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Le groupe Comexposium a annoncé la nomination de Guillaume Schaeffer à la direction des salons SOLUTRANS, INTERMAT et SITEVI. Il succède ainsi à Christophe Lecarpentier pour INTERMAT et SITEVI, et à Chantal de Lamotte pour SOLUTRANS.

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Guillaume Schaeffer a exprimé son enthousiasme face à cette nouvelle mission : « Avec les équipes de Comexposium et aux côtés de tous nos partenaires, je suis ravi de poursuivre le développement d’INTERMAT, SITEVI et SOLUTRANS. Ces salons, au cœur de secteurs en pleine mutation, sont des rendez-vous incontournables pour accompagner les professionnels, mettre en avant les innovations et favoriser les échanges. Ensemble, nous continuerons à renforcer leur impact en France et à l’international. »

Grâce à son expertise en gestion d’événements, en direction d’équipes et en communication, Guillaume Schaeffer entend valoriser le média salon comme un outil clé pour rassembler les acteurs des différentes filières. Son ambition est d'offrir aux professionnels un cadre propice au partage d’expériences, à la mise en lumière des attentes du marché et à la découverte des dernières avancées technologiques.

Les prochaines éditions des salons sont d’ores et déjà programmées :

• SOLUTRANS se tiendra du 18 au 22 novembre 2025,

• INTERMAT aura lieu du 21 au 24 avril 2027,

• SITEVI se déroulera du 25 au 27 novembre 2025.

Ces rendez-vous stratégiques continueront ainsi à jouer un rôle clé dans le développement et l’évolution des secteurs du transport, de la construction et de l’agriculture.

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Le 27 mars 2025, Gilles Pichon, dirigeant de la société SIG-Image, basée à Bidart, a eu l'honneur, une nouvelle fois, d'ouvrir la 11ᵉ édition de BASK’INVEST dans l’environnement dynamique de l’école d’ingénieurs ESTIA. 

Depuis plus d'une décennie, cet événement constitue un tremplin pour les startups et entreprises innovantes en quête de financements. Il s’agit d’une occasion unique pour ces acteurs de convaincre des investisseurs et financeurs et ainsi donner un nouvel élan à leurs projets.

BASK'INVEST incarne l'énergie, les idées et les rencontres qui peuvent faire toute la différence. Cet événement illustre l’engagement de l'écosystème local et sa capacité à créer, innover et transformer les défis en opportunités.

Lors de cette édition, huit entreprises ont relevé le défi du concours de pitch, où elles disposaient de trois minutes pour présenter leur projet devant un parterre d’investisseurs et d’experts. Les participants étaient :

AG-CARTO – Représentée par Rémy Gourrat
Arkeon Energy Systems – Représentée par Théo Granger
BIHUR – Représentée par Mattin Eppherre
Contestio – Représentée par Rémi Labatut
ToyBoard® – Représentée par Cécile ALDA
DARWIE – Représentée par Bixente Demarcq
exofair – Représentée par Pierre-André FOIX
MOOVAND – Représentée par Florent Mouronval 

En parallèle, des speed-meetings ont permis aux entrepreneurs présents de présenter leur activité à des financeurs et investisseurs régionaux, leur offrant ainsi une opportunité précieuse de confronter leur projet et d’accélérer leur développement.

L'événement a été marqué par des échanges enrichissants avec les nouveaux talents de l'écosystème entrepreneurial du Pays Basque, notamment autour de la table de discussion organisée par Adour Business Angel.

Année après année, BASK'INVEST confirme son rôle central dans le développement des startups locales et leur mise en relation avec des investisseurs. Pour cette 11ème édition, les trois premiers prix ont été décernés à DARWIE, ARKEON ENERGY et MOOVAND, récompensant ainsi leur innovation et leur potentiel de croissance.

