occasion de ses 20 ans, Coyote, leader européen des services connectés d’aide aux conducteurs, renforce son engagement auprès des entreprises et des professionnels avec le lancement de Coyote Business Services, une nouvelle marque dédiée. 

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Cette annonce illustre les ambitions accrues du groupe français sur le marché européen du BtoB, pour ainsi répondre aux enjeux de la mobilité des entreprises. Elle s’inscrit dans la continuité d’une stratégie de diversification réussie et du rachat intégral de sa filiale Ubiwan, dont Coyote était devenu actionnaire majoritaire en novembre 2022.

« Notre ambition est de multiplier par 5 le chiffre d’affaires de nos activités portées par Coyote Business Services sur les 4 prochaines années, en nous positionnant au cœur des besoins des entreprises. La marque BtoB du groupe, conjugue expertise technologique et solutions sur-mesure à forte valeur ajoutée. Une agilité qui nous rend capables de nous adapter pour répondre aux objectifs quotidiens de nos clients et partenaires, qu’ils soient gestionnaires de flottes ou décideurs à l’échelle européenne », confie Benoit Lambert, Directeur Général de Coyote.

Avec Coyote Business Services, le groupe Coyote est en mesure de proposer l’ensemble de sa plateforme de services et ses data auprès de différentes verticales, à commencer par les flottes d’entreprise, mais aussi auprès de différents acteurs de la mobilité, de l’industrie et du transport. Les services du groupe déjà utilisés par plus de 3.500 entreprises comme Renault, Kiloutou ou encore Eiffage, permettent à Coyote de se positionner, comme un acteur majeur au niveau français et européen, de la télématique et de la sécurisation des véhicules professionnels.  

« Chez Coyote Business Services, nous affirmons que la technologie n’a de valeur que lorsqu’elle est pensée pour les utilisateurs. Nous travaillons main dans la main avec nos clients pour comprendre leurs enjeux métiers et leurs besoins spécifiques. De cette collaboration naissent des solutions innovantes. Nos différents services intègrent les toutes meilleures technologies et sont basés sur des données fiables et exploitables, qui nous permettent d’atteindre des objectifs concrets : une gestion plus efficace, une optimisation des ressources et un retour sur investissement rapide et mesurable » ajoute David Babin, Directeur de Coyote Business Services.  

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Coup de cœur : Le Groupe Copland, acteur reconnu dans la construction de réseaux souterrains et aériens, affirme son engagement solidaire en collaborant avec l’association Électriciens sans Frontières, une ONG de solidarité internationale qui œuvre depuis 1986 à réduire les inégalités d’accès à l’électricité et à l’eau dans le monde. 

Ce partenariat s’inscrit pleinement dans la démarche responsable du Groupe Copland. L’entreprise valorise en effet son matériel usagé — transformateurs, nappes, voûtes de dépose, isolateurs, etc. — en le reconditionnant lorsque cela est possible, avant de le céder à l’association. Une manière concrète de prolonger la durée de vie des équipements tout en soutenant des projets essentiels au développement humain.

Mais le soutien de Copland ne s’arrête pas au don de matériel : le groupe souhaite aller plus loin en s’impliquant dans les missions de l’association par le biais d’un mécénat de compétences, mobilisant ainsi le savoir-faire de ses équipes au service de projets à fort impact social.

Fondé en 1981 et basé à Samadet, dans les Landes, le Groupe Copland est dirigé par Alexandre Hedri. Il réunit aujourd’hui quatre entités — Copland, Copland Caraïbes, Cenergy et Copland HTB — qui partagent une même vision : l’excellence dans la gestion des réseaux.

Le groupe intervient dans cinq grands domaines d’activité :

• Enfouissement de lignes électriques mécanisé : pour sécuriser les installations et améliorer leurintégration paysagère.

• Réseaux électriques : construction de lignes aériennes moyenne et basse tension, et infrastructures d’éclairage public.

• Lignes haute et très haute tension : développement d’infrastructures critiques pour un réseau électrique fiable et résilient.

• Fibre optique : installation et maintenance de réseaux haut débit pour accompagner la transformation numérique des territoires.

