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Coup de cœur pour un post diffusé sur LinkedIn par le groupe industriel français spécialisé dans la fabrication de tubes et gaines pour le bâtiment et les travaux publics, ELYDAN : les canalisations en PE, fruits de l’évolution.

Une des premières avancées majeures de la canalisation remonte à 2700 av. J.-C., où la civilisation de la vallée de l’Indus, au Pakistan, utilisait des tuyaux en terre scellés entre eux grâce à du goudron. 

Les Romains, au Ier siècle av. J.-C., ont perfectionné la canalisation avec des tuyaux en plomb gravés pour prévenir le vol d'eau, preuve de la valeur accordée à cette ressource. 

En Afrique du Sud, les tuyaux en plastique ont permis de réduire les pertes d'eau de 30% par rapport aux systèmes traditionnels, un enjeu crucial pour la gestion durable des ressources.

Les tuyaux en plastique modernes sont conçus pour durer jusqu'à 100 ans, grâce aux avancées en ingénierie des matériaux, garantissant une infrastructure fiable à long terme.

Sur le plan environnemental, ces tuyaux consomment 70% moins d’énergie à produire et installer que les systèmes métalliques ou en béton, contribuant ainsi à réduire leur empreinte carbone.

La recyclabilité est également un point fort : jusqu'à 80% des tuyaux usés peuvent être réutilisés ou recyclés, ce qui aligne la production de tuyaux sur les objectifs d'économie circulaire.

Le marché mondial des canalisations en plastique est en forte croissance, avec une augmentation de la demande estimée à 7% par an, stimulée par les besoins en infrastructures et la transition vers des solutions toujours plus un plus durables.

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C'est la fin d'un projet qui inquiétait les élus du Bassin de Lacq. La société Teréga a renoncé à son projet "Pycasso" de stockage de CO₂ dans le Bassin de Lacq, qui visait l'enfouissement de millions de tonnes de CO₂ dès 2030.

La société Teréga a officiellement renoncé à son projet controversé de stockage de CO₂ sous le sol béarnais, dans le Bassin de Lacq. Ce programme, intitulé "Pycasso", prévoyait l'enfouissement de plusieurs millions de tonnes de CO₂ dès 2030 pour le compte de grandes entreprises industrielles telles que le pétrolier Repsol, le sidérurgiste ArcelorMittal et le cimentier Lafarge.

Annoncée le 24 octobre par le journal Sud Ouest, cette décision de Teréga met fin à des mois de tension entre l’entreprise et les élus locaux, qui craignaient pour l’avenir économique et environnemental de leur territoire. Patrice Laurent, président de la Communauté de communes Lacq-Orthez (CCLO), a exprimé son soulagement : "Le fait qu'officiellement Teréga enterre son projet de stockage à Lacq, c'est une excellente nouvelle pour le territoire."

Depuis l’annonce du projet Pycasso, de nombreuses voix se sont élevées pour contester le choix du Bassin de Lacq comme site de stockage. Les élus de la région ont mis en avant les risques potentiels pour l’économie locale et l'emploi, estimant que ce projet pouvait mettre en péril des milliers de postes. Patrice Laurent, en particulier, avait expliqué que "8 000 emplois étaient directement ou indirectement concernés par ce projet", arguant que le stockage de CO₂ pouvait compliquer l'extraction de gaz, une activité essentielle pour les usines locales.

Au début du mois d’octobre, la CCLO avait lancé une vaste campagne de communication dans l’agglomération de Pau, apposant des affiches portant le message : "Lacq, réservoir de projets, pas de déchets !" Ce slogan visait à sensibiliser les habitants aux enjeux du projet et à démontrer la volonté des élus de préserver le territoire et son tissu économique.

Dans une déclaration publique, le PDG de Teréga, Dominique Mockly, a clarifié la position de l'entreprise : "Teréga s’investit depuis plusieurs années sur le développement de solutions CCUS pour les industriels des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. Aujourd’hui, le site de Lacq n’est plus considéré du fait de l’absence de discussions possibles avec les industriels locaux." Bien que le projet Pycasso soit désormais abandonné dans le Bassin de Lacq, Teréga entend poursuivre ses travaux de captage et stockage de carbone pour aider les entreprises du sud-ouest à réduire leurs émissions.

