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Constatant le non-respect de la première échéance de ses engagements de déploiement en fibre optique en zone AMII, l’Arcep dans sa formation restreinte (dite « de sanction ») prononce une sanction financière de 26 millions d’euros à l’encontre d’Orange

 
La formation restreinte a considéré que le non-respect, par la société Orange de la première échéance de ses engagements, à l’égard de laquelle elle a été mise en demeure, revêt une particulière gravité, en ce qu’il porte notamment atteinte à l’intérêt et à l’aménagement numérique des territoires, et l’intérêt des utilisateurs finals dans leur accès aux réseaux. Lire la suite du communiqué 

Le responsable de la location des aspiratrices-excavatrices chez BALBIANO, Sébastien Stil, met en avant les nombreux avantages de la co-localisation d'équipements complémentaires, notamment les bennes ampliroll.

 
Sébastien Stil souligne que cette approche offre une solution intégrée aux clients, favorisant l'efficacité sur les chantiers. La possibilité de louer simultanément des équipements tels que les bennes ampliroll et les aspiratrices-excavatrices constitue un avantage majeur pour leur clientèle, permettant de répondre à divers besoins avec une solution globale. M. Stil souligne également que cette démarche simplifie la logistique pour les clients, éliminant les retards potentiels liés à la coordination de différents fournisseurs. 

Leur flotte est composée d'aspiratrices-excavatrices RSP (leader des constructeurs) adaptées à une gamme étendue de tâches sur les chantiers. Forts d'une expérience accumulée sur divers projets, ils s'engagent à fournir des solutions efficaces et adaptées à vos besoins spécifiques.

Si vous souhaitez bénéficier de leur expertise ou poser des questions sur leurs solutions et services, n'hésitez pas à contacter M. Sébastien Stil au 06 99 17 95 35. Il se fera un plaisir de vous assister dans vos projets en vous apportant son expérience approfondie.

Valérie NOUVEL, en tant que présidente de cette mission, assistée de la Direction Générale des Entreprises a rendu le rapport aux ministres Dominique Faure et Jean-Noël Barrot.

Ces travaux menés avec les fédérations professionnelles du CSF Infrastructures numériques comprenant (AFNUM, Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) , InfraNum et SYCABEL ). Les associations et collectivités ont été aussi parties prenantes à travers les retours d'expériences et projets déjà lancés (FNCCR, Avicca, Association Déclic) en partageant les sucés et le reste à faire. 

Ces travaux avaient pour objectif d'étudier les enjeux et les opportunités de la transformation numérique des territoires en France. Alors que la digitalisation s'accélère et que les territoires cherchent à s'adapter aux défis environnementaux, ce rapport est d'une importance capitale.

Voyons quels sont les constats de la mission gouvernementale, puis les recommandations suggérées dans ce rapport : Lire la suite

Mayenne Fibre vient de publier un guide destiné aux élus de Mayenne dans le but de leur fournir des réponses pratiques aux principales préoccupations soulevées par leurs administrés.

Dans ce guide, il est souligné que, dans la majorité des cas à Mayenne, le déploiement du réseau Fibre, en ce qui concerne la partie distribution, s'effectue en aérien, utilisant des poteaux d'Orange, des poteaux d'Enedis ou de nouveaux poteaux installés par Mayenne Fibre.

Mayenne Fibre a établi des contrats avec Orange et Enedis pour l'utilisation de leurs poteaux. La stratégie consiste, dans la plupart des situations, à enterrer la partie transport, et pour la distribution, à utiliser l'infrastructure existante. Dans le premier cas, si des fourreaux souterrains sont présents et utilisables, Mayenne Fibre les exploite. Dans le deuxième cas, en l'absence de fourreau souterrain ou s'il n'est pas disponible, Mayenne Fibre utilise les poteaux existants (Orange ou Enedis) pour déployer la fibre. Si les poteaux d'Orange sont en mauvais état, Mayenne Fibre est mandatée pour les remplacer.