Entrepreneurs, investisseurs, partenaires et organisateurs, tous ont contribué à la réussite de cette nouvelle édition de BASK’INVEST. Rendez-vous l’année prochaine pour une 12ème édition toujours plus inspirante et dynamique !

Gilles Pichon, l'architecte d'un succès hors norme

Gilles Pichon, un entrepreneur dans l'âme, a su tracer son propre chemin dès la fin de ses études en fondant SIG-IMAGE en 1993. Cette entreprise, spécialisée dans l’édition de logiciels et de services dédiés aux acteurs des travaux publics et des réseaux extérieurs, accompagne aujourd’hui plus de 4 000 clients, incluant des entreprises, des bureaux d’études et des collectivités territoriales. Grâce à son leadership et à l'engagement de ses équipes, SIG-IMAGE s'est imposée comme un acteur incontournable dans son domaine.

Depuis 2008, Gilles Pichon met également son expertise au service d’autres entrepreneurs en tant que Business Angel. Passionné par l’accompagnement de porteurs de projets, il aime échanger des idées, transmettre ses connaissances et s’investir dans de nouvelles aventures professionnelles. Pour lui, cette implication est à la fois motivante et stimulante, offrant des défis toujours renouvelés.

Très impliqué dans le développement économique de son territoire, il est élu à la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de Bayonne Pays Basque. À ce titre, il contribue activement à l’essor des entreprises locales et participe à l’animation de l'école d'ingénieurs ESTIA. Par ailleurs, en tant que membre du Cluster Pays Basque Digital, il œuvre au développement du numérique dans la région. Malgré le rayonnement national de SIG-IMAGE, il attache une importance particulière à maintenir le siège de son entreprise à Bidart et à contribuer à la valorisation du territoire basque.

Visionnaire, Gilles Pichon a initié le concept de « La liberté du dirigeant », une approche managériale novatrice qui lui tient à cœur. Convaincu que la pérennité d’une entreprise repose sur la capacité à libérer son dirigeant, il a transformé son mode de management et accompagne le changement au sein de son entreprise pour intégrer cette philosophie.

Dynamique et passionné, il exprime cette énergie non seulement dans sa vie professionnelle mais aussi à travers ses loisirs. Grand adepte de sensations fortes, il pratique assidûment le kite-surf dès que l’occasion se présente. Toutefois, il apprécie également le yoga, une discipline qui lui permet de se recentrer et de canaliser son énergie.

Entrepreneur visionnaire, investisseur engagé et acteur du développement local, Gilles Pichon incarne une approche moderne et audacieuse du leadership, alliant innovation, transmission et ancrage territorial.

Succès impressionnant pour le 60e anniversaire du Congrès de la Fédération DLR, qui s’est achevé au Futuroscope de Poitiers, laissant derrière lui des échanges enrichissants, une ambiance dynamique et une mobilisation remarquable des adhérents. 

Lors de cet événement clé, Philippe Cohet a été reconduit à l’unanimité pour un troisième mandat à la présidence de DLR. Il poursuivra ainsi son engagement à la tête de cette fédération, qui rassemble les acteurs de la distribution, de la location, de la maintenance et des services dédiés aux matériels de construction et de manutention.

Un moment fort du congrès a été la cérémonie des Grands Prix Matériel Chantiers de France DLR, qui s’est tenue le 27 mars. Un jury composé de directeurs matériels a décerné six distinctions parmi les 41 dossiers soumis, tout en élisant la Personnalité de l’Année.

Fondée en 1965, la fédération DLR occupe une place centrale dans le secteur en regroupant plus de 1 000 entreprises adhérentes, couvrant 70 % du marché. Son influence s’est renforcée avec l’intégration de syndicats partenaires tels que l’ACIM (construction industrialisée et modulaire), la FNAR (matériels agricoles et d’espaces verts) et l’UFL (levage).