• Réseaux de télécommunication : modernisation des infrastructures pour des communications rapides et efficaces.

Le Groupe Copland propose également un service de location de matériels avec opérateurs, notamment des trancheuses, afin d’assurer des interventions rapides, maîtrisées et performantes.

À travers ce partenariat avec Électriciens sans Frontières, le Groupe Copland démontre qu’une expertise technique peut aussi devenir un levier puissant de solidarité et de développement durable.

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Le Groupe NGE, à travers sa filiale Sade, annonce avoir remporté un nouveau contrat en Moldavie pour améliorer l’accès à l’eau potable dans les villes de Chișinău (capitale du pays), Străseni et Călărași. C’est le 7ème chantier autour des métiers de l’eau pour lequel l’entreprise est retenue par les pouvoirs publics moldaves. 

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Sade se positionne parmi les entreprises françaises les plus engagées dans le développement des relations économiques France-Moldavie. Un projet qui répond directement aux problématiques d’approvisionnement en eau potables de la Moldavie.

En Moldavie, une grande partie du réseau d’approvisionnement en eau et des systèmes d’assainissement date de l’époque soviétique. Ces infrastructures font l’objet d’un renouvellement progressif afin de garantir aux populations un accès à une eau de qualité, en particulier dans les zones rurales.

Le contrat, d’une durée de 21 mois, a été octroyé par l'Agence de Développement Régional Centre à Sade. Il comprend la conception et la construction d’une conduite en fonte de 54 km qui reliera la capitale aux villes de Străseni et Călărași et permettra d’acheminer l’eau issue du fleuve Dniestr, qui sera ensuite distribuée aux habitants des municipalités concernées. Le projet sécurise ainsi l’approvisionnement en eau de plus de 30 000 personnes.

Le marché inclut également l’installation d’une nouvelle station de pompage à Călărași, avec un système de gestion et de contrôle à distance (SCADA). Celle-ci viendra compléter les stations de pompage existantes, offrant ainsi une capacité renforcée et une gestion optimisée du réseau.

Le montant du projet est de 22 millions d’euros. Il sera financé par la KfW, banque de développement allemande et par le Fondul Național pentru Dezvoltare Regională și Locală (Fond National pour le Développement Régional et Local).

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La 34e édition de bauma, le salon leader mondial des machines de construction, des machines pour matériaux de construction, des équipements pour l’exploitation minière, des véhicules de chantier et des technologies du BTP, a fermé ses portes le 13 avril 2025, après une semaine intense d’innovation, de démonstrations et de rencontres internationales.

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Organisé à Munich, bauma 2025 a une nouvelle fois affirmé son statut d’événement incontournable pour les professionnels du secteur. Avec une superficie impressionnante de 200 000 m² en intérieur et 414 000 m² en extérieur, le salon a rassemblé 3 601 exposants représentant 57 pays, proposant un panorama exceptionnel de savoir-faire, de technologies de pointe et de solutions d’avenir.

Côté visiteurs, bauma 2025 a établi un nouveau record avec près de 600 000 participants venus de plus de 200 pays. Professionnels du BTP, industriels, ingénieurs, décideurs et innovateurs sont venus en nombre pour découvrir les nouveautés du marché, rencontrer les leaders internationaux et s’informer sur les grandes tendances qui redéfinissent le secteur.

Cette édition a été l’occasion de mettre en lumière les grandes transformations qui façonnent l’avenir de la construction à l’échelle mondiale. Cinq thèmes majeurs ont guidé les présentations, les conférences et les démonstrations :

• Neutralité Climatique : L’industrie accélère sa transition vers des pratiques à faible émission de carbone, à travers des solutions visant à réduire l’empreinte écologique des chantiers et des équipements.

• Concepts de Motorisation Alternatifs : L’électrification, les moteurs à hydrogène et d’autres technologies émergentes ont été au cœur des discussions, soulignant la volonté de se détacher des carburants fossiles.

• Construction Connectée : L’intégration du numérique dans les opérations de chantier s’intensifie, avec une automatisation croissante, des outils de gestion intelligents et des systèmes interconnectés.

