La Société des Grands Projets (SGP) a annoncé, ce mardi 18 février, un nouveau report dans la mise en service de plusieurs lignes du Grand Paris Express. La ligne 15 Sud, initialement prévue pour une mise en service plus tôt, ne sera finalement opérationnelle qu'au quatrième trimestre 2026. Ce retard impacte également les premières sections des lignes 16 et 17, dont la livraison est désormais repoussée au deuxième trimestre 2027.

Dans son communiqué de presse, la SGP justifie ces reports par des difficultés dans la transition entre la phase de travaux de génie civil et d’aménagement, et celle des systèmes de transport et des essais. La mise en place du système d’automatismes de conduite, commun aux lignes 15, 16 et 17, impose un décalage d’environ six mois entre l’ouverture de la ligne 15 Sud et celles des lignes 16 et 17.

Ces nouveaux retards suscitent l’inquiétude des autorités régionales. Valérie Pécresse, présidente d’Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, se dit « choquée de l’ampleur des nouveaux retards ». Elle demande la mise en place d’une mission de contrôle et de coordination technique entre l’État et Île-de-France Mobilités afin de minimiser ces délais supplémentaires et de garantir une transparence totale auprès des membres du conseil de surveillance de la SGP. Selon elle, ces reports viennent contredire les informations communiquées jusqu’ici aux instances concernées.

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En 2025, SNCF Réseau poursuit son programme de modernisation du réseau ferré national avec un investissement de 6 milliards d’euros et plus de 1 600 chantiers majeurs programmés. En collaboration avec ses partenaires et les institutions locales, régionales et européennes, l’entreprise met tout en œuvre pour renforcer la fiabilité et la performance des infrastructures ferroviaires sur l’ensemble du territoire.

Parmi les travaux prévus :
🔹 1 044 km de voies seront renouvelés
🔹 317 km de caténaires seront vérifiés ou remplacés
🔹 520 aiguillages seront remplacés ou supprimés

SNCF Réseau met à disposition une carte interactive permettant de consulter l’ensemble des chantiers programmés en 2025. Celle-ci est accessible en ligne et disponible en téléchargement.

👉 Accéder à la carte des chantiers

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Dans un article rédigé par Patrick REAMOT, Directeur Général Délégué de Sète Agglopôle Méditerranée, explique les raisons des travaux engagés pour réduire les flux microbiologiques rejetés dans la lagune de Thau, ainsi que la nature des interventions prévues pour préserver l'activité de la pêche et de la conchyliculture.

Préserver la lagune de Thau et soutenir les conchyliculteurs, est une priorité absolue pour Sète Agglopôle Méditerranée (SAM). Grâce à des investissements ambitieux, SAM mène des actions décisives pour réduire les déversements d’eaux usées dans la lagune, notamment lors de forts épisodes pluvieux.

Des objectifs environnementaux bien plus élevés que la norme nationale

La réglementation nationale impose la conformité des rejets pour une pluie de retour d’un mois (c’est- à-dire une pluie qui statistiquement se produit une fois par mois). SAM, consciente de la sensibilité du bassin de Thau, a fixé un objectif bien plus exigeant : maîtriser les rejets pour une pluie de retour de deux ans, soit un engagement 24 fois supérieur. Cet effort exceptionnel vise à protéger durablement la lagune et à limiter l’impact des rejets sur les activités conchylicoles et de pêche. 

Un investissement majeur pour sécuriser le réseau et limiter les déversements

Après un premier « plan Marshall » de 166 millions d’euros pour mettre la lagune de Thau à l’abri par temps sec, SAM a lancé en 2017 un plan de réduction des rejets microbiologiques. Ce projet ambitieux, d’un montant de 28 millions d’euros pour le territoire, s’étendra jusqu’en 2026 pour se conformer aux objectifs fixés par temps de pluie. Les travaux auront pour effet de limiter considérablement les déversements des réseaux unitaires (collecte des eaux domestiques et eaux pluviales dans une même canalisation) pour une pluie de retour de deux ans (qui se produit statistiquement une fois tous les deux ans).