Une gouvernance structurée et impliquée assure le pilotage de DLR. Son conseil d’administration regroupe le président national, les présidents des commissions métiers (Location, Distribution, Grues à tour, Sanitaires et Unités Mobiles), des commissions transversales (Affaires sociales, Attractivité des métiers, Développement durable, Formation professionnelle, Finances, Maintenance SEQ), ainsi qu’un trésorier, un administrateur, des présidents régionaux et des représentants des membres partenaires.

La réélection de Philippe Cohet témoigne de la confiance renouvelée des adhérents envers son engagement et sa vision. Nous lui adressons nos félicitations, ainsi qu’à toute l’équipe de DLR, pour leur investissement continu au service de la profession.

Un immense merci à tous les congressistes, aux organisateurs et à l’équipe de DLR pour le succès de cet événement d’exception !

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Le groupe Wacker Neuson, fabricant de matériel léger et compact, a publié son rapport annuel pour l’exercice 2024. Le marché difficilea pesé sur les performances du groupe, avec un chiffre d’affaires en recul à 2 234,9 millions d’euros (2023 : 2 654,9 millions d’euros) et un EBIT à 122,5 millions d’euros (2023 : 273,2 millions d’euros), correspondant à une marge EBIT de 5,5 % (2023 : 10,3 %).

Face à cette situation, le groupe a mis en place le programme « Fit for 2025 » visant à renforcer les ventes, réduire durablement les coûts, optimiser les capacités de production et réduire les stocks. Ces efforts ont permis de faire baisser le ratio de fonds de roulement net à 31,7 % au 31 décembre 2024 (2023 : 32,8 %), notamment grâce à une réduction réussie des stocks au second semestre. Le flux de trésorerie disponible a fortement progressé pour atteindre 184,6 millions d’euros en fin d’année, soit environ 210 millions d’euros de plus qu’en 2023.

Dr. Karl Tragl, Président du Directoire, déclare :

« L’année 2024 a été marquée par des stocks élevés chez les concessionnaires et une baisse des commandes et du chiffre d’affaires. Ces effets se feront encore ressentir au premier trimestre 2025. Cependant, grâce aux premiers signaux positifs – notamment un carnet de commandes amélioré et une réduction des stocks chez les concessionnaires –, ainsi qu’aux mesures mises en place en 2024, nous avons posé les bases d’un redressement durable en 2025. Avec une efficacité opérationnelle accrue et la mise en œuvre rigoureuse de notre Stratégie 2030, nous sommes bien positionnés pour retrouver de la rentabilité en 2025 et atteindre nos objectifs à long terme. »

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Un projet de parc éolien, d’une capacité annuelle de 36 GWh, porté par un collectif de 168 citoyens regroupés au sein d’une société, devrait entrer en service en mai 2025 sur la commune de Martigné-Ferchaud, en Ille-et-Vilaine.

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L’investissement total s’élève à 24 millions d’euros, financé principalement par un emprunt bancaire, avec une contribution citoyenne de 520 000 €. Le site aura une capacité de production annuelle de 36 gigawattheures (GWh), soit l’équivalent de 45 % des besoins énergétiques de la communauté de communes.

Un financement hybride et collaboratif : Le projet a été lancé par les 168 citoyens de la société après que la zone a été classée en « zone de développement éolien ». Leur objectif était de conserver la valeur générée localement. Le financement du projet est complété par des partenaires institutionnels, tels que le syndicat départemental d’énergie Energ’iV et le mouvement Énergie Partagée, qui soutient les initiatives citoyennes dans le domaine des énergies renouvelables. Deux mâts ont déjà été installés, un troisième est en cours d’assemblage, et un quatrième est en attente.

Une dynamique nationale en plein essor : D’après Énergie Partagée, 16 parcs éoliens citoyens sont actuellement en fonctionnement en France, avec deux projets en cours et 22 en développement. Selon l'Agence de la transition écologique (Ademe), la stabilité des revenus est un atout pour les investisseurs, bien que la rentabilité ne soit pas l’objectif principal. L’ancrage local, le renforcement des compétences territoriales et la création d’emplois sont parmi les principaux avantages perçus par les porteurs de projets.