• Construction Durable : Les matériaux recyclés, les procédés de construction éco-responsables et l’économie circulaire ont été fortement valorisés, dans une optique de réduction de l’impact environnemental.

• Défis Miniers : L’exploitation minière se transforme, avec des innovations qui renforcent la sécurité des travailleurs, améliorent la productivité et limitent les effets sur l’environnement.

Face à cet engouement massif, le prochain chapitre est déjà attendu avec impatience. La prochaine édition, bauma 2028, se tiendra du 3 au 9 avril 2028, à Munich. Un rendez-vous à inscrire dès maintenant dans les calendriers de tous les acteurs du secteur, pour continuer à bâtir ensemble le futur du BTP.

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Lors du salon BAUMA 2025, les quatre leaders de l’aspiration-excavation ont dévoilé des innovations majeures, alliant puissance, ergonomie et technologies de pointe pour repousser les standards en matière de performance, de sécurité et de durabilité.

Entre puissance décuplée, ergonomie améliorée et technologies embarquées de dernière génération, ces machines incarnent une ambition commune : élever les exigences du secteur en matière de performance, de sécurité et de durabilité.

Chaque constructeur a profité de cet événement international pour présenter sa vision de l’avenir de l’aspiration-excavation, dans un contexte où les exigences des chantiers urbains, souterrains et sensibles imposent des équipements toujours plus fiables et intelligents.

Nous vous proposons ci-dessous un aperçu succinct des avancées les plus marquantes dévoilées par chacun des quatre constructeurs.

LONGO frappe fort avec la RHINO Z PRO

Le constructeur LONGO, distribué en exclusivité par RISA, a dévoilé la RHINO Z PRO, une aspiratrice d’exception affichant une capacité d’aspiration impressionnante de 45 000 m³/heure. Conçue pour répondre aux chantiers les plus exigeants, cette machine se distingue par sa puissance, sa précision et sa fiabilité. Elle vient renforcer la place de LONGO parmi les leaders de l’équipement haute performance dans les travaux publics.

🔗 Site LONGO

MTS innove avec la DINO T-REX

MTS enrichit sa célèbre gamme DINO avec un nouveau modèle, le T-REX, véritable concentré d’innovations.

Il intègre un flux d’air optimisé et un bras d’aspiration breveté à déplacement latéral, offrant une maniabilité inédite, idéale pour les chantiers urbains ou en milieux restreints. Un pas en avant notable en matière d’efficacité et de confort d’utilisation.

🔗 Site MTS

RIVARD met en avant l’excellence française avec l’EXVAC

Cocorico ! Le constructeur RIVARD présente l’EXVAC, une aspiratrice-excavatrice 100 % française. Pensée dans les moindres détails, elle associe ergonomie, productivité, fiabilité et facilité de maintenance. De la conception du bras d’aspiration à l’implantation des filtres, en passant par le design de la benne, chaque choix technique vise à maximiser le rendement opérationnel et la durée de vie de la machine.

🔗 Site RIVARD

RSP mise sur une innovation à 360°

RSP, leader mondial du secteur, ne fait pas les choses à moitié en dévoilant son nouveau site Internet et trois nouveaux modèles :

• ESE 6, plus puissant, plus économe et plus silencieux,

• ESE E, la première aspiratrice 100 % électrique de la marque,

• VORTEX, à la pointe de la technologie.

L’ESE 6 se dote d’un nouveau bras articulé à 352°, offrant une précision accrue et un accès facilité aux zones complexes.  Avec l’ESE E, RSP s’engage pleinement dans la transition énergétique, affirmant sa vision d’un futur durable pour l’aspiration-excavation.

🔗 Site RSP

Les nouveautés présentées à BAUMA 2025 témoignent d’une dynamique forte dans le monde de l’aspiration-excavation. Face aux enjeux de productivité, de sécurité, de confort et de réduction de l’empreinte environnementale, les constructeurs repoussent les limites de l’innovation.