Pour les élus du Bassin de Lacq, cette annonce marque la fin d’un dossier sensible qui avait suscité des inquiétudes, mais aussi une détermination à défendre l’économie locale. "Cette décision va permettre de passer à autre chose, de reprendre des relations apaisées avec tout le monde", a conclu Patrice Laurent, estimant que cette renonciation offre de nouvelles perspectives pour le territoire, loin des enjeux liés au stockage de CO₂.

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Hitachi Construction Machinery (Europe) NV (HCME) vient d’annoncer le lancement d’une nouvelle évolution pour sa solution de surveillance à distance des matériels Hitachi ConSite®. Destinée à faciliter encore davantage le suivi des engins par les clients et leurs distributeurs, cette innovation baptisée ConSite® Air permet d’accéder à des diagnostics en ligne et d’effectuer des mises à jour à distance.

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RTE souhaitent rappeler l'importance de respecter les consignes de sécurité lors de la pratique de diverses activités (les chantiers et les loisirs) à proximité des installations électriques, telles que les lignes à haute et très haute tension. 

Les loisirs nautiques et aériens, la pêche, les travaux agricoles, les chantiers, l'utilisation d'engins ou encore l'élagage d’arbres sont autant d’activités pouvant se révéler à risque, si elles sont pratiquées à proximité des ouvrages électriques. La bonne distance, c’est la prudence !

Quels sont les ouvrages électriques concernés ?
Il s'agit des transformateurs et des postes électriques, des lignes électriques aériennes et souterraines, ou les coffrets électriques.

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Le saviez-vous ?
A proximité d'une ligne électrique, le danger existe dès lors que vous vous en approchez ou pointez un objet dans sa direction, sans même la toucher directement. En effet, le simple fait de s'en approcher trop près peut provoquer un arc électrique (également appelé "amorçage") et donc un risque d'électrocution !

Les principales situations à risque en un clin d’oeil :

• Pratique de sports aériens ou de loisirs en extérieur
• Pratique de la pêche
• Utilisation d’un engin de grande hauteur (nacelle, grue)
• Élagage et abattage d’arbres
• Travaux sur façade ou sur toiture (échafaudage)
• Creusement d’une tranchée
• Manutention d’objets de grande longueur
• Bricolage

Pour  promouvoir  et  améliorer  la  sécurité  aux  abords des ouvrages électriques, RTE, gestionnaire du réseau d'électricité haute et très haute tension, et Enedis, gestionnaire du réseau de distribution à basse et moyenne tension, mènent de nombreuses actions de sensibilisation auprès des populations, professionnelles ou non, ayant une activité parfois proche des ouvrages électriques.

Pour votre sécurité, restez vigilants, n’approchez jamais des sources électriques et consultez nos conseils pratiques.

 
L'application LigneAlerte, pour savoir quand on s'approche d'une ligne électrique

LigneAlerte est une application mobile permettant d’alerter l’utilisateur de sa proximité avec une ligne électrique aérienne exploitée par Enedis ou RTE à 150 m, 100 m et 50 m.

Plus l’utilisateur se rapproche de la ligne, plus l’alerte s’intensifie : alerte vocale, vibratoire, et lumineuse.

N’attendez plus et protégez-vous du risque électrique en téléchargeant* l’application LigneAlerte !

* L’application est gratuite et disponible sur tous les smartphones, sans collecte de données personnelles, ni de compte à créer.
 

Retrouvez le film explicatif, en images, permettant de mieux comprendre son fonctionnement.

Franck Rondot vient d’être nommé Directeur Général de Daf Trucks France, succédant ainsi à Renaud Dehillotte, qui a choisi de poursuivre sa carrière en dehors de l’entreprise. Damien Enot lui succède à son ancien poste de directeur commercial. 

Diplômé d’une école de commerce et marketing, Franck Rondot a rejoint Daf en 1999 en tant que Responsable Marketing Direct. Au fil des années, il a gravi les échelons pour occuper des postes à responsabilité, tels que Directeur des Ventes Réseau et, plus récemment, Directeur Commercial de Daf Trucks France.