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La société Axione est fier d’annoncer le lancement de " La Lettre A ", sa toute nouvelle newsletter trimestrielle. Chaque édition mettra en avant les projets récents, les innovations et les avancées des actions menées sur le terrain.

Titres des actualités diffusées sur cette première édition :

• L'Indre-et-Loire adopte une solution d'intelligence artificielle pour détecter les feux de forêt : pourquoi ne pas développer cette initiative sur votre territoire ?

• Axione, en partenariat avec FireTracking et Emerton Data, a remporté un appel à projet du Conseil Départemental d'Indre-et-Loire pour développer une solution innovante de détection des feux de forêt.

• Axione a déployé avec succès sa solution de vidéoprotection pour Berry Fibre Optique à Mehun-sur-Yèvre. Simple à utiliser, cette solution permet d’accéder aux images en ligne sans installation complexe. Les vidéos sont sécurisées et stockées à distance, garantissant leur protection.

• Axione Nord-Est remporte un projet de connectivité mobile dans une grande enceinte sportive de l’Est de la France.

• En 2024, Axione a accompagné Essonne Numérique dans la modernisation des services publics du département. Grâce à des solutions numériques adaptées aux collectivités, comme l’interconnexion de sites, Internet, la téléphonie et le Wi-Fi, l’accessibilité aux services s’en trouve renforcée.

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Optimisez la gestion et la maintenance de votre patrimoine ou concession avec GEO.Lux, une solution complète pour l’éclairage public. GEO.Lux est l’outil indispensable pour garantir un service de qualité et une maintenance optimale. 

À une époque où les collectivités font face à des contraintes budgétaires et réglementaires, la transition énergétique de l’éclairage public constitue un enjeu majeur. Avec un parc de 12 millions de points lumineux en France, le passage à la technologie LED apparaît comme une nécessité pour réduire significativement la consommation d’énergie.

Dans cette dynamique, SIG-IMAGE joue un rôle clé en proposant GEO.Lux, une solution dédiée à l’optimisation et à la modernisation des infrastructures d’éclairage public. Cet outil permet aux collectivités de mieux gérer leur patrimoine lumineux, en facilitant le suivi des installations et la planification des rénovations.

Actuellement, 40 % du parc d’éclairage public est déjà converti à la LED, mais des obstacles financiers et réglementaires ralentissent encore la généralisation de cette technologie. La Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) plaide pour la levée de ces freins afin d’accélérer l’atteinte des objectifs nationaux en matière d’efficacité énergétique. Consultez le communiqué de la FNCCR 

L’innovation et l’exploitation des données géographiques se révèlent être des leviers stratégiques pour accompagner cette transition. SIG-IMAGE demeure ainsi mobilisée aux côtés des acteurs territoriaux pour relever ce défi énergétique et contribuer à la transformation durable de l’éclairage public.

Sur leur site web, en choisissant votre profil, vous découvrirez comment ils peuvent vous aider !

• Syndicat d'Énergie : Pilotez votre activité et accompagnez vos collectivités adhérentes.

• Entreprise : Améliorez l'efficience de vos contrats d'exploitation d'éclairage public.

• Collectivité : Maîtrisez l'activité du service éclairage public de votre collectivité.

Communiqué : Une convention de partenariat innovante entre le syndicat Les Canalisateurs, l’Administration Pénitentiaire et la Région Centre-Val de Loire pour favoriser l’insertion professionnelle de détenus en fin de peine 

Face au défi de la pénurie de main d’œuvre des entreprises de canalisations, trois partenaires principaux : l’organisation professionnelle Les Canalisateurs, l’Administration Pénitentiaire et la Région Centre Val de Loire, qui a financé le projet, ont coconstruit une action innovante pour favoriser l’insertion professionnelle de détenus en fin de peine.