Les orientations stratégiques ont été définies pour répondre aux enjeux suivants :

• Préserver les zones sensibles en respectant notamment les objectifs en matière de Flux Admissible Microbiologique (FAM) définis par le SAGE (Schéma d’Aménagement et de Gestion de l’Eau). Ceux-ci sont plus ou moins forts selon la distance qui sépare les zones urbaines, des tables conchylicoles. 
• Supprimer les déversements liés à la surcharge des réseaux unitaires* par temps de pluie 
• Renforcer et moderniser les infrastructures en tenant en compte les aménagements en cours et à venir 

Le programme des travaux récents et à venir

En temps normal, les eaux de pluie s’écoulent vers des exutoires naturels, tandis que les eaux usées sont acheminées vers les stations d’épuration. Sur le bassin de Thau, les communes de Sète et Marseillan disposent de réseaux unitaires*, collectant à la fois les eaux pluviales et les eaux domestiques. Lors de fortes pluies, ce type de réseau peut être rapidement saturé, entrainant des débordements dans le milieu naturel. Pour remédier à ce problème, des travaux de mise en séparatif (séparation des eaux pluviales et des eaux domestiques) sont entrepris dès que les conditions le permettent. Cependant, dans les centres-villes historiques, où les bâtiments sont anciens, les rues étroites et les sous-sols encombrés, il est souvent nécessaire d’envisager des solutions alternatives adaptées.

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Le GROUPE MARAIS a récemment achevé avec succès un chantier ambitieux en Creuse, consistant en l'installation de 5 câbles HTA et 3 PEHD DN40 dans un terrain complexe. Le principal défi de ce projet résidait dans la réalisation d'une tranchée dans un accotement en dévers, tout en intégrant les câbles conformément à des exigences techniques strictes.

Pour relever ce défi, l'entreprise a fait appel à sa trancheuse à chaîne Tesmec 950 SLO, dotée d'un système de correction de dévers et d'un châssis spécialement adapté. Grâce à cette technologie de pointe, le GROUPE MARAIS a pu surmonter les difficultés liées au terrain, tout en garantissant un travail de haute qualité.

Sur le terrain, les équipes du GROUPE MARAIS ont réalisé 4 133 mètres linéaires de tranchée, avec une largeur d'ouverture de 0,55 m et une profondeur de 1,60 m. En dépit des conditions de travail exigeantes, la cadence moyenne de 200 mètres par jour a été maintenue, respectant ainsi les délais impartis.

Ce chantier illustre l'expertise des équipes du GROUPE MARAIS et la fiabilité de son matériel, permettant de réaliser le projet dans les délais prévus tout en assurant une exécution optimale. Ce projet témoigne également de la capacité d'adaptation du groupe face aux défis techniques et de son engagement à fournir des solutions efficaces, même dans des environnements difficiles.

La nouvelle orientation stratégique du Groupe MARAIS, recentrant son activité exclusivement sur la location de trancheuses avec opérateurs en France et à l’international, est désormais effective et pleinement opérationnelle.

MARAIS s’impose en France depuis plusieurs années comme le leader incontesté dans le domaine de la location de trancheuses avec opérateur. Dirigée par Vincent Cochard, récemment nommé Directeur Général, l’entreprise entend désormais capitaliser sur son expertise pour continuer à répondre aux exigences du marché. La réorganisation marque une volonté de renforcer cette position de leader en se concentrant uniquement sur la location d’équipements, une spécialisation qui lui permet d'optimiser ses ressources et de garantir une qualité de service inégalée.

Une ambition internationale renouvelée
Le Groupe MARAIS, fort de plusieurs décennies d'expérience à l’international, a su étendre ses activités dans de nombreuses régions du monde. Ses opérations couvrent aujourd’hui des pays d’Afrique tels que le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Côte d'Ivoire et l’Afrique du Sud, ainsi que des zones en Amérique, Asie et Océanie, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande.

Afin de soutenir cette dynamique de croissance mondiale, MARAIS s'appuie sur Benoit Moisson, son Directeur International des Opérations. Son rôle est crucial pour renforcer la présence de la société à l’étranger et développer les exportations, consolidant ainsi la portée internationale de la filiale.