Lors d’une visite de chantier pour le diagnostic d’une canalisation à Blanquefort (33), nous avons découvert le robot Pathfinder, une innovation majeure développée par Acwa Robotics et utilisée par la Régie de l'Eau Bordeaux Métropole pour optimiser la gestion de l’eau potable. 

Le robot Pathfinder se distingue par sa capacité à explorer l’intérieur des canalisations d’eau potable tout en maintenant la distribution d’eau. Équipé de capteurs de distance et d’une caméra HD, il permet une analyse détaillée et en temps réel de l’état du réseau. Résultat : une cartographie précise du patrimoine enterré, essentielle pour orienter les décisions d’entretien, de renouvellement ou d’intervention en urgence, tout en limitant les coûts et les perturbations pour les usagers.

L’idée du robot Pathfinder est née en 2017 dans l’esprit de Jean-François Rossi, fort de son expérience aux côtés de spécialistes du monde de l’eau. L’aventure prend un tournant décisif en 2018 avec l’arrivée de Jean-François Guiderdoni, bientôt rejoints par René Amoretti et Raphaël Rossi, pour développer les premières preuves de concept de ce robot autonome, capable d’explorer et de diagnostiquer les canalisations d’eau potable.

L’année 2019 marque une étape majeure : l’équipe d’Acwa Robotics remporte les prestigieux concours d’innovation i-Lab et i-Nov, obtenant les moyens nécessaires pour concevoir un premier prototype fonctionnel. Dans la foulée, l’entreprise ouvre un second bureau à Aix-en-Provence et noue un partenariat stratégique avec la Société du Canal de Provence.

Fin 2020, une première levée de fonds de 1,8 million d’euros vient accélérer le développement. En 2023, la technologie séduit au-delà des frontières : Acwa Robotics décroche trois prix au CES de Las Vegas, preuve de l’intérêt international pour ses innovations. Début 2024, une seconde levée de fonds de 4,8 millions d’euros est finalisée pour soutenir l’industrialisation.

Aujourd’hui, l’entreprise compte 21 collaborateurs et poursuit ses expérimentations au sein du laboratoire des Milles, en lien étroit avec la Société du Canal de Provence.

Fin 2021 et début 2022, un premier prototype a été utilisé pour localiser et documenter une section du réseau du service des eaux de Bastia, Aqua Publica. Équipé d'une caméra HD et de capteurs de distance, il a été programmé pour circuler sur une section du réseau et a rempli sa mission avec succès.

En octobre 2024, une nouvelle étape historique est franchie : le robot Pathfinder a mené avec succès sa première mission à Dunkerque, en collaboration avec SUEZ, l’Eau du Dunkerquois et l’Agence de l’Eau Artois-Picardie, accomplissant ses objectifs avec brio.

Conditions d’utilisation :

• DN : 250 mm et plus

• Matériau de la canalisation : fonte ductile

• Section parcourue : 520 mètres, dénivelé de 2 mètres

• 1 point d’entrée et 1 point de sortie

• Conditions : pression 5 bars, débit variable

• Données collectées : reconstitution du trajet, mesure de l’épaisseur résiduelle, photos HD

En 2025, après ce nouveau succès auprès de la Régie de l’Eau Bordeaux Métropole, il ne fait aucun doute que les perspectives de développement du robot Pathfinder seront rapides. Pour les gestionnaires de réseaux d’eau, ce robot représente une solution innovante pour diagnostiquer l’état des canalisations et détecter les fuites, sans interruption de service.

Avec la sortie du modèle de présérie du Pathfinder, Acwa continue de déployer des missions dans des sections de conduite entièrement opérationnelles. Si vous êtes un service public ou un opérateur privé et que vous souhaitez en savoir plus sur l'état de vos canalisations, Cliquez-ici pour les contacter 

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Lors du salon Bauma, Marc Pavia, Responsable Commercial France en charge de la gamme d’aspiration sous vide chez RSP, nous a présenté trois modèles emblématiques qui répondent aux exigences les plus variées des secteurs industriels, communaux et du génie civil : l’Amphitec Vortex, le V-Force et la série P.