Son ancien poste de Directeur Commercial est désormais repris par Damien Enot, qui était jusqu’alors Directeur des Ventes Flottes. Ce dernier possède une solide expérience au sein de Daf Trucks France, ayant évolué dans les départements Après-Vente, Ventes de véhicules neufs et Grands Comptes.

En parallèle, Fabrice Rondeau, actuel directeur des ventes flottes, succède à Alain Thomas, parti en retraite, au poste de Directeur Marketing & Développement Réseau. Son parcours comprend des expériences dans les Ventes Grands Comptes, les contrats d’entretien et de réparation, ainsi que la vente de véhicules neufs.

Ces changements marquent une nouvelle ère pour Daf Trucks France, qui continue de valoriser les talents internes pour soutenir sa croissance et renforcer ses activités.

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Pour faciliter encore davantage le travail des clients avec des performances de pointe et une efficacité améliorée, Volvo Construction Equipment ajoute 2 modèles supplémentaires à sa gamme de pelles hydrauliques nouvelle génération.

La pelle hydraulique sur chenilles moderne ECR145 de 14 tonnes repousse les limites avec une cabine plus grande, une meilleure efficacité énergétique et une plus grande capacité de levage, alors que la pelle hydraulique sur chenilles EC210 de 20 tonnes joue désormais dans la cour des grands grâce à sa grande polyvalence et son rapport qualité-prix inégalé.

Il s'agit des derniers ajouts à la gamme de pelles hydrauliques de l’entreprise. Bénéficiant d'un design moderne et ergonomique, ces pelles sont fabriquées pour améliorer la productivité, la consommation de carburant et le coût total de possession, leur design moderne et ergonomique Avec l'introduction de ces nouveaux modèles en Europe, Volvo CE continue de proposer à ses clients les technologies les plus sophistiquées pour un avenir radieux.

L’innovation comme élément central : Le système électro-hydraulique innovant des machines permet de réduire considérablement la consommation de carburant et les coûts d'exploitation, en réglant le régime du moteur et le débit hydraulique en fonction de la tâche à accomplir. Grâce à l’utilisation intelligente de capteurs électroniques pour contrôler les mouvements de l'opérateur, les commandes sont fluides et précises, un atout considérable en matière d'excavation et de chargement.

Ces modèles proposent également de nouvelles caractéristiques en matière d’efficacité énergétique : l’optimisation de la pompe du moteur permet de conserver des performances de premier ordre et une fonction "auto power boost" assure le réglage automatique de la pression du système lorsque davantage de puissance est requise. Une interface homme-machine (HMI) améliorée offre des fonctionnalités modernes, comme le démarrage sans clé du moteur et la caméra toujours active, pour faciliter le travail des opérateurs au quotidien.

Un niveau de performance inédit : Le faible rayon de braquage de la nouvelle ECR145 permet aux opérateurs d’obtenir d'excellents résultats à travers une variété de tâches et de sites. Grâce à une cabine plus spacieuse (de l'ordre de 20 %), des environnements plus silencieux et des réglages personnalisés, ils peuvent également travailler en toute sécurité et sans problème, avec une visibilité et un confort de l’opérateur inégalés.

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Apeldoorn, Pays-Bas (16 octobre 2024) – Zweegers Equipment Group a annoncé aujourd’hui que, Tover Overseas BV une filiale entièrement détenue par The Toro Company (NYSE: TTC), Laurence Maitre et Fabrice Lavaud ont transféré la propriété de BCM-Ditch Witch France à Zweegers equipment group BV.

BCM a été fondée en 1994 par Christian Maitre et sa fille Laurence Maitre. Laurence a dirigé l’entreprise en tant que Présidente Directrice Générale au cours des 25 dernières années et continuera à diriger l’équipe. En tant qu’unique concessionnaire agréé Ditch Witch® en France, BCM-Ditch Witch France représente avec succès une gamme de produits couvrant l’ensemble du cycle de vie des canalisations et des câbles souterrains, y compris les foreuses horizontales dirigées, les trancheuses à conducteur piétons, autoportées, les chargeuses multi-outils, les outils de localisation électroniques, les systèmes de fluides de forage, les aspiratrices excavatrices, les fusées pneumatiques et leurs supports après-vente. 

« Cette transition a été accueillie avec enthousiasme par toute l’équipe, qui y voit un atout pour continuer à exercer un métier d’expert, exigeant et passionnant, tout en évoluant vers de nouveaux défis et de nouvelles opportunités sur les marchés de demain » a partagé Laurence Maitre.

Zweegers Equipment Group possède plusieurs sociétés en Europe et au Canada pour la distribution d’équipements sur les marchés de l’agriculture, de l’entretien du gazon, de la construction et de l’industrie. Les relations à long terme avec les clients, les employés, les partenaires et les autre parties prenantes sont au cœur du succès.

« L’arrivée du concessionnaire BCM-Ditch Witch France renforcera notre présence dans la distribution d’équipements de premier rang sur un marché de niche en Europe », a déclaré Gerrit van der Scheer, Président Directeur Général de Zweegers. « L’infrastructure souterraine est un marché en pleine croissance en raison du vieillissement des services publics, de l’importance des réseaux de fibres optiques et des besoins du réseau électrique en expansion dans le cadre de l’approvisionnement en énergie durable ».

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Dans le secteur du TP, il est essentiel de concilier efficacité, économie et respect de l'environnement. En matière de remblayage de tranchées, l'utilisation d'un godet cribleur s'impose comme une solution, anti-gaspillage et écologique.

Faire un geste pour la planète est une priorité qui prend tout son sens dans le secteur des travaux publics, où l'impact sur l’environnement peut être considérable. Pollution, consommation excessive de ressources et dégradation des sols sont des problématiques fréquentes. L’utilisation d’un godet cribleur permet d'atténuer ces effets néfastes en réutilisant les matériaux extraits directement sur site, au lieu de les évacuer ou de les remplacer par des matériaux neufs.

Les avantages du godet cribleur :

• Réduction du budget des matériaux d'apport : Grâce au godet cribleur, il est possible de trier et de réutiliser les matériaux directement extraits du site pour le remblayage, diminuant ainsi les besoins en matériaux d’apport. Cette pratique permet de réduire considérablement les coûts liés à l'achat et au transport de nouveaux matériaux.
• Moins de camions sur les routes : En réduisant le recours à des matériaux externes, le nombre de camions nécessaires pour transporter ces derniers diminue. Cela entraîne non seulement une baisse des émissions de CO₂, mais aussi une diminution de l’usure des infrastructures routières.
• Préservation des ressources minérales : L’utilisation d’un godet cribleur favorise la valorisation des matériaux déjà présents sur site. En filtrant et en recyclant les sols et gravats, cette technologie permet de préserver les ressources naturelles en limitant l’extraction de nouvelles matières premières.

Un geste pour la planète et pour les générations futures : L’adoption de cette méthode est non seulement un geste écologique, mais aussi une démarche responsable pour l’avenir. Dans une époque où la durabilité et la réduction des impacts environnementaux sont devenues des priorités, l’utilisation d’un godet cribleur pour le remblayage de tranchées est une solution qui s’impose naturellement.

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Le tribunal administratif de Strasbourg a temporairement suspendu les travaux de remise en navigation du canal du Rhône au Rhin entre Artzenheim et Friesenheim. Cette décision marque une première victoire pour les opposants qui avaient déposé un recours en urgence. Ce projet, d’un coût de 45 millions d’euros, vise à réhabiliter une ancienne portion de 24 km du canal pour favoriser le tourisme fluvial.

Les opposants, qui dénoncent un "écocide", ont accueilli avec soulagement cette suspension des travaux débutés en septembre. Deux recours avaient été déposés, dont un visant à stopper immédiatement le chantier. Le juge des référés a reconnu l'urgence, soulignant que les travaux menaçaient des espèces protégées de chauves-souris et d'oiseaux ainsi que leur habitat, causant des dommages irréversibles.

Fort de cette première victoire, les opposants espèrent l’abandon total du projet. Pascal Lacombe, membre du collectif Chaudron des Alternatives, a exprimé son émotion et sa satisfaction sur France Bleu Alsace, tout en attendant la réaction de la Région Grand Est et de la préfecture.

Du côté des partisans, la décision est accueillie avec surprise. Frédéric Pfliegersdoerffer, maire de Marckolsheim, a déclaré : "C'est une décision inattendue mais légale. Nous allons mobiliser les voies juridiques pour la contester". Selon lui, l'annulation du projet signifierait la disparition du canal.

En attendant une décision sur le fond, qui pourrait être rendue dans les prochains mois, les travaux resteront suspendus, laissant le projet à l’arrêt pour une période indéterminée.

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Le groupe RATP, le groupe SNCF, Latour Capital et Fimalac annoncent la finalisation de l’entrée de Latour Capital et Fimalac à hauteur de 58% au capital de SYSTRA, l’un des premiers groupes mondiaux d’ingénierie et de conseil spécialisés dans les transports publics et les solutions de mobilité.

Les groupes SNCF et RATP, actionnaires historiques, conservent chacun 20 % des parts de SYSTRA, et les 2% restants sont détenus par des salariés de SYSTRA. A cette occasion, Pierre Verzat, Président du directoire de SYSTRA, passe le relais à Jean-Charles Vollery.

Dans un marché des transports publics en fort développement, cette opération a pour ambition de soutenir la stratégie de croissance et de développement international de SYSTRA, qui opère dans 80 pays.

Fort de plus de 11 000 collaborateurs dans le monde, SYSTRA est l’un des premiers groupes mondiaux d’ingénierie et de conseil spécialisés dans les transports publics et les solutions de mobilité. Avec l’arrivée de Latour Capital et Fimalac, le Groupe entend renforcer son positionnement de champion mondial dans le secteur de la mobilité durable.

À cette occasion, Pierre Verzat annonce la fin de son mandat de Président du directoire après 13 ans à la tête du Groupe. Jean-Charles Vollery lui succédera pour poursuivre et accélérer le développement de SYSTRA.

Le Président du directoire de SYSTRA, Pierre Verzat : « Nous nous réjouissons d’accueillir Latour Capital et Fimalac au capital de SYSTRA, aux côtés de nos actionnaires historiques SNCF et RATP. C’est une étape majeure dans le développement de notre Groupe, qui ambitionne d’accroître rapidement ses parts de marché dans les géographies à fort potentiel. Je suis heureux d’avoir pu contribuer à cette transformation majeure de notre Groupe. C’est l’occasion pour moi de prendre du recul et je suis heureux de passer rapidement le relais à Jean-Charles Vollery qui accompagne notre croissance avec fougue et talent depuis plus de 28 ans. »

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Dans le cadre du projet d'aménagement ferroviaire LGV-AFSB-GPSO reliant Bordeaux à Toulouse, Enedis poursuit activement ses interventions sur le terrain. Actuellement, l'entreprise réalise, en collaboration avec son partenaire Gendry, son quatrième forage dirigé dans la commune de Saint-Médard-d'Eyrans, précisément au niveau du passage à niveau de l'avenue de l'Esteyrolles.

Ces forages, qui s'inscrivent dans le cadre de l'aménagement du sud de Bordeaux, constituent une étape essentielle au déplacement des réseaux électriques. L'objectif est de permettre l'avancement des travaux du Groupe SNCF RESEAU sans interruption. Enedis, grâce à son expertise,procède à des passages souterrains sous les voies ferrées et à divers aménagements aux abords du tracé, facilitant ainsi le bon déroulement du chantier.

Le projet, sous la maîtrise d'ouvrage de SNCF Réseau pour l'infrastructure et de SNCF Gares & Connexions pour les nouvelles gares, fait partie intégrante du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). Ces deux entités sont responsables de la conception, de la réalisation et du pilotage global du projet jusqu'à sa réception finale. Leur mission est de coordonner toutes les opérations nécessaires à l'optimisation du réseau ferroviaire dans cette région clé.

Pour piloter ce vaste projet, l'Agence GPSO a été créée au sein de SNCF Réseau le 4 avril 2023. Son rôle est déterminant dans la coordination des différentes interventions, qu'il s'agisse de la construction des nouvelles lignes, de la modernisation des gares, ou des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse. L’Agence GPSO veille à intégrer ces nouveaux équipements au réseau ferré national, tout en valorisant l'innovation et en prenant en compte les enjeux environnementaux.

Grâce à l'implication conjointe d'Enedis et de ses prestataires SFTP, CANA ELEC, EIFFAGE, Groupe Gendry, CPMAT, Chantiers Aquitaine, les travaux d'aménagement se déroulent dans les meilleures conditions, contribuant à la réalisation d'un projet d'envergure qui améliorera la mobilité et les infrastructures dans le sud-ouest de la France.

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Le gouvernement a publié le 18 octobre la cartographie des zones prioritaires de déploiement à horizons 2035 et 2050 de l'éolien en mer au large des différentes façades maritimes permettant d’atteindre à terme une capacité de 45 GW.

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La définition de ces zones ouvre la voie au lancement dans les prochains mois d'un dixième appel d'offres portant sur l’installation de parcs off shore pour une puissance totale de 8 à 10 GW avec l’objectif d’une attribution à l’automne 2026. Des zones de protection forte pour la biodiversité en mer sont aussi identifiées.

Dans une décision(Lien sortant, nouvelle fenêtre) consécutive au débat public "La mer en débat", qui s’est déroulé simultanément sur les quatre façades maritimes de l’Hexagone, entre le 20 novembre 2023 et le 26 avril 2024 et a donné lieu à plus de 20.000 contributions écrites, les ministres Catherine Vautrin (en charge notamment de la mer) et Agnès Pannier-Runacher (en charge notamment de l’énergie) ont publié ce 18 octobre la cartographie des zones prioritaires de développement de l’éolien en mer.

Cette publication réaffirme l'objectif de production de 18 gigawatts (GW) en 2035 et 45 GW en 2050, contre 1,5 GW aujourd'hui. "L'éolien en mer est une pièce maîtresse de notre stratégie énergétique, qui devra apporter 20% de notre production électrique en 2050", a déclaré Olga Givernet, la ministre déléguée à l'Énergie. 

Le débat public était destiné à préciser les zones prioritaires de développement de l'éolien en mer "afin de concilier production énergétique décarbonée, activités de pêche et de transport, et respect des paysages et de la biodiversité des territoires côtiers et de la mer", selon Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition écologique. 

Ces zones sont listées dans les quatre premières annexes de la décision parue 18 octobre au Journal officiel. Elles "pourront être précisées et revues ultérieurement au regard de l’évolution des enjeux et des technologies disponibles, lors de la révision de la cartographie […], à l’issue de nouvelles concertations et consultations avec les instances et les acteurs de la façade et des façades limitrophes le cas échéant", ont précisé les deux ministres signataires.

Elles ont également annoncé qu’une nouvelle procédure de mise en concurrence, dite AO10, sera lancée dans les prochains mois, avec l’objectif d’une attribution à l’automne 2026. Elle devrait déboucher sur l’installation de nouveaux parcs pour une puissance totale de 8 à 10 GW (soit environ 150% des parcs déjà attribués et six fois la puissance des parcs déjà en service), afin d’atteindre un total de 18 GW en service en 2035 :

• deux projets d’éoliennes posées d’environ 2 gigawatts (GW) chacun sur la façade maritime Manche Est - mer du Nord (annexe 1, zone Fécamp grand large) ;
• un projet d’éoliennes flottantes d’environ 2 GW sur la façade maritime Nord Atlantique - Manche Ouest (annexe 2, zone Bretagne nord-ouest) ;
• un projet d’éoliennes flottantes d’environ 1,2 GW sur la façade maritime Sud Atlantique (annexe 3, zone du golfe de Gascogne sud) ;
• un projet d’éoliennes flottantes d’environ 2 GW sur la façade maritime Méditerranée (annexe 4, zone du golfe du Lion centre).

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