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Le choix des matériaux pour les réseaux d’eau potable est une question essentielle qui impacte la durabilité des infrastructures et la qualité de l’eau distribuée. Deux options principales se distinguent : le PVC bi-orienté (PVC-BO) et le polyéthylène haute densité (PEHD). Chacun présente des atouts et des limites qui influencent leur adoption par les professionnels.

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Le PVC bi-orienté : robustesse et facilité d’installation

Le PVC-BO est reconnu pour sa haute résistance mécanique et sa durabilité. Son procédé de fabrication lui confère une meilleure résistance à la pression et aux chocs, tout en restant plus léger que d’autres matériaux. Il offre ainsi une facilité de pose, réduisant le temps et les coûts d’installation. De plus, sa surface interne lisse limite les pertes de charge et prévient l’accumulation de dépôts.

Cependant, le PVC-BO présente quelques limites, notamment en termes de flexibilité. Moins adaptable aux terrains accidentés ou aux mouvements de sol, il peut être plus exposé aux ruptures en cas de contraintes extrêmes.

Par ailleurs, certains inconvénients du PVC en général soulèvent des interrogations quant à son usage dans les réseaux d’eau potable :

• Risque de dépolymérisation : Avec le temps, le PVC peut libérer du chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance classée cancérigène.
• Vieillissement des canalisations : L’usure des installations en PVC peut entraîner la présence de résidus chimiques dans l’eau consommée.

Le PEHD : souplesse et résistance chimique

Le PEHD est particulièrement apprécié pour sa flexibilité et sa résistance aux agressions chimiques et aux mouvements de terrain. Il est idéal pour les zones sujettes à des instabilités géologiques ou aux sols agressifs. Son mode d’assemblage par soudure assure une étanchéité parfaite, minimisant les risques de fuites.

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Toutefois, le PEHD présente un coefficient de dilatation plus élevé, ce qui nécessite une attention particulière lors de la pose pour éviter les déformations. De plus, son installation peut être plus coûteuse en raison de la spécificité des techniques de soudure.

Les principaux avantages du PEHD incluent :

• Une stabilité moléculaire exceptionnelle : Comparable à celle du bois, certains réseaux installés dans les années 1930 restent encore en parfait état.
• Aucun risque de dégradation toxique : Contrairement au PVC, le PEHD ne libère ni microplastiques ni substances chimiques nuisibles.
• Résistance et durabilité : Il résiste efficacement aux agressions chimiques, mécaniques et climatiques.

Quel matériau choisir ?

Le choix entre ces deux matériaux dépend essentiellement du contexte d’installation.

• Le PVC-BO sera souvent privilégié pour des réseaux en terrain stable, où sa robustesse et sa facilité de mise en œuvre apportent un avantage.
• Le PEHD, en revanche, sera plus adapté aux zones sensibles aux mouvements de sol ou aux environnements chimiques agressifs.

Pourquoi le PEHD est le matériau du 21ᵉʳ siècle ?

Dans un contexte où la qualité de l’eau potable et l’impact environnemental des infrastructures sont des priorités, le PEHD émerge comme le matériau idéal pour les réseaux modernes. Sa durabilité exceptionnelle, associée à son innocuité et à ses performances techniques, en fait un choix tourné vers l’avenir.

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La cérémonie de remise du Bauma Innovation Award 2025 s’est tenue devant quelque 450 invités, rassemblés pour célébrer les avancées technologiques les plus prometteuses du secteur de la construction. L’événement, placé sous le signe de l’innovation, s’est déroulé en présence de Klara Geywitz, ministre fédérale allemande, et de Hubert Aiwanger, ministre bavarois de l'Économie.

Cette édition a récompensé cinq projets majeurs, sélectionnés pour leur contribution remarquable aux défis contemporains de l’industrie, notamment la durabilité environnementale, la numérisation des processus ou encore l’automatisation des chantiers.

Les lauréats 2025 du Bauma Innovation Award sont :

• Catégorie Protection du climat :
  ROTHO ProCarbonCure – Robert Thomas GmbH
  Une solution innovante visant à réduire l’empreinte carbone dans la fabrication de composants de construction, apportant une réponse concrète aux enjeux climatiques actuels.