En l'absence de poteaux, Mayenne Fibre est amenée à installer de nouveaux poteaux. Cela se produit, par exemple, sur des tronçons où le fil de cuivre est enterré en pleine terre, ce qui est impossible à réaliser avec de la fibre. Malheureusement, cela représente quelques centaines de kilomètres en Mayenne.

Pour utiliser les poteaux d'Orange ou d'Enedis, l'équipe projet réalise un calcul de charge, poteau par poteau, afin de vérifier que l'ajout d'un nouveau câble peut être supporté par le poteau en question, conformément aux règles imposées par Enedis et Orange. Lorsqu'un poteau d'Orange ne peut pas supporter la charge supplémentaire, il est remplacé dans la grande majorité des cas. Dans le cas contraire, un poteau complémentaire peut être installé à proximité. Si le poteau d'Enedis ne supporte pas la charge supplémentaire, un poteau Mayenne Fibre est également installé à proximité. Cliquez-ici pour consulter le guide

Dans le contexte d'une croissance renouvelée à deux chiffres du chiffre d'affaires et des bénéfices, ainsi que d'un carnet de commandes solide, le groupe Wacker Neuson réaffirme ses prévisions de chiffre d'affaires et de bénéfices pour l'ensemble de l'année.

Le chiffre d'affaires du groupe au cours des neuf premiers mois a augmenté de 22,7 % par rapport à l'année précédente, atteignant 2 013,9 millions d'euros (contre 1 641,0 millions d'euros pour les 9 premiers mois de 2022). Avec 240,4 millions d'euros, le résultat avant intérêts et impôts (EBIT) a de nouveau enregistré une croissance disproportionnée de 66,3 % (contre 144,6 millions d'euros pour la même période en 2022). La marge EBIT s'est élevée à 11,9 % (contre 8,8 % pour les 9 premiers mois de 2022). En examinant le troisième trimestre séparément, la marge EBIT a diminué conformément aux attentes pour atteindre 9,8 % (contre 10,0 % au T3 2022).

La diminution de la marge EBIT au cours de l'année, conforme aux attentes, est principalement attribuable aux effets extraordinaires déjà publiés au cours des deux premiers trimestres de 2023, liés à la cession d'actifs non courants devenus non nécessaires aux opérations (environ 15 millions d'euros) et à la vente d'actifs incorporels (environ 11 millions d'euros), ainsi qu'à l'émergence d'un ralentissement économique.

Les dispositifs de couronnement, plus communément connus sous le nom de tampons de regards, cumulent à la fois des aspects fonctionnels et visuels, contribuant ainsi à la qualité et à l'esthétique des infrastructures urbaines. Découvrez KORUM, le regard de chaussée D 400 conçu pour les visites périodiques et le trafic intense. 

D'un point de vue fonctionnel, les tampons de regards assurent la protection des réseaux souterrains tels que les égouts, les conduites d'eau et les câbles électriques .... Leur conception robuste garantit une résistance aux pressions et aux impacts, assurant ainsi la durabilité et la stabilité des infrastructures cruciales qui se cachent en dessous. Cependant, leur importance ne se limite pas à la fonctionnalité pure. Les dispositifs de couronnement sont également des éléments visuels qui contribuent à l'esthétique globale de l'espace urbain. De nombreuses municipalités et concepteurs urbains intègrent des designs créatifs dans ces tampons de regards, transformant ainsi des éléments utilitaires en véritables œuvres d'art urbain. 

Proposé par Pam (Saint-Gobain), KORUM, le regard de chaussée D 400 pour visites périodiques et trafic intense, bénéficie de la certification NF 110 délivrée par l’AFNOR. Il est assorti de la Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) des produits de voirie de Saint-Gobain PAM, laquelle a été vérifiée par une tierce partie indépendante. KORUM peut être proposé avec marquage (eaux usées, eaux pluviales, ...) et personnalisation (logo d'un syndicat des eaux, blason d'une ville, ...).

