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Fiabilité et polyvalence

11/05/2025

Fiabilité et polyvalence

EvoQuip, spécialiste reconnu des équipements mobiles de concassage et de criblage, annonce le lancement de l’Osprey 616, premier modèle de sa nouvelle gamme de cribles rotatifs. Conçu pour répondre aux besoins des petites et moyennes structures, ce crible compact combine performance, fiabilité et polyvalence, tout en s’adaptant aux contraintes d’espace sur les chantiers.

Un crible pensé pour les matériaux les plus variés.

 

L’Osprey 616 est capable de traiter une large gamme de matériaux, notamment le compost, la biomasse, la terre, le gravier ou encore les déchets. Malgré son format compact, il offre un débit élevé et garantit une qualité de criblage constante, même dans des environnements exigeants.

 

Une innovation majeure : le convoyeur orientable à 180°

 

Au cœur des atouts de l’Osprey 616 se trouve son convoyeur de fines orientable à 180 degrés, conçu pour maximiser la capacité de stockage. Grâce à une hauteur de déchargement pouvant atteindre 4,7 mètres (15’4”), il permet la constitution de stocks importants, tout en optimisant l’organisation du chantier.

 

Autre avantage notable : ce convoyeur pivotant peut être commandé à distance pendant le fonctionnement de la machine, ce qui réduit les interruptions et contribue à maximiser la productivité.

 

Une solution compacte pour des performances de haut niveau

 

L’arrivée de l’Osprey 616 marque une étape importante pour EvoQuip, qui renforce ainsi sa présence sur le marché du criblage. Compact, puissant et facile à utiliser, ce nouveau crible s’adresse à tous les professionnels cherchant une solution efficace, flexible et adaptée aux contraintes terrain.

 

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Une première en Saône-et-Loire

11/05/2025

Une première en Saône-et-Loire

A Chalon-sur-Saône, GRDF teste sur un chantier urbain une technologie encore peu répandue : l’enrubannage de canalisations en polyéthylène. Une première en Saône-et-Loire, qui allie rapidité de pose, sécurité renforcée et réduction significative de l’impactenvironnemental.

 

Le chantier de la rue des Champs Roussots, d’un montant de 142 000 €, ne compte peut-être pas parmi les plus emblématiques de l’année pour la ville, ni pour GRDF ou son prestataire SNCTP. Pourtant, il marque une avancée technologique majeure pour la distribution de gaz dans le département.

 

Sur place, Éric Passetti, Directeur Territorial Régional Bourgogne-Franche-Comté, est venu saluer cette opération technique inédite, menée par les équipes mobilisées sur le terrain. « La réduction de l’impact environnemental est au cœur de nos décisions », souligne-t-il.

 

L’opération phare du chantier : la pose, en quelques minutes seulement, d’une canalisation de 120 mètres en polyéthylène, préalablement enrubannée dans une gaine géotextile. Ce procédé innovant permet non seulement de gagner un temps précieux, mais surtout de réduire considérablement l’empreinte carbone. « On évite ainsi l’utilisation de 350 tonnes de sable par kilomètre de réseau, soit l’équivalent de 8 tonnes de CO₂ en moins », précise Éric Passetti.

 

Autre atout technique : la gaine géotextile intègre un fil traceur, permettant un géoréférencement précis de la canalisation, renforçant ainsi la sécurité et la traçabilité du réseau.

 

Si cette technologie présente de nombreux avantages, elle requiert en amont une étude approfondie du sol, notamment pour calibrer correctement les gravats et les remblais. Le chantier, découpé en trois phases, a été conçu pour réduire au maximum les nuisances pour les riverains. Une organisation rigoureuse qui permet de limiter les impacts tout en garantissant un haut niveau de performance.

 

Ce chantier expérimental s’inscrit pleinement dans la stratégie de décarbonation de GRDF, qui vise à réduire de 50 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Une démarche accompagnée par le développement du gaz vert : en Saône-et-Loire, 4,3 % du gaz distribué provient déjà de sources locales et renouvelables.

 

Le chantier des Champs Roussots, entamé il y a quelques semaines, s’achèvera à la mi-juin après dix semaines de travaux. Un projet discret par sa taille, mais porteur d’un signal fort pour la transition énergétique locale.