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Dans le cadre de sa transition énergétique, Dinan Agglomération franchit une étape majeure en attribuant la concession de son futur réseau de chaleur urbain à un groupement associant NGE, IGEO et BREIZHENERGIE. Ce partenariat, conclu pour une durée de 25 ans, permettra d'approvisionner en énergie renouvelable les villes de Dinan et de Quévert, en exploitant la chaleur produite par l'Unité de Valorisation Énergétique (UVE) de Taden.

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Soutenu par l'ADEME à travers le Fonds Chaleur, ce réseau constitue un levier essentiel pour le développement durable du territoire. Il desservira divers types de bâtiments, notamment des logements collectifs, des établissements scolaires, des infrastructures sportives, des entreprises et des administrations. D'un coût initial de 22 millions d'euros hors taxes, ce projet s'intègre pleinement dans le Plan Climat-Air-Énergie Territorial (PCAET) de Dinan Agglomération.

Pour mener à bien cette initiative, le groupement s'appuie sur le savoir-faire des entreprises locales EVEN et LESSARD, garantissant une parfaite maîtrise des aspects techniques et territoriaux. Une fois achevé, le réseau s'étendra sur 15,7 km, comprendra 46 sous-stations et fonctionnera à 91,4 % à partir d'énergies renouvelables.

Avec une puissance totale installée de 15,5 MW, provenant de l'UVE de Taden et d'une chaufferie d'appoint fonctionnant au gaz et au biogaz, ce projet contribuera à la réduction des émissions de CO₂. Sur la durée du contrat, l'économie réalisée s'élèvera à 129 000 tonnes de CO₂, équivalant au retrait de 4 300 véhicules individuels de la circulation.

Les travaux, dirigés par NGE, démarreront au second semestre 2025 pour une mise en service prévue en septembre 2027. Le financement bancaire du projet est assuré par les Caisses d'Épargne de Bretagne Pays de Loire et d'Île-de-France.

Ce projet représente une avancée significative pour la transition énergétique locale et constitue une première pour NGE, qui devient ainsi opérateur d'un réseau de chaleur urbain financé en concession.

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Fibre optique en France : La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) poursuit son enquête sur les pratiques commerciales liées au déploiement de la fibre optique dans le pays.

Selon l’Arcep, au 30 septembre 2024, 90 % des locaux sont raccordables, soit 39,9 millions sur les 44,5 millions recensés. Mieux encore, 73 % des foyers ont souscrit une offre fibre, faisant de la France l’un des leaders européens.

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Mais ces chiffres flatteurs masquent une réalité plus nuancée. Car "raccordable" ne signifie pas "raccordé". Sur le terrain, de nombreux utilisateurs font face à des problèmes récurrents : coupures intempestives, échecs de raccordement, armoires de rue dégradées…

Selon la DGCCRF, la qualité du service laisse à désirer, et les plaintes se multiplient. L’Arcep confirme ce constat : 49 % des abonnés ont signalé un problème avec leur fournisseur d’accès en un an, principalement lié à la qualité du service (39 %) et au raccordement.

Une enquête pour faire la lumière sur les pratiques du secteur

Face à ces dysfonctionnements, la DGCCRF a lancé une enquête nationale sur les relations commerciales entre opérateurs, sous-traitants et gestionnaires d’infrastructures. L’objectif est de vérifier d’éventuelles pratiques abusives, comme l’"avantage sans contrepartie" et le "déséquilibre significatif", qui pourraient nuire à la qualité du service.

Les premières investigations, débutées en 2023, ont déjà conduit quatre entreprises à se conformer à la réglementation. L’enquête se poursuit avec une attention particulière portée aux conditions de sous-traitance.

De son côté, l’Arcep a intensifié son suivi du secteur, mettant l’accent sur trois priorités : la réparation des malfaçons, la remise en état des infrastructures et la reprise des travaux inachevés.