Vortex : la référence haut de gamme pour les environnements complexes

Véritable concentré de puissance et de polyvalence, l’Amphitec Vortex se positionne comme la solution idéale pour l’aspiration, le soufflage et le transport de substances sèches. Monté sur un châssis personnalisable à trois, quatre ou cinq essieux, ce camion offre une grande souplesse d’adaptation selon les besoins spécifiques de chaque chantier.

Sa construction compacte assure une excellente maniabilité, tandis que sa chambre de filtration fermée permet d’intervenir sur des matériaux secs comme humides. Capable d’atteindre un vide maximal de 96 %, le Vortex traite efficacement une large gamme de matières, des poudres aux boues, en passant par le gravier ou les déchets de toiture.

Utilisable aussi bien pour l’aspiration de sol que pour des applications spécialisées, il constitue un atout majeur dans des environnements exigeants où fiabilité et performance sont essentielles.

V-Force : robustesse et accessibilité pour l’industrie et les collectivités

Pensé pour les usages intensifs, le V-Force associe puissance, simplicité d’utilisation et maintenance facilitée. Doté d’une pompe à vide à anneau liquide de 3200 m³/h, d’un récipient inox basculant, d’un système à filtre cyclone et d’un dispositif électrique à relais, il garantit fiabilité et sécurité sur tous types de chantiers.

Compact, avec des espaces de rangement intégrés, le V-Force s’adapte parfaitement aux environnements restreints. En version Combi, il se dote d’une pompe haute pression et d’un réservoir de 4000 L pour le nettoyage industriel.

Applications phares :

• Aspiration de boues, graviers, copeaux, sables

• Nettoyage de canalisations, puits, puisards

• Refoulement vers conteneurs

• Interventions en industrie, génie civil et gestion des déchets

Homologué ADR, le V-Force représente une solution complète et compétitive pour les missions d’aspiration et de soufflage les plus variées.

Série P : l’allié compact des services communaux

Pensée pour les interventions en milieux urbains, la série P s’impose comme une solution idéale pour les collectivités et les services techniques. Compacte, maniable et simple d’utilisation, elle permet une grande efficacité pour les opérations du quotidien.

Conçue pour les espaces restreints tels que les ruelles, les places publiques ou les fosses, la série P s’adapte parfaitement aux véhicules utilitaires communaux.

Elle excelle notamment dans :

• Le nettoyage d’avaloirs et de puits

• L’aspiration de feuilles mortes, déchets légers ou boue

• Les interventions dans les rues étroites

Avec sa structure robuste, ses coûts d’exploitation réduits et son entretien aisé, elle se distingue par une grande fiabilité pour une utilisation quotidienne. 

Trois décisions de justice récentes relatives à l'impact de l’éolien terrestre en matière de biodiversité ou de saturation visuelle ont été largement citées dans la presse. Tout en s’interdisant de commenter spécifiquement ces décisions, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) tient à rappeler le rôle majeur de cette énergie renouvelable qui permet de réduire notre dépendance aux énergies fossiles, de renforcer notre souveraineté énergétique et de répondre à l’urgence climatique.

Les débats actuels sur l’éolien doivent être replacés dans une perspective plus large. En effet, l’énergie éolienne se substitue progressivement à des énergies fossiles importées dont le coût s’élevait pour notre pays à 124 milliards d’euros en 2022, et encore à 62,5 milliards d’euros en 2024. Ces énergies fossiles que nous consommons en France dégradent significativement la biodiversité bien au-delà de nos frontières, notamment dans les zones où elles sont extraites, puis lors de leur transport et de leur raffinage (pétrole). Comme le souligne l’IPBES, le changement climatique est la 3ème source d'érosion de la biodiversité. Il ne s’agit évidemment pas d’un blanc-seing pour développer les énergies renouvelables sans encadrement, raison pour laquelle la France s’est dotée d’une des législations les plus protectrices de l’environnement en la matière. Au-delà de l’enjeu lié à la biodiversité, les énergies fossiles nous placent en situation de dépendance vis-à-vis de régimes qui déclenchent des conflits ou exercent une pression économique sur la France.