 

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Réalisation de trois écluses

11/05/2025

 Réalisation de trois écluses

La Société du Canal Seine-Nord Europe continue de lancer les grandes consultations en vue de l’attribution des principaux marchés de travaux. Elle a publié courant avril 2025 l’avis d’appel public à la concurrence concernant les travaux principaux et les prestations associées nécessaires à la réalisation des trois écluses de Catigny (Oise), d’Allaines (Somme) et de jonction avec le canal du Nord également à Allaines. 

 

Cette étape permet aux opérateurs économiques de se porter candidats d’ici le 14 mai 2025 sur la base du dossier de consultation des entreprises spécifique à la phase « candidatures » joint à l’avis de marché. La notification de ce marché est prévue pour l’automne 2026, et le début des travaux pour le second semestre 2027.

 

3 écluses à grand gabarit

L’écluse de Catigny est la troisième écluse du Canal Seine-Nord Europe située dans l’Oise, après celles de Montmacq et de Noyon. Avec une hauteur de chute d’eau de 14 mètres, l’écluse de Catigny donne accès au plus long bief du Canal Seine-Nord Europe, 39,2 km jusqu’à l’écluse d’Allaines.

 

L’écluse d’Allaines et l’écluse de jonction avec le canal du Nord sont les deux écluses situées dans la Somme. L’écluse d’Allaines sera ouverte au public et visitable. Avec une hauteur de chute d’eau de 13,10 mètres, elle sera située à 1 km au nord de l’écluse de jonction.

 

L’écluse de jonction quant à elle sera de même gabarit que les écluses actuelles du canal du Nord (sas de 91 x 6 mètres) mais environ deux fois plus haute avec une hauteur de chute d’eau de 11,27 mètres. Elle connectera le canal du Nord au Canal Seine-Nord Europe. Un port de plaisance sera installé de part et d’autre de cette écluse de jonction.

 

Comme pour toutes les écluses du Canal Seine-Nord Europe, le sas des écluses de Catigny et Allaines mesurera 195 mètres de long et 12,5 mètres de large.

 

Cliquez-ici pour lire la suite du communiqué

 

 

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CSP : renforce son parc matériel

09/05/2025

 CSP : renforce son parc matériel

Implantée à Brenthonne, en Haute-Savoie, l’entreprise CSP Environnement poursuit son développement avec une vision claire : s’appuyer sur des partenaires de confiance et des équipements de haute performance. Dernière illustration en date : l’intégration dans son parc d’une nouvelle aspiratrice-excavatrice DINO12, montée sur châssis VOLVO, fournie par le constructeur MTS.

 

Ce nouvel investissement marque une étape supplémentaire dans la relation durable tissée entre CSP Environnement et MTS. Pour Gilles Bauer, dirigeant de MTS France, cette acquisition reflète « la confiance renouvelée » d’un client exigeant et fidèle, fondée sur la qualité et la fiabilité des matériels proposés.

 

Le partenariat ne s’arrête pas à la fourniture des équipements : il repose également sur un accompagnement sur mesure, assuré par JLB Formation, partenaire de MTS. Cette démarche garantit une prise en main optimale de la machine par les équipes CSP, et incarne une volonté commune : offrir des solutions efficaces, sûres et adaptées aux réalités du terrain.

 

Grâce à sa réactivité et son offre personnalisée, CSP Environnement s’impose aujourd’hui comme un partenaire de confiance pour les collectivités, les entreprises et les particuliers, notamment dans les domaines suivants :

  • Terrassement par aspiration

  • Dégagement de réseaux enterrés et branchements

  • Excavation de matériaux (terres, gravats, graviers)

  • Terrassement de vide sanitaire

  • Nettoyage et pompage par aspiration

  • Réalisation de fosses pour arbres

  • Aspiration et nettoyage de bassins pouzzolane, toits-terrasses, silos (sciures, pellets)

  • Aspiration de gravats issus de démolition

 

La location d’aspiratrices-excavatrices avec chauffeur, en Haute-Savoie ou en Suisse romande, permet ainsi de gagner en rapidité, sécurité et confort d’exécution.