• Catégorie Numérisation :
  Liebherr Autonomous Operations – Liebherr-Werk Bischofshofen GmbH
  Ce système d’opérations autonomes pour engins de chantier marque une étape clé vers l’essor des chantiers intelligents.

• Catégorie Ingénierie mécanique : (Photo à droite)
  Herrenknecht AG
  L’entreprise a développé une technologie de percement révolutionnaire permettant l’élargissement de tunnels existants sans interrompre leur exploitation — une prouesse technique au service de l’infrastructure urbaine.

• Catégorie Construction :
  Adam Hörnig Baugesellschaft mbH & Co KG
  Une approche novatrice pour concevoir des ponts plus légers, durables et rapides à mettre en œuvre, combinant innovation structurelle et efficacité de mise en œuvre.

• Catégorie Recherche :
  MAXX – Mobile Assembly X-System – Center Construction Robotics (RWTH)
  Ce système robotisé mobile est conçu pour optimiser l’assemblage sur site dans une logique de modularité, d’automatisation et de gain de productivité.

Avec 208 candidatures déposées cette année, la compétition a une nouvelle fois démontré l’élan d’innovation qui anime le secteur. Après un premier tri, 52 projets ont été retenus pour une évaluation approfondie, menée par un jury d’experts issus de l’industrie, de la recherche et des institutions, épaulés par un groupe de travail spécialisé. 15 finalistes ont finalement été désignés.

Les projets ont été jugés selon des critères exigeants, allant de leur applicabilité concrète, à leur potentiel économique, en passant par le degré d’innovation numérique, l’impact environnemental, l’efficacité en matière de ressources, et leur capacité à améliorer les conditions de travail sur les chantiers.

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Créée en 2018 au sein de la Fédération Régionale des Travaux Publics Auvergne-Rhône-Alpes la commission Terrassement par aspiration incarne la volonté collective d’accompagner la transformation d’un secteur en pleine mutation. Aujourd’hui présidée par Jérôme Hennequin, cette instance joue un rôle moteur dans la structuration, la professionnalisation et la reconnaissance de cette technique innovante.

Le terrassement par aspiration, alternative plus sûre, plus précise et moins invasive que le terrassement mécanique traditionnel, connaît un développement rapide, notamment dans les environnements urbains denses et à proximité immédiate des réseaux sensibles.

Pour répondre aux enjeux croissants de sécurité, de réglementation et de performance, la commission s’est fixée plusieurs objectifs prioritaires :

• Encadrer l’usage des excavatrices aspiratrices, en promouvant une utilisation adaptée aux spécificités de chaque type de chantier ;

• Professionnaliser la filière, en structurant les compétences des opérateurs, en valorisant les savoir-faire et en développant des parcours de formation qualifiants ;

• Diffuser les bonnes pratiques, pour améliorer l’efficacité opérationnelle sur le terrain, tout en réduisant les risques techniques et humains.

Parmi les enjeux majeurs sur lesquels elle agit, la commission s’emploie notamment à :

• répondre aux exigences de la réglementation DT-DICT, qui encadre les interventions à proximité des réseaux sensibles ;

• prévenir les dommages aux réseaux en favorisant une approche préventive, maîtrisée et sécurisée des opérations de terrassement.

Grâce à cette dynamique collective, la commission dirigée par Jérôme Hennequin contribue activement à structurer une véritable filière dédiée au terrassement par aspiration, au service de la sécurité des intervenants, de l’innovation technique et de la qualité des ouvrages réalisés sur les infrastructures.

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La société INTERMAS, une entreprise de premier plan spécialisée dans la fabrication de mailles extrudées, propose des solutions techniques innovantes dans le domaine du Bâtiments Travaux Publics (BTP). Avec une solide réputation, INTERMAS est un acteur de référence offrant des solutions optimales aux professionnels du secteur.

Grâce à leur expertise, INTERMAS offre une variété d'applications essentielles pour la signalisation, la détection, et la protection des réseaux enterrés. Ces solutions sont conçues pour répondre aux besoins spécifiques des professionnels du BTP, garantissant ainsi la sécurité et l'efficacité des travaux.