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Pour toutes ces raisons, il est essentiel de poursuivre le développement des énergies renouvelables, seule manière dans la décennie qui vient, d’offrir une solution de substitution aux énergies fossiles, qui constituent toujours plus de 60 % de notre consommation énergétique finale.

La filière de l’éolien terrestre répond pleinement au double enjeu de responsabilité. Elle couvre déjà un peu plus de 10 % de la consommation d’électricité des ménages (Source : RTE). Elle permet aussi de relocaliser la création de valeur sur notre territoire, tout en nous offrant la possibilité de mieux maîtriser notre empreinte environnementale, jusqu’ici invisible pour bon nombre de Français car générée à l’étranger. En produisant cette énergie renouvelable sur notre sol, nous avons les moyens d’en réduire les effets et de mieux la maîtriser. Bien entendu, comme toute activité humaine, le développement de parcs éoliens génère des pressions, susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement. Il serait illusoire de croire le contraire. La filière s’inscrit donc dans une démarche d’amélioration continue. Les autorisations d’exploitation ne sont données que sur la base d’études d’impact environnemental qui sont menées systématiquement avec un triple objectif : éviter les impacts potentiels (choix du site et dimensionnement des parcs), réduire ces impacts, par exemple avec des systèmes de détection avifaune et enfin, compenser les impacts résiduels par exemple via le financement du Fonds biodiversité et des Plans Nationaux d’Actions (PNA) prévus à l’article 93 de la loi APER.

Le SER tient à rappeler que le développement de l’éolien terrestre en France est une réponse concrète aux défis énergétiques actuels. Ces choix doivent être assumés si nous voulons réduire notre dépendance aux énergies fossiles, et si nous voulons cesser de détruire les écosystèmes à l’échelle mondiale.

Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) regroupe plus de 500 adhérents, représentant un secteur générant plus de 166 000 emplois.

L’organisation professionnelle rassemble les industriels de l’ensemble des filières énergies renouvelables : bois-énergie, biocarburants, éolien, énergies marines, gaz renouvelables, géothermie et pompes à chaleur, hydroélectricité, solaire et valorisation énergétique des déchets.

Le SER a pour mission de défendre les droits et les intérêts de ses membres et de resserrer les liens qui les unissent, notamment pour développer la filière industrielle des énergies renouvelables en France et promouvoir la création d’emplois et de valeur ajoutée sur le territoire national.

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Cent jours après son élection à la présidence d’InfraNum, Ilham Djehaïch-Mezouar trace un cap résolument tourné vers l’action collective et un numérique plus responsable, alliant innovation et développement durable. 

Animée par une conviction forte — celle que la transition écologique et la cohésion territoriale passent par un numérique au service de tous —, elle a entamé son mandat avec détermination et pragmatisme.

Depuis sa prise de fonction, Ilham Djehaïch-Mezouar a multiplié les initiatives pour concrétiser cette ambition. Elle s’est attachée à aller à la rencontre des adhérents sur le terrain, participant à de nombreux événements clés du secteur, comme le Mobile World Congress, pour écouter, partager et construire avec l’ensemble de l’écosystème.

Sous son impulsion, l’organisation interne d’InfraNum a été repensée, notamment à travers une révision des commissions, en étroite collaboration avec le Conseil d’administration. Objectif : mieux répondre aux défis actuels du secteur et renforcer l’efficacité collective.

Un autre axe fort de ces premiers mois de mandat réside dans le renforcement du dialogue avec les pouvoirs publics, les élus et les institutions. Une démarche essentielle pour bâtir un cadre d’action pérenne, aligné avec les enjeux de la transition.

Sur le plan environnemental, Ilham Djehaïch-Mezouar a également accéléré la dynamique en faveur de la transition écologique du numérique. Des outils concrets sont en préparation, tels qu’un référentiel carbone, élaboré en partenariat avec l’ADEME, ou encore un observatoire des territoires connectés et durables, destiné à mieux piloter et valoriser les actions engagées.

Enfin, fidèle à sa vision fédératrice, la présidente d’InfraNum s’est attachée à créer de nouveaux espaces d’échange, pensés pour rassembler les acteurs du secteur et préparer collectivement l’avenir.