Depuis 1978, CSP Environnement met son expérience et son savoir-faire au service de ses clients dans les domaines de l’environnement et de la propreté urbaine. L’entreprise propose une large gamme de prestations :

  • Collecte des ordures ménagères et industrielles

  • Location de bennes et gestion des déchets

  • Balayage de routes, autoroutes, rues, parkings

  • Balayage très haute pression

  • Lavage de conteneurs et systèmes enterrés Molok®

  • Camions hydrocureurs

  • Location d’aspiratrices-excavatrices

  • Location de caissons thermocalorifugés

  • Expertise et location de pelles de démolition

 

Cette nouvelle acquisition témoigne d’une volonté constante d’innover et de s’adapter aux défis techniques et environnementaux d’aujourd’hui, pour mieux accompagner les projets de demain.

 

   

RTE : Un projet stratégique

09/05/2025

RTE : Un projet stratégique

RTE engage un chantier d’envergure dans le centre de la France : le doublement de la ligne électrique 400 000 volts entre Éguzon (36) et Marmagne (Cher). Un projet stratégique, à la fois pour accompagner la croissance des besoins industriels et pour soutenir la transition énergétique nationale.

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Face à l’augmentation de la consommation électrique, notamment portée par l’implantation ou le développement d’industries locales, le réseau actuel ne suffit plus. Le doublement de cette ligne à très haute tension vise à renforcer la sécurité d’alimentation et à répondre aux nouveaux enjeux de décarbonation fixés par la France, qui ambitionne de doubler la part de l’électricité dans son mix énergétique.

 

Actuellement, RTE mène une vaste phase de concertation dans l’Indre et le Cher. L’objectif : définir une zone de passage pour la future ligne, en tenant compte des enjeux environnementaux, agricoles, industriels et humains. Plusieurs tracés seront étudiés, dont l’un suivant le couloir de l’ancienne ligne 225 000 volts, construite dans les années 1930 et aujourd’hui obsolète.

 

Le tracé définitif sera arrêté d’ici fin 2026, après consultation des élus, des services de l’État, des acteurs socio-économiques et des citoyens, puis à l’issue des enquêtes publiques.

 

Les travaux débuteront après cette phase réglementaire et devraient durer un peu plus de deux ans. Environ une centaine d’ouvriers seront mobilisés sur le chantier. L’investissement global atteint 300 millions d’euros.

 

Outre la modernisation du réseau, ce projet générera des retombées économiques importantes pour les territoires traversés : entre 15 et 20 millions d’euros seront versés dans le cadre du plan d’accompagnement des projets d’intérêt public, et environ 1,2 million d’euros par an seront redistribués aux communes accueillant des pylônes.

 

À l’horizon 2032, cette nouvelle ligne renforcera l’infrastructure énergétique du Berry, tout en contribuant aux grands objectifs nationaux de souveraineté et de transition énergétique.

 

Cliquez-ici pour en savoir plus sur le projet

Pompe choisie, tranchée réussie.

09/05/2025

Pompe choisie, tranchée réussie.

Sur tout chantier impliquant une ouverture de tranchée, les pompes de chantier figurent parmi les équipements incontournables. Leur rôle ? Assurer l’évacuation rapide et efficace des eaux, qu’il s’agisse d’eaux de pluie, d’eaux de ruissellement ou, plus délicat encore, d’eaux souterraines. Pourtant, malgré leur usage courant, le choix d’une pompe adaptée n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît.

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Pourquoi pomper ? 

Dès que le sol est ouvert, l’eau s’y infiltre. Cela peut ralentir les travaux, compromettre la stabilité des parois et présenter un risque pour la sécurité des intervenants. Le pompage est donc essentiel pour maintenir un environnement de travail sec, stable et sécurisé.

 

Il existe différents types de pompes de chantier, chacune adaptée à un usage précis :

  • Pompes centrifuges : idéales pour les eaux claires ou peu chargées ;

  • Pompes à membranes : efficaces pour les eaux très chargées ou boueuses ;

  • Pompes submersibles : conçues pour fonctionner immergées, parfaites pour les puisards ou les fonds de tranchées ;

  • Pompes auto-amorçantes : pratiques pour les démarrages fréquents, sans intervention manuelle.