Parmi les produits phares d'INTERMAS, on retrouve :

• Grillages Avertisseurs Détectables : Utilisant la technologie RFID, ces grillages permettent la détection et l'identification précises des ouvrages enterrés.
• Grillages Standards : Adaptés à diverses applications, ces grillages sont une solution fiable pour la signalisation et la protection.
• Filets de Signalisation pour Sols Pollués : Conçus spécifiquement pour les terrains contaminés, ces filets assurent une signalisation claire et visible.
• Filets de Balisage et Mailles de Protection : Offrant une protection robuste pour les câbles et les canalisations, ces filets sont indispensables pour la sécurité des réseaux.

Technologie ELIOT pour la Détection

Le grillage avertisseur équipé de la technologie ELIOT représente une innovation majeure. Ce dispositif intègre un tag RFID (Radio Frequency Identification) fixé sur un grillage conforme à la norme NF EN 1263, permettant ainsi une détection et une identification précises des ouvrages enterrés. Ce produit "2 en 1" se pose de manière similaire à un dispositif avertisseur traditionnel, offrant une solution pratique et efficace.

Flexibilité de Pose

Le grillage avertisseur GA Eliot est disponible en pose manuelle et mécanisée, et proposé en différentes largeurs et longueurs pour s'adapter aux besoins spécifiques des chantiers. Cette flexibilité permet une installation facile et rapide, optimisant ainsi le temps et les ressources.

Conclusion

En résumé, INTERMAS se positionne comme un leader dans le secteur du BTP grâce à ses solutions innovantes et ses produits de haute qualité. Leur engagement envers la sécurité et l'efficacité des travaux publics fait d'eux un partenaire de choix pour les professionnels du secteur. Avec une gamme de produits diversifiée et des technologies avancées comme ELIOT, INTERMAS continue de répondre aux défis du BTP avec excellence et fiabilité.

À l’occasion de son Assemblée générale annuelle, qui s’est tenue le 3 avril 2025 à Lyon, la Fédération Nationale des Entreprises de Détection de Réseaux Enterrés (FNEDRE) a procédé au renouvellement partiel de son Conseil d’administration.

À cette occasion, David BONNIER, Nicolas BUGNOT et Aurélien LAFOREST ont été élus ou réélus administrateurs de la fédération.

Dans la continuité de cette Assemblée, la composition du Bureau a été arrêtée comme suit :

• 👉 Président : Damien Skaky (RESODETECTION) ;

• 👉 Vice-Présidente : Loriane Roussel (GROUPE PARERA) ;

• 👉 Vice-Président : David BONNIER (Detect Réseaux France) ;

• 👉 Trésorier : Benjamin Barraud (Groupe ADRÉ) ;

• 👉 Secrétaire : Aurélien LAFOREST (EGD Etude Géo Détection).

Le Bureau est complété par la désignation de Nicolas BUGNOT (IRE01) en qualité d’administrateur.

Ce nouveau Bureau réaffirme son engagement en faveur de la professionnalisation et de la valorisation des métiers de la détection et du géoréférencement des réseaux enterrés.

📢 Restez connectés à la FNEDRE pour suivre toute l’actualité du secteur.

La FNEDRE réunit majoritairement des entreprises qui réalisent des prestations de localisation des réseaux enterrés par la mise en œuvre combinée des techniques de détection et de géoréférencement (on parle aussi de détection géoréférencée des réseaux ou encore de géodétection). Elle compte aussi dans ses rangs des fabricants et/ou des distributeurs de matériels liés à ces métiers, des établissements et des organismes de formation spécialisés dans le domaine de la réalisation des travaux réalisés à proximité des réseaux, ainsi que des maîtres d’ouvrage et des exploitants de réseaux.

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Le tribunal judiciaire de Montpellier a ordonné la suspension, pour une durée d’un an, du parc éolien de Bernagues (Hérault), exploité par la société Énergie Renouvelable du Languedoc. Cette décision fait suite à la mort d’un aigle royal, une espèce protégée, percuté par une pale d’éolienne début 2023.