Si la France s’est engagée dans la fermeture du réseau cuivre et la fin de l’ADSL, la fiabilité de la fibre reste un enjeu majeur. Car au-delà des chiffres, c’est bien la satisfaction des usagers qui déterminera le véritable succès de cette transition numérique.

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Le jeudi 20 février, Gilles PINEL, Directeur Régional d’Enedis, accompagné des partenaires d'Enedis en Languedoc-Roussillon, a réaffirmé son engagement en faveur de la sécurité et de l’environnement en signant la Charte Santé, Sécurité et Environnement d’Enedis.

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Cette initiative s’inscrit dans une démarche globale visant à renforcer la prévention des risques sur les chantiers et à promouvoir des pratiques plus respectueuses de l’environnement. L’ambition est claire : éradiquer les accidents graves et mortels tout en intégrant pleinement les enjeux environnementaux dans les activités du secteur.

Des actions concrètes pour un engagement fort

Pour atteindre cet objectif, plusieurs mesures ont été mises en place, notamment :

✅ Des visites de prévention sur le terrain, afin d’identifier et de corriger les situations à risque.

✅ L’application stricte du principe « STOP Chantier », qui impose l’interruption immédiate des travaux en cas de danger avéré.

✅ L’intégration de critères de sécurité rigoureux dans l’attribution des marchés, garantissant des prestations conformes aux exigences les plus élevées.

Dans un contexte de transition énergétique, cet engagement collectif témoigne de la volonté d’Enedis et de ses partenaires d’agir de manière responsable. La réussite de cette démarche repose sur la mobilisation de tous et une vigilance constante pour assurer des conditions de travail exemplaires.

Une signature symbolique pour un avenir plus sûr

En apposant leurs signatures sur cette charte, Enedis et ses partenaires confirment leur détermination à faire de chaque chantier un espace plus sûr et plus respectueux de l’environnement.

Parmi les signataires figurent : Le SERCE  -  La FRTP Occitanie  -  Vincent Engelvin  -  Serpollet Occitanie -  JOCAVEIL ET FILS

Cette signature marque une nouvelle étape dans la collaboration entre Enedis et ses partenaires pour faire de la sécurité et de l’environnement des priorités absolues sur tous les chantiers.

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Distribué par la société Pronal, le JB QUALIFIX®, créé fin 2022, est un coffrage de regard gonflable, constituant une alternative aux coffrages lourds en bois ou en métal. Cette solution est utilisée lors du scellement de regards cylindriques. 

Le JB QUALIFIX®, comparé aux coffrages standards, il permet de gagner jusqu’à cinq heures de travail sur le chantier. De plus, son étanchéité parfaite protège la chambre de visite des éventuels résidus pouvant y tomber lors du bétonnage. Ainsi, les ouvriers ne sont plus contraints d’y descendre pour la nettoyer.

Le JB QUALIFIX® fonctionne comme un coffrage de regard standard. Les opérateurs insèrent le boudin dégonflé dans le regard, puis le gonflent à l’aide d’un petit compresseur jusqu’à ce qu’il épouse parfaitement la paroi, assurant ainsi une étanchéité optimale. Une fois gonflé, ils peuvent couler le béton tout autour sans risquer de salir la chambre de visite. Son utilisation garantit un scellement de meilleure qualité, plus durable dans le temps.

Ce produit a été imaginé par Jonathan Bracco, un employé de la société TRBA. Il a conçu cette solution afin de protéger au mieux ses équipes. En effet, ce coffrage de regard gonflable permet de prévenir le risque FME en empêchant la chute d’opérateurs ou d’objets dans la chambre de visite. Ainsi, les opérateurs bénéficient d’une sécurité renforcée durant toute la durée du scellement du regard.

Cliquez-ici pour en savoir plus sur le JB QUALIFIX®s

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Depuis sa création en 2008, GEFOR s’est imposée comme un acteur incontournable dans les domaines du forage dirigé et du terrassement par aspiration. Forte d’un savoir-faire technique reconnu et d’une exigence constante en matière de qualité, l’entreprise développe des solutions adaptées aux spécificités de chaque projet.

Engagée aux côtés de ses clients, Gefor met tout en œuvre pour optimiser la rentabilité des chantiers et simplifier leur gestion. Grâce à ses prestations en forage dirigé et en terrassement par aspiration, elle garantit des interventions précises, sécurisées et réalisées dans le strict respect des délais.

La précision, la sécurité et le respect de l’environnement constituent les piliers fondamentaux de son engagement. En s’appuyant sur une approche durable et un service irréprochable, Gefor veille à instaurer une relation de confiance avec ses partenaires et clients.

Résolument tournée vers l’avenir, l’entreprise innove continuellement afin d’offrir des solutions toujours plus performantes et durables.

Un parc de machines à la pointe de la technologie : Gefor se distingue par la qualité et la diversité de son parc de machines, qui lui permet de répondre efficacement aux exigences de chaque chantier.

Parmi les équipements nous avons retenu quelques exemples emblématiques :

• La foreuse GRUNDODRILL 18 ACS : Capable de réaliser des forages dirigés de 90 mm à 600 mm de diamètre sur des longueurs pouvant atteindre 250 mètres, cette machine s’adapte parfaitement aux terrains rocheux. Grâce à une technologie innovante, elle conserve les mêmes modes opératoires que le forage traditionnel, tout en offrant une efficacité accrue sur les sols durs et complexes. Un relevé détaillé est fourni après chaque intervention.

• La foreuse EXCALIBUR : Dotée d’une poussée/traction de 14 tonnes et d’un couple de rotation de 2 100 Nm, cette foreuse se distingue par son encombrement réduit, ce qui permet son installation sur trottoir. Sa puissance lui confère une grande polyvalence, y compris dans les terrains rocheux les plus exigeants.

• Le camion de recyclage de bentonite : Conçu pour recycler les boues de forage, ce camion intègre une installation complète permettant d’extraire les déblais excédentaires. La bentonite récupérée peut ainsi être réinjectée dans le forage, garantissant un processus plus respectueux de l’environnement.

• Les camions aspirateurs MTS : Ces véhicules permettent un terrassement par aspiration jusqu’à 12 fois plus rapide qu’une méthode classique. Ils sont capables d’aspirer aussi bien des matériaux secs que humides, y compris des blocs de 30 kg et de 25 cm de diamètre. Gefor propose la location de ces camions, avec ou sans chauffeur.

• Les camions aspirateurs Amphitec : En plus d’aspirer divers matériaux, ces camions possèdent une fonction de soufflage de gravier, une méthode à la fois précise et efficace pour appliquer du gravier sur différentes surfaces, notamment les toitures et les voies ferrées.

Grâce à son expertise et à son parc de machines innovantes, Gefor continue d’apporter des solutions adaptées aux défis des chantiers modernes, alliant performance, durabilité et respect de l’environnement.

La Nouvelle-Aquitaine figure parmi les régions les plus stratégiques pour le développement du réseau électrique français. D’après Jérôme Rieu, délégué de RTE Sud-Ouest, elle bénéficiera d’investissements considérables dans le cadre du plan de développement de 100 milliards d’euros prévu par RTE à l’horizon 2040.

Selon lui, bien que les enveloppes ne soient pas encore détaillées à l’échelle régionale, la Nouvelle-Aquitaine apparaît comme l’un des territoires les plus concernés par ces enjeux. Grâce à sa position géographique et à l’évolution des flux d’électricité, des investissements massifs y sont prévus, notamment en matière de très haute tension et de raccordement. En 2023, cinq milliards d’euros avaient déjà été estimés pour des projets à réaliser d’ici 2030.

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Un territoire propice aux énergies renouvelables

Avec son fort potentiel en matière de production solaire, la Nouvelle-Aquitaine s’affirme comme un acteur clé du développement des énergies renouvelables en France. Selon RTE, elle est la région la plus dynamique dans ce domaine.

Dans son Schéma Décennal de Développement du Réseau (SDDR), l’entreprise cible notamment le raccordement de 16 000 mégawatts, un objectif déjà bien engagé. Cet essor des énergies renouvelables implique toutefois des investissements conséquents pour adapter les infrastructures et garantir un réseau stable et performant.

Un réseau vieillissant à moderniser

Malgré ces avancées, une partie du réseau électrique de la région reste ancienne et nécessite d’importants travaux de modernisation. C’est notamment le cas dans les Pyrénées, où les infrastructures datent des années 1920, ayant été construites en même temps que le réseau hydraulique.

RTE prévoit ainsi un vaste programme de rénovation, avec 4 500 kilomètres de lignes à moderniser d’ici 2040, soit 20 % du total national. Cette mise à niveau apparaît comme une priorité pour répondre aux nouveaux besoins en matière de consommation et de production d’électricité.

Un rôle stratégique entre l’Espagne et le reste de l’Europe

Située à la croisée des flux électriques entre l’Espagne et le reste du territoire français, la Nouvelle-Aquitaine occupe une place stratégique dans l’acheminement de l’électricité. Les flux provenant de la péninsule ibérique doivent être transportés vers le Nord et l’Est, où se concentrent d’importantes zones de consommation.

Dans cette perspective, RTE prévoit de renforcer le réseau électrique le long de la façade Atlantique ainsi que dans les Pyrénées afin d’optimiser ces échanges.

Un enjeu majeur pour l’avenir énergétique

Entre la montée en puissance des énergies renouvelables, la modernisation de ses infrastructures et son rôle de carrefour énergétique, la Nouvelle-Aquitaine se positionne comme un territoire clé pour l’avenir du réseau électrique français. Les investissements de RTE lui permettront de relever ces défis et de contribuer pleinement à la transition énergétique du pays.

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Comment les élus territoriaux perçoivent-ils la transition énergétique ? Pour répondre à cette question cruciale, Idex, acteur de référence du marché local de l'énergie bas-carbone, dévoile les résultats de son premier Observatoire de la Transition Énergétique des Territoires, réalisé en partenariat avec Ipsos.

Cette étude nationale d'envergure, menée auprès de 500 décideurs territoriaux, révèle une mobilisation sans précédent des collectivités face à l'enjeu social et écologique de la décarbonation.

À l’occasion de la Bauma 2025, Steelwrist présentera ses dernières avancées sur son plus grand stand jamais conçu (FN 1016/2). Les visiteurs pourront découvrir les tiltrotateurs XTR15 et XTR23, ainsi que l’attache automatique SQ40, illustrant l’engagement de la marque envers l’innovation et la performance.

                                                                                                                                                                               Sponsor

Démonstrations en direct et expérience immersive
Trois pelles équipées des toutes dernières technologies Steelwrist seront en action pour permettre aux professionnels d’observer la troisième génération de tiltrotateurs XTR et le coupleur automatique SQ40 en conditions réelles. "Nos démonstrations interactives mettront en avant les avantages uniques de nos produits", souligne Karl Serneberg, vice-président des ventes OEM et du marketing.

Des tiltrotateurs XTR encore plus performants
Après le succès du XTR20, Steelwrist élargit sa gamme avec les XTR15 et XTR23, conçus pour offrir une meilleure géométrie d’inclinaison, un système de lubrification embarqué OptiLube et la technologie LockSense pour une sécurité optimale. Ces tiltrotateurs sont également compatibles avec la norme Open-S, garantissant un changement rapide des outils hydrauliques sans quitter la cabine.

SQ40 : une attache automatique pour pelles compactes
Le SQ40, destiné aux pelles de moins de 7 tonnes, optimise le débit hydraulique et permet un changement rapide des outils grâce à un raccord innovant. Deux pelles équipées du SQ40 seront mises en démonstration sur le stand.

Une gamme d’outils élargie
Steelwrist enrichit son offre avec de nouveaux outils de travail motorisés, dont le grappin MGX4, la cisaille à arbres TSX6 et des godets inclinables renforcés, augmentant ainsi la polyvalence des pelles.

Stefan Stockhaus, PDG de Steelwrist, conclut : "Notre gamme XTR et la technologie SQ40 marquent une avancée majeure en matière de performance et de sécurité." Rendez-vous à la Bauma 2025 pour découvrir ces innovations en action !

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