 

La présence d’eaux souterraines complique sérieusement la donne. Ces eaux peuvent exercer une pression constante et s’infiltrer en continu dans la tranchée. Le choix de la pompe doit alors tenir compte :

  • Du débit nécessaire pour maintenir la tranchée au sec ;

  • De la profondeur de pompage, parfois importante ;

  • Du type de sol, qui influe sur le niveau de turbidité et donc sur le type de pompe à privilégier ;

  • De la durabilité du matériel, car les eaux souterraines peuvent contenir des particules abrasives.

 

Un mauvais dimensionnement de la pompe peut entraîner une surconsommation d’énergie, des pannes prématurées ou un pompage insuffisant. Il est donc crucial de s’appuyer sur une étude préalable du terrain, souvent réalisée par un géotechnicien, pour choisir une pompe en adéquation avec les contraintes du site.

 

Outil de gestion de l’eau souvent sous-estimé, la pompe de chantier joue pourtant un rôle central dans la réussite des travaux de tranchée. Face aux eaux souterraines, son choix requiert rigueur, expertise et anticipation. Investir dans une solution adaptée, c’est garantir la sécurité du chantier, optimiser les délais d’exécution et préserver la qualité des ouvrages.

 

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SNCF Réseau : travaux de nuit

08/05/2025

SNCF Réseau : travaux de nuit

SNCF Réseau a lancé un important chantier de renouvellement de voie sur la ligne ferroviaire Boulogne-sur-Mer – Calais. D’un montant de 49 millions d’euros, financé à 100 % par SNCF Réseau, ce projet vise à moderniser 18 kilomètres de voie d’ici le 5 juillet.

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Pour relever ce défi dans des délais resserrés, les travaux s’appuient sur une usine roulante de 750 mètres de long, capable de remplacer jusqu’à 800 mètres de voie chaque nuit, soit près de trois fois plus qu’avec des moyens classiques.

 

Ce dispositif innovant permet de maintenir la circulation des trains de jour : le chantier est donc concentré de nuit, du lundi soir au samedi matin, sur une plage horaire de 20h55 à 5h25, pour un total de 75 nuits de travaux.

 

Jusqu’à 500 personnes sont mobilisées sur ce chantier d’envergure, qui intègre également une dimension sociale forte avec 5 600 heures dédiées à l’insertion par l’activité économique, soit l’équivalent de sept emplois à temps plein pendant six mois.

 

SNCF Réseau a fait le choix d’une approche responsable en matière de gestion des matériaux. Les rails usagés seront recyclés à l’usine Saarstahl de Saint-Saulve pour être transformés en nouveaux rails à faible empreinte carbone. Cette démarche permet d’éviter jusqu’à 200 000 tonnes de CO₂ par an, soit 10 % des émissions totales de l’entreprise.

 

De son côté, le ballast extrait sera criblé, lavé, trié et recomposé selon une granulométrie spécifique. Jusqu’à 60 % de ce matériau pourra être réutilisé, avec une résistance équivalente à celle d’un ballast neuf, tout en divisant par deux les émissions liées au transport et à l’extraction de matériaux neufs.

 

« Ce chantier incarne pleinement notre ambition : moderniser le réseau tout en limitant notre impact environnemental et en soutenant l’emploi local », souligne Marie-Céline Masson, directrice territoriale SNCF Réseau Hauts-de-France.

 

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Gagner du temps et de l’argent ! 

08/05/2025

Gagner du temps et de l’argent ! 

La CNATP (Chambre Nationale des Artisans des Travaux Publics et du Paysage) vous propose un webinaire exclusif pour découvrir DICTservices : la solution qui vous simplifie la gestion de vos DT/DICT… et vous fait gagner du temps et de l’argent ! 

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Pourquoi réaliser une DT (Déclaration de Travaux) ou une DICT (Déclaration d’Intention de Commencement de Travaux) ?
Vous intervenez à proximité de réseaux enterrés ou aériens ? Ces démarches sont obligatoires pour garantir la sécurité de vos chantiers et prévenir tout risque d’endommagement de réseaux.

 

La formation AIPR (Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux) est-elle obligatoire ?
Oui, pour les personnels intervenant à proximité des réseaux, cette autorisation est indispensable. Elle permet de s'assurer que chacun connaît les bons réflexes à adopter pour travailler en sécurité.