Pour garantir la sécurité, le tampon porte de fonderie tous les marquages clients validés. Aucun marquage n’est rapporté, vissé, collé ou soudé. L’intégrité, la sécurité et la conformité du produit à EN 124 sont totales. Cliquez ici pour en savoir plus.

Depuis le mois de septembre et jusqu'au 18 novembre 2023, SNCF Réseau effectue des travaux ferroviaires sur le viaduc de Rochepinard, situé à l'est de Tours, dans le cadre de la régénération du réseau ferré national.

Plus spécifiquement, ces travaux visent le renouvellement des appareils de dilatation du viaduc. Les opérations sont réalisées de nuit, de 23 h à 6 h, afin de minimiser l'impact sur la circulation des TGV.

Des restrictions temporaires de vitesse sont en place dans la zone du chantier pour assurer la stabilisation des nouveaux matériaux et atteindre les objectifs de performance de la LGV. 

L'objectif principal de ces travaux est de moderniser les installations sur le viaduc, garantissant ainsi le maintien des performances à 300 km/h de la ligne à grande vitesse Atlantique. Chaque nuit, entre 120 et 150 agents de SNCF Réseau et Eiffage rail sont mobilisés pour réaliser ces travaux, représentant un investissement de 8,4 millions d'euros. Ces opérations sont prévues de se poursuivre jusqu'au 18 novembre, date annoncée pour la fin des travaux de finition.

En avant-première en Europe, la trancheuse entièrement électrique "e-sidecut" du fabricant Français MARAIS (Groupe tesmec) a été mise à l'épreuve le mardi 07 novembre 2023 à Beaumont-du-Lac (Haute-Vienne) sur un chantier de l'opérateur Orange. 

Sur ce chantier, la machine réalise une tranchée de 40 centimètres de profondeur et 8 centimètres de large, facilitant la pose de micro-tubes destinés à accueillir la fibre optique.

 
L'expérimentation a révélé que cette trancheuse offre des performances équivalentes tout en générant nettement moins de bruit que son homologue thermique "e-sidecut". Pour Orange, l'objectif est double : envisager une transition énergétique tout en adoptant des engins moins bruyants. 

Actuellement, son principal inconvénient réside dans son autonomie d'une heure (qui passera bientôt à deux heures), nécessitant ainsi des recharges fréquentes via un fourgon batterie ou des bornes si disponibles à proximité. 

Giovanni Lovadina, directeur général du groupe Marais, a précisé lors de cette première, que cette trancheuse a été spécifiquement conçue pour les travaux en agglomération, où le bruit constitue une préoccupation majeure pour les riverains. 

Concernant l'autonomie, les prochaines générations de batteries remédieront rapidement à cet inconvénient. Reste à résoudre le problème du coût, actuellement 30 % plus élevé pour cette trancheuse. À l'avenir, les donneurs d'ordres et les entreprises devront assumer leur part de responsabilité dans la transition vers un avenir plus vert et durable.

Un accord majeur pour le "droit au raccordement" (hors zones rurales) a été enfin trouvé entre Orange et le gouvernement. L'opérateur a accepté de prendre de nouveaux engagements, parmi lesquels figure le "droit au raccordement" (hors zones rurales) pour les Français non éligibles qui souhaitent tout de même passer à la technologie du très haut débit. Au total, cet effort financier pourrait atteindre plusieurs centaines de millions d'euros pour Orange. 

Cet accord survient à un moment où les déploiements de la fibre optique commencent à ralentir, dix ans après le lancement du plan France Très Haut Débit, visant à généraliser la fibre sur l'ensemble du territoire avant 2025. Avec une couverture de 83 %, la France figure actuellement parmi les pays européens les mieux couverts.

Cependant, le rythme de déploiement ralentit : depuis 2022, le nombre de lignes déployées chaque année (4,2 millions en 2023) est retombé en dessous du niveau de 2019, selon les données de la Fédération Infranum.