La convention de partenariat a été signée le 26 mars au sein de l’entreprise Jérôme BTP, située près de Tours, par François Bonneau, président de la Région Centre-Val de Loire, Christophe Ruas, vice- président de l’organisation professionnelle Les Canalisateurs, Guillaume Piney, directeur interrégional des services pénitentiaires, Aline Mériau, présidente de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat, Jean-Patrick Gille, président de la Mission Locale de Touraine, Erick Keaemer, directeur territorial de France Travail Indre-et-Loire, Franck Prêtre, secrétaire général de BTP CFA Centre-Val de Loire, Stéphane Granseigne, directeur de l'IFPRA Centre-Val de Loire, DRAFPIC de l'académie Orléans-Tours.

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Sept entreprises locales de canalisations adhérentes au syndicat : Jérôme BTP, Humbert, SADE, SOGEA, Vernat TP, DEHE et EHTP participent à cette initiative d’insertion post-carcérale, en accueillant une dizaine de candidats détenus en fin de peine pour être formés aux métiers de canalisateur,mais aussi plusieurs personnes suivies par la Justice en milieu ouvert.

Les constats des Canalisateurs

Les entreprises de canalisations, socialement responsables, dont le métier au service de l’eau fait sens, ont une forte culture d’insertion et de formation au service d’un escalier social vivace. Les Canalisateurs s’appuient sur un réseau de centres de formation publics, privés ou associatifs avec lesquels elles entretiennent des liens étroits. En Indre-et-Loire, un véritable pôle d’excellence des travaux publics s’est structuré à Saint Pierre des Corps, autour du BTP CFA Centre-Val de Loire et du lycée des métiers Martin Nadaud.

Les constats de l’Administration pénitentiaire

Près de 68 000 personnes sortent de prison chaque année alors que la réinsertion professionnelle et sociale est un pilier de la prévention de la récidive. En Indre-et-Loire, l’administration encadre 254 personnes détenues à la maison d’arrêt et 2 000 personnes sont suivies en milieu ouvert. La Maison d’arrêt de Tours dispose par ailleurs d’un quartier de semi-liberté (QSL) susceptible d’accueillir les détenus pendant leurs périodes de stages puis de formation.

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Afin d’enrichir notre article du 19 mars 2025 sur le chantier réalisé par GRDF à Terminiers (Eure-et-Loir), nous relayons la publication d'Arnaud BARDIN, Directeur Commercial TP d'Elydan, concernant les tourets gaz enrubannés. 

(Publication) Juste avant Noël, les équipes d'Elydan étaient mobilisées pour produire le premier touret test en version enrubannée, intégrant une technologie innovante de soudure par ultrason. Cette avancée majeure dans le processus industriel constitue un gage de performance et de durabilité.

Après plusieurs semaines d'optimisation et de validation, la production en série a été lancée avec succès. Fin février, les premiers tourets issus de la ligne d'extrusion ont quitté les installations pour rejoindre Terminiers (28), marquant ainsi une étape significative dans l'évolution des solutions techniques d'Elydan.

Sur le terrain, la mise en œuvre a été confiée aux équipes de Bouygues Energies & Services, Jérôme TP et François BEUZIT, sous la supervision de GRDF. La stabilité parfaite du géotextile sur le tube a permis une pose en trancheuse fluide et efficace, confirmant ainsi la pertinence de cette nouvelle technologie.

Ce succès repose sur un processus industriel abouti, développé par les équipes techniques et de production d'Elydan. La robustesse de l'enrubannage garantit une mise en œuvre optimisée et contribue activement à la fiabilité des infrastructures souterraines.

Les efforts de la direction technique et des collaborateurs en production jouent un rôle essentiel dans cette avancée. Leur engagement et leur expertise participent non seulement à la satisfaction des clients, mais aussi à l'accompagnement de la transition énergétique en réduisant l'empreinte carbone des chantiers.