 

🎯 Découvrez un outil simple et efficace avec DICTservices
La CNATP vous propose une session d'information exclusive pour découvrir DICTservices, la solution qui vous facilite la vie dans la gestion de vos DT/DICT… et qui peut vous faire économiser du temps et de l’argent !

 

📅 Dates à retenir :

  • 13 maiTravaux Publics : de 13h à 14h ou de 18h30 à 19h30

  • 21 maiPaysagistes : de 13h à 14h ou de 18h30 à 19h30

 

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Ne manquez pas cette opportunité d’optimiser vos démarches réglementaires et de renforcer la sécurité de vos interventions.

 

La CNATP – Chambre Nationale des Artisans des Travaux Publics et du Paysage – est l’organisation professionnelle représentative des entreprises artisanales de ces deux secteurs depuis sa création en 1993.
Les artisans des travaux publics et les paysagistes jouent un rôle essentiel dans l’aménagement du territoire, l’amélioration du cadre de vie et la préservation de l’environnement. Ils interviennent auprès de maîtres d’ouvrage publics et privés, en garantissant la qualité des prestations et le respect des normes en vigueur.
Implantée sur l’ensemble du territoire national, en métropole comme en outre-mer, la CNATP œuvre pour le soutien, la défense et la valorisation de ses adhérents, en s’appuyant sur un maillage actif de syndicats départementaux, interdépartementaux et régionaux.

 

DICTservices, développé par la société SIG-IMAGE, fondée en 1993, constitue une solution numérique de référence au service des professionnels des travaux publics et des réseaux extérieurs.
Conçus pour répondre aux exigences opérationnelles des entreprises, des bureaux d’études et des collectivités, ses logiciels intuitifs et interconnectés facilitent la gestion réglementaire et technique des chantiers. L’entreprise dispose également d’un centre de formation certifié QUALIOPI et habilité AIPR Concepteur, qui dispense des formations spécialisées en réglementation anti-endommagement. Celles-ci sont éligibles à un financement par les OPCO compétents.

 

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Reprise du groupe Geismar

08/05/2025

Reprise du groupe Geismar

Le groupe Geismar, spécialiste mondial du matériel ferroviaire, entame une nouvelle phase de son histoire avec sa reprise par un consortium mené par Sandton Capital Partners, Verdoso et MegaRock. L’entreprise, désormais renommée Geismar Rail Industry Technologies & Services (GRITS), bénéficie d’un plan de relance ambitieux soutenu par un investissement initial de 20 millions d’euros.


Cette alliance stratégique réunit des partenaires aux expertises complémentaires :

  • Sandton Capital Partners, investisseur nord-américain spécialisé dans les situations spéciales ;

  • Verdoso, acteur expérimenté dans l’accompagnement d’entreprises en transformation ;

  • et MegaRock, partenaire historique implanté en Chine, qui renforcera la dynamique export du groupe.

                                                                                                                                                            Sponsor d'Intertas.info

Le projet industriel vise à consolider la position de Geismar sur le marché français et à accélérer son développement international. Il s’inscrit dans une volonté forte de pérenniser l’emploi (641 postes maintenus sur 730) et de préserver le savoir-faire qui fait la réputation centenaire de l’entreprise. Tous les contrats clients sont repris, garantissant une continuité d’activité sans rupture.

 

L’entrée au capital de TSO (groupe NGE) et de NOVIUM, ainsi que l’arrivée de Patrick Jeantet au conseil de surveillance, viennent renforcer l’intégration de Geismar dans l’écosystème ferroviaire français.

 

« Cette décision marque un tournant pour Geismar », souligne Nicolas Yatzimirsky, président du groupe, qui reste à la tête de l’entreprise aux côtés de Rudy Hayat. « Nous avons désormais les moyens de nos ambitions pour devenir un champion français du ferroviaire à portée mondiale. »

 

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Au service des collectivités

06/05/2025

Au service des collectivités

Dans un contexte où les besoins d’aménagement et d’entretien des infrastructures publiques ne cessent de croître, la Fédération Régionale des Travaux Publics (FRTP) Auvergne-Rhône-Alpes propose un outil pratique à destination des collectivités locales de la région : un recensement actualisé des aides mobilisables pour leurs projets de travaux.