Ces cent premiers jours, riches et structurants, ne constituent qu’un point de départ. Portée par une ambition collective affirmée et une énergie communicative, Ilham Djehaïch-Mezouar entend bien poursuivre la dynamique engagée. Cap sur l’inclusion, l’innovation et un numérique au service des territoires.

Ilham Djehaich, Directrice Générale d’Altitude Infra THD, a été élue à l’unanimité Présidente de la fédération InfraNum le 10 décembre 2024. Diplômée d’Excelia et de l’ESSEC, elle a rejoint le Groupe Altitude en 2007 et dirige Altitude Infra THD depuis 2017, filiale du troisième opérateur d’infrastructures de fibre optique en France. Engagée pour un numérique durable et inclusif, elle œuvre à réduire la fracture numérique et à renforcer l’aménagement des territoires. Son parcours lui a permis de développer une expertise des marchés publics, des collectivités territoriales et une solide maîtrise stratégique et managériale.

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Yanmar Compact Equipment North America a annoncé avec enthousiasme la nomination d’Anna Christine Sgro au poste de présidente. Forte de plus de 25 ans d’expérience en leadership dans les secteurs de la construction et de l’industrie, Anna apporte une expertise stratégique précieuse à l’entreprise.

Au cours de sa carrière, elle a occupé des postes de direction chez plusieurs leaders du secteur, notamment Volvo CE, Ritchie Bros, ainsi que plus récemment en tant que présidente de Reesink Canada Holdings. Sa solide expérience et sa vision du marché font d’elle un atout majeur pour accompagner la croissance de Yanmar CE en Amérique du Nord.

Dans ses nouvelles fonctions, Anna Sgro rejoint l’équipe de direction mondiale de Yanmar Compact Equipment, sous la responsabilité du PDG, José Cuadrado. Elle sera chargée de piloter les initiatives visant à renforcer l’intégration, améliorer la performance et soutenir la réussite des clients à travers le marché nord-américain.

Cette nomination marque une étape importante pour Yanmar CE North America, qui réaffirme ainsi son engagement à bâtir un avenir plus solide dans l’un des marchés les plus dynamiques de l’équipement compact.

L’entreprise souhaite la bienvenue à Anna Christine Sgro et se réjouit des perspectives prometteuses que son leadership apportera.

Le choix des matériaux pour les réseaux d’eau potable est une question essentielle qui impacte la durabilité des infrastructures et la qualité de l’eau distribuée. Deux options principales se distinguent : le PVC bi-orienté (PVC-BO) et le polyéthylène haute densité (PEHD). Chacun présente des atouts et des limites qui influencent leur adoption par les professionnels.

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Le PVC bi-orienté : robustesse et facilité d’installation

Le PVC-BO est reconnu pour sa haute résistance mécanique et sa durabilité. Son procédé de fabrication lui confère une meilleure résistance à la pression et aux chocs, tout en restant plus léger que d’autres matériaux. Il offre ainsi une facilité de pose, réduisant le temps et les coûts d’installation. De plus, sa surface interne lisse limite les pertes de charge et prévient l’accumulation de dépôts.

Cependant, le PVC-BO présente quelques limites, notamment en termes de flexibilité. Moins adaptable aux terrains accidentés ou aux mouvements de sol, il peut être plus exposé aux ruptures en cas de contraintes extrêmes.

Par ailleurs, certains inconvénients du PVC en général soulèvent des interrogations quant à son usage dans les réseaux d’eau potable :

• Risque de dépolymérisation : Avec le temps, le PVC peut libérer du chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance classée cancérigène.
• Vieillissement des canalisations : L’usure des installations en PVC peut entraîner la présence de résidus chimiques dans l’eau consommée.

Le PEHD : souplesse et résistance chimique

Le PEHD est particulièrement apprécié pour sa flexibilité et sa résistance aux agressions chimiques et aux mouvements de terrain. Il est idéal pour les zones sujettes à des instabilités géologiques ou aux sols agressifs. Son mode d’assemblage par soudure assure une étanchéité parfaite, minimisant les risques de fuites.