Cette innovation illustre parfaitement la volonté d'Elydan d'innover au service d'une performance durable.

Notre article diffusé le 19 mars 2025

À Terminiers, dans le département d'Eure-et-Loir, GRDF innove avec son premier chantier « bas carbone », intégrant une approche plus respectueuse de l’environnement. L’opération repose notamment sur l’utilisation du touret gaz MPC 160, une solution innovante enrubannée directement en usine, permettant de réemployer in situ les terres excavées et ainsi de limiter l’impact écologique des travaux.

Le chantier vise à raccorder une unité de production de biométhane exploitée par Terrénergies 360. Cette installation produira 20 gigawatt-heures (GWh) de gaz vert par an, soit l’équivalent de la consommation énergétique annuelle de 5 000 logements neufs. Une avancée significative pour le territoire, qui contribue à l’essor des énergies renouvelables et à la transition énergétique locale.

Un raccordement de 16 km en partenariat avec des experts du secteur

Pour mener à bien ce projet ambitieux, GRDF s’est entouré de partenaires expérimentés. Le raccordement de 16 km est réalisé en collaboration avec Bouygues Energies & Services, JEROME TP et FRANÇOIS BEUZIT, ce dernier assurant la pose en trancheuse. Le chantier est mené sous l'orchestration d’Henri Demange, de l’ingénierie locale de GRDF.

L’entreprise FRANÇOIS BEUZIT s’appuie sur une trancheuse Marais GD2, un équipement hautement performant permettant l’ouverture et la pose mécanisée simultanée des réseaux en milieu rural. Grâce à sa roue de tranchage, cette machine garantit :

✅ Une grande précision dans l’ouverture des tranchées, bien au-delà du gabarit de la machine ;
✅ Une productivité élevée, assurant un déploiement rapide des infrastructures ;
✅ Une maîtrise des coûts et une optimisation des ressources ;
✅ Une profondeur de tranchée constante, adaptée à tout type de sols.

FRANÇOIS BEUZIT, un acteur reconnu dans le domaine des réseaux

Avec plus de 40 ans d’expérience, l’entreprise FRANÇOIS BEUZIT est un acteur majeur des travaux de pose mécanisée et propose une gamme complète de services à l’échelle nationale :

🔹 Pose mécanisée de réseaux secs et humides : HTA, fibre optique, gaz, AEP, refoulement et autres ;
🔹 Forage dirigé et encorbellement ;
🔹 Location de trancheuse avec chauffeur ;
🔹 Études de projet et récolements géoréférencés.

Une avancée vers un réseau gazier plus durable

Ce chantier illustre la capacité d’innovation de GRDF et de ses partenaires dans la mise en œuvre de solutions plus respectueuses de l’environnement. Grâce à l’intégration du biométhane et à des pratiques de construction plus durables, ce projet s’inscrit pleinement dans la dynamique de la transition énergétique et du développement des énergies renouvelables en France.

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Yanmar franchit une nouvelle étape dans sa transition vers des solutions zéro émission avec la création d’une unité d’électrification dédiée, dont les activités débuteront en avril 2025. Cette initiative marque un tournant important dans l’engagement du fabricant en faveur de la durabilité, en se concentrant sur le développement de groupes motopropulseurs électriques pour véhicules tout-terrain compacts, incluant des batteries et des systèmes d'entraînement électriques.

L’unité se concentrera sur trois axes principaux : les machines industrielles de marque Yanmar, les équipements pour les fabricants d’équipements d’origine (OEM) et la fourniture de composants et groupes motopropulseurs électriques pour l’industrie. En tant que fabricant, fournisseur et intégrateur de composants, Yanmar mettra son expertise au service de ses clients historiques, en électrifiant des machines industrielles comme les excavatrices et chargeuses sur pneus.

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie globale de Yanmar visant à renforcer son rôle de leader dans la transition énergétique et l’innovation technologique.