                                                                                                                                                                          Sponsor d'intertas.info

Ce document recense les principaux dispositifs de financement accessibles aux communes, intercommunalités et autres structures publiques, pour accompagner la réalisation de leurs projets d’infrastructures, qu’il s’agisse de voirie, d’assainissement, de réseaux ou de gestion de l’eau.

 

Ce travail de synthèse vise à faciliter l’identification des aides existantes et à en clarifier les conditions d’accès. Les collectivités peuvent y retrouver :

  • Les types de projets éligibles ;

  • Les modalités de demande de subvention ;

  • Les taux d’aides accordés selon les financeurs ;

  • Ainsi que les contacts utiles pour chaque dispositif.

 

Parmi les principaux financeurs recensés figurent :

  • L’État, via les services des Préfectures (DETR, DSIL, etc.) ;

  • Le Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes ;

  • Les Conseils départementaux, chacun avec ses propres dispositifs d’aide ;

  • Les Agences de l’eau, notamment pour les projets liés à la ressource en eau et à l’assainissement.

 

À travers cette initiative, la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes entend soutenir les maîtres d’ouvrage publics dans la concrétisation de leurs projets, en renforçant leur capacité à mobiliser les financements disponibles. Cela s’inscrit dans une volonté partagée de soutenir l’investissement public local, facteur clé de relance économique, de cohésion territoriale et de transition écologique.

 

👉 Cliquez-ici pour consulter ce recensement   Des mises à jour seront effectuées régulièrement pour tenir compte de l’évolution des dispositifs.

Eclairage public intelligent

06/05/2025

Eclairage public intelligent

Face à l’augmentation continue des prix de l’énergie, les collectivités territoriales accélèrent leur transition vers un éclairage public plus sobre et plus intelligent. Cette évolution s’inscrit pleinement dans les enjeux de la transition énergétique et du développement des smart cities, où la maîtrise des consommations devient stratégique.

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La LED gradable : un premier pas décisif

La première étape de cette transformation repose sur le déploiement massif de luminaires LED gradables. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire de connecter tout un réseau pour réaliser d’importantes économies.

Installer des LED pouvant être atténuées en cœur de nuit permet déjà de réduire la facture énergétique de plus de 60 % par rapport à des lampes à décharge traditionnelles. Mieux encore : lorsqu’elles sont couplées à des détecteurs de présence, ces économies peuvent atteindre jusqu’à 70 %.

 

Une technologie adoptée par les industriels

Ce mouvement est désormais soutenu par les principaux fabricants, qui ne proposent quasiment plus que des modèles gradables. Les anciens systèmes ON/OFF sont progressivement abandonnés au profit de solutions capables d’adapter le flux lumineux selon les besoins réels.

Un changement technologique discret mais fondamental, qui rappelle que l’intelligence ne rime pas toujours avec connectivité : une gestion locale et maîtrisée peut être tout aussi performante.

 

Les limites de l’éclairage autonome

Cependant, les luminaires gradables, même équipés de capteurs de mouvement, ont leurs limites. Ils ne sont pas pilotables à distance. Chaque adaptation – changement d’horaire saisonnier, événement local ou intervention exceptionnelle – nécessite une présence physique sur site, avec une configuration manuelle via Bluetooth.

 

Smart city et télégestion : la puissance du pilotage à distance

C’est là que les solutions de smart city prennent tout leur sens. Certaines entreprises annoncent jusqu’à 80 % d’économies en combinant LED, gradation, détection de présence et télégestion. Mais la télégestion ne se limite pas à la performance énergétique : elle contribue aussi à réduire les émissions de carbone. Fini les déplacements pour diagnostiquer une panne ou ajuster les horaires d’éclairage : tout se pilote à distance, en temps réel.

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Un déploiement à adapter au territoire

Toutefois, la mise en œuvre de la télégestion doit être pensée en fonction du contexte. Taille du territoire, densité du parc lumineux, ressources humaines et financières : autant de critères qui conditionnent le retour sur investissement. Son coût d’installation et de maintenance implique une approche pragmatique, au cas par cas.

 

Des solutions interopérables… ou pas

Bonne nouvelle : il est souvent possible d’intégrer des solutions connectées à des luminaires LED déjà en place, grâce à des boîtiers compatibles. Mais attention à l’interopérabilité. Certains systèmes restent fermés et peuvent poser des problèmes d’intégration dans un parc hétérogène.

 

L’éclairage solaire, une alternative 100 % sobre

Autre voie prometteuse : l’éclairage solaire, qui permet de viser jusqu’à 100 % d’économies d’énergie. Mais là encore, une réflexion sur les usages s’impose : extinction programmée, gradation, lutte contre les nuisances lumineuses, optimisation des batteries… Ces leviers permettent d’allier performance et sobriété énergétique. Certaines entreprises vont plus loin. Chez Fonroche Lighting, les luminaires solaires sont dotés d’une puce LORA combinant radiofréquences et carte SIM. Résultat : un pilotage à distance de l’ensemble du parc, incluant surveillance des équipements, planification des horaires, gradation, extinctions ou interventions d’urgence. Une preuve que la technologie solaire peut elle aussi s’inscrire dans une stratégie de gestion intelligente et durable de l’éclairage.

 

Conclusion : l’intelligence, avant tout humaine

Quelle que soit la solution retenue – LED gradable, télégestion ou solaire connecté – une chose est sûre : l’intelligence technologique n’a de valeur que si elle est guidée par une intelligence humaine. Sans stratégie claire, aucune innovation, aussi avancée soit-elle, ne garantit des économies durables.

Nouvel outil normatif

06/05/2025

Nouvel outil normatif

Face aux défis croissants de la gestion des réseaux d’eau, un nouvel outil normatif vient faciliter la coopération entre acteurs du territoire : StaR-Eau, le Standard des Réseaux d’Eau, conçu par le groupe de travail « Standards SIG » de l’Astee et validé en décembre 2024 par la commission des standards du CNIG (Conseil national de l'information géographique).

 

Chaque fois qu’un service de l’eau est transféré — par exemple d’une commune à une intercommunalité ou une métropole — les équipes de terrain constatent le même problème : elles ne parlent pas la même langue. D’un gestionnaire à l’autre, les objets, équipements et données liés aux réseaux ne sont pas désignés de la même façon, rendant complexe le partage d’informations, la mise en commun des patrimoines et leur suivi dans un SIG (Système d’Information Géographique).

 

Pour remédier à cette hétérogénéité, StaR-Eau propose un référentiel commun, sur le même principe que StaR Elec pour les réseaux électriques ou StaR-DT pour la cartographie des réseaux en lien avec les déclarations de travaux (DT-DICT).

 

StaR-Eau fournit aux gestionnaires une structure de données claire et normalisée pour modéliser leurs réseaux d’eau potable, d’assainissement et d’eaux pluviales. Il repose sur :

  • des modèles conceptuels de données spécifiques à chaque type de réseau,

  • des dictionnaires de données partagés pour uniformiser les dénominations,

  • et des scripts prêts à l’emploi pour générer ces modèles dans des bases de données géographiques.

                                                                                                                                                                                                           Sponsor d'Intertas.info

Grâce à une documentation complète et accessible, StaR-Eau peut être rapidement intégré dans les outils SIG existants. Il permet une meilleure interopérabilité entre acteurs publics, exploitants et prestataires, et facilite les démarches de mutualisation et de transfert de compétences.

 

La première version du standard, validée fin 2024, ne constitue qu’une étape. Les travaux se poursuivent pour élargir les cas d’usage et renforcer la compatibilité avec d'autres géostandards nationaux.

 

Deux évolutions majeures sont notamment à l’étude :

  • La prise en compte des casses sur les réseaux d’eau potable, afin de mieux suivre les incidents et d’en tirer des indicateurs de performance.

  • L’intégration des inspections caméra sur les réseaux d’assainissement, pour enrichir les données patrimoniales et améliorer la maintenance préventive.

 

Par ailleurs, un atelier est prévu pour identifier les variables du modèle les plus pertinentes pour la génération automatique des indicateurs Sispea (Système d’information sur les services publics d’eau et d’assainissement), outil de référence pour l’évaluation des services.

 

Le développement de StaR-Eau a été financé et accompagné par l’Office Français de la Biodiversité (OFB), dans le cadre de son engagement pour une meilleure gestion des ressources en eau et des infrastructures associées.

 

📘 Pour en savoir plus : [Documentation StaR-Eau]

 

🔗 Accès au GitHub du CNIG

 

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