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Toutefois, le PEHD présente un coefficient de dilatation plus élevé, ce qui nécessite une attention particulière lors de la pose pour éviter les déformations. De plus, son installation peut être plus coûteuse en raison de la spécificité des techniques de soudure.

Les principaux avantages du PEHD incluent :

• Une stabilité moléculaire exceptionnelle : Comparable à celle du bois, certains réseaux installés dans les années 1930 restent encore en parfait état.
• Aucun risque de dégradation toxique : Contrairement au PVC, le PEHD ne libère ni microplastiques ni substances chimiques nuisibles.
• Résistance et durabilité : Il résiste efficacement aux agressions chimiques, mécaniques et climatiques.

Quel matériau choisir ?

Le choix entre ces deux matériaux dépend essentiellement du contexte d’installation.

• Le PVC-BO sera souvent privilégié pour des réseaux en terrain stable, où sa robustesse et sa facilité de mise en œuvre apportent un avantage.
• Le PEHD, en revanche, sera plus adapté aux zones sensibles aux mouvements de sol ou aux environnements chimiques agressifs.

Pourquoi le PEHD est le matériau du 21ᵉʳ siècle ?

Dans un contexte où la qualité de l’eau potable et l’impact environnemental des infrastructures sont des priorités, le PEHD émerge comme le matériau idéal pour les réseaux modernes. Sa durabilité exceptionnelle, associée à son innocuité et à ses performances techniques, en fait un choix tourné vers l’avenir.

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La cérémonie de remise du Bauma Innovation Award 2025 s’est tenue devant quelque 450 invités, rassemblés pour célébrer les avancées technologiques les plus prometteuses du secteur de la construction. L’événement, placé sous le signe de l’innovation, s’est déroulé en présence de Klara Geywitz, ministre fédérale allemande, et de Hubert Aiwanger, ministre bavarois de l'Économie.

Cette édition a récompensé cinq projets majeurs, sélectionnés pour leur contribution remarquable aux défis contemporains de l’industrie, notamment la durabilité environnementale, la numérisation des processus ou encore l’automatisation des chantiers.

Les lauréats 2025 du Bauma Innovation Award sont :

• Catégorie Protection du climat :
  ROTHO ProCarbonCure – Robert Thomas GmbH
  Une solution innovante visant à réduire l’empreinte carbone dans la fabrication de composants de construction, apportant une réponse concrète aux enjeux climatiques actuels.

• Catégorie Numérisation :
  Liebherr Autonomous Operations – Liebherr-Werk Bischofshofen GmbH
  Ce système d’opérations autonomes pour engins de chantier marque une étape clé vers l’essor des chantiers intelligents.

• Catégorie Ingénierie mécanique : (Photo à droite)
  Herrenknecht AG
  L’entreprise a développé une technologie de percement révolutionnaire permettant l’élargissement de tunnels existants sans interrompre leur exploitation — une prouesse technique au service de l’infrastructure urbaine.

• Catégorie Construction :
  Adam Hörnig Baugesellschaft mbH & Co KG
  Une approche novatrice pour concevoir des ponts plus légers, durables et rapides à mettre en œuvre, combinant innovation structurelle et efficacité de mise en œuvre.

• Catégorie Recherche :
  MAXX – Mobile Assembly X-System – Center Construction Robotics (RWTH)
  Ce système robotisé mobile est conçu pour optimiser l’assemblage sur site dans une logique de modularité, d’automatisation et de gain de productivité.

Avec 208 candidatures déposées cette année, la compétition a une nouvelle fois démontré l’élan d’innovation qui anime le secteur. Après un premier tri, 52 projets ont été retenus pour une évaluation approfondie, menée par un jury d’experts issus de l’industrie, de la recherche et des institutions, épaulés par un groupe de travail spécialisé. 15 finalistes ont finalement été désignés.

Les projets ont été jugés selon des critères exigeants, allant de leur applicabilité concrète, à leur potentiel économique, en passant par le degré d’innovation numérique, l’impact environnemental, l’efficacité en matière de ressources, et leur capacité à améliorer les conditions de travail sur les chantiers.

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