Tetsuya Yamamoto, directeur de l’exploitation de Yanmar Holdings, a souligné l’importance de cette avancée : « Le développement de groupes motopropulseurs électriques est un pas crucial pour adapter notre savoir-faire en moteurs diesel à des applications plus variées et représente une étape majeure vers la neutralité carbone. »

Dans cette optique, Yanmar a renforcé son investissement en recherche et développement, notamment avec l’acquisition d’Eleo Technologies, spécialisée dans les batteries. Cette nouvelle unité opérera de manière autonome pour favoriser l’agilité et l’innovation, tout en s’appuyant sur le réseau international de Yanmar.

Marko Dekena, expert reconnu en groupes motopropulseurs électriques et énergies alternatives, a été nommé à la tête de cette nouvelle division. Fort de son expérience en développement de solutions durables, Dekena aura pour mission de structurer et accélérer la transition énergétique de Yanmar. « Nous nous engageons à fournir des technologies qui accéléreront la transition vers le zéro émission », a-t-il déclaré.

Cette initiative est une composante essentielle du programme Green Challenge 2050 de Yanmar, qui ambitionne de réduire l’empreinte carbone de l’entreprise. Yanmar explore également d'autres alternatives telles que l’hydrogène, les carburants sans carbone et des solutions de recyclage des ressources.

Avec cette nouvelle unité, Yanmar réaffirme son engagement en faveur de l'innovation durable et se positionne comme un acteur clé dans l’électrification des équipements industriels.

Communiqué : Celtic Interconnector, le projet de liaison électrique en courant continu porté par RTE et son homologue EirGrid, franchit un cap important dans sa réalisation avec la livraison de la partie génie civil de la station de conversion électrique située en Bretagne, dont la conception et la direction des travaux ont été pilotées par Arcadis.

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Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, est heureuse d’annoncer la livraison des lots génie civil de la station bretonne de conversion électrique en courant continu (HVDC - High Voltage Direct Current) du projet Celtic Interconnector, porté par CIDAC (joint-venture RTE/EirGrid), qui vise à permettre un échange direct d'électricité entre la France et l'Irlande. En tant que maître d’œuvre, Arcadis avait la mission de concevoir et de superviser les travaux de la station (côté français) pour la partie génie civil, pour le compte de Siemens Energy, contractant général responsable de la conception et de la réception de l’ouvrage.

Essentielles à la réalisation d’un avenir énergétique durable, les stations HVDC, situées sur la côte nord de la Bretagne et sur la côte sud de l’Irlande, transformeront le courant alternatif des réseaux électriques en courant continu. Elles seront reliées entre elles par un câble de 575 km, dont environ 500 km sous la mer. 

D’une capacité de 700 MW, la liaison électrique, une fois mise en service, prévoit d’alimenter près de 450 000 foyers en France et en Irlande. Elle permettra de renforcer la sécurité et la fiabilité de l’approvisionnement en électricité, d’intégrer davantage d’électricité issue des énergies renouvelables dans le réseau et de réduire le coût de l’électricité. Elle contribuera également à renforcer la solidarité électrique entre les deux pays en cas d’incidents. « Les pics de consommation ne sont pas forcément les mêmes en France et en Irlande. Partager le réseau permet d’envoyer l’énergie là où il y a un besoin, et donc de renforcer la sécurité d’alimentation électrique. » déclare Johan Pavie, Directeur développement bâtiment au sein d’Arcadis. 

La station HVDC est constituée de plusieurs bâtiments ayant chacun leur fonction : conversion électrique, commande et contrôle des convertisseurs. Leur conception et réalisation s’est appuyé sur un contrôle qualité particulièrement avancé. « Le niveau d’exigence d’une station HVDC s’apparente à celui d’une centrale nucléaire. Les enjeux économiques et de sécurité sont tels que le principal défi de notre mission était de répondre à un très haut niveau de qualité. » déclare Stéphane Casolari, Chef de projet au sein d’Arcadis.

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