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L'accident s’est produit le 10 janvier 2023 à 8h15. L’oiseau, un mâle reproducteur suivi par GPS, volait à 50 km/h lorsqu’il a violemment heurté l’une des éoliennes implantées sur le massif de l’Escandorgue. Selon l’enquête menée par l’Office français de la biodiversité (OFB), un dysfonctionnement du dispositif de détection des oiseaux a empêché le déclenchement du mécanisme d’évitement. La carcasse du rapace n’a été retrouvée qu’au bout de six jours, au pied de la structure.

Le rapace faisait partie d’un couple nichant à proximité depuis 2008. Pour les associations environnementales, cette collision met en lumière un manque de vigilance dans l’implantation et l’exploitation des infrastructures éoliennes en zones sensibles pour la biodiversité.

Condamnée pour infraction à la réglementation environnementale, la société ERL — filiale du groupe Valeco — a été condamnée à une amende de 200 000 euros, dont la moitié avec sursis. Son dirigeant, François Daumard, a également été sanctionné à titre personnel à hauteur de 40 000 euros, dont 20 000 avec sursis.

Par ailleurs, le jugement impose à ERL et à son représentant légal le versement de 35 000 euros de dommages et intérêts aux six associations constituées parties civiles, ainsi qu’une indemnité complémentaire de 3 000 euros pour réparer le préjudice écologique, et 1 000 euros de frais de justice pour chacune.

Cette affaire survient peu de temps après une décision similaire concernant les éoliennes d’Aumelas, également situées dans l’Hérault, dont le fonctionnement a été suspendu pour quatre mois.

Deux décisions en quelques jours qui témoignent d’un tournant jurisprudentiel : la préservation de la faune protégée pèse désormais de tout son poids face aux impératifs de la transition énergétique.

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Colas, à travers sa filiale canadienne The Miller Group, a été retenu par le ministère des Transports de la province de l’Ontario pour assurer l’ensemble des travaux d’entretien du réseau routier de la région de Durham, à l'est de Toronto, dans la province de l’Ontario.

Ce contrat majeur, d’une valeur d’environ 100 millions d’euros (Montant pris en commande au premier trimestre 2025), porte sur une période de sept ans, à partir du mois d’août 2026. Dans le cadre de ce contrat, plus de 40 employés seront mobilisés à temps plein toute l’année, une équipe renforcée chaque hiver par 160 opérateurs d’équipements spécialisés. 

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Pendant la période estivale, The Miller Group sera chargé de la réparation des chaussées, de l’entretien des accotements, des glissières de sécurité, des structures et des systèmes de drainage, ainsi que de la gestion de la végétation et des équipements électriques. En hiver, les équipes assureront les opérations de déneigement, l’épandage de sable et de sel, et le traitement préventif et curatif de la neige et du verglas, afin de garantir la sécurité des usagers en toutes circonstances.

Conformément à ses engagements en matière de respect de l’environnement, la filiale mettra en œuvre plusieurs actions concrètes pour limiter l’empreinte carbone liée aux opérations. Deux camions de patrouille à faible émission seront déployés dès le lancement du projet, avec l’objectif d’élargir progressivement cette flotte. Le programme de gestion du ralenti sera renforcé grâce à un logiciel de suivi permettant d’analyser et d’optimiser les comportements des véhicules en temps réel.

Par ailleurs, toutes les unités d’intervention d’urgence seront équipées de batteries doubles. Enfin, l’ensemble des outils manuels sera également alimenté par batterie, réduisant ainsi les émissions. 

"Ce contrat illustre la confiance du ministère des Transports de l’Ontario envers The Miller Group. Nous sommes fiers d’assurer l’entretien de ce réseau stratégique, en alliant performance opérationnelle, innovation et respect de l’environnement, au service de la sécurité des usagers", déclare Francois Vachon, Directeur Général Canada de Colas.

Implanté au Canada depuis près de 60 ans, Colas renforce son engagement à fournir des services d’entretien routier de haute qualité avec la signature de ce nouveau contrat, qui s’inscrit pleinement dans sa stratégie de développement durable des territoires. L’entretien régulier des réseaux routiers permet d’améliorer la sécurité pour les usagers et d’éviter les surcoûts liés à la réfection complète des infrastructures.

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A l’occasion de la Bauma, salon international de référence pour les professionnels du BTP, le constructeur RSP, leader mondial dans la fabrication d’aspiratrices-excavatrices, annonce le lancement de son tout nouveau site Internet.

Ce nouveau portail digital incarne la volonté de RSP de moderniser sa communication et de renforcer sa proximité avec ses clients et partenaires. Conçu pour offrir une navigation fluide et intuitive, le site met en valeur l’ensemble de la gamme de véhicules d’aspiration proposée par la marque. Il permet un accès facilité aux fiches techniques, aux démonstrations vidéo ainsi qu’aux innovations technologiques qui font la renommée de l’entreprise.

A travers cette nouvelle plateforme, RSP affirme son positionnement de référence sur le marché et réaffirme son engagement constant en matière de qualité, d’innovation et de service. Le site intègre également une rubrique dédiée aux actualités de l’entreprise et aux événements majeurs du secteur, renforçant ainsi sa mission d’information et de veille à destination des professionnels.

Le site est dès à présent accessible à l’adresse suivante : https://www.rsp.com/fr/

Le lancement de cette plateforme coïncide avec une autre actualité majeure : la présentation, sur le stand RSP à la Bauma, de l’intégralité de sa gamme de véhicules d’aspiration. Une occasion idéale pour l’entreprise de mettre en lumière son expertise et de valoriser ses solutions auprès d’un public international.

Lors du salon, les visiteurs pourront découvrir en direct plusieurs modèles phares :

• ESE 6 : l’aspiratrice-excavatrice la plus puissante au monde.

• ESE E : une aspiratrice-excavatrice 100 % électrique, une avancée majeure vers une excavation plus durable.

• Vortex : un camion aspirateur à vide conçu pour les applications industrielles.

• Série P : une solution spécialement développée pour les collectivités.

• vRSP : une plateforme de formation numérique permettant aux utilisateurs de se perfectionner sur ces technologies.

• RSP Care 2.0 : un concept de service modulaire garantissant une disponibilité maximale des machines.

En complément de ses équipements, RSP présentera également de nouvelles solutions numériques, notamment :

• Un nouvel univers de marque révélant une identité visuelle renforcée.

• Des services intelligents incluant une application mobile, un portail client et une boutique en ligne.

• Des systèmes d’aspiration sur mesure destinés aux secteurs du BTP, de l’industrie et des collectivités.

L'équipe commerciale de la filiale française de RSP, dirigée par Marc Moebs, sera ravie d'accueillir les visiteurs sur le stand. Ils se feront un plaisir de partager leurs dernières nouveautés et de répondre à toutes les questions.

Les équipes de RSP sont prêtes à vous accueillir

Le Parlement a définitivement adopté, mardi 1er avril 2025, une loi majeure permettant aux communes de conserver leurs compétences en matière de gestion de l’eau et de l’assainissement. Ce texte, voté dans les mêmes termes par le Sénat et l’Assemblée nationale, marque un tournant dans l’application de la loi NOTRe de 2015.

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Initialement, cette réforme prévoyait le transfert obligatoire de ces compétences aux communautés de communes d’ici à 2026. Avec cette nouvelle loi, les communes pourront désormais choisir de conserver cette responsabilité à leur échelle.

Les collectivités locales disposent désormais de trois possibilités :

• conserver la compétence en gestion de l’eau et de l’assainissement au niveau communal ;

• la déléguer à un syndicat intercommunal ;

• ou la transférer à leur communauté de communes.

Environ un tiers des communes françaises ayant déjà effectué ce transfert ne pourront toutefois pas revenir en arrière.

Le nouveau dispositif vise donc à introduire davantage de souplesse, tout en respectant les dynamiques territoriales déjà engagées.

Parmi les dispositions validées, le texte prévoit également la possibilité d’organiser une solidarité entre communes voisines en cas de pénurie d’eau.

Cette mesure, introduite par les députés, a été acceptée sans modification par les sénateurs, soucieux de garantir une adoption rapide de la loi.

Ce vote marque ainsi un retour à une certaine liberté d’organisation pour les communes, dans un domaine essentiel à la vie quotidienne des habitants et à la gestion durable des ressources.

Depuis sa création à la fin des années 1980, le fabricant Français RISA s’est imposée comme un acteur majeur dans la conception et la fabrication d’engins et d’équipements destinés à la construction de réseaux aériens et souterrains.

Forte de plusieurs décennies d’expérience, l’entreprise propose une gamme complète de machines performantes : grues de levage, grues de forage, treuils pour les réseaux aériens, ainsi que trancheuses à chaîne, trancheuses à roue ou encore roues de compactage pour les réseaux enterrés.

Aujourd’hui, plus de 2000 machines RISA sont utilisées chaque jour en France et à l’international, aussi bien par des TPE spécialisées que par de grands groupes nationaux et internationaux. Cette présence solide témoigne de la robustesse, de la fiabilité et de la technicité des équipements conçus par l’entreprise.

Un Partenariat Stratégique au Service de l’Innovation

Dans une volonté constante d’élargir son offre et de proposer des solutions à la pointe de la technologie, RISA a noué un partenariat stratégique avec LONGO RHINOZ, devenant distributeur exclusif de ses aspiratrices-excavatrices en France, dans les DOM-TOM, en Suisse romande et en Belgique.

Les aspiratrices-excavatrices LONGO RHINOZ sont reconnues pour leurs performances élevées, leur fiabilité et leur capacité d’intervention sur les chantiers les plus exigeants. Ce partenariat permet à RISA de renforcer sa position sur le marché tout en répondant aux nouveaux besoins des professionnels des réseaux.

Un Service Après-Vente Réactif et Performant

Au-delà de la qualité de ses machines, RISA se distingue par un service après-vente de très haut niveau. Un réseau de techniciens itinérants expérimentés, appuyé par un inspecteur technique dédié, garantit une grande réactivité et un accompagnement sur mesure.

Grâce à son centre de formation intégré, RISA assure une montée en compétence continue de ses équipes internes comme de ses partenaires. Ce savoir-faire technique, combiné à une forte culture de la satisfaction client, fait de RISA un partenaire de confiance pour la réussite des projets, même les plus complexes.

Une Vision d’Avenir

Avec son savoir-faire éprouvé, sa capacité d’innovation et ses partenariats stratégiques, RISA confirme son rôle de leader sur le marché des équipements pour réseaux. Une entreprise qui continue de bâtir, jour après jour, l’avenir des infrastructures souterraines et aériennes.

Dans une décision rendue publique ce 3 avril, la cour administrative d’appel de Nancy a annulé les arrêtés du préfet des Ardennes autorisant l’exploitation du parc éolien du Mont des Quatre Faux, composé de 63 éoliennes.

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Le projet, porté par la SAS Parc éolien Mont des Quatre Faux, avait initialement reçu une autorisation en juin 2017 pour implanter soixante-trois éoliennes sur les communes de Bignicourt, Cauroy, Hauviné, Juniville, Neuville-en-Tourne-à-Fuy, Mont-Saint-Rémy et Ville-sur-Retourne. Cette décision avait été contestée par une association et plusieurs riverains, mais leur recours avait été rejeté en première instance par le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne en 2020.

Saisie en appel, la cour de Nancy avait sursis à statuer en décembre 2022 pour permettre une régularisation du dossier, donnant lieu à un nouvel arrêté préfectoral en octobre 2023. Ce dernier n’a toutefois pas convaincu les juges.

Dans son arrêt, la cour reconnaît que certains vices initiaux ont été régularisés, mais estime que les atteintes paysagères générées par le projet restent majeures. En cause : un effet de saturation visuelle important sur plusieurs villages voisins (Cauroy, Machault, Mont-Saint-Remy, Dricourt et Pauvres), dû à la hauteur des éoliennes (200 m) et à leur implantation sur un territoire dégagé. Le relief, la végétation ou des mesures compensatoires n’étant pas de nature à atténuer cet impact, la cour juge que le projet porte une atteinte significative à l’environnement visuel des riverains.

Elle considère par ailleurs que ces atteintes ne sont pas régularisables sans une refonte majeure du projet, nécessitant une nouvelle étude d’impact.

Un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État reste possible dans un délai de deux